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Je me suis fait avoir une fois dans un cas similaire, ça motive ensuite pour ne plus jamais se faire avoir et rester en rade la nuit. Il m'est même arrivé un gag qui aurait pu être désagréable : un soir à 20h à bourg en bresse, incident sur la ligne, 3 tgv bloqués en gare, celui que je devais emprunter bloqué quelque part en amont en savoie, et déja 1h30 de retard prévu. Pas d'hésitation, je monte sur le quai, je vois un affichage paris-lyon, je monte et me trouve une place libre. Mais pendant 5 minutes j'observe les autochtones et je constate qu'ils sont lourdement chargés en bagages et qu'ils ont un fort accent chti'mi Juste le temps d'attraper mon bagage et de sauter sur le quai, avant que ça buzze.... et que ce tgv parte sur lille. L'affichage de quai était erroné.... Finalement j'ai pris mon tgv avec ses 2h de retard, un peu déçu.

Il devait y avoir des habitués dans ce ouigo, qui connaissent bien les capacités de réaction de l'entreprise en cas de pépin, et qui ont prévenu les autres voyageurs.... Un pépin à 20h à marne la vallée, il n'y aura personne de suffisamment gradé pour prendre des initiatives, les passagers seront confiés à des gilets rouges qui feront selon leurs moyens, et ça se terminera par une nuit sur place (en hôtel pour les familles, sur les bancs pour les autres) et un acheminement au ouigo du lendemain matin. Remarquez, un pépin sur un tgv "normal" à 20h, ça risque de faire exactement pareil. On n'a plus le droit d'avoir de pépins après 19h chez SNCF, c'est interdit. On peut comprendre la réaction de ceux qui avaient espéré rentrer chez eux le soir pour reprendre le boulot le lendemain matin. A la guerre comme à la guerre....

Faudrait pas oublier de changer de courant à st ouen, tout de même

Euh non, la lamelle était une glissière de coulissement pour le carter d'inverseur de poussée du moteur. Pièce soi-disant contrefaite à bas prix en Israël et non conforme aux spécifications du constructeur.

Précision utile : l'hypothèse 2 implique la présence d'un corps étranger (canette ou autre...) qui maintient l'extrémité de l'éclisse en position haute, sinon l'éclisse repose sur le fut du boulon, et la chaîne de cotes nominales donne un jeu boudin/éclisse de 12 à 15mm voire plus encore, ce qui impliquerait une usure importante d'une ou plusieurs roues pour obtenir un contact franc. En poussant l'étude un peu plus loin on pourrait estimer l'interférence boudin/éclisse nécessaire pour la faire basculer autour d'un pivot loin d'etre parfait, compte-tenu de son inertie non négligeable.

Le centenaire de SNCF c'est en 2098.

En fait les sièges USI B10t étaient gris à l'origine avant d'être orange puis beige/brun.

Non, c'est déja la deuxième génération, la première avait les sièges orange pimpant et le formica blanc-jaunâtre. Mais c'est vrai qu'on était bien là dedans, 10 fois plus confortable qu'un AGC, même sur des Y16.

Enfin des analyses géométriques pertinentes, enfin des analyses précises des éléments relevés, enfin des clichés précis. L'ensemble permet d'établir des hypothèses crédibles en conservant du recul sur le déroulement complet de l'accident, toujours inexpliqué. On ne peut toujours pas décrire un scénario exact, mais on peut déja avoir des idées plus claires. Je remarque que les hypothèses émises en annexe D2 convergent avec certaines hypothèses développées par les "enquêteurs du dimanche" de ce forum qui se basaient seulement sur l'observation de 4 photos des médias. Comme quoi, du chaos verbal émergent parfois des vérités scientifiques... Il subsiste encore un mystère sur ce qui a permis le basculement de l'éclisse lors du passage du train, très en amont d'après les dégats sur les essieux (entre la locomotive et la deuxième voiture). Les simulations numériques montrent qu'en situation nominale il est impossible que le boudin touche l'extrémité de l'éclisse détachée du rail. De même, il est géométriquement impossible que l'éclisse accroche un disque de frein, sauf si elle a déja été tordue par le passage de plusieurs roues. Il est possible que les enquêteurs ne puissent pas trouver la cause initiale avec certitude. Si la justice cherche des coupables à tout prix, il faudra choisir des hypothèses.

Le renforcement des cabines est une modification lourde, car il a fallu ressouder une structure complète en acier et reconcevoir le masque polyester. En comparant avec le film d'époque, où l'on voit un simple tablier en tôle derrière le bouclier, voici la structure ajoutée par les ateliers de Quatre-Mares. Le masque polyester est aussi très modifié. Un peu d'histoire sur ce site passionnant : http://www.gaqm.fr/Theme_9c.html

http://fr.news.yahoo.com/les-travaux-du-tunnel-lyon-turin-d%C3%A9buteront-fin-211238053--business.html De toutes façons, rien n'arrêtera l'avidité des financiers et des bétonneurs, si ils ont décidé, les politiques s'éxécutent.

je parlais de conduite, pas d'un coup de main.

Il faut aussi qu'il soit en conformité avec les durées règlementaires conduite/repos, et avec les dérogations possibles, pas facile à graphiquer en 5mn dans une rame en panne.

Il me semble que c'est 5 bips pour l'appel ADC vers ACT et 7 bips pour l'appel ACT rame1 vers ACT rame2 (et v-v). Dans le temps c'était indiqué sur un autocollant dans le boitier.

Mais ça mériterait un droit de réponse dans le journal de la part des responsables communication ligne D... Sauf si ces gens ne veulent pas embêter leurs amis de la presse quotidienne ?

Les CFR sauront quoi faire avec les rames TGV A, ils seront contents de les acheter pour une bouchée de pain. Et puis en france on est coincé par l'obligation d'acheter du neuf et la saturation des chantiers agréés de déconstruction, donc au lieu de laisser tagguer et vandaliser sur un triage....

Pour faire circuler une motrice TGVA sur une rame corail, il faut: - reprogrammer l'ordinateur de bord pour éliminer virtuellement le coupon manquant - prévoir une marche détendue à cause des accélérations modestes sous intensité raisonnable C'est donc une bonne solution pour les lignes Teoz actuelles et quelques TET électriques... Avec une adaptation à la réversibilité on peut même envisager du TER.

C'est plus fréquent en banlieue, et parfois désagréable. http://www.leparisien.fr/info-paris-ile-de-france-oise/maisons-alfort-quand-le-rer-d-oublie-de-s-arreter-en-pleine-nuit-16-11-2013-3319175.php

L'amiante n'est devenue cancérigène que le 1er janvier 1997 à 0h00. Jusque là ce n'était qu'un minerai qui faisait un peu tousser mais qui faisait faire beaucoup d'économies à ceux qui l'employaient. Si rien n'interdisait formellement l'utilisation de l'amiante, pourquoi certains constructeurs auraient eu des scrupules à l'utiliser ? Il n'y a pas de déontologie dans le business.

Oui, c'est juste le nouveau département de la Moselle et les deux nouveaux départements d'Alsace qui ont conservé leurs particularités administratives, et ceci pour ménager les susceptibilités des populations qui ont subi ces périodes troubles. Mais ça a laissé des traces. Outre un redécoupage peu judicieux et le renommage de la Meurthe en "Meurthe et Moselle", certains territoires n'ont pas été réattribués à leur région d'origine. Schirmeck la vosgienne se retrouve en Alsace, alors que Belfort en reste exclue, par exemple...

oui, je l'ai chapardée ici : '?do=embed' frameborder='0' data-embedContent>>

Non, puisque ça prend la route sur des camions.

Illusion d'optique, la végétation n'a pas poussé à l'intérieur

On peut bien être dévoyé sans dérailler.

Au chemin de fer on ne dit pas que ces vieux diesels sont "couplables", mais qu'ils sont "coupables".... de polluer. Et en dehors du chemin de fer, on dit parfois qu'ils sont "découpables", chez les ferrailleurs par exemple...