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Le Web des Cheminots

Bibloc

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Tout ce qui a été posté par Bibloc

  1. d'une manière plus générale, les CFF étaient propriétaires de 2 rames PSE-tricourant. A leur amortissement, j'imagine qu'ils ont "acheté" une rame pour les remplacer et participer ainsi au capital de Lyria. La 4406 ?
  2. cochon de facteur qui perd le courrier ! vivement que la Poste soit privatisée !!
  3. ne te plains pas, avec Bruno le Maire, on a bien failli ne pas être confinés du tout et disperser le virus à tout va, pourvu qu'on tienne les 3% de déficit ...
  4. complètement dans le moule ....
  5. effarant !! et ces Allemands avec leur petit boulot à 1 €, ils sont aussi en meilleure santé ??
  6. ça t'arrive souvent de commander un DVD à Bordeaux, très grand centre de production ? tu es vraiment un enfant gâté qui exige tout tout de suite. On en crève de ces exigences absurdes , et surtout ceux qui travaillent dans ces boîtes !
  7. heu ........ et même de son présent ....
  8. vous trouvez aussi qu'il est bien trop du côté du manche pour un ancien exécutant ??
  9. les Chinois ont l'habitude de copier d'abord, voir après .... et puis, ils le disent eux-mêmes, c'est un joujou ...
  10. à part que les uns sont en majorité à Orly, les autres à Roissy ...
  11. je n'ai pas eu l'occasion de voyager dans une rame à suspension "mécanique". Cependant, ma mère, grande utilisatrice dès le début des circulations m'avait rapporté le côté désagréable sinon très désagréable de ces vibrations, surtout rapporté aux Corail qui ont précédé. Pour avoir subi ce genre de choses sur les ETR-1000, malgré une suspension pneumatique (de toute évidence associée à une caisse mal calculée) je trouve que ce n'est pas très satisfaisant.
  12. pas tout à fait quand même : tu paies AUSSI les prestations de ces messieurs quand tu achètes leur production .... le stade au-dessus étant quand les PDG se déplacent en avions d'affaires ... à tes frais
  13. merci pour cette photo. C'était donc bien un passage involontaire de 3° en 2° !! Et il fallait tirer je ne sais combien de cm vers soi pour passer la 1°. Finalement, la mémoire ne va pas trop mal
  14. j'ai connu cette clientèle voyageant aux frais de la princesse sur Toulouse, avec les "prioritaires" qui te bousculaient méchamment pour bénéficier de leur petit avantage. A leur passage, je disais dans ma moustache mais assez fort pour qu'ils entendent "nomenklatura" ... z'étaient pas trop contents. Parce qu'il y avait du vrai ..
  15. j'avais dans l'idée que les machines restaient sur les rames dans la journée et s'occupaient de fret la nuit. Là, tu dis que ces machines partaient HLP vers Joncherolles ou Landy pour se mettre en tête pour la pointe ? ou bien c'est la pointe du matin ?.
  16. je ne me souviens plus. Cette boîte avec levier au tableau de bord était assez curieuse il fallait aller chercher la 1° ou la MA en tirant à fond et en décalant le pommeau. Ne me demande pas dans quel sens ... il est possible aussi que cette anecdote se soit produite de 4° en 3°, ou de 2° en 1°. C'était il y a très très longtemps ... renseignements pris, c'était un modèle 1969 donc à 4 vitesses. La première année avec point d'attache des ceintures à l'avant. Aussitôt équipée ! la même ! Elle était belle ma totoche avec l'intérieur "luxe" rouge !
  17. je me l'étais laissé dire, mais un jour, un feu passe au rouge sous mon nez. Déjà énervé par les bouchons, je repousse violemment mon levier de vitesse ... Qui passe tout seul de 3° en 2° ! C'était sur une 4L et la 2° était juste en face ... du coup, j'ai calé !
  18. avec une boîte mécanique, pour rétrograder, il n'y a même pas besoin de débrayer ! Passer au point mort en ajustant le régime moteur (ne pas être en accélération, ni en freinage), puis monter le moteur en régime, le laisser redescendre et une légère poussée sur le levier de vitesse, ça rentre tout seul quand le moteur est synchro. il se peut simplement que ta garde à l'embrayage ait évolué dans le mauvais sens et que tu ne décolles plus les disques
  19. pour un voyage le 9 juillet (on garde espoir !!) c'est 10:12, 15:12 et 17:08 (pour les "directs")
  20. d'où une astuce qui m'a été confiée, et qui m'a sauvé la mise plusieurs fois : si après un ou deux essais de démarrage (pas plus !), ça ne veut pas, allumer PLEINS PHARES entre 20 et 30 secondes. Le courant débité chauffe la batterie qui récupère assez de puissance pour faire enfin tourner le moteur ( ET allumer les bougies pour ceux qui roulent à l'essence).
  21. je suis un peu étonné de ça. Les premières applications en série concernent les Z-6121 et suivantes, sorties à partir de 1969. Au moment de la conception des rames, on avait donc déjà une bonne expérience d'un matériel sorti encore plus tôt au Japon (ressorts Sumiride). Peut-être que pour assurer le coup et ne pas rajouter une inconnue, il a été préféré la suspension mécanique avant même la sortie du matériel, mais l'architecture de l'anneau d'interface indique qu'il a été prévu pour les grands ressorts. Les cylindres ajoutés au coussins pneumatiques viennent de là. Sinon, la surface d'appui serait située au niveau des coussins, selon les dernières dispositions. Alors, l'adoption des grands ressorts après coup aurait été un vrai casse-tête NB : le 001 était équipé d'une suspension pneumatique. Sur les dossiers de caisse se trouvaient (déjà) les réservoirs qu'on voit sur la photo de 15059. Par contre, la 7001 avait les grands ressorts style Y32. En poursuivant dans mes notes, il semble que le problème soit apparu dès les premières courses commerciales, avant l'ouverture de la LGV. Il a cependant fallu du temps pour travailler sur la SR10 avant de l'appliquer à la série
  22. non, c'est bon, il est sur la caisse qui a le boggie. Sinon, merci Xabel, ce crochet semble encore plus robuste que celui des PSE. Depuis quand a t-il été adopté ?
  23. ce qui a remplacé les ressorts métalliques, et qui serait remplacé par les deux réservoirs fixés à la caisse :
  24. je pense que l'architecture globale reste la même. C'est une raison du succès, par comparaison avec les boggies Jakobs à 4 appuis qui génèrent par principe du lacet. Par rapport aux PSE, il faut se souvenir qu'au départ, ils étaient montés sur de grands ressorts issus du Y32, donc la structure d'appui tenait compte de cette hauteur. Quand la suspension a été modifiée, les coussins pneumatiques ont été complétés par un cylindre en acier pour compenser cette hauteur. Au passage, il me semble me souvenir que ces cylindres jouaient un rôle dans les caractéristiques de la suspension en servant de réservoir d'air. Ont-ils été remplacés par les deux réservoirs horizontaux qu'on voit ici ? Sinon, l'appui de l'autre caisse me semble devoir être sur le genre de pylône qu'on voit dans l'axe du boggie. Mais on ne voit pas le crochet si caractéristique du PSE (j'en cherche une photo) sous toutes réserves et soumis à validation par les hommes de l'art ! PSE 1° génération de suspension
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