Droit de réponse sur le scandale de la pollution des cabines Z2N.
En mars 1990, un médecin traitant me demande de faire un droit d'alerte avec des certificats médicaux à l’appui.
Le 12 avril 1990, une réunion de CHSCT extraordinaire a été effectuée et une déclaration de maladie à caractère professionnel m'a été accordé.
Pour la direction de P.SO, les maladies liées à l'amiante n'apparaissent que 20 à 30 ans après inhalation, sauf pour les fumeurs (donc pas de problème les agents seraient en Retraite).
L'information passé par les CTT : « pas de danger sur les Z2N».
Le médecin SNCF de Brétigny-sur-orge, connaissait la nocivité de l'amiante et la présence d'amiantes dans les freins et les cabines Z2N puisque il était chargé de l'enquête et disposait de résultat d’analyse positif à l'amiante, mais n'a rien révélé sur le principe du secret médical.
Pour les personnes qui assuraient notre sécurité (les membres du CHSCT), on leur a imposé le silence sur le principe du secret de fabrication.
Entre 1996 et 1997, il y a bien eu des analyses faite où l'on prenait des locomotives sortant de visite et préparé sauf pour les Z2N ou la poussière était toujours présente et visible qui ont été exclus des tests.
Nous nous somme tous fais avoir dans cette histoire.
Mars 2012, à la demande d'un conducteur à la retraite l'affaire à été reprise avec allo amiante et Sud Rail Bordeaux avec succès.
Je vous laisse médité et si vous avez la chance de croisé des personnes qui vous ont menti. Demandez leur s'ils ont consciences de leur actes.