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katamiaw

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Je suis aussi surpris d'un tel levé de bouclier alors que rien n'a été dit contre l'autre extrême; le NPA ,avec notamment, sa volonté d'interdire la propriété privée, pourtant là aussi beaucoup d'ouvriers qui ont achetés leur maison ou leur appartenant seraient touchés, des années d'effort pour rien.

Si tu peux nous donner une source sur un document NPA avec un lien internet, sois en remercié d'avance.

Modifié par Dom Le Trappeur
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Bonjour

Le NPA n'est pas contre la propriété privée en soi, mais contre la propriété des grands moyens de production. Il faut être précis quand on critique un programme, et oui en général, étayer par des sources aide.

La logique du système contribue par là même à créer les conditions de son renversement, d'une transformation révolutionnaire de la société, en démontrant quotidiennement à quel point il est vrai que le bien-être, la démocratie, la paix sont incompatibles avec la propriété privée des grands moyens de production
Modifié par Railfan
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Le programme et les fiches du parti de Gauche (Jean-Luc Mélenchon)

http://programme.lep...&id=1&Itemid=10

http://programme.lepartidegauche.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=134:132-le-retour-au-service-public-du-rail-pour-le-ferroutage-et-le-transport-des-voyageurs&catid=6:chapitre-3--la-planification-ecologique&Itemid=10

Modifié par Dom Le Trappeur
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Pour moi, le NPA est tout aussi nocif que le FN, ce sont deux partis qui n'ont pas la démocratie dans leur gène. Les deux sont aussi nuisble l'un que l'autre.

Je serais bien en mal de donner un lien en ce qui concerne le NPA et la proprieté privée, c'est une déclaration que j'avais entendu dans la bouche de Besancenot voici quelques années sur une radio FM.

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Tu as dû oublier qu'il parlait des grands moyens de production à ce moment ;)

De même, tu as dû oublier que le NPA n'est en rien anti-démocratique, je peux là encore te citer leur programme... ou te re-citer ce que j'ai cité plus haut:

La logique du système contribue par là même à créer les conditions de son renversement, d'une transformation révolutionnaire de la société, en démontrant quotidiennement à quel point il est vrai que le bien-être, la démocratie, la paix sont incompatibles avec la propriété privée des grands moyens de production

Je comprends s'il t'inquiète, mais ne le sois pas pour des motifs erronés.

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oui moi aussi j'aimerais quelques arguments sur la dangerosité du NPA et de la gauche, la vraie, en general. Et si possible en evitant les logorrhées sur la Corée du Nord, Staline etc. et les reaction epidermiques voire allergiques.

Et un argumentaire sur la dangerosité du FN, ou du nationalisme, le vrai, en général, on peut avoir ?

Modifié par krisamv
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Et un argumentaire sur la dangerosité du FN, ou du nationalisme, le vrai, en général, on peut avoir ?

On pourrait commencer par etudier en profondeur les statuts, les methodes et l'organisation du FN, de ses "services de sécurité", ca donne une idée de ce qu'il pourrait se passer une fois en place. Après on pourrait parler d'humanisme mais c'en dépasse certains.

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On pourrait commencer par etudier en profondeur les statuts, les methodes et l'organisation du FN, de ses "services de sécurité", ca donne une idée de ce qu'il pourrait se passer une fois en place. Après on pourrait parler d'humanisme mais c'en dépasse certains.

On pourrait aussi citer une parole du grand De Gaulle qui doit se retourner dans sa tombe : (je ne sais pas si cette citation restera longtemps, même si elle vient d'un homme que beaucoup louent, nul doute que els bien-pensants et les collabos en seront choqués) :

"C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne."

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On pourrait aussi citer une parole du grand De Gaulle qui doit se retourner dans sa tombe : (je ne sais pas si cette citation restera longtemps, même si elle vient d'un homme que beaucoup louent, nul doute que els bien-pensants et les collabos en seront choqués) :

"C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne."

Voici donc l'argumentaire...

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Voici donc l'argumentaire...

Je me permettrai également de mettre une réflexion de l'écrivain Jean Raspail, réflexion qui lui a valu les foudres des pourfendeurs de la liberté d'expression :

IDÉES « Qu'est-ce qu'être français aujourd'hui ? » Une série du « Figaro »

Jean Raspail :

LA PATRIE TRAHIE PAR LA RÉPUBLIQUE

J'AI tourné autour de ce thème comme un maître-chien mis en présence d'un colis piégé. Difficile de l'aborder de front sans qu'il vous explose à la figure. Il y a péril de mort civile. C'est pourtant l'interrogation capitale. J'ai hésité. D'autant plus qu'en 1973, en publiant Le Camp des saints, j'ai déjà à peu près tout dit là-dessus. Je n'ai pas grand-chose à ajouter, sinon que je crois que les carottes sont cuites.

Car je suis persuadé que notre destin de Français est scellé, parce qu'« ils sont chez eux chez moi » (Mitterrand), au sein d'une « Europe dont les racines sont autant musulmanes que chrétiennes » (Chirac), parce que la situation est irréversible jusqu'au basculement définitif des années 2050 qui verra les « Français de souche » se compter seulement la moitié la plus âgée de la population du pays, le reste étant composé d'Africains, Maghrébins ou Noirs et d'Asiatiques de toutes provenances issus du réservoir inépuisable du tiers monde, avec forte dominante de l'islam, djihadistes et fondamentalistes compris, cette danse-là ne faisant que commencer.

La France n'est pas seule concernée. Toute l'Europe marche à la mort. Les avertissements ne manquent pas rapport de l'ONU (qui s'en réjouit), travaux incontournables de Jean-Claude Chesnais et Jacques Dupâquier, notamment , mais ils sont systématiquement occultés et l'Ined pousse à la désinformation. Le silence quasi sépulcral des médias, des gouvernements et des institutions communautaires sur le krach démographique de l'Europe des Quinze est l'un des phénomènes les plus sidérants de notre époque. Quand il y a une naissance dans ma famille ou chez mes amis, je ne puis regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour lui dans l'incurie des « gouvernances » et qu'il lui faudra affronter dans son âge d'homme...

Sans compter que les « Français de souche », matraqués par le tam-tam lancinant des droits de l'homme, de « l'accueil à l'autre », du « partage » cher à nos évêques, etc., encadrés par tout un arsenal répressif de lois dites « antiracistes », conditionnés dès la petite enfance au « métissage » culturel et comportemental, aux impératifs de la « France plurielle » et à toutes les dérives de l'antique charité chrétienne, n'auront plus d'autre ressource que de baisser les frais et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule « citoyen » du Français de 2050. Ne désespérons tout de même pas. Assurément, il subsistera ce qu'on appelle en ethnologie des isolats, de puissantes minorités, peut-être une quinzaine de millions de Français et pas nécessairement tous de race blanche qui parleront encore notre langue dans son intégrité à peu près sauvée et s'obstineront à rester imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu'elles nous ont été transmises de génération en génération. Cela ne leur sera pas facile.

Face aux différentes « communautés » qu'on voit se former dès aujourd'hui sur les ruines de l'intégration (ou plutôt sur son inversion progressive : c'est nous qu'on intègre à « l'autre », à présent, et plus le contraire) et qui en 2050 seront définitivement et sans doute institutionnellement installées, il s'agira en quelque sorte je cherche un terme approprié d'une communauté de la pérennité française. Celle-ci s'appuiera sur ses familles, sa natalité, son endogamie de survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de solidarité, peut-être même ses zones géographiques, ses portions de territoire, ses quartiers, voire ses places de sûreté et, pourquoi pas, sa foi chrétienne, et catholique avec un peu de chance si ce ciment-là tient encore.

Cela ne plaira pas. Le clash surviendra un moment ou l'autre. Quelque chose comme l'élimination des koulaks par des moyens légaux appropriés. Et ensuite ?

Ensuite la France ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que par des bernard-l'ermite qui vivront dans des coquilles abandonnées par les représentants d'une espèce à jamais disparue qui s'appelait l'espèce française et n'annonçait en rien, par on ne sait quelle métamorphose génétique, celle qui dans la seconde moitié de ce siècle se sera affublée de ce nom. Ce processus est déjà amorcé.

Il existe une seconde hypothèse que je ne saurais formuler autrement qu'en privé et qui nécessiterait auparavant que je consultasse mon avocat, c'est que les derniers isolats résistent jusqu'à s'engager dans une sorte de reconquista sans doute différente de l'espagnole mais s'inspirant des mêmes motifs. Il y aurait un roman périlleux à écrire là-dessus. Ce n'est pas moi qui m'en chargerai, j'ai déjà donné. Son auteur n'est probablement pas encore né, mais ce livre verra le jour à point nommé, j'en suis sûr...

Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de perplexité navrée, c'est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d'hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n'ose dire cyniquement, à l'immolation d'une certaine France (évitons le qualificatif d'éternelle qui révulse les belles consciences) sur l'autel de l'humanisme utopique exacerbé. Je me pose la même question à propos de toutes ces associations omniprésentes de droits à ceci, de droits à cela, et toutes ces ligues, ces sociétés de pensée, ces officines subventionnées, ces réseaux de manipulateurs infiltrés dans tous les rouages de l'Etat (éducation, magistrature, partis politiques, syndicats, etc.), ces pétitionnaires innombrables, ces médias correctement consensuels et tous ces « intelligents » qui jour après jour et impunément inoculent leur substance anesthésiante dans l'organisme encore sain de la nation française.

Même si je peux, à la limite, les créditer d'une part de sincérité, il m'arrive d'avoir de la peine à admettre que ce sont mes compatriotes. Je sens poindre le mot renégat, mais il y a une autre explication : ils confondent la France avec la République. Les « valeurs républicaines » se déclinent à l'infini, on le sait jusqu'à la satiété, mais sans jamais de référence à la France. Or la France est d'abord une patrie charnelle. En revanche, la République, qui n'est qu'une forme de gouvernement, est synonyme pour eux d'idéologie, idéologie avec un grand « I », l'idéologie majeure. Il me semble, en quelque sorte, qu'ils trahissent la première pour la seconde.

Parmi le flot de références que j'accumule en épais dossiers à l'appui de ce bilan, en voici une qui sous des dehors bon enfant éclaire bien l'étendue des dégâts. Elle est extraite d'un discours de Laurent Fabius au congrès socialiste de Dijon, le 17 mai 2003 : « Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d'une jeune Française issue de l'immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République... »

Puisque nous en sommes aux citations, en voici deux, pour conclure : « Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra endiguer le raz de marée constitué par les millions d'êtres humains qui partiront un jour de la partie méridionale et pauvre du monde, pour faire irruption dans les espaces relativement ouverts du riche hémisphère septentrional, en quête de survie. » (Président Boumediene, mars 1974.)

Et celle-là, tirée du XXe chant de l'Apocalypse : « Le temps des mille ans s'achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée. »

Jean RASPAIL

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d'accord d'accord krisamv, copie colle autant que tu veux, des grands hommes, des petits nains, mais à part ca? On debat ou on cherche des references dans tous les siecles? tu sais on peut on trouver à la pelle des deux cotés

Par exemple, le nationalisme ca peut donner ca:

10 mai 1944: au micro de Radio-Paris, Philippe Henriot, éditorialiste au service de la propagande, donc des Allemands, attaque Pierre Dac en évoquant ses origines juives et en rappelant qu'il s'appelle en réalité André Isaac et qu'il est le fils de Salomon et de Berthe Kahn

"... Dac s'attendrissant sur la France, c'est d'une si énorme cocasserie qu'on voit bien qu'il ne l'a pas fait exprès. Qu'est-ce qu'Isaac, fils de Salomon, peut bien connaître de la France, à part la scène de l'ABC où il s'employait à abêtir un auditoire qui se pâmait à l'écouter ? La France, qu'est-ce que ça peut bien signifier pour lui ?..."

Modifié par Chamaille
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d'accord d'accord krisamv, copie colle autant que tu veux, des grands hommes, des petits nains, mais à part ca? On debat ou on cherche des references dans tous les siecles? tu sais on peut on trouver à la pelle des deux cotés

plus simplement, ce que je trouve affligeant dans ce débat, c'est de voir à quel point deux petites lettres peuvent provoquer autant de panique et d'éruptions cutanées, alors qu'au final ce que la plupart d'entre vous connaissent du FN, c'est..........ce que ces chers médias en disent, ces chers médias sur lesquels vous passez tant de temps à cracher quand ça vous arrange :cool:

Modifié par krisamv
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d'accord d'accord krisamv, copie colle autant que tu veux, des grands hommes, des petits nains, mais à part ca? On debat ou on cherche des references dans tous les siecles? tu sais on peut on trouver à la pelle des deux cotés

Par exemple, le nationalisme ca peut donner ca:

10 mai 1944: au micro de Radio-Paris, Philippe Henriot, éditorialiste au service de la propagande, donc des Allemands, attaque Pierre Dac en évoquant ses origines juives et en rappelant qu'il s'appelle en réalité André Isaac et qu'il est le fils de Salomon et de Berthe Kahn

"... Dac s'attendrissant sur la France, c'est d'une si énorme cocasserie qu'on voit bien qu'il ne l'a pas fait exprès. Qu'est-ce qu'Isaac, fils de Salomon, peut bien connaître de la France, à part la scène de l'ABC où il s'employait à abêtir un auditoire qui se pâmait à l'écouter ? La France, qu'est-ce que ça peut bien signifier pour lui ?..."

Quel est le rapport entre nationalisme et antisémitisme ?

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Nom de Zeus, dites-moi que c'est faux, dites-moi que c'est faux! ...

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2011/03/16/libye-un-fils-kadhafi-dit-avoir-finance-sarkozy-lelysee-dement/

LIBYE - Un fils Kadhafi dit avoir financé Sarkozy, l’Elysée dément Les invectives continuent entre le clan Kadhafi et la présidence française. Après les menaces de la Libye de révéler un “grave secret” sur Nicolas Sarkozy, restées sans suite, c’est au tour d’un des fils de Mouammar Kadhafi de menacer le président français, au moment où Paris est justement en train de chercher l’assentiment international pour mener une action militaire contre le régime libyen, qui écrase dans le sang la révolte dans le pays. Le clan Kadhafi semble clairement lancé dans une campagne de dénigrement.

Dans un entretien à la chaîne Euronews, Saïf Al-Islam accuse : “Il faut que Sarkozy rende l’argent qu’il a accepté de la Libye pour financer sa campagne électorale. C’est nous qui avons financé sa campagne, et nous en avons la preuve. Nous sommes prêts à tout révéler.”

Contacté par Le Monde.fr, L’Elysée réagit : “On dément, bien évidemment.”

Saïf Al-Islam ne produit aucune preuve, mais invective Nicolas Sarkozy. “La première chose que l’on demande à ce clown, c’est de rendre l’argent au peuple libyen. Nous lui avons accordé une aide afin qu’il œuvre pour le peuple libyen, mais il nous a déçus. Nous avons tous les détails, les comptes bancaires, les documents, et les opérations de transfert. Nous révélerons tout prochainement.”

Quel crédit porter à ces accusations graves ? La dernière fois, malgré ses menaces concernant un supposé “grave secret”, le clan Kadhafi n’avait rien avancé de concret. Depuis plusieurs jours, Paris est à la pointe des négociations diplomatiques pour décider d’une éventuelle intervention militaire

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Je ne comprends plus ce qu'est le FN là :blink:koiquesse

Un candidat FN menacé d'exclusion AFP

17/03/2011 | Mise à jour : 16:53 Réagir

Un candidat Front national aux élections cantonales à Strasbourg qui s'était déclaré favorable au vote des étrangers, a estimé aujourd'hui avoir été "victime d'une cabale" après avoir été menacé d'exclusion par la fédération FN du Bas-Rhin.

"La majeure partie de mes propos ont été déformés, j'ai été l'objet d'une cabale", a affirmé Marcel Collot, qui se présente dans le canton de Strasbourg-6.Dans un article des Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA) paru hier, le candidat, qui s'est converti à l'islam en épousant une musulmane, déclarait regretter "que les résidents étrangers n'aient pas le droit de vote en France alors qu'ils ont le devoir fiscal".

Marcel Collot a "trahi" les idées du mouvement frontiste et "fera probablement l'objet d'une procédure d'exclusion s'il persiste dans ses thèses", avait réagi dans un communiqué sa fédération départementale, en rappelant que "le FN est contre toute forme de droit de vote pour les étrangers y compris aux élections locales".

"Je soutiens les thèses du Front national, je suis contre le vote des étrangers mais il y a eu un quiproquo", a repris Marcel Collot dont c'est la première expérience en politique.

La journaliste des DNA a de son côté maintenu les propos de Marcel Collot: "Je ne l'ai pas manipulé, j'ai même minimisé ses propos", a-t-elle dit.

Le secrétaire départemental du FN, Christian Cotelle, s'est montré plus clément jeudi après s'être entretenu au téléphone avec Marcel Collot. Il a souhaité oublier cette "erreur de communication".

Modifié par Railfan
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Mediator : l'AVIM (victimes) "sur la même longueur d'onde" que le ministre

BORDEAUX - Le président de l'association d'aide aux Victimes du Mediator et de l'Isoméride (AVIM) s'est dit dimanche soir "sur la même longueur d'onde" que le ministre de la Santé Xavier Bertrand, qui demande au laboratoire Servier d'indemniser intégralement les victimes du Mediator.

"Le ministre défend les victimes d'une façon qui me séduit parfaitement", a indiqué à l'AFP le Dr Dominique-Michel Courtois, estimant "qu'il n'y a que cette position qui puisse être acceptable pour les victimes".

"On attend de la fermeté de M. Bertrand et on est tout à fait sur la même longueur d'onde", a-t-il affirmé.

Pour l'AVIM, il n'est en effet "pas question que ce soit la solidarité nationale, c'est-à-dire tous les Français, qui paient pour ce fonds, mais le laboratoire Servier, et seulement lui", a poursuivi M. Courtois.

L'association exige depuis le début de cette affaire un fonds d'indemnisation auquel toutes les victimes du Mediator puissent avoir accès, "sans distinction de posologie, de la façon dont le médicament a été pris - pour maigrir ou contre le diabète - et quelle que soit la pathologie", a-t-il rappelé.

Selon l'AVIM, ce fonds "devrait se déterminer sur dossiers, avec une étude des échographies cardiaques des patients et dans des délais similaires à ceux des victimes de l'amiante, six mois pour l'étude du dossier et deux mois pour une proposition financière".

M. Courtois "s'attendait" à ce que le laboratoire Servier ne veuille pas assumer tous les préjudices financiers.

"Il a d'abord reconnu, ce qui est une bonne chose, qu'il y avait des victimes du Mediator, puis il s'aperçoit de l'ampleur du +désastre financier+ et maintenant je crains qu'il ne veuille indemniser qu'une partie des victimes à son taux personnel, en disant, +les autres, si elles ne sont pas contentes qu'elles aillent en procédure, et si je suis condamné je paierai+".

"C'est-à-dire", a-t-il résumé, "qu'il veut repousser de plusieurs années l'échance financière qui à mon avis est inéluctable".

(©AFP / 27 mars 2011 18h58)

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Les religions de France contre le débat sur la laïcité

Les représentants des six grandes religions de France se prononcent dans une tribune commune contre le débat sur la laïcité voulu par l'UMP et à l'origine de polémiques jusque dans la majorité.

Ce débat, qui se traduira par une convention organisée par le parti majoritaire programmée pour le 5 avril, vient de donner lieu à une vive passe d'armes entre le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, et le Premier ministre, François Fillon.

Les six religions, réunies au sein de la Conférence des responsables de culte en France (CRCF), désapprouvent la tenue de ce débat dans une tribune que publie mercredi Le Parisien.

Les représentants des cultes catholique, protestant, orthodoxe, juif, musulman et bouddhiste appellent dans le texte "à ne pas dilapider ce précieux acquis" que représente selon eux la laïcité.

Ils recommandent "pendant cette période pré-électorale, de bien garder sereinement le cap en évitant amalgames et risques de stigmatisation".

"Le débat est toujours signe de santé et de vitalité (...) mais un parti politique, fût-il majoritaire, est-il la bonne instance pour le conduire seul ?", demandent-ils.

Jean-François Copé a reproché lundi soir sur Canal+ à François Fillon de ne pas "jouer collectif" à propos du débat sur islam et laïcité voulu par Nicolas Sarkozy, qui est critiqué par l'opposition mais divise aussi l'UMP.

Patrick Vignal

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http://www.leparisien.fr/societe/laicite-les-six-religions-se-prononcent-ensemble-contre-le-debat-29-03-2011-1383927.php

«Débat sur la laïcité ?

Sérénité, attention et réflexion appliquées, recommandent les responsables de culte !

La Conférence des Responsables de Culte en France a été créée le 23 novembre dernier et elle regroupe six instances responsables du Bouddhisme, des Églises chrétiennes (Catholique, Orthodoxe, Protestante), de l’Islam et du Judaïsme. Cette initiative est justifiée par la volonté d’approfondir notre connaissance mutuelle, par le sentiment de contribuer ensemble à la cohésion de notre société dans le respect des autres courants de pensée, et par la reconnaissance de la laïcité comme faisant partie du bien commun de notre société.

La laïcité est un des piliers de notre pacte républicain, un des supports de notre démocratie, un des fondements de notre vouloir vivre ensemble. Veillons à ne pas dilapider ce précieux acquis. Il nous parait capital, pendant cette période pré-électorale, de bien garder sereinement le cap en évitant amalgames et risques de stigmatisation.

Nous signons ensemble cette tribune sans aucun esprit polémique ou partisan. Une parole commune nous semble néanmoins nécessaire. Notre cohésion au sein de la Conférence que nous avons fondée, est significative dans notre société française. Elle a été rendue possible grâce notamment au climat de coopération instauré entre les religions, que la "laïcité à la française" et ses évolutions depuis plus d'un siècle ont permis.

Mais cette cohésion ne signifie pas pour autant uniformité ! Elle ne nous engage nullement en faveur d'un quelconque amalgame syncrétiste ou d’un nivellement de nos positions individuelles et celles des cultes que nous représentons. Nous travaillons ensemble dans la confiance, en intégrant nos histoires et identités respectives. Nous continuons à avoir des approches différenciées sur telle ou telle question, sans pour autant faire de nos différences des facteurs d'opposition. Nous sommes déterminés à réfléchir et à œuvrer ensemble sur la durée, en relation avec les autorités et les forces vives de notre pays, afin que le facteur religieux y soit un élément de paix et de progrès.

L'accélération des agendas politiques risque, à la veille de rendez-vous électoraux importants pour l’avenir de notre pays, de brouiller cette perspective et de susciter des confusions qui ne peuvent qu'être préjudiciables. Nous en sommes conscients. Cela ne doit pas nous dissuader pour autant de rappeler l'essentiel quand il le faut. Nous restons très attentifs aux évolutions profondes de notre société, notamment celles qui concernent les religions, dans le respect du cadre de la République. Ces évolutions appellent parfois des adaptations voire des améliorations du cadre juridique et règlementaire de l’expression et de la vie des cultes en France. Nous ne manquerons pas d’être une force positive de propositions dans ce sens.

Faut-il dans le contexte actuel un débat sur la laïcité ? Le débat est toujours signe de santé et de vitalité. Le dialogue est toujours une nécessité. Il a un rôle majeur dans une société libre, démocratique et respectueuse de la personne humaine. Mais un parti politique, fût-il majoritaire, est-il la bonne instance pour le conduire seul ? Ce ne sont ni les débats, ni les travaux qui manquent dans ce domaine ! La Loi 1905 est déjà plus que centenaire. Elle a permis d’apporter depuis lors des solutions à des questions nées de nouvelles situations et des évolutions de notre société dans un monde de plus en plus rapide. Tous les cultes adhèrent sans réserve à ses principes fondamentaux tels qu’ils s’expriment en particulier dans ses deux premiers articles. Mais les modalités d’application de ces principes restent toujours perfectibles. Faut-il recenser tous les colloques et autres séminaires qui ont abordé en long et en large la question de la laïcité et de ses applications dans notre pays depuis des années? Faut-il rappeler, dans la période récente, les travaux étendus et exhaustifs de la Commission présidée par le Professeur Jean Pierre MACHELON qui ont donné lieu à un rapport sur les « relations des cultes avec les pouvoirs publics » remis au ministre de l’intérieur le 20 septembre 2006 ? Ce rapport avait abordé d’une manière approfondie les différents aspects liés à l’exercice du culte en France dont celui du « support institutionnel » de son exercice dans notre pays. Faut-il rappeler de même les travaux du « Groupe juridique inter-cultes » qui travaille depuis 2007, dans le prolongement des recommandations du Groupe MACHELON, au sein du Ministère de l’intérieur, et où siègent des représentants des principaux cultes ? Ce groupe a bien fonctionné et a permis la publication de plusieurs circulaires dont la dernière, du 23 juin 2010, conjointe aux Ministères de l’intérieur et des finances, aborde d’une manière détaillée à l’attention des préfets, des directeurs départementaux des finances publiques et des trésoriers payeurs généraux, les différents aspects liés au « support institutionnel de l’exercice du culte en France » ? Faut-il rappeler aussi la production intellectuelle abondante d’articles et d’écrits divers, ainsi que les nombreux ouvrages qui paraissent sur l’histoire, les fondements, la pratique et les perspectives de la laïcité en France ? La liste en sera longue. Elle illustre parfaitement toute la richesse et la profondeur de notre expérience française de la laïcité. Nous y reviendrons lors de la rencontre publique que nous comptons organiser en octobre prochain.

Secouée par des crises à répétition, politique, économique, financière et morale, la période actuelle manque de lisibilité mais sans doute pas d’espérance ! Le devoir de ceux qui sont « en responsabilité » consiste à éclairer le chemin et à élaborer des solutions conformes au bien de tous. N'ajoutons pas de la confusion dans la période trouble que nous traversons. Nous militons ensemble pour une laïcité de bonne intelligence.

La laïcité n’est pas séparable des valeurs fondamentales que nous partageons, en particulier de la dignité et du respect de la personne humaine et de sa liberté inaliénable. Ces valeurs qui ne peuvent s’épanouir que dans la confiance mutuelle source de paix pour notre société.»

SIGNATAIRES :

Cardinal André VINGT-TROIS, président de la Conférence des Évêques de France

Avec Mgr Laurent ULRICH, vice-président de la Conférence des Évêques de France

Pasteur Claude BATY, président de la Fédération protestante de France

Avec le pasteur Laurent SCHLUMBERGER, membre du Conseil de la Fédération protestante de France, président du Conseil national de l’Église réformée de France

Métropolite EMMANUEL, président de l’Assemblée des Évêques orthodoxes de France

Avec le Métropolite Joseph, secrétaire de l’Assemblée des Evêques orthodoxes de France

Et Mr. Carol SABA, porte-parole de l’Assemblée des Évêques orthodoxes de France

Grand Rabbin Gilles BERNHEIM, Grand Rabbin de France

Avec le rabbin Moshé LEWIN, porte-parole du Grand Rabbin de France

M. Mohammed MOUSSAOUI, président du Conseil français du culte musulman

Avec M. Anouar KBIBECH, secrétaire général du Conseil français du culte musulman

Révérend Olivier WANG-GENH, président de l’Union bouddhiste de France

LeParisien.fr

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La religion n’est pas un service public

Par HENRI PENA-RUIZ philosophe, écrivain, ancien membre de la commission Stasi

http://www.liberation.fr/societe/01012328412-la-religion-n-est-pas-un-service-public

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