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Le Web des Cheminots

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Invité Gnafron 1er

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salut Marc, moi je pense juste lui envoyer un autocollant de la CGT cheminot pour lui dire que l'on pense fort à lui en ce moment. :blush:lotrela

j'ai la tante de ma cousine de la belle souer de mon oncle qui est factrice à Montreuil .T'inquiètes les cartons d'invitation sont arrivé revoltages à la grande maison en verre (humour ) .Alors , il parait mais ne le répète pas .Ensuite , c'est Le Duigou qui les distribue à la cfdt , la cftc , l'unsa ,etc .Par contre Sud n'est pas invité , ils n'ont pas été sage .Fo aura un strapontin car ils ont été mi figue mi raisin ....

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j'ai la tante de ma cousine de la belle souer de mon oncle qui est factrice à Montreuil .T'inquiètes les cartons d'invitation sont arrivé revoltages à la grande maison en verre (humour ) .Alors , il parait mais ne le répète pas .Ensuite , c'est Le Duigou qui les distribue à la cfdt , la cftc , l'unsa ,etc .Par contre Sud n'est pas invité , ils n'ont pas été sage .Fo aura un strapontin car ils ont été mi figue mi raisin ....

Mode humour à la con on: et le représentant du syndicat autonome des agents de conduite, il sera caché dans la pièce montée? :blush:

OK, je sort!

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Mode humour à la con on: et le représentant du syndicat autonome des agents de conduite, il sera caché dans la pièce montée? revoltages

OK, je sort!

hé oui , je les avais oublié ceux là! sans rire , j'ai lu un tract d'une os ce matin (je ne sais plus laquelle , cftc je crois )qui expliquait que les os s'étaient barrées d'une réunion car la fgaac avait été invité pour parlé de la pénibilité des sédentaires .....Vous êtes sauvé !Donc si ils ne sont pas dans le gateau , ils sont dans le fruit !

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hé oui , je les avais oublié ceux là! sans rire , j'ai lu un tract d'une os ce matin (je ne sais plus laquelle , cftc je crois )qui expliquait que les os s'étaient barrées d'une réunion car la fgaac avait été invité pour parlé de la pénibilité des sédentaires .....Vous êtes sauvé !Donc si ils ne sont pas dans le gateau , ils sont dans le fruit !

ouai! Mal barré je crois, si y sont dans le fruit, j'suis spécialiste en produit phito sannitaires, sufit juste de pulvériser pour traiter. ( mode humour à la con suite )

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ouai! Mal barré je crois, si y sont dans le fruit, j'suis spécialiste en produit phito sannitaires, sufit juste de pulvériser pour traiter. ( mode humour à la con suite )

pour pulveriser ,il faut un karcher mais il est trop occupé , c'est son anniversaire !

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pour pulveriser ,il faut un karcher mais il est trop occupé , c'est son anniversaire !

J(aime pas le karcher, c'est trop fort comme pression, vaut mieux vaporiser, faire les choses tout en douceur.

Une autre idée de cadeau, une paire d'échasses pour voir la france d'en bas d'encore plus haut.

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  • 1 mois plus tard...

sa vie , ....ici bigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisousbigbisous

Il y a 60 ans mourrait le Mahatma Gandhi .Celui , que les pécialiste appelle "le père de l'inde " .Juste une petite pensée pour ce pacifiste !

Marc M, un pacifiste ? Tiens donc . Surprenant :blush:

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Marc M, un pacifiste ? Tiens donc . Surprenant bigbisous

Précise ...j'ai peut être loupé un épisode ! pacifiste = car il a préché la non violence , non ?

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Précise ...j'ai peut être loupé un épisode ! pacifiste = car il a préché la non violence , non ?

Tout à fait Marco. Moi qui te prenais pour un gros bras bigbisous

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Invité ___Compte_Supp___01

Tout à fait Marco. Moi qui te prenais pour un gros bras bigbisous

Si tu as des infos ... je suis preneur!

Moi qui pensais que Gandhi était un Saint Homme...je suis prêt à me remettre en question si c'est fondé

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  • 8 mois plus tard...

Catastrophe ferroviaire de Saint-Michel-de-Maurienne

La catastrophe ferroviaire de Saint-Michel-de-Maurienne fit 425 morts (le chiffre reste encore indéterminé) dans la nuit du 12 au 13 décembre 1917 à la suite du déraillement d'un train de permissionnaires en surcharge.

Dans la nuit du 12 au 13 décembre 1917, un train de permissionnaires venus d'Italie, heureux de retrouver la Savoie après avoir aidé pendant plus d'un mois les Italiens à récupérer les terres perdues lors de la bataille de Caporetto du 24 octobre, quitte la gare de Modane où 2 rames supplémentaires lui ont été raccordées. Mais le voyage qui devait les reconduire dans leur famille pour les fêtes de fin d'année s'achève tragiquement à Saint-Michel-de-Maurienne.

Le convoi de 19 wagons (350 mètres et 526 tonnes), transportant officiellement quelques 982 « Poilus » est devenu incontrôlable, lancé à la vitesse de 150 km/h.

En fait, le convoi transportait beaucoup plus de soldats et se trouvait en surcharge pour la pente forte (33 pour mille) de la voie entre Modane et Saint-Michel-de-Maurienne. Il comportait trop de wagons par rapport à la capacité de freinage de la locomotive. Un tel convoi aurait dû être pris en charge par deux locomotives. Or, la deuxième locomotive prévue a été réquisitionnée pour un train de munitions par l'officier en charge de la régulation. Le conducteur ayant refusé de prendre le départ en raison des risques en gare de Modane a été directement menacé de représailles par l'officier qui l'a obligé à faire démarrer le convoi.

La première voiture déraille à 100 km/h (tronçon alors limité à 40 km/h) et l'attelage se rompt, à 1 300 mètres seulement de la gare de Saint-Michel-de-Maurienne. Les wagons de bois, encastrés les uns dans les autres prennent feu rapidement à cause des bougies qui avaient été allumées pour pallier l'électricité déjà déficiente et brûlent jusqu'au matin. Le feu est également attisé par les grenades et les munitions qu'ont ramené en cachette les permissionnaires.

Le mécanicien de la locomotive, trop occupé sur ses freins défaillants ne remarque l'absence des voitures qu'à son arrivée à Saint-Jean-de-Maurienne où il est finalement parvenu à stopper sa locomotive et son tender. Lui et les soldats écossais attendant leur départ pour Modane (2 divisions britanniques avaient également été envoyées sur le front italien en octobre), ainsi que les employés de chemin de fer des deux gares sont immédiatement partis en reconnaissance pour tenter de sauver ce qu'il pouvait rester de survivants. Leur entreprise a notamment été rendue difficile par le passage escarpé dans lequel le convoi se trouvait, le brasier des voitures, mais aussi la hauteur des débris superposés.

De l'amas de ferraille, 425 corps sont officiellement retirés, affreusement mutilés puis inhumés dans un terrain communal contigu au cimetière.

Au même titre que l'hôpital militaire de Saint-Jean-de-Maurienne, l'usine toute proche de La Saussaz est réquisitionnée pour soigner les blessés.

Cet accident, qui demeure aujourd'hui encore la plus grande catastrophe ferroviaire française, est le souvenir le plus tragique de la Grande Guerre (1914-1918) dans la région.

Cet accident est resté classé secret militaire pendant de nombreuses années après la fin de la guerre et aucun des principaux agents mis en cause ne sera jugé coupable.

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Catastrophe ferroviaire de Saint-Michel-de-Maurienne

La catastrophe ferroviaire de Saint-Michel-de-Maurienne fit 425 morts (le chiffre reste encore indéterminé) dans la nuit du 12 au 13 décembre 1917 à la suite du déraillement d'un train de permissionnaires en surcharge.

Dans la nuit du 12 au 13 décembre 1917, un train de permissionnaires venus d'Italie, heureux de retrouver la Savoie après avoir aidé pendant plus d'un mois les Italiens à récupérer les terres perdues lors de la bataille de Caporetto du 24 octobre, quitte la gare de Modane où 2 rames supplémentaires lui ont été raccordées. Mais le voyage qui devait les reconduire dans leur famille pour les fêtes de fin d'année s'achève tragiquement à Saint-Michel-de-Maurienne.

Le convoi de 19 wagons (350 mètres et 526 tonnes), transportant officiellement quelques 982 « Poilus » est devenu incontrôlable, lancé à la vitesse de 150 km/h.

En fait, le convoi transportait beaucoup plus de soldats et se trouvait en surcharge pour la pente forte (33 pour mille) de la voie entre Modane et Saint-Michel-de-Maurienne. Il comportait trop de wagons par rapport à la capacité de freinage de la locomotive. Un tel convoi aurait dû être pris en charge par deux locomotives. Or, la deuxième locomotive prévue a été réquisitionnée pour un train de munitions par l'officier en charge de la régulation. Le conducteur ayant refusé de prendre le départ en raison des risques en gare de Modane a été directement menacé de représailles par l'officier qui l'a obligé à faire démarrer le convoi.

La première voiture déraille à 100 km/h (tronçon alors limité à 40 km/h) et l'attelage se rompt, à 1 300 mètres seulement de la gare de Saint-Michel-de-Maurienne. Les wagons de bois, encastrés les uns dans les autres prennent feu rapidement à cause des bougies qui avaient été allumées pour pallier l'électricité déjà déficiente et brûlent jusqu'au matin. Le feu est également attisé par les grenades et les munitions qu'ont ramené en cachette les permissionnaires.

Le mécanicien de la locomotive, trop occupé sur ses freins défaillants ne remarque l'absence des voitures qu'à son arrivée à Saint-Jean-de-Maurienne où il est finalement parvenu à stopper sa locomotive et son tender. Lui et les soldats écossais attendant leur départ pour Modane (2 divisions britanniques avaient également été envoyées sur le front italien en octobre), ainsi que les employés de chemin de fer des deux gares sont immédiatement partis en reconnaissance pour tenter de sauver ce qu'il pouvait rester de survivants. Leur entreprise a notamment été rendue difficile par le passage escarpé dans lequel le convoi se trouvait, le brasier des voitures, mais aussi la hauteur des débris superposés.

De l'amas de ferraille, 425 corps sont officiellement retirés, affreusement mutilés puis inhumés dans un terrain communal contigu au cimetière.

Au même titre que l'hôpital militaire de Saint-Jean-de-Maurienne, l'usine toute proche de La Saussaz est réquisitionnée pour soigner les blessés.

Cet accident, qui demeure aujourd'hui encore la plus grande catastrophe ferroviaire française, est le souvenir le plus tragique de la Grande Guerre (1914-1918) dans la région.

Cet accident est resté classé secret militaire pendant de nombreuses années après la fin de la guerre et aucun des principaux agents mis en cause ne sera jugé coupable.

salut

une plaque commémorative a éte placé sur le pont ou a eu lieu la catastrophe

a chaque fois que l'on descend avec un yoyo ,c'est con ,mais j'y pense !............

a+

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salut

une plaque commémorative a éte placé sur le pont ou a eu lieu la catastrophe

a chaque fois que l'on descend avec un yoyo ,c'est con ,mais j'y pense !............

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également !Triste page d'histoire .Pas !

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Triste époque. Je ne connaissais pas cette histoire.

De nous jours je vois mal 425 morts passer en "secret défense" et même à cette époque, entre gens de vallée et cheminots qui sillonnent la france, ça devait être un secret de polichinelle : tout le monde sait mais on en parle pas.

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Triste époque. Je ne connaissais pas cette histoire.

De nous jours je vois mal 425 morts passer en "secret défense" et même à cette époque, entre gens de vallée et cheminots qui sillonnent la france, ça devait être un secret de polichinelle : tout le monde sait mais on en parle pas.

Et puis comme c'était en temps de guerre........................;;;;;

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Bonjour à tous et à toutes ,bonne lecture !

Le 8 décembre 1972 , le 1er TGV 001 battait le record du monde sur rail .

TGV 001

La technique :

rame automotrice thermique

Série TGV 001

Entreprise ferroviaire SNCF

Constructeur Alsthom

Numérotation T 001/002

Année de construction 1972

Effectif en service 0 (2005)

Vitesse maximale 318 km/h

Longueur hors-tout 92,900 m

Composition M1 + 3R + M2

Motorisation 4 turbines Turmo III G

puis 4 Turmo X

traction : 2 TAO 670 par essieu

Puissance 2 x 1880 kW puis 2 x 2200 kW

Carburant kérosène

Transmission alternateur principal et auxiliaire

triphasé-continu

Écartement standard

Capacité 1re : 34

2e : 56

Masse à vide 192 t

Le TGV 001, turbotrain expérimental mis en service en 1972, a été construit par Alsthom et conçu en collaboration avec la SNCF pour explorer la plage de vitesses comprises entre 250 et 300 km/h dans la perspective de la création d'un réseau de lignes à grande vitesse.

À l'origine, deux rames devaient être construites, mais une seule vit le jour. La seconde devait être une version pendulaire équipée d'un système de pendulation active, mais elle fut abandonnée face à des difficultés techniques de réalisation.

Description

Ce turbotrain, de conception totalement différente de ceux qui l'ont précédé (ETG, RTG), était formé d'une rame à adhérence totale (tous les essieux moteurs) composée de deux motrices et de trois remorques intermédiaires.

Sa conception technique (à l'exception de la motorisation par turbines à gaz) et son esthétique nouvelle avec ses formes aérodynamiques ont été reprises pour les rames TGV de série qui furent mises en service à partir de 1981.

Tous les essieux étaient équipés de moteurs électriques, avec l'avantage d'une faible charge à l'essieu et d'une puissance massique élevée.

La traction électrique permettait aussi le freinage dynamique, particulièrement efficace à vitesse élevée. Chaque motrice était équipée de deux turbines (TURMO III G puis TURMO X, équipant aussi les hélicoptères Super Frelons de Sud Aviation) qui tournaient à vitesse constante. Elles commandaient un réducteur de vitesse entraînant un alternateur. Outre la commande des turbines, les motrices étaient dotées des équipement de commande des moteurs de traction, de la signalisation et des équipements de freinage, etc.

Le TGV 001 était une rame articulée, les caisses adjacentes reposant sur un bogie commun. Cette disposition lui donnait une plus grande stabilité (par le couplage dynamique des deux caisses) et laissait la place à un second étage de suspension pneumatique placé au niveau du centre de gravité, réduisant ainsi le roulis dans les courbes.

Service

Cette rame, qui a longtemps détenu le record du monde de vitesse ferroviaire en traction thermique (318 km/h), n'a jamais été utilisée en service commercial.

Elle a fait partie d'un vaste programme de recherches sur les grandes vitesses ferroviaires, recouvrant tous les aspects techniques, notamment la traction, le comportement dynamique des véhicules, le freinage, l'aérodynamique, la signalisation.

Autres caractéristiques techniques

Composition de la rame (cinq véhicules)

2 motrices identiques : TDu-001 et TDu-002

3 remorques : TRAu-20701 (aménagée en 1re classe), TRAu-500001 (voiture laboratoire), TRBu-30701 (aménagée en 2e classe)

Motorisation :

chaque motrice est équipée de deux turbines Turmo III G (dérivées de celles équipant les RTG) ; le groupe électrogène comprend deux alternateurs, principal et auxiliaire ;

transmission électrique en triphasé-continu ;

moteurs de traction : deux moteurs par essieu ;

Freinage : la rame dispose de quatre type de freins :

frein rhéostatique (moteurs) ;

frein à courants de Foucault (monté sur le bout des arbres moteurs), c'est le système de freinage de base ;

frein magnétique (patins appuyant sur le rail), c'est le freinage d'urgence ;

frein à sabots à commande oléopneumatique (sabots à semelle de fonte appuyant sur un côté des roues), c'est le freinage d'arrêt.

La rame est climatisée.

Historique

Le TGV 001, sorti d'usine le 24 mars 1972, commence ses essais en ligne 4 avril de la même année. Il effectuera 5227 marches d'essais, parcourant au total près d'un demi-million de kilomètres et dépassant 175 fois la vitesse de 300 km/h.

Le 8 décembre 1972, au cours d'une marche d'essai sur la ligne des Landes, le TGV 001 atteint la vitesse de 318 km/h, record mondial de vitesse pour un train à traction thermique.

Les essais ont officiellement cessé le 19 juin 1978.

Motrices conservées (2005)

T 001 : Bischheim (Bas-Rhin),

T 002 : Belfort (Territoire de Belfort).

La motrice de Belfort est exposée au bord des sorties d'autoroutes menant aux ateliers de maintenance de ces deux villes.[réf. nécessaire]

Celle de Bischheim est exposée au bord de l'autoroute sur un échangeur

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