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Le Web des Cheminots

Yves JEGO "le mépris total"


antoine

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T'es pas obligé de mettre un titre comme ça.

Et si c'est une citation, mets des guillemets.

En même temps, c'est vrai que c'est un bouffon... par contre, ce n'est pas le seul...

Modifié par Jay17
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Jego est plus vraisemblablement rentré en Métropole pour faire le point avec le chef de l'état ou le 1er ministre. Les finances de la France n'etant pas extensibles il n'y a peut-etre pas suffissament des resultats compten tenu de ce qu'il a deja cédé.

D'un autre coté je viens de voir aux infos que maintenant les manifestants demandaient 300€ alors qu'auparavant ils voulaient 200€.

Mais c'est vrai que demain on rase gratis. Une seule question a tout cela qui payera en final ? les contibuables bien sur, c'est a dire vous et moi.

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Jego est plus vraisemblablement rentré en Métropole pour faire le point avec le chef de l'état ou le 1er ministre. Les finances de la France n'etant pas extensibles il n'y a peut-etre pas suffissament des resultats compten tenu de ce qu'il a deja cédé.

D'un autre coté je viens de voir aux infos que maintenant les manifestants demandaient 300€ alors qu'auparavant ils voulaient 200€.

Mais c'est vrai que demain on rase gratis. Une seule question a tout cela qui payera en final ? les contibuables bien sur, c'est a dire vous et moi.

C'est sûr qu'il n'y a pas de contribuables en O-M... Et le budget, vu ce qui a été accordé aux banques... oups, pardon, il semblerait que ça nous rapporte au lieu de nous couter (Naboléon l'a dit ! 1.4 Milliard même !), quand on voit la dette qu'il y avait déjà avant la crise, sans parler du taux d'emprunt sur les marchés (censés être ruinés au passage...)... mais bon, nou z'ottes devon z'être bien trop cons...

Modifié par Jay17
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Haha! "N'augmentez pas les salaires, c'est les contribuables qui vont payer!" Je ne l'avais jamais entendu celle la avant.

Les grévistes ont déja obtenu une augmentation de +200 € pour tous les salariés percevant un salaire compris entre le SMIC et jusqu'à 1.6* sa valeur.

Pour les salariés au dessus de cette barre, un minimum de +2 ou +3% a été accordé en fonction des branches, en tant que base minimum d'augmentation.

Cela doit se faire en prenant sur les profits des entreprises qui se goinfrent sur le dos de la population.

Les grévistes ont mille fois raisons de refuser à ce que les patrons bénéficient d'exonérations sociales. Cela fait partie de leurs revendications.

La grève générale paye. Les patrons ont cédé une première fois sur la revendication des 200 €. Si les grévistes sentent que le rapport de force y est pour aller plus loin, qu'ils y aillent sans aucune hésitation!

En Martinique, la grève générale débute.

A quand le tour de la métropole?

C'est en tout cas un tel mouvement qui permettrait à chaque travailleur, de sortir la tête de l'eau.

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Non DavidKorner , les contribuables compenseront sur leur impots les baisses de charges accordés aux entreprises, de plus il est a craindre que les prix locaux suivent la hausse des salaires sur quelques mois

Y a de ça

Ici, on a l'exemple flagrante d'une commune moyenne ( 2517 habitants)

Budget 10 millions d'Euro et les programmes établis sur 3 ans minimum

La fin de la TP fait que la commune va affronter une perte sèche de 8 millions ( 80 % de son budget),venant de la centrale nucléaire

Je plains les habitants car ils ont déjà dit qu'ils vont se rattraper sur le foncier non bati ( et la zone de la centrale est énorme mdrmdr mdrmdr :Smiley_49: )

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Invité RailWayS

En effet fabrice, avant la suppression de la TP avoir une centrale electrique sur le territoire de la commune etait pour celles-ci un gage de revenu. Les regles changeants il y a gros a parier que les communes acceptant d'acueillir ces industries (avec peu de personnel) ne se precipitent plus pour le faire.

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Non DavidKorner , les contribuables compenseront sur leur impots les baisses de charges accordés aux entreprises, de plus il est a craindre que les prix locaux suivent la hausse des salaires sur quelques mois

Les patrons auront la marge de manoeuvre que leur laisseront les grévistes.

Si on laisse faire les patrons, ils feront tout pour nous faire payer leur facture. En augmentant les prix tout en multipliant les cadeaux fiscaux au patronat.

A la Guadeloupe, les grévistes ont obtenus en plus de tout ça, une nouvelle baisse des prix du carburant. Voila pour "l'augmentation des prix" qui n'a absolument rien de fatal. On peut l'inverser par le rapport de force.

Quant aux baisses de cotisations sociales des patrons, les grévistes les refusent et ont bien raison de le faire.

Aux patrons de mettre la main dans la poche et redonner leur du aux travailleurs, à la sécurité sociale. Ils se sont assez engraissés comme ça.

Les grévistes d'outre-mer montre la voie à suivre. Le gouvernement craint la contagion et il a bien raison.

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Les patrons auront la marge de manoeuvre que leur laisseront les grévistes.

Si on laisse faire les patrons, ils feront tout pour nous faire payer leur facture. En augmentant les prix tout en multipliant les cadeaux fiscaux au patronat.

A la Guadeloupe, les grévistes ont obtenus en plus de tout ça, une nouvelle baisse des prix du carburant. Voila pour "l'augmentation des prix" qui n'a absolument rien de fatal. On peut l'inverser par le rapport de force.

Quant aux baisses de cotisations sociales des patrons, les grévistes les refusent et ont bien raison de le faire.

Aux patrons de mettre la main dans la poche et redonner leur du aux travailleurs, à la sécurité sociale. Ils se sont assez engraissés comme ça.

Les grévistes d'outre-mer montre la voie à suivre. Le gouvernement craint la contagion et il a bien raison.

Ca commence, la Martinique est entrée dans le conflit

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Invité RailWayS

Les patrons auront la marge de manoeuvre que leur laisseront les grévistes.

Si on laisse faire les patrons, ils feront tout pour nous faire payer leur facture. En augmentant les prix tout en multipliant les cadeaux fiscaux au patronat.

A la Guadeloupe, les grévistes ont obtenus en plus de tout ça, une nouvelle baisse des prix du carburant. Voila pour "l'augmentation des prix" qui n'a absolument rien de fatal. On peut l'inverser par le rapport de force.

Quant aux baisses de cotisations sociales des patrons, les grévistes les refusent et ont bien raison de le faire.

Aux patrons de mettre la main dans la poche et redonner leur du aux travailleurs, à la sécurité sociale. Ils se sont assez engraissés comme ça.

Les grévistes d'outre-mer montre la voie à suivre. Le gouvernement craint la contagion et il a bien raison.

Que connais-tu des marges d'une entreprise comme une PME ? Je connais des chef d'entreprises (ça sonne bien comme nom) qui gagnent moins que leurs employés lors que la création de leur boite, ensuite beaucoup s'aperçoivent que c'est moins facile qu'ils le pensaient. les patrons, comme tu dis, qui gagne bien leur vie sont ceux qui ont réussis a lancer leur boite, qui ont pris des risques pour le faire, souvent ont fait des sacrifices, je trouve donc normal qu'ils en tirent les bénéfices si ça marche.

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Les patrons auront la marge de manoeuvre que leur laisseront les grévistes.

Si on laisse faire les patrons, ils feront tout pour nous faire payer leur facture. En augmentant les prix tout en multipliant les cadeaux fiscaux au patronat.

A la Guadeloupe, les grévistes ont obtenus en plus de tout ça, une nouvelle baisse des prix du carburant. Voila pour "l'augmentation des prix" qui n'a absolument rien de fatal. On peut l'inverser par le rapport de force.

Quant aux baisses de cotisations sociales des patrons, les grévistes les refusent et ont bien raison de le faire.

Aux patrons de mettre la main dans la poche et redonner leur du aux travailleurs, à la sécurité sociale. Ils se sont assez engraissés comme ça.

Les grévistes d'outre-mer montre la voie à suivre. Le gouvernement craint la contagion et il a bien raison.

T'as raison, les patrons sont tous des salops. Rassure toi, avec ce genre de discours, bientôt certains vont vite se barrer et mettre la clé sous la porte. Ça fera quelques chômeurs et miséreux de plus, mais ça sera surement la faute des... patrons ?

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Invité necroshine

Il y a des patrons verreux et salauds certes, mais il ne faut pas en faire une generalité, loin de la meme....

Heureusement qu'ils sont la pour créer de l'emploi et de la richesse...

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Invité necroshine

Pour en revenir au sujet initial :

http://www.bakchich.info/Guadeloupe-Fillon-degonfle-son.html

Guadeloupe : Fillon dégonfle son Jégo

Les Guadeloupéens se demandaient pourquoi Yves Jégo était rentré précipitamment à Paris. François Fillon a la réponse. C'est lui qui a rappelé à l'ordre le secrétaire d'État, jugé trop généreux.

Alors qu'il s'apprêtait à finaliser un accord pour mettre fin à la paralysie générale en Guadeloupe, Yves Jégo a été sommé par Paris de rentrer illico presto en métropole. Hier, le Premier ministre, François Fillon, l'a reçu à Matignon. Officiellement, pour finaliser l'accord négocié sur place par le secrétaire d'État pour sortir de la crise. Officieusement, pour un gros rappel à l'ordre de ce ministre jugé bien trop généreux. Un beau rétropédalage, avant une nouvelle réunion ce mardi…

Sur place depuis le 1er février, Jégo avait en effet annoncé qu'il n'avait pas « de calendrier de retour », et que « grâce aux moyens modernes de technologie », il pouvait « gérer l'Outre-Mer comme [il] le ferai[t] de la rue Oudinot », adresse du secrétariat d'État. Alors plus d'Internet ni de téléphone ? « Yves Jégo lâchait trop », explique laconiquement l'entourage du Premier ministre. Aux termes d'un accord intervenu en Guadeloupe entre le patronat et le comité LKP - « Collectif contre l'exploitation outrancière » (LKP) à l'origine de la grève générale lancée le 20 janvier - des allègements de charges sociales sont prévus pour les entreprises fragilisées. Des allègements qui doivent se répercuter sur les salaires. Depuis le début du conflit, le comité des grévistes réclame une hausse de 200 euros pour les bas revenus… le tout pour un coût de 108 millions. Aussitôt, le patronat fait savoir que l'addition est salée et en appelle au financement de l'État. Donc à un feu vert de Matignon.

<h3 class="spip">Élysée et Matignon craignent une « contamination » </h3> Gloups, en ces temps de crise générale, 200 euros à verser à 85 000 salariés… le cabinet du Premier ministre fait rapidement les comptes avant de manquer de s'étrangler. Et se demande si Yves Jégo n'a pas abusé de l'excellent Ti Punch local. Surtout que dans le même temps, la grève générale a gagné la Martinique. Dans ce contexte, l'Élysée et Matignon craignent une « contamination » : en clair, que les Martiniquais réclament les mêmes 200 euros que les Guadeloupéens viennent de négocier. Depuis le 5 février, la mobilisation s'est en effet intensifiée en Martinique, avec des fermetures forcées par les manifestants de la totalité des grandes surfaces. Et dans ce tohu-bohu, avec les piquets de grève, un certain nombre de clients sont sortis s'en payer. De quoi déplaire fortement au patronat martiniquais qui a toutes ses entrées au plus haut sommet de l'État.

© Kerleroux Plus qu'en Guadeloupe, le pouvoir économique y est concentré entre très peu de chefs de famille, qui ont toujours su se faire entendre. Pas question dès lors de toucher au quasi-monopole qu'ils exercent sur l'activité la plus rentable de l'île : la grande distribution ! Ces patrons veillent au grain et s'arrangent entre eux pour éviter toute concurrence réelle, malgré la multiplicité des enseignes. Pour eux, l'idée de faire baisser de 30% les prix d'une centaine de produits de base et d'augmenter les bas salaires, négociée en Guadeloupe, n'est donc en aucune manière recevable par « Les derniers maitres de la Martinique », comme les qualifiaient un reportage diffusé sur Canal+, le 30 janvier dernier, qui a suscité bien des remous sur place avant même sa diffusion.

<h2 class="spip"> Mauvais jeu de Jégo</h2> Comme si les collectifs contre l'exploitation (la pwofytasyon en créole) ne suffisaient pas, voilà qu'un rappel télévisé du douloureux passé et des criantes inégalités que connait toujours la Martinique, est venu chatouilller des sensibilités à fleur de peau. Canal+, en diffusant son documentaire « Les derniers maitres de la Martinique », un reportage sans complaisance sur les « Békés », les descendants en ligne directe des maitres esclavagistes de l'île qui continuent à se tailler la part du lion dans toutes les activités économiques, a remué le couteau dans la plaie.

Bien que Canal+ compte peu d'abonnés aux Antilles, l'impact de ce reportage, facilement accessible sur Internet, a été tel que France O Martinique ne pouvait l'ignorer. Dans son journal télévisé du 7 février, quelques extraits, dont une interview du patriarche de la famille Huygues-Despointes qui proclamait son attachement à la « pureté de la race » (blanche), ont suscité de nombreuses réactions. Des Martiniquais blancs et noirs ont manifesté leur indignation à l'encontre des propos racistes tenus par M. Huyghes-Despointes.

Le brutal rappel à Paris d'Yves Jégo a été perçu sur place comme une confirmation de l'influence prépondérante des réseaux békés dans la politique française.

<h3 class="spip"> Mais à quoi joue la métropole avec l'Outre-Mer ?</h3> Descendants en ligne directe des maitres esclavagistes de l'île, les « Békés » semblent avoir fait remonter leur hostilité à tout accord, au plus haut du pouvoir à Paris, comme le laisse entendre le communiqué de Frédéric Lefebvre, porte-parole de l'UMP : « il ne peut pas y avoir deux lois de la République », en métropole et Outre-mer. Il faut « trouver des solutions qui viennent en aide évidemment à nos compatriotes » de Guadeloupe et de Martinique, « mais qui en même temps ne peuvent être éloignées de la situation de nos compatriotes en métropole ». La crise a bon dos.

Mais à quoi joue la métropole ? Dans une situation qui dégénère tous les jours un peu plus sur place - plus d'essence, plus de denrées, des écoles fermées et 10 000 manifestants par jour dans la rue, l'équivalent de 5 millions de personnes en métropole - les couacs s'enchaînent au sommet de l'État. La communication est de plus en plus brouillonne, le discours incertain… voire inexistant. Dans son allocution télévisée, jeudi 6 février, Nicolas Sarkozy ne dit mot de l'Outre-Mer. « Ses fiches étaient pourtant prêtes », se défend son entourage. Sauf que d'habitude, le président n'a pas la langue dans sa poche et arrive à caser ce dont il veut parler… Deux poids, deux mesures ?

Modifié par necroshine
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J'ai pu voir un reportage intéressant sur F2 ou F3 (je ne sais plus) sur cette question ce soir. On y apprend notamment que les centres commerciaux, les stations services, et d'autres entreprises appartiennent toutes à quelques riches familles. 1% de la population représente 90% de l'économie locale (chiffres donnés dans le reportage). On est loin de la problèmatique des PME...

Gom

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Mon opinion sur le sujet.

3 possibilités :

- soit Jégo est débile profond et ne sait pas que le téléphone existe (faible probabilité tout de même, laissons-lui le bénéfice du doute :)),

- soit il est étourdi (il a égaré son portable) et n'a pas d'ami qui lui en prêterait un (faible probabilité aussi vu l'entourage qui accompagne systématiquement les ministres)

- soit (enfin) il s'est foutu de la tronche du monde là-bas et a voulu rentré fissa malgré ses déclarations quand il a constaté qu'il ne pourrait pas régler le problème.

Si quelqu'un a d'autres hypothèses, je suis preneur. :Smiley_56:

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Heureusement qu'ils sont la pour créer de l'emploi et de la richesse...

Ceux qui créent les richesses, ce sont les travailleurs. Pour les emplois, le patronat s'efforce - en particulier en ce moment - de supprimer et licencier à tour de bras, à la Guadeloupe comme ailleurs.

Les travailleurs de la Guadeloupe ont obligés le gouvernement a confirmé d'une part les mesures de baisses des prix, d'augmentation des allocations scolaires.

Il n'a pas osé accordé les baisses de cotisations réclamées par les patrons de l'île!

C'est dire que le rapport de force est costaud.

En Martinique, la grève est solidement engagé depuis le 5 février.

A la Réunion aujourd'hui, un collectif de syndicats et partis politiques vont se réunir pour élaborer une plateforme de revendications pour une augmentation des salaires, de défense de l'emploi.

Encore une fois, a quand le tour de la métropole?

Pour très bientôt, je l'espère.

Il est d'une importance capitale que tous ceux conscients que les travailleurs des DOM-TOM nous montrent la voie à suivre poussent en ce sens dans leur entreprises, syndicats et s'attellent dès aujourd'hui à jeter les bases d'un tel mouvement en métropole.

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Mon opinion sur le sujet.

3 possibilités :

- soit Jégo est débile profond et ne sait pas que le téléphone existe (faible probabilité tout de même, laissons-lui le bénéfice du doute :) ),

- soit il est étourdi (il a égaré son portable) et n'a pas d'ami qui lui en prêterait un (faible probabilité aussi vu l'entourage qui accompagne systématiquement les ministres)

- soit (enfin) il s'est foutu de la tronche du monde là-bas et a voulu rentré fissa malgré ses déclarations quand il a constaté qu'il ne pourrait pas régler le problème.

Si quelqu'un a d'autres hypothèses, je suis preneur. :Smiley_56:

L'hypothese veritable est qu'il ya désaccord entre Y.Jego et Matignon sur se qu'il convenait de lacher et donc une façon de mettre fin a un cout trop important.

200€ doivent representer entre 15 et 20% d'augmentation sur les petits salaires c'est beaucoup d'un coup et cela aura des repercution sur le cout de la vie au niveau local et en fin de compte sur l'emploi

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200€ doivent representer entre 15 et 20% d'augmentation sur les petits salaires c'est beaucoup d'un coup et cela aura des repercution sur le cout de la vie au niveau local et en fin de compte sur l'emploi

Mais enfin, en 1968, le SMIC a été augmenté de 50 % d'un coup ! ça a ruiné QUI ???????

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Ceux qui créent les richesses, ce sont les travailleurs.

(...)

Est ce que l'on pourrait, un truc de fou, tomber d'accord pour dire que sans patrons : pas trop de travailleurs ???

Je dis "pas trop"... car il y a quelques boites qui fonctionnent en auto-gestion, avec des salariés actionnaires, etc... mais tellement peu par rapport au nombre de "patrons" (je préfère "créateurs d'entreprise" c'est bizarre) qui en effet emploient des travailleurs.

Bref : encore une fois, nous sommes dans du discours stéréotypé (c'est ton principal défaut David Korner, sincèrement) alors que la réalité est bien différente au moins pour les Pme : des gens qui montent des boites, qui embauchent, dont les salariés - évidemment - produisent du revenu (ce pour quoi ils sont salariés et non bénévoles), etc etc....

Après je suis claire : il ne s'agit pas que les salariés soient la variable d'ajustement de l'économie. Mais un peu d'objectivité aussi...

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Mais enfin, en 1968, le SMIC a été augmenté de 50 % d'un coup ! ça a ruiné QUI ???????

J'aimerai bien connaitre le % de l'inflation dans les années qui ont suivies.

Mais il sera difficlle de trouver un chiffre et de le rapporter a cette seule mesure car a partir de 1973, il y a les chocs pétroliers et une montée progressive du chomage, montée du chomage du au cout de l'energie ou au cout du travail ? certainement des deux reste a savoir dans quel proportion

1967 = 2.85%

1968 = 2.77%

1969 = 3.74%

1970 = 3.91%

1971 = 4.34%

1972 = 5.44%

1973 = 6.96%

1974 = 12.63%

1975 = 12.84%

1976 = 9.19%

On voie bien que l'inflation commence a augmenter de 69 a 73 puis s'affole apres le choc pertolier a partir de 74

Modifié par RailWayS
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L'hypothese veritable est qu'il ya désaccord entre Y.Jego et Matignon sur se qu'il convenait de lacher et donc une façon de mettre fin a un cout trop important.

Oui ça, on l'a compris paraprès. Il n'empêche que ça aurait pu se régler par téléphone, vidéo-conférence ou un truc dans le genre et ça restait dans le feutré pour les gens à qui il avait promis d'ouvrir des négociations.

D'ailleurs quand l'histoire est sortie, il n'était pas le moins gêné.

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