Aller au contenu
Le Web des Cheminots

Encore Des Tags...


Messages recommandés

À Toulouse jusqu'en 2001, la ville était infestée de graffs et de tags, jusqu'aux portes cochères des hôtels particuliers Renaissance et aux bagnoles...

Des mesures drastiques d'effacement systématique, ont été prises et la ville est à nouveau "libre" : les "artistes" tagueurs ont déserté la ville.

Reste les tagueurs débutants ou occasionnels, mais au final c'est plutôt réduit.

Même si les équipes d'interventions anti-tag ont un coût, c'est payant à long terme, ou plutôt, disons que ça fini par coûter moins cher à la collectivité.

Capelanbrest : La dimension politique du phénomène est une plaie. Les politiques mènent des actions de pure démagogie pour calmer tout le monde et avoir les faveurs du plus grand nombre, ce qui confine à l'absurde. À Toulouse une fresque autorisée (et commandée) a été peinte par des graffeurs sur la palissade du chantier de l'extension de l'Hôtel de région...

C'est une calamité : soit les "peintres" l'ont baclée par "provocation du système", soit ils ont trouvé leur limite technique face à une commande (c'est dur un travail sur commande). En tous cas c'est certes coloré mais franchement médiocre...

Ce qui est clair en tous cas c'est que si certains trentenaires en mal de reconnaissance finissent par se rapprocher de structures plus légales pour se diriger vers du graffiti "officiel" dont se gargarisent les élus qui le présentent comme un outil de médiation populaire, ce sont ces même "artistes" qui continuent en parallèle de graffer des trains entiers...

Modifié par Yohann G
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Yohann G., je partage totalement ta vision du graffiti actuel, tu as su très bien le décrire et ce avec toutes ses facettes ...

De toute façon, le graffeur emploiera tous les arguments lui servant à justifier sa passion, ses actions uniquement menées dans le but de poser sa signature, faisant fi de toutes les règles sociales établies -justement à causes d'elles parfois-. La preuve en est que lors de chaque débat sur le net on retrouve les mêmes arguments, tout ce que cela m'a appris c'est comment et pourquoi le tagueur agit, même si après tout on s'en fout bien de savoir pourquoi il tague et si son graff est bien réalisé ou pas, ce qui compte c'est que son oeuvre soit répertoriée, effacée rapidement et que son auteur en prenne pour le plus cher possible lorsque qu'il sera arrêté.

La seule réponse est : la répréssion; même si notre entreprise ne prends pas toutes les mesures pour lutter contre le graffiti ... nombre d'agents, acteurs sur le terrain, de tous les services, oeuvrent à répertorier en photo les graffitis sur les trains et les infras (murs, tunnels, gares ...) pour un résultat qui amènent en pratique leurs auteurs devant la justice, plus souvent que vous ne pouvez le penser.

En effet il est difficile pour nos services, comme ceux de la Police, de communiquer sur toutes les affaires en cours ou passées, les interpellés eux mêmes ne s'en vantent pas tous car certains deviennent des informateurs, il est ainsi plaisant pour nous de savoir qui seront les prochains à être interpellés, la liste est longue, du petit et du gros poisson.

Si je viens sur ce forum, c'est pour aussi vous dire -à titre personnel- que ce problème n'est pas laissé à l'abandon et qu'il est traité sur toutes les régions d'IDF et en province parfois. Il est donc utile de signaler à chaque fois qu'un nouveau graff a été fait ou si il a des présences suspectes dans les chantiers. Le but n'étant pas de stopper le graffiti à la SNCF, ce qui est impossible, mais de décourager les graffeurs de venir sur nos trains et dans nos emprises.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ajoute une chose tout de même : pour moi la solution la plus satisfaisante serait plutôt de sécuriser le plus possible les accès au matériel.

Mieux vaut prévenir que guérir, et les grillages, s'ils sont bien conçu, c'est efficace.

Les installations des gares SNCF sont de vraies passoires.

Peut-être qu'il serait plus sain de permettre cet accès plus facilement, mais sous contrôle des motivations et/ou parrainage par des cheminots.

Ce contrôle serait en quelque sorte un moyen d'éviter les frustrations pour ceux que les trains fascinent "de l'extérieur" mais aussi une solution pour mieux verrouiller les accès des individus non identifiés (voleurs de cables, tagueurs, etc...).

En tous cas je ne sais pas si des amendes "massues" sont une solution car les graffeurs sont souvent assez irresponsables, très jeunes et/ou non-solvables.

Au début, on graffe pour le plaisir, l'adrénaline et parce que l'imagerie du graff, c'est fun.`

Je ne suis pas sûr qu'une raison vraiment structurée explique le graff, excepté la sensation de se sentir rebelle, dans une société qui est carrément verrouillée et souvent très psychorigide et moraliste.

Cette sensation est franchement compréhensible car c'est souvent écrasant. Mais ce point n'excuse rien.

Beaucoup de graffeurs en herbe essayent un temps puis se calment assez rapidement.

J'ai bien peur par contre que de "vraies" amendes, assez élevées ne changent la mentalité des graffeurs concernés pour en faire de vrais révolté contre le système.

Je ne sais pas si une condamnation rends raisonnable ou si elle nourrit plutôt un vif sentiment d'injustice.

Je penche plutôt pour la deuxième solution à vrai dire.

Donc prendre des dispositions en amont, ça me semble toujours préférable.

Ensuite - mais je ne sais pas si c'est un débat constructif - dans le fond, une certaine tolérance n'est pas de trop dans certaines zones industrielles, quand on voit la calamité visuelle à des échelles démesurées que représentent certaines friches et autres non-lieux industriels ou commerciaux.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

[size="1"]J'ajoute une chose tout de même : pour moi la solution la plus satisfaisante serait plutôt de sécuriser le plus possible les accès au matériel.

Mieux vaut prévenir que guérir, et les grillages, s'ils sont bien conçu, c'est efficace.

Les installations des gares SNCF sont de vraies passoires.

[/size]





Tout à fait, cela commence à se faire sur certains sites, néanmoins des patrouilles Suge sont nécéssaires pour prévenir les intrusions, les grillages ça se découpe/contourne facilement ...




Peut-être qu'il serait plus sain de permettre cet accès plus facilement, mais sous contrôle des motivations et/ou parrainage par des cheminots. Ce contrôle serait en quelque sorte un moyen d'éviter les frustrations pour ceux que les trains fascinent "de l'extérieur" mais aussi une solution pour mieux verrouiller les accès des individus non identifiés (voleurs de cables, tagueurs, etc...).






La SNCF n'a déjà pas le temps et l'argent parfois pour faire ce qui est nécéssaire alors de la à débloquer des moyens pour permettre à des tagueurs de venir s'exprimer dans nos emprises ...




En tous cas je ne sais pas si des amendes "massues" sont une solution car les graffeurs sont souvent assez irresponsables, très jeunes et/ou non-solvables.





Détrompe toi, s'ils ne sont pas solvables, cela viendra, la SNCF à 30 ans pour se faire rembourser du préjudice subi. Pour les mineurs, ce sont les parents qui payent, ils n'ont qu'à surveiller leurs minots.




Au début, on graffe pour le plaisir, l'adrénaline et parce que l'imagerie du graff, c'est fun.`

Je ne suis pas sûr qu'une raison vraiment structurée explique le graff, excepté la sensation de se sentir rebelle, dans une société qui est carrément verrouillée et souvent très psychorigide et moraliste.

Cette sensation est franchement compréhensible car c'est souvent écrasant. Mais ce point n'excuse rien.

Beaucoup de graffeurs en herbe essayent un temps puis se calment assez rapidement.

J'ai bien peur par contre que de "vraies" amendes, assez élevées ne changent la mentalité des graffeurs concernés pour en faire de vrais révolté contre le système.





Les amendes sont calculées en fonction des dégradations réalisées sur nos trains et dans nos emprises, ni plus, ni moins. Seton toi d'ailleurs il sont déjà rebelles, alors un peu plus, un peu moins, au moins il sauront une vrai raison ...




Je ne sais pas si une condamnation rends raisonnable ou si elle nourrit plutôt un vif sentiment d'injustice.

Je penche plutôt pour la deuxième solution à vrai dire.





"L'injustice" serait de devoir régler un montant pour ce que tu as dégradé ... faut pas déconner quand même. 




Donc prendre des dispositions en amont, ça me semble toujours préférable.

Ensuite - mais je ne sais pas si c'est un débat constructif - dans le fond, une certaine tolérance n'est pas de trop dans certaines zones industrielles, quand on voit la calamité visuelle à des échelles démesurées que représentent certaines friches et autres non-lieux industriels ou commerciaux. 

Libre aux propriétairess de laisser le libre accès à leur friche/entreprise mais vu les pièges que recelent ces usines, je ne pense pas qu'ils le permette, ils seraient responsables.

Modifié par lolo de paz
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Mouais.

Chacun sait que les taggeurs paient rubis-sur-l'ongle toutes leurs bombes de peinture, et une super-TVA va surement les dissuader.lotrela

Si ça se trouve la SNCF les leur rembourse sur présentation d'une facture détaillée !

On n'est plus à une aberration près dans cette boite.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Contrairement aux idées reçues, les bonnes bombes ne sont pas chères (moins que celles - de mauvaise qualité - vendues dans les enseignes de bricolage) : dans les 4 € maxi la bombe et il n'en faut pas tant que ça pour couvrir de grandes surfaces...

Avec une à trois bombes, ça fait déjà pas mal de dégâts,

Il n'y que quelques marques de bombes qui sont utilisées par les graffeurs (suffit de regarder les "cadavres" à côté des graffs ou de feuilleter les revues de graffitis : Sparvar et Belton tiennent le haut du pavé...)

Pour les distribuer, maintenant (et c'est pas nouveau mais juste plus développé), des enseignes spécialisées ont pignon sur rue.

Ceux qui les fréquentent n'y vont pas pour acheter des pin's...

J'dis ça, j'dis rien...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites


La TVA sur les bombes, hum, tout le monde a le droit d'acheter des bombes de peinture à bon prix, je reprends un argument évoqué parfois, les couteaux peuvent tuer mais ce n'est pas le couteau qui est dangereux, c'est celui qui s'en sert.

Bien sur que les tagueurs paient leurs bombes, il y a bien parfois du vol mais c'est comme dans tout aujourd'hui ...

Yohann, si tu n'a pas des connaissances dans le graff ...

Effectivement les magasins spécialisés proposent tout ce qu'il faut en matériel, bon c'est toujours trop cher pour eux mais je suis d'accord avec Yohann, bien que l'on retrouve plus souvent de MTN espagnol.

Le matériel du tagueur : pince et cagoule, bizarre l'artiste !

Uploaded with ImageShack.us

Modifié par lolo de paz
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Yohann, si tu n'a pas des connaissances dans le graff ...

J'ai fait des études d'art (à rallonge), puis j'enseigne assez souvent dans le milieu de l'art, donc oui, j'ai croisé des tonnes de personnes plus ou moins intéressées par le graff, et plus ou moins impliquées dans ce milieu.

Globalement d'ailleurs, la majorité des spectateurs de moins de 30-35 ans me semble assez séduite par tout ou partie de l'esthétique de cet univers (le graff plus que le tag), ce qui - à mon avis - facilite le passage à l'acte. En vieillissant (et probablement en devenant des "possédant"), les opinions se nuancent et les défenseurs du graff fondent quand même comme neige au soleil.

Pour répondre, donc, à l'aune de mon point de vue assez clair - me semble t-il - sur le sujet, je ne côtoie pas (et ne veux pas côtoyer) ce type d'artistes puisque pour moi la part d'art, de création et de réflexion me semble bien mince dans cette affaire alors que c'est justement ce qui m'intéresse...

Quand on m'en parle, j'essaye d'aborder les limites artistiques du sujet et les limites de la "rebelitude" :Smiley_41: en essayant d'être patient et pédagogue (au cas où j'en convaincrais un) : qu'on le pratique ou qu'on le subisse, le moralisme n'est jamais le meilleur angle pour instaurer un dialogue, surtout face à des personnes qui se croient rebelle. C'est pas mon rôle : je suis pas flic non plus...

Modifié par Yohann G
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ajoute une chose tout de même : pour moi la solution la plus satisfaisante serait plutôt de sécuriser le plus possible les accès au matériel.

Mieux vaut prévenir que guérir, et les grillages, s'ils sont bien conçu, c'est efficace.

Les installations des gares SNCF sont de vraies passoires.

Peut-être qu'il serait plus sain de permettre cet accès plus facilement, mais sous contrôle des motivations et/ou parrainage par des cheminots.

Ce contrôle serait en quelque sorte un moyen d'éviter les frustrations pour ceux que les trains fascinent "de l'extérieur" mais aussi une solution pour mieux verrouiller les accès des individus non identifiés (voleurs de cables, tagueurs, etc...).

En tous cas je ne sais pas si des amendes "massues" sont une solution car les graffeurs sont souvent assez irresponsables, très jeunes et/ou non-solvables.

Au début, on graffe pour le plaisir, l'adrénaline et parce que l'imagerie du graff, c'est fun.`

Je ne suis pas sûr qu'une raison vraiment structurée explique le graff, excepté la sensation de se sentir rebelle, dans une société qui est carrément verrouillée et souvent très psychorigide et moraliste.

Cette sensation est franchement compréhensible car c'est souvent écrasant. Mais ce point n'excuse rien.

Beaucoup de graffeurs en herbe essayent un temps puis se calment assez rapidement.

J'ai bien peur par contre que de "vraies" amendes, assez élevées ne changent la mentalité des graffeurs concernés pour en faire de vrais révolté contre le système.

Je ne sais pas si une condamnation rends raisonnable ou si elle nourrit plutôt un vif sentiment d'injustice.

Je penche plutôt pour la deuxième solution à vrai dire.

Donc prendre des dispositions en amont, ça me semble toujours préférable.

Ensuite - mais je ne sais pas si c'est un débat constructif - dans le fond, une certaine tolérance n'est pas de trop dans certaines zones industrielles, quand on voit la calamité visuelle à des échelles démesurées que représentent certaines friches et autres non-lieux industriels ou commerciaux.

Salut, dans tous les cas, cela coûte à la société! ( et pas que la sncf, ! ).

Légaliser et encadrer le Tagg? en faire un job comme un autre? re! c'est certainement un art de vivre. Pourquoi ne pas faire appel aux graff pour redécorer tel ou tel support? en plus en prennant leur temps, le résultat pourrait être sympa, bien plus joli que le vénilia utiliser pour les livrées régionales. Bon, faudra juste préciser que " chatte et bitte" ça prend 2 T.mdrmdr

On manque d'imagination dans ce pays, mise à part tout interdire et réprimer......................

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Une petite anecdote récente pour LOLO DE PAZ :

Il y a trois ou quatre jours, je me suis retrouvé avec une 5600 dont une des motrices était taguée.

Quelques instants après le relève à PZB, alors que la rame est toujours à quai, je croise un agent de la SUGE en bas des escaliers.

Je me présente et je lui demande s'il répertorie les tags.

- Oui, ça nous arrive même si ce n'est pas vraiment notre boulot. Il y a une autre équipe qui s'occupe de ça.

- Monte vite les escaliers, la motrice de queue du VICK est taguée et il est encore à quai. Si tu veux voir les dégats...

Le gars se retourne vers la ligne de CAB, je suis son regard, et je découvre le reste de son équipe entourant deux blondes en mini-jupe manifestement perdues.

Le VICK est parti.

La vie est une question de priorités........lotrela

Modifié par Ae 8/14
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En tous cas j'ai pu la constater pour noël :) Un très beau (si) graff' "Joyeux noël" sur une flirt! Au vu du style de type et de couleurs, je suis prêt à parier que c'est le même groupe depuis au moins 6 mois qui tourne dans les parages, et s'amuse bien.

Si ça coutait pas autant cher, je trouverai ça super chouette, parce que franchement c'est du beau graff qu'ils nous font. Une fois j'ai même cru que c'était une livrée publicitaire, c'est dire!

Modifié par likorn
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour l'anecdote, je comprends bien et ne suis même pas étonné, de toute manière ces agents n'avaient surement pas d'APN sur eux, il fallait juste leur donner le numéro de la rame et PEUT ETRE l'aurait il inscrit dans leur main courante ...

Leur désintérêt me laisse le champ libre pour faire cette activité qui me plait ...

Y a t-il plus de graffs le jour de l'An ? peut être. Il y en a toute l'année et en fonction de nos constatations nous augmentons nos patrouilles ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut ,

Et des insultes en prime :

Voici le nouveau "décor" de la rame 396 , apposé depuis peu par des "artistes" qui nous ont

souhaité au passage une bonne année par ce texte au combien poétique :

" bonne année 2011 les bolos ... "

étonnant non ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 mois plus tard...
  • 3 mois plus tard...

Je suis à l'association du train touristique du centre var et je peux vous dire que les tags C'est pénible. D'autant plus quand on consacre ces samedis pour entretenir nos vieux trains. Et ce sont les mêmes taggeurs qui reviennent tagger chez nous. j'espère que on attrape ces taggeurs.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je suis à l'association du train touristique du centre var et je peux vous dire que les tags C'est pénible. D'autant plus quand on consacre ces samedis pour entretenir nos vieux trains. Et ce sont les mêmes taggeurs qui reviennent tagger chez nous. j'espère que on attrape ces taggeurs.

faudrait presque louer des pistolets de paint-ball, avec de l'encre indélébile, et guetter ces "artistes" afin de les "décorer" !

dans le temps, les vieux auraient chargé leurs fusils de chasse avec des cartouches au gros sel : pas mortel, mais impossible de s'asseoir pendant des jours ! lotrela

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est la première fois que je vois un tag sur une bécane d'une EF privée ! koiquesse

sans doute est lié aux lois des chiffres et des nombres.....

combien d'engins sncf ?

combien d'engins dits privés ?

au final sans doute une question mathématique liée aux probabilités .....qui se résumerait à :

- sachant qu'il y a X engins privés et X puissance 10...20...1000 engins sncf, quel est la probabilité d'un engin privé de se faire taguer ?

cette valeur brute devra être pondérée ou minorée en fonction :

-des lieux de garage des dits engins...

-de la capacités de ces entreprises à les faire surveiller

-des temps réels d'immobilisation sans surveillance etc etc etc.....

:Smiley_39: :Smiley_39: :Smiley_39: :Smiley_39:

Modifié par capelanbrest
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.