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Actualités Politiques


katamiaw

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Magistral ...

98,4% des auteurs de crimes sexuels qui ne récidivent pas... important à savoir, alors que, devant l'évènement tragique de la semaine dernière, l'opinion imagine que la récidive est habituelle... L'exemple canadien est significatif : prendre les moyens de ne pas laisser livrées à eux mêmes les personnes potentionnellement dangereuses... Par ces moyens, faire chuter encore le taux de récidive est sans doute possible. Au bout du compte, avec des pourcentages de cet ordre, les cas deviennent individuels.

Il faut il être moins enthousiaste vis à vis de l'usage des neuroleptiques, du moins à leur usage dans la durée : les médicaments psychotropes altèrent à ce point la personnalité que leur usage est mutilant... transformer les patients en légumes n'est pas la solution.

Modifié par michael02
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c'est lbien là la limite entre l'exemple/contre exemple et la généralité,( renforcée avec la sacro sainte TV ) les politiques sont tellement avident de sondage et de cote de popularité que pour montrer qu'ils sont dans le coup, font une loi à chaque fait-divers.

un manege de fete forraine se "casse la gueule", on fait la loi manège

un délinquant sexuel recidive, hop on durcit les peines.

un chien mort une vieille dame, on fait une loi sur les chiens dangereux etc.....

un franchissement de PN par une voiture, hop hop le pantin des transports annoncent que l'on va mettre des feux rouges fixes au lieu des feux rouges clignontant, pourtant dans le code de la route, le feux rouge clignontant est plus "grave" que le feux rouge fixe.

et les exemples ne manquent pas.....

resultat, aucun resultat sur le long terme, ou meme il se produit l'effet inverse que celui espéré. c'est la real-politik lotrela

a+

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http://www.lemonde.fr/politique/article/20...tor=AL-32280151

Quand l'Elysée pratique le piratage

Le DVD de la série "A visage découvert" consacré à Nicolas Sarkozy, un documentaire diffusé le 13 juillet sur France 5 et présenté par les journalistes Christian Malard et Bernard Vaillot, a été copié sans autorisation par le service audiovisuel de la présidence de la République à 400 exemplaires, sous la houlette de Frank Louvrier. C'est ce que révèle Le Canard enchaîné, mercredi 7 octobre, qui explique que ces exemplaires ont été distribués lors de la 17e conférence des ambassadeurs, à la fin août, à Paris.

Edité à l'origine par Galaxie Presse, avec le logo de la production, la copie fabriquée à l'Elysée est frappée du logo de la présidence de la République et du copyright "Service audiovisuel de la présidence de la République - Unité photo - Tous droits réservés (photos et vidéos)", explique l'hebdomadaire satirique, ajoutant qu'il n'est fait mention d'"aucune mention du nom du producteur".

Ce dernier, interrogé par Le Canard enchaîné, indique ne pas avoir été prévenu de ces copies. "C'est un peu cavalier, s'est amusé le directeur de la société, Michel Rager. D'autant que l'Elysée nous avait demandé cinquante de nos DVD et qu'on leur avait envoyés, gratis."

De son côté, Frank Louvrier, le chef du service audiovisuel de la présidence de la République, déclare avoir demandé l'autorisation de faire des copies. "On en avait une cinquantaine, il nous en manquait, on leur a demandé si on pouvait compléter et ils nous ont dit : 'Pas de problème !'"

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Les rats commenceraient-ils à quitter le navire ?

Taxe professionnelle:

Sarkozy "se fout du monde",

estime Juppé

Reuters

L'ancien Premier ministre Alain Juppé (UMP) estime que le gouvernement "se fout du monde" sur les modalités de la suppression de la taxe professionnelle, principale recette fiscale des collectivités territoriales.

Dans un entretien paru mercredi dans le quotidien Sud-Ouest, le maire de Bordeaux ne prend pas de précautions oratoires à l'adresse du président de la République, signe des tensions qui agitent la majorité sur le dossier de la réforme de ces collectivités, dont l'Elysée veut supprimer des échelons.

"Ce n'est pas un bouleversement. Mais c'est toujours pareil avec (Nicolas) Sarkozy, on vous dit que c'est une rupture avec tout ce qu'on a fait par le passé... ", a-t-il déclaré à propos de cette modification prévue pour la fin de l'année.

Il estime que l'élection des conseillers territoriaux "sera un changement très profond", dont un des objectifs, "quelque peu démagogique, est de diminuer le nombre d'élus".

Alain Juppé estime par ailleurs que "le gouvernement cherche la provocation" sur les modalités de la suppression de la taxe professionnelle, une mesure en faveur des entreprises.

Prenant exemple sur la Communauté urbaine de Bordeaux (Cub) dont il est vice-président, il remarque que dès la deuxième année elle "perdrait plusieurs millions".

"C'est tout de même se foutre du monde. Le président Sarkozy avait promis une compensation euro par euro mais il avait oublié de dire pendant un an", explique-t-il.

"Jeudi et vendredi, pour les Journées des communautés urbaines, cela va être un festival anti-gouvernement", ajoute-il à la veille de ces journées qui se déroulent à Bordeaux.

DES DÉCISIONS "COURAGEUSES"

Ces propos d'Alain Juppé confirment que les différends se multiplient entre le gouvernement et sa majorité parlementaire.

Le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, a rejeté les accusations de l'ancien Premier ministre.

"J'ai beaucoup de respect pour Alain Juppé mais je n'ai pas vraiment le sentiment que le président de la République se moque du monde", a-t-il déclaré lors du compte rendu du conseil des ministres.

Nicolas Sarkozy "a pris deux décisions difficiles, courageuses, qui sont, l'une, de réformer en profondeur notre système d'organisation territoriale", a-t-il poursuivi. "Et deuxième décision difficile, c'est la question de la taxe professionnelle, avec un objectif : améliorer la compétitivité de notre industrie."

La reprise des travaux au Parlement a été marquée à l'Assemblée nationale par des passes d'armes entre certains ministres et les députés, qui laissent augurer de difficultés lorsque commenceront les débats sur le budget 2009, qui s'ouvre à la mi-octobre, la réforme de la taxe professionnelle et la création de la taxe carbone.

"Je n'avais pas vu ça depuis longtemps", a dit en septembre le président de l'Assemblée, l'UMP Bernard Accoyer.

Ces réformes sont vivement contestées par une grande partie de la majorité tant à l'Assemblée qu'au Sénat qui craint d'en payer le prix aux élections régionales du printemps prochain.

Claude Canellas, édité par Yves Clarisse

Modifié par Dom-trappeur
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Les rats commenceraient-ils à quitter le navire ?

Taxe professionnelle:

Sarkozy "se fout du monde",

estime Juppé

Reuters

L'ancien Premier ministre Alain Juppé (UMP) estime que le gouvernement "se fout du monde" sur les modalités de la suppression de la taxe professionnelle, principale recette fiscale des collectivités territoriales.

Dans un entretien paru mercredi dans le quotidien Sud-Ouest, le maire de Bordeaux ne prend pas de précautions oratoires à l'adresse du président de la République, signe des tensions qui agitent la majorité sur le dossier de la réforme de ces collectivités, dont l'Elysée veut supprimer des échelons.

"Ce n'est pas un bouleversement. Mais c'est toujours pareil avec (Nicolas) Sarkozy, on vous dit que c'est une rupture avec tout ce qu'on a fait par le passé... ", a-t-il déclaré à propos de cette modification prévue pour la fin de l'année.

Il estime que l'élection des conseillers territoriaux "sera un changement très profond", dont un des objectifs, "quelque peu démagogique, est de diminuer le nombre d'élus".

Alain Juppé estime par ailleurs que "le gouvernement cherche la provocation" sur les modalités de la suppression de la taxe professionnelle, une mesure en faveur des entreprises.

Prenant exemple sur la Communauté urbaine de Bordeaux (Cub) dont il est vice-président, il remarque que dès la deuxième année elle "perdrait plusieurs millions".

"C'est tout de même se foutre du monde. Le président Sarkozy avait promis une compensation euro par euro mais il avait oublié de dire pendant un an", explique-t-il.

"Jeudi et vendredi, pour les Journées des communautés urbaines, cela va être un festival anti-gouvernement", ajoute-il à la veille de ces journées qui se déroulent à Bordeaux.

DES DÉCISIONS "COURAGEUSES"

Ces propos d'Alain Juppé confirment que les différends se multiplient entre le gouvernement et sa majorité parlementaire.

Le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, a rejeté les accusations de l'ancien Premier ministre.

"J'ai beaucoup de respect pour Alain Juppé mais je n'ai pas vraiment le sentiment que le président de la République se moque du monde", a-t-il déclaré lors du compte rendu du conseil des ministres.

Nicolas Sarkozy "a pris deux décisions difficiles, courageuses, qui sont, l'une, de réformer en profondeur notre système d'organisation territoriale", a-t-il poursuivi. "Et deuxième décision difficile, c'est la question de la taxe professionnelle, avec un objectif : améliorer la compétitivité de notre industrie."

La reprise des travaux au Parlement a été marquée à l'Assemblée nationale par des passes d'armes entre certains ministres et les députés, qui laissent augurer de difficultés lorsque commenceront les débats sur le budget 2009, qui s'ouvre à la mi-octobre, la réforme de la taxe professionnelle et la création de la taxe carbone.

"Je n'avais pas vu ça depuis longtemps", a dit en septembre le président de l'Assemblée, l'UMP Bernard Accoyer.

Ces réformes sont vivement contestées par une grande partie de la majorité tant à l'Assemblée qu'au Sénat qui craint d'en payer le prix aux élections régionales du printemps prochain.

Claude Canellas, édité par Yves Clarisse

Je vois déjà les banderolles dans les immenses prochaines manifs:

"Juppé avec nous !"

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Hello ,

Les temps changent :

1995 , Juppé en....

2009 , Tous ensemble avec Juppé .

Etonnant non ? .

et pourquoi entraineur de l'équipe de france de foot...oh làlà ,je m'égare ,

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Un chômeur de moins :

http://bravepatrie.com/+Chomage-en-baisse-Jean-Sarkozy,688+

Démontrant encore une fois qu’on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même, le président de la République vient de faire significativement baisser les chiffres du chômage dans la catégorie durement touchée des 18-25 ans.

Par son entremise, c’est en effet un jeune étudiant en droit, Jean Sarkozy, qui embauchera le 4 décembre à l’EPAD (Etablissement Patrimonial d’Acquisition de Devises) (Etablissement Public d’Aménagement de la Défense) en tant que président.

Ce contrat (en alternance) permettra à Jean Sarkozy, 23 ans, d’enrichir une formation multidisciplinaire puisqu’il est déjà président du groupe UMP au Conseil Général des Hauts-de-Seine, un département particulièrement difficile à gérer pour la majorité présidentielle, surtout au moment de la distribution des cadeaux à Noël.

Il a déjà fait ses preuves en obtenant une relaxe (qui équivaut à un 14 en droit pénal) en 2008.

Pour mémoire, l’EPAD est chargé de valoriser le quartier sinistré, voire paupérisé, de la Défense, en banlieue parisienne occidentale.

Il vend entre autres des droits d’aménagement et de construction à une multitude de TPE et PME luttant pour leur survie, comme la Société Générale, EdF, Areva, etc. Les dirigeants de ces sociétés sont alors très très reconnaissants envers la personne qui a sauvé leur petite entreprise de la faillite, ou du moins d’un siège social en Seine-Saint-Denis.

Cerise sur le gâteau pour Jean Sarkozy, l’EPAD changera de statut le 1er janvier prochain pour piloter ce qui deviendra la pierre angulaire du Grand Paris, un projet cher à un ancien président de l’EPAD, Nicolas Sarkozy. Non, on n’est vraiment jamais aussi bien servi que par soi-même.

Brave Patrie souhaite à Jean Sarkozy la plus grande réussite dans ce projet, en particulier dans la clarification des comptes de l’établissement.

Nous ne doutons pas qu’il s’y engagera à mort et redonnera à la jeunesse de France l’envie d’entreprendre en prouvant qu’on peut diriger l’un des plus grands quartiers d’affaires européens sans diplômes, sans expérience professionnelle et sans QI.

En plus, Jean, tu as de la chance : il y a un Boulevard Circulaire rien que pour toi, sur lequel tu pourras te détendre en scooter après tes longues heures de travail. Méfie-toi cependant si le fils Fillon te propose de faire la course avec son 4x4.

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Ainsi va le Monde ...

Des Suisses s'en prennent à "la racaille d'Annemasse"

LE MONDE | 09.10.09

Depuis plusieurs semaines, les frontaliers sont la cible du Mouvements citoyens genevois (MCG), un parti populiste né en 2005 :

"Réservons les emplois aux Genevois ! Frontaliers assez !"

Alors que les Genevois élisent, dimanche 11 octobre, leurs députés au Grand Conseil (le parlement cantonal),

les affiches du MCG sont placardées sur les murs, à l'arrière des autobus et même à la douane de Moillesulaz (à l'entrée d'Annemasse, Haute-Savoie).

Elles fustigent les quelque 60 000 travailleurs français, employés à Genève dans la banque, l'informatique, l'horlogerie ou l'hôtellerie.

Sur Internet, des blogs et des forums regorgent d'anecdotes sur des Suisses dont l'emploi a été volé par un "Frouze", pour un salaire inférieur.

Lundi 5 octobre, l'Union démocratique du centre (UDC) genevoise, rivale du MCG, est entrée dans la danse.

S'offrant une demi-page dans la Tribune de Genève, elle a appelé au rejet du CEVA

- un projet de RER reliant Annemasse à la gare genevoise de Cornavin sur lequel les Genevois voteront le 29 novembre.

Un "nouveau moyen de transport pour la racaille d'Annemasse", dit le slogan.

Le jeu en vaut la chandelle : l'électorat populiste est estimé à 20 %.

Parmi les partisans du projet d'agglomération franco-valdo-genevoise (quelque 950 000 habitants en 2025), cette surenchère xénophobe scandalise.

Le maire socialiste d'Annemasse, Christian Dupessey, a annoncé qu'il allait porter plainte contre le président de l'UDC genevoise

pour diffamation et insultes racistes.

Jeudi 8 octobre, à Genève, 300 personnes ont manifesté à l'appel des syndicats et des partis de gauche

pour dénoncer un "matraquage vomitif" de la part du MCG et de l'UDC.

"Fantasme"

Des élus et experts genevois contre-attaquent.

Le Vert David Hiller, président du Conseil d'Etat (exécutif cantonal), a rappelé que Genève comptait 60 000 emplois de plus que ce que peut occuper la population locale. Le radical François Longchamp, ministre en charge de l'emploi, a affirmé dans le quotidien Le Matin,

que "sans le personnel soignant et infirmier frontalier, nous devrions fermer la moitié des lits dans les EMS (maisons de retraite) et les hôpitaux".

Depuis l'ouverture des frontières suisses aux travailleurs européens, en 2004, le nombre des frontaliers a doublé à Genève.

"C'est une pénurie de personnel qualifié qui a incité les entreprises genevoises à aller chercher du personnel en France",

estime l'économiste Yves Flückiger, vice-recteur de l'université de Genève.

Sur la base d'études, il réfute le "fantasme" selon lequel les frontaliers seraient prêts à travailler pour des salaires au rabais :

le canton - où le salaire moyen est de 6 100 francs (4 000 euros) - dispose d'instruments efficaces pour contrer le dumping salarial.

Mais il reconnaît que pour les chômeurs genevois - 6,8 % de la population -

"la concurrence avec les frontaliers, mais aussi avec les travailleurs venant de Lausanne", est de plus en plus vive.

Agathe Duparc (Genève, correspondance)

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Ainsi va le Monde ...

Des Suisses s'en prennent à "la racaille d'Annemasse"

LE MONDE | 09.10.09

Depuis plusieurs semaines, les frontaliers sont la cible du Mouvements citoyens genevois (MCG), un parti populiste né en 2005 :

"Réservons les emplois aux Genevois ! Frontaliers assez !"

Alors que les Genevois élisent, dimanche 11 octobre, leurs députés au Grand Conseil (le parlement cantonal),

les affiches du MCG sont placardées sur les murs, à l'arrière des autobus et même à la douane de Moillesulaz (à l'entrée d'Annemasse, Haute-Savoie).

Elles fustigent les quelque 60 000 travailleurs français, employés à Genève dans la banque, l'informatique, l'horlogerie ou l'hôtellerie.

Sur Internet, des blogs et des forums regorgent d'anecdotes sur des Suisses dont l'emploi a été volé par un "Frouze", pour un salaire inférieur.

Lundi 5 octobre, l'Union démocratique du centre (UDC) genevoise, rivale du MCG, est entrée dans la danse.

S'offrant une demi-page dans la Tribune de Genève, elle a appelé au rejet du CEVA

- un projet de RER reliant Annemasse à la gare genevoise de Cornavin sur lequel les Genevois voteront le 29 novembre.

Un "nouveau moyen de transport pour la racaille d'Annemasse", dit le slogan.

Le jeu en vaut la chandelle : l'électorat populiste est estimé à 20 %.

Parmi les partisans du projet d'agglomération franco-valdo-genevoise (quelque 950 000 habitants en 2025), cette surenchère xénophobe scandalise.

Le maire socialiste d'Annemasse, Christian Dupessey, a annoncé qu'il allait porter plainte contre le président de l'UDC genevoise

pour diffamation et insultes racistes.

Jeudi 8 octobre, à Genève, 300 personnes ont manifesté à l'appel des syndicats et des partis de gauche

pour dénoncer un "matraquage vomitif" de la part du MCG et de l'UDC.

"Fantasme"

Des élus et experts genevois contre-attaquent.

Le Vert David Hiller, président du Conseil d'Etat (exécutif cantonal), a rappelé que Genève comptait 60 000 emplois de plus que ce que peut occuper la population locale. Le radical François Longchamp, ministre en charge de l'emploi, a affirmé dans le quotidien Le Matin,

que "sans le personnel soignant et infirmier frontalier, nous devrions fermer la moitié des lits dans les EMS (maisons de retraite) et les hôpitaux".

Depuis l'ouverture des frontières suisses aux travailleurs européens, en 2004, le nombre des frontaliers a doublé à Genève.

"C'est une pénurie de personnel qualifié qui a incité les entreprises genevoises à aller chercher du personnel en France",

estime l'économiste Yves Flückiger, vice-recteur de l'université de Genève.

Sur la base d'études, il réfute le "fantasme" selon lequel les frontaliers seraient prêts à travailler pour des salaires au rabais :

le canton - où le salaire moyen est de 6 100 francs (4 000 euros) - dispose d'instruments efficaces pour contrer le dumping salarial.

Mais il reconnaît que pour les chômeurs genevois - 6,8 % de la population -

"la concurrence avec les frontaliers, mais aussi avec les travailleurs venant de Lausanne", est de plus en plus vive.

Agathe Duparc (Genève, correspondance)

Hou ! la! ça farte moins bien chez les " ouin ouin " en ce moment, ils prennent les réalités éconnomiques en pleine face. Du moins à genève. ( ils ne sont pas suisses, ils sont seuls au monde, passées les frontières de la ville, ce n'est plus la même suisse ) Grosse lotrela les cousins.

Modifié par Rail cassé
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Hou ! la! ça farte moins bien chez les " ouin ouin " en ce moment, ils prennent les réalités éconnomiques en pleine face. Du moins à genève. ( ils ne sont pas suisses, ils sont seuls au monde, passées les frontières de la ville, ce n'est plus la même suisse ) Grosse lotrela les cousins.

Perso , grosses bises aux cousines ... :blush:

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La pétition contre la nomination de Jean Sarkozy à la présidence de l'Epad a recueilli 4000 signatures :

http://www.mesopinions.com/Jean-Sarkozy--r...8681c67f26.html

Plus de 15 000 inscrits sur le web des cheminots. Qu'est que vous foutez? :blink:

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La pétition contre la nomination de Jean Sarkozy à la présidence de l'Epad a recueilli 4000 signatures :

http://www.mesopinions.com/Jean-Sarkozy--r...8681c67f26.html

Plus de 15 000 inscrits sur le web des cheminots. Qu'est que vous foutez? :blink:

Salut ,

Et dans la même catégorie , tel père , tel fils ... okok

http://bluetouff.com/2009/10/11/jean-sarko...a-risee-du-net/

lien corrigé bigbisous

Modifié par zoreglube
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Et aujourd'hui nous aurons droit à la Réforme des Lycées qui va accoucher d'une M...

mais on verra notre très Cher Président sur toute les télés...

pendant que les Députés de l'UMP entérineront dans un grand silence médiatique un nouveau charcutage électorale des circonscriptions des députés...

histoire de conserver une majorité de droite en 2012 à l'Assemblée...

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Et aujourd'hui nous aurons droit à la Réforme des Lycées qui va accoucher d'une M...

mais on verra notre très Cher Président sur toute les télés...

pendant que les Députés de l'UMP entérineront dans un grand silence médiatique un nouveau charcutage électorale des circonscriptions des députés...

histoire de conserver une majorité de droite en 2012 à l'Assemblée...

Ben en même temps, on ne peut pas nier son culot et sa ténacité au Président...et il n'a pas tort: tant qu'il gagne il joue et c'est pas demain la veille qu'une solide opposition se dressera face à lui.

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Ben en même temps, on ne peut pas nier son culot et sa ténacité au Président...et il n'a pas tort: tant qu'il gagne il joue et c'est pas demain la veille qu'une solide opposition se dressera face à lui.

Précisément, il joue...

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La cote de popularité de Sarkozy en baisse à 38%, selon Ifop

Reuters

La cote de popularité de Nicolas Sarkozy perd un point en octobre à 38% d'opinions positives tandis que celle de François Fillon gagne un point à 51%, selon le baromètre Ifop pour Le Journal du Dimanche à paraître samedi.

Au total, 61% des personnes interrogées jugent défavorablement l'action du chef de l'Etat (contre 60% en septembre) et 46% sont mécontentes de l'action du Premier ministre (contre 47% en septembre).

L'enquête a été réalisée auprès de 1.841 personnes âgées de 18 ans et plus du 8 au 16 octobre.

Sophie Louet

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"Chez Sarkozy, tout est psychologique. Il déteste ne pas être aimé"

Le Post Public Sénat

Visite surprise à Gandrange, interview dans Le Figaro… Face aux difficultés que rencontre Nicolas Sarkozy dans l’opinion et la majorité, le chef de l’Etat revient sur son terrain favori: l’action.

Opération réussie ? «Il manque une ligne directrice», tranche François Miquet-Marty, directeur associé de l’institut d’étude Viavoice, joint par Public Sénat. «La chose frappante dans son interview, c’est que Nicolas Sarkozy balaie les enjeux d’actualité. Or on a ici le sentiment d’un exécutif qui se cherche», ajoute-t-il.

«C’est plus un communiqué qu’une interview», nous explique de son côté Jean-Marc Lech, coprésident de l’institut de sondage Ipsos.

Pour François Miquet-Marty, «sa visite surprise à Gandrange est l’illustration de ce manque de cap. Pourquoi n’y est-il pas allé la semaine dernière, quand il est venu en Moselle ? »

D’un Sarkozy maitre de l’agenda médiatique, on passerait à un Sarkozy qui le subit. «On voit que la communication n’est plus maitrisée, continue Mickey-Marty. C’est surprenant, car on est habitué à quelqu’un qui maitrise sa communication ».

«Sarkozy se laisse aller à ses pulsions»

Selon les spécialistes des sondages, la visite d’hier à Gandrange n’est pas en mesure de répondre à la baisse du Président dans l’opinion. Pire, elle risque de se retourner contre lui : «Plus il multiplie les gestes symboliques, plus il doit avoir des résultats. Or une action qui n’a pas de résultat ne sert à rien. Ça peut aggraver ses difficultés d’image et de popularité», pense Jean-Marc Lech, alors que Nicolas Sarkozy vient de se voir dépasser dans le baromètre politique de Paris-Match par…Dominique de Villepin.

Le coprésident d’Ipsos pointe lui aussi la communication sarkozienne. Réagir vite à l’actualité ne serait pas payant: «Sa communication a toujours été très empirique. Elle n’est pas structurée. Quand l’actualité a du talent, il est vite débordé.» Et de pointer «les bavures qui entourent ses déplacements. De son voyage à New York, on ne retiendra pas l’interview télé, mais l’enguelade d’Arlette Chabot», chef de l’information sur France2.

Selon Jean-Marc Lech, c’est la psychologie du chef de l’Etat qui lui joue des tours : «Chez Sarkozy, tout est psychologique. Il déteste ne pas être aimé, il déteste ne pas avoir raison, il déteste être désavoué. Dans ces cas là, son surmoi ne fonctionne pas. Il se laisse aller à ses pulsions». Et continue de défendre l’arrivée de son fils Jean à la tête de l’Epad, alors que « pour la première fois, sur ce point, une majorité des électeurs UMP (51%) lui est hostile ».

«On a un mi-mandat de flottement », analyse François Mickey-Marty. Problème : «A cause de la crise, il est difficile de répondre à la préoccupation numéro un des Français qui est l’emploi, selon Jean-Marc Lech. Et de prédire : «la phase de difficultés pour l’exécutif n’est pas terminée».

François Vignal

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C'est d'une clarté ce budget... revoltages

Publié le 16/10/2009 à 19:28 Le Point.fr

COMMUNICATION

L'Élysée dévoile l'étendue de son budget

AFP

Le compte rendu officiel de l'audition à l'Assemblée nationale du directeur de cabinet du président Nicolas Sarkozy, Christian Frémont, a été modifié dans la nuit de jeudi à vendredi, a constaté vendredi. M. Frémont a été auditionné mardi devant la commission des Finances sur les crédits de l'Elysée, où il a notamment fourni des explications sur le budget sondages de la présidence, épinglé en juillet par la Cour des comptes.

Selon le compte rendu mis en ligne jeudi soir sur le site internet de l'Assemblée nationale et imprimé par l'AFP, Christian Frémont a déclaré: "en 2009, notre estimation est que OpinionWay percevrait environ 820.000 euros et Ipsos environ 300.000 euros". Vendredi, cette phrase a été modifiée sur le compte rendu que l'on peut désormais lire sur le site de l'Assemblée: "en 2009, notre estimation est que Publifact et Publiopinion percevraient environ 820.000 euros et Ipsos environ 300.000 euros". Publifact et Publiopinion sont deux sociétés appartenant au politologue Patrick Buisson, qui bénéficie d'un contrat avec l'Elysée. L'institut de sondage OpinionWay avait démenti jeudi auprès de l'AFP avoir facturé le moindre euro en sondages à la présidence en 2009. En fin de journée, vendredi, l'Assemblée a précisé sur son site que le compte rendu avait été "rectifié à la demande de Christian Frémont". "Ses propos tenus devant la commission et initialement retranscrits dans le compte rendu comportaient une inexactitude dont il a demandé rectification", peut-on désormais lire.

La députée PS Delphine Batho qui, la première, avait dévoilé le contenu de cette audition sur son blog, a déclaré vendredi à l'AFP que "si M. Frémont a commis une erreur, il lui suffisait de corriger publiquement" et estimé que sa "façon de faire est assez ridicule sinon grossière". "Cela illustre une fois de plus l'immense embarras de l'Elysée dans cette affaire. Et sur le fond, la révélation est plus grave" avec les propos rectifiés "puisque c'est en fait M. Buisson qui a touché 820.000 euros entre janvier et juillet", a-t-elle dénoncé.

Lors de son audition de mardi, Christian Frémont a précisé que le spécialiste des sondages Pierre Giacometti fournit à l'Elysée "un certain nombre d'analyses et d'études pour lesquels il reçoit une rémunération mensuelle de 43.500 euros", un montant "diminué de 21%" depuis mars.

De son côté, Patrick Buisson, qui dispose depuis juillet "d'un contrat de conseil" et dont la collaboration avec la présidence ne concerne donc plus les sondages, est rémunéré "à hauteur de 10.000 euros hors taxes par mois". M. Giacometti a contredit jeudi auprès de l'AFP les propos de M. Frémont en affirmant que sa "rémunération" concernait sa société de conseil "GiacomettiPeron et Associés" et non lui seul. L'Elysée a prévu un budget sondages "d'environ 1,3 million d'euros" en 2010, selon M. Frémont.

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