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Le Web des Cheminots

Explications sur la dette publique


dav1077

Messages recommandés

Voici plusieurs vidéos qui expliquent , qui donnent une autre vision que celle donnée par nos chères politiques , sur le pourquoi de la dette , et a qui profite-t-elle ( même si vous vous en doutez un peu) .

Cela vous prendra que quelques minutes , et enfin vous saurez pourquoi .

Pour la France , ceci a été mis en place depuis 1973 (Pompidou) .

http://www.youtube.com/watch?v=97GpA1lLstk&feature=related

http://www.youtube.com/watch?v=ZsjQzZ-fSmg&feature=related

Voilà ce qu'il est important de savoir .

Pour ma part , je savais que la dette n'est qu'un prétexte aux mesures d'austérité .

Mais maintenant , il est temps de le faire savoir !!

(et n'oubliez pas , le PS = UMP ; au moins en ce qui concerne ce sujet) .

  • J'adore 1
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Maintenant que nos dirigeants auropéens ont bien foutu le bordel pour s'en mettre plein les poches ( et celles de leurs amis ) ils vont gentiement se faire la malle ( démission ) et laiser la merde aux autres!!!!!!!!!!!! Autres qui eux voteront ( imposeront ) d'autres mesures pour toujours s'en foutre plein les fouilles et nous faire prendre des vessies pour des lanternes, j'savais pô que mon perte monaie ressemblait à une vessie!!! que mes conditions sociales des lanternes!!! W...... F!

Modifié par Rail cassé
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  • 2 semaines plus tard...

saine colére, mais l'immobilier qui traite les banquiers de voleur c'est vraiment la crise (de rire) !

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saine colére, mais l'immobilier qui traite les banquiers de voleur c'est vraiment la crise (de rire) !

Je pense qu'il ne faut pas mettre tous les agents immobiliers dans le même sac. Il y a les puissants et les petits propriétaires. Et malheureusement ce sont toujours les mêmes qui trinquent.

Modifié par Class66220
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tous des escrocs, des voleurs et des menteurs(es) est moi qui les croyaient honnêtes( HI,HI ) je déconne mais VIVE LA VRAI DICTATURE DU PROLÉTARIAT quand ça fait pas le boulot ,la mine ils poussent les wagonnets

imagine tous nos pros de la politique entrain de faire un job honnête et de transpirer un peu ." Mais je rêve"

salut je vais promener les chiens car comme dit le proverbe " plus je connait les hommes plus j'aime les animaux"

Modifié par mikado43
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Et aussi ^^

http://lci.tf1.fr/ec...se-6857455.html

Le refus d'héritage, nouvel avatar de la crise ?

Par L.D., le 03 décembre 2011 à 18h22 , mis à jour le 03 décembre 2011 à 18h33

Selon Le Monde, en lieu et place d'un petit pécule, les héritiers font de plus en plus souvent face à des dettes lors du décès d'un proche. Et décident in fine de renoncer à la succession. En cause, la crise qui pousse les personnes âgées à s'endetter.

Image d'archive. Devanture d'un office notarial © TF1/LCI

La crise est-elle responsable de la hausse des refus d'héritage ? Selon Le Monde, en lieu et place d'un petit pécule, les héritiers font de plus en plus souvent face à des dettes et autres impayés lors du décès d'un proche. Et décident in fine de renoncer à la succession. En cause, la crise qui pousserait les personnes âgées à s'endetter pour subvenir à leurs besoins, faute de retraites suffisantes, et à laisser l'ardoise aux générations suivantes...

L'enquête du quotidien se base sur les chiffres du ministère de la Justice, arrêtés au 31 décembre 2010, selon lesquels le nombre de refus d'héritage est passé, entre 2004 et 2010, de 50 031 à 67 249, soit une augmentation de 33,5 %. Cette tendance à la hausse s'accélère en 2011, année qui pourrait bien être record. Selon les témoignages recueillis par Le Monde auprès de différents tribunaux, s'il existe encore des considérations personnelles ou familiales qui peuvent pousser à refuser un héritage, elles sont marginales: "En discutant avec les familles, que derrière tout ça, il y a la misère du monde", explique-t-on au greffe de Nancy.

Le vieillissement de la population accentue le phénomène

En clair, le refus d'héritage est devenu le dernier avatar de la crise économique qui frappe les familles françaises : inflation, hausse des loyers... Désormais, les actifs font appel au crédit pour joindre les deux bouts. Tout comme les retraités : selon la dernière enquête de la Banque de France, parue en mars, les plus de 55 ans représentaient en 2010 23 % des surendettés, contre 13 % en 2001. Ils pourraient atteindre 32 % en 2012. "Près de la moitié des seniors criblés de dettes sont propriétaires et perdront leurs biens d'ici à 2013", précise Jean-Louis Kiehl, président de la fédération Cresus (chambre régionale du surendettement social), un réseau associatif qui aide les ménages surendettés. Et pour faire des économies, ces personnes fragilisées financièrement ne souscrivent pas aux assurances décès, qui sont facultatives. A leur mort, "les crédits courent toujours et les héritiers doivent rembourser", explique-t-on au tribunal de Toulouse.

Autre élément qui pousse à la fonte des patrimoines, selon Le Monde : le vieillissement de la population. En effet, pour faire face aux frais induits par les placements en maison de retraite, nombre de familles sont contraintes, faute de retraites suffisantes des aïeux, de vendre leur maison. D'où une fonte mécanique de l'héritage, explique le quotidien du soir.

Par L.D. le 03 décembre 2011 à 18:22

Modifié par Bearcat
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Invité Gnafron 1er

fortune-suisse.jpg

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Les banques françaises ont perdu près de 100 milliards de dépôts

Selon des données Banque de France, les investisseurs étrangers ont retiré plus de 98 milliards de dépôts à court terme des banques françaises en septembre.

ECRIT PAR

Anne DRIF

Journaliste aux Echos

Les clients et investisseurs étrangers ont retiré plus de 98 milliards d'euros de dépôts à court terme des banques françaises en septembre. Des fuites de liquidité, qui pour la première fois depuis le début de l'année n'ont pas été compensées par d'autres entrées, indique dans une note Eric Dor, le directeur de recherche de l'IESEG, d'après les données statistiques de la Banque de France, relevées sur le système de paiement Target 2.

« Au bilan des banques, une baisse de dépôts étrangers va surtout être compensée par des emprunts plus élevés à la Banque de France », explique ce dernier. Ainsi, en octobre selon les mêmes statistiques de la Banque de France, 100 milliards d'euros ont été empruntés par les établissements de l'Hexagone à la Banque centrale.

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En mars et en juin, les banques de l'Hexagone avaient dû faire face à 74 milliards et 94 milliards de fuites de dépôts. Cependant, dans le même temps, quelque 55 et 87 milliards d'investissements dits de portefeuille avaient été injectés dans le système financier français (du type investissement dans des obligations d'entreprises par des étrangers). Les banques étrangères avaient en outre elles aussi été affectées par des sorties de liquidités. Les clients français avaient retiré respectivement sur ces deux mois 24 et 43 milliards d'euros.

Mais désormais depuis juillet, c'est un flux inverse qui prévaut, les clients français semblant se réfugier auprès des banques étrangères. Ils y ont déposé près de 60 milliards d'euros, dont 21 milliards en septembre, quand les banques françaises enregistraient des sorties de capitaux. Une tendance qui n'a pas dû s'infléchir avec le maintien en octobre de la relative défiance des marchés vis-à-vis du système bancaire français.

ANNE DRIF

Modifié par Gnafron 1er
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très interessant. merci pour les liens ! à faire circuler pour qu'un maximum de gens comprenne un peu mieux la situation... enfin, mieux que ce que tf1 veut bien diffuser sur l'élevage de concombres ou la découverte d'un radis dans une boite de raviolis :Smiley_63: par exemple...

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Invité Gnafron 1er

La Caisse des dépôts s’apprête à voler au secours de Groupama

LEMONDE.FR | 05.12.11

Un milliard et trois cent millions d’euros. C’est le montant du chèque que, selon nos informations, pourrait encaisser l’assureur mutualiste en difficulté, Groupama, si les discussions engagées avec la Caisse des dépôts et consignations (CDC) sur des cessions d’actifs vont à leur terme.

Dans un communiqué commun, dimanche 4 décembre, les deux groupes ont annoncé qu’ils étaient en négociations exclusives pour la reprise par la CDC de la participation de 44 % de Groupama dans la société foncière Silic, cotée en Bourse. Cette opération, révélée dans ses détails par Le Figaro du 2 décembre, pourrait être renforcée par un apport de capitaux frais de la CDC à Gan Eurocourtage, autre filiale de Groupama, sous forme d’actions de préférence, c’est-à-dire dépourvues de droit de vote.

En pleine tempête dans la zone euro, ces deux transactions visent à remettre d’aplomb le groupe d’assurance, dont le portefeuille d’investissements en actions et en obligations est sévèrement affecté par la chute de la Bourse et la crise de la dette. Elles devraient, selon les banquiers conseils de Groupama, lui permettre de redresser sa fameuse marge de solvabilité – l’indicateur de bonne santé des assureurs, qui compare les capitaux aux primes d’assurance – au-dessus des 100 % réglementaires.

Aujourd’hui, ce ratio s’établirait entre 110 et 130 % selon les fluctuations du CAC 40, grâce à de récentes cessions de dettes souveraines ainsi qu’à des "couvertures financières" (des assurances) protégeant l’assureur de la volatilité de la Bourse. Un niveau jugé encore trop juste dans le contexte de crise financière.

Au centre du dispositif, la cession de la Silic et son rapprochement avec Icade, la filiale immobilière de la CDC, font l’objet de discussions, depuis plusieurs semaines, entre le nouvel homme fort de Groupama, Thierry Martel, nommé après l’éviction de Jean Azéma le 24 octobre, et Antoine Gosset-Grainville, le numéro deux de la CDC. L’idée n’est pas nouvelle et avait été envisagée par M. Azéma bien avant son départ. Selon des proches, une négociation avait même été engagée avec l’établissement public, il y a moins d’un an, mais n’avait pu aboutir.

SATISFACTION

De fait, la cession de la Silic avantage autant Groupama que la CDC. Tandis qu’elle allège la pression sur l’équilibre financier de l’assureur, elle permet à l’établissement de la rue de Lille de faire grossir Icade, dont elle détient 56 %, avec des actifs jugés de bonne qualité. "Ce deal, la CDC en rêvait depuis cinq ans !, confie un proche des négociations. Il reste à voir quel prix la CDC est prête à payer par rapport à l’actif net réévalué."

Chez Groupama, dimanche, l’ambiance était à la satisfaction. "En six semaines, Thierry Martel aura remis le groupe sur les rails. Si l’opération avec la CDC se fait, Groupama passe sans problème la fin d’année et disparaît des écrans radars des autorités de contrôle, glisse l’un des conseils de l’assureur. On aura tout le temps pour organiser, début 2012, la stratégie à moyen terme."

D’ici là, toutefois, il faut aller vite, pour présenter le dossier aux autorités de tutelle. Une réunion de l’autorité de contrôle prudentiel est prévue le 20 décembre.

Anne Michel

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Invité Gnafron 1er

Jean-Paul Fitoussi : la crise n’est pas la conséquence d’un laxisme budgétaire !

07/12/2011

« la crise à laquelle on est confrontés n’est pas la conséquence d’un laxisme budgétaire! L’Irlande, premier pays à tomber, avait un excédent budgétaire de 2,9% en 2006 et une dette publique de moins de 24%! Tout comme l’Espagne, 2,4% en 2006 et 36%… »

Jean-Paul Fitoussi, directeur de recherche à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), nous remet ces éléments en mémoire dans un entretien au journal Libération.

Pour lui, la crise est essentiellement partie de mouvements de capitaux spéculatifs. En donnant au marché l’exclusivité du financement des titres d’emprunt des Etats , le traité de Maastricht, consolidé par le traité de Lisbonne, a transformé les investissements des états en objet de spéculation et ouvert la porte à la crise d’aujourd’hui [ lire ici le Traité de l'Union Européenne ].

Pour Jean-Paul Fitoussi, les propositions de Merkel et Sarkozy, sont hors sujet et contre-productives. En ne visant que le renforcement de la contrainte budgétaire, les deux dirigeant se trompent dans leur diagnostic et, s’ils sont suivis par les autres pays membres, ne feront qu’ajouter de la confusion au problème.

Ses préconisations ?

« Que la BCE commence déjà par jouer le rôle normal d’une banque centrale, comme dans tous les autres pays du monde, et achète des nouveaux emprunts d’Etats émis avant de racheter des obligations sur le marché secondaire! Pour se donner de l’oxygène, il faut aussi des eurobonds qui permettront de financer de projets de croissance et de lutter contre le chômage »

Pour lire l’entretien dans son intégralité, c’est ici.

Au passage, on notera qu’à ce jour, la BCE a déjà racheté près de 300 milliards d’euros ( soit presque le montant du PIB de la Grèce ! ) d’obligations souveraines sur le marché secondaire, dans la cadre du « programme de rachat des titres ». La BCE communique ces chiffres dans son bilan hebdomadaire, mais reste très très discrète sur le détails des obligations concernées et surtout du taux auquel elles ont été acquises. Ce qui ne manque pas de soulever des questions ….

Une supposition en guise d’exemple : Une obligation grecque à 40% d’intérêt acquise sur le marché primaire par une banque privée, puis revendue à 5% sur le marché secondaire à la BCE, cela donne 35% d’intérêts qui restent à la charge des grecs pour alimenter les caisse de la banque alors que celle-ci s’est débarrassé de tout risque et a déjà été remboursée par la BCE du montant nominal de ses obligations.

On voit à quel point cela constitue une bonne affaire pour la banque et une largement moins bonne pour les citoyens. C’est bien sûr un exemple extrême, qui n’a rien de réel (on espère !), mais pour éviter tout fantasme, il serait bon que la BCE diffuse de manière claire et transparente le détail de ses achats.

Publié sur LaDette2012.fr

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