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Le Web des Cheminots

Grève reconductible le 11 juin contre la réforme


Invité railailail

Messages recommandés

Bonsoir,

J'ai juste une petite question.

Depuis le début de la grève le RER A arrive à circuler normalement.

Quelqu'un peut-il m'expliquer le pourquoi du comment ?

Je me serai plutôt attendu à ce qu'il ne fonctionne pas sur les branches Poissy et Cergy.

Sinon pour la grève, merci pour les explications que vous fournissez car c'est pas dans les médias classiques que l'on trouvera une explication claire.

Parce qu'il y a moins de trains et que l'infra veillotte arrive à absorber le volume de trafic!!!! quand on vous dis que le service minimum c'est tous les jours!!! w o u a r f!!!

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Bonsoir,

J'ai juste une petite question.

Depuis le début de la grève le RER A arrive à circuler normalement.

Quelqu'un peut-il m'expliquer le pourquoi du comment ?

Je me serai plutôt attendu à ce qu'il ne fonctionne pas sur les branches Poissy et Cergy.

Sinon pour la grève, merci pour les explications que vous fournissez car c'est pas dans les médias classiques que l'on trouvera une explication claire.

Les non grévistes de St Lazare sont affectés prioritairement sur le A pendant la grève.

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Bonsoir,

J'ai juste une petite question.

Depuis le début de la grève le RER A arrive à circuler normalement.

Quelqu'un peut-il m'expliquer le pourquoi du comment ?

Je me serai plutôt attendu à ce qu'il ne fonctionne pas sur les branches Poissy et Cergy.

Tous les non-grévistes de St-Lazare doivent être mis dessus quitte à dépoiler totalement les autres lignes.

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Tous les non-grévistes de St-Lazare doivent être mis dessus quitte à dépoiler totalement les autres lignes.

Pourquoi donner ainsi toute la priorité à la ligne A au lieu de mieux répartir les perturbations sur l'ensemble du réseau Saint-Lazare ? Car pendant ce temps, on galère sur les lignes L (surtout sur les branches Versailles et Saint-Nom, puisque la branche Maisons-Laffite/Cergy bénéficie en grande partie du RER A) et J avec un train sur trois en circulation...

Certes, il s'agit de la ligne la plus fréquentée, mais la section centrale, la plus critique, est exploitée par la RATP et n'est donc pas touchée par le mouvement. Est-ce alors pour éviter à la RATP de retourner des trains à Nanterre-Préfecture ou à La Défense ?

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Evidemment, un corporatiste ne peut pas imaginer qu'on ne veuille pas rejoindre sa corporation. J'ai bien compris que mon avis n'était pas dans le ton du politburo local. Archaïsme quand tu nous tiens ...

Bon a part ca, tu as des choses intéressantes, crédibles et vérifiées a dire (en dehors de ce que tu as vu ou entendu dans les medias). Par ce que pour l'instant tu ne fais qu'enfoncer des portes ouvertes.

Oh avant que tu ne me traites de corporatiste, je suis conducteur de train d'une entreprise privée.

Modifié par Class66220
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Pourquoi donner ainsi toute la priorité à la ligne A au lieu de mieux répartir les perturbations sur l'ensemble du réseau Saint-Lazare ?

Normalement, les priorités de desserte ont été négociées avec l'Autorité Organisatrice des Transports.

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Pour la seule année 2013, le coût du régime spécial de retraite de la SNCF (subvention d'équilibre) est de 3,41 milliards d'euros. Pour environ 160.000 cheminots actifs, il y a 280.000 retraités. Le système survit artificiellement à coup de milliards de subventions chaque année bien évidement au sacrifice de l'emploi et de l'ensemble des français, du public, du privé, avec ou sans emploi, précaire ou non. Qui peut croire que c'est une situation normale ? L'emploi sera crée par les opérateurs privés ou continuera à être détruit si rien ne change....

Ca c'est la vision débilitante des ultra-libéraux, 1+1=0, si on licencie tout le monde on devient riche... c'est mathématique.

Sauf que dans la vraie vie ça n'est pas tout à fait ça. D'abord il existe un principe de continuité historique.

Les 280000 retraités cheminots qu'il faut pensionner aujourd'hui, ont permis quand ils étaient actifs de faire tourner le système ferroviaire, donc en gros sans ces 280000 ex-cheminots et leurs millions de prédécesseurs qui ont "fait" le chemin de fer tout au long de leur carrière, pas d'opérateurs privés aujourd'hui, pas de bénéfices pour les patrons du privé aujourd'hui, rien, nada.

Ensuite, le nombre de cheminots "au statut" a été réduit considérablement, pour augmenter la rentabilité financière de l'entreprise, dans l'optique de privatiser la sncf "plus tard". Mais comme le mammouth était un peu trop vigoureux pour être dégraissé facilement, c'est l'europe qui a ouvert la porte par la mise en concurrence obligatoire. Et on en vient à détruire un service public pour en faire une galaxie d'entreprises à but lucratif.

Le but des ultra-libéraux qui nous dirigent n'est pas de créer des emplois ! Leur but est de capter les richesses produites et de les convertir en dollars sonnants et trébuchants. Un service public ? C'est du gâchis, alors qu'on peut en tirer des bénéfices en dégradant au maximum le service rendu au public par rapport aux recettes. Etc, etc....

Forcément comme l'argent ne pousse pas sur les arbres, il faut bien que quelqu'un paie leurs bénéfices au final, alors il faut choisir les moutons à tondre : clients, salariés, contribuables ? Les 3 à la fois ?

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Vous avez vu comment la direction ce soir a réussi son coup.

Elle a annulée une réunion sur les salaires la semaine dernière aujourd'hui elle reçoit les OS et ne comprend pas pourquoi on ne parle pas de la reforme.

Et juste après l info tourne en boucle les méchants grevistes ne font plus grève contre la reforme mais pour des augmentations de salaire mon dieu...

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Pourquoi donner ainsi toute la priorité à la ligne A au lieu de mieux répartir les perturbations sur l'ensemble du réseau Saint-Lazare ? Car pendant ce temps, on galère sur les lignes L (surtout sur les branches Versailles et Saint-Nom, puisque la branche Maisons-Laffite/Cergy bénéficie en grande partie du RER A) et J avec un train sur trois en circulation...

Certes, il s'agit de la ligne la plus fréquentée, mais la section centrale, la plus critique, est exploitée par la RATP et n'est donc pas touchée par le mouvement. Est-ce alors pour éviter à la RATP de retourner des trains à Nanterre-Préfecture ou à La Défense ?

La SNCF établi le plan de transport selon les ressources disponibles : elle choisit qui sera prioritaire.

Mais ces choix doivent être validé par le Stif. (Code des transports)

On démonte Paul pour habiller Jacques avec l'aval de l'autorité publique, mais c'est de la faute des grévistes évidement.

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Archaïsme quand tu nous tiens ...

Il est logique que ceux qui travaillent dans un domaine archaïque le soient aussi, non ?

Pour une fois qu'un secteur emploie des personnels en adéquation avec son image sans avoir à verser des sommes folles à des cabinets spécialisés en bourrage de crânes intégration de concepts entrepreneuriaux, on ne va pas se plaindre.

PS : Prendre comme pseudo le nom d'une activité assimilable à de la fonction publique d'état et qui a disparu depuis 150 ans relève aussi d'un certain archaïsme.

Modifié par Ae 8/14
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Merci à ceux qui ont pris le temps de me donner des explications un minimum argumentées en réponse à mes interrogations.

Je comprends un peu mieux les contraintes techniques et réglementaires du réseau ferroviaire, la difficulté du travail des agents responsables de la sécurité des trains, ou le fait que la concurrence n'en est pas vraiment une.

Je ne comprends pas la partie du discours où au fond, les français sondés, nos institutions, notre gouvernement et l'europe, auraient tort et une minorité aurait raison.

C'est d'autant plus incompréhensible pour moi dans la situation actuelle, où notre pays régresse, au bord de l'implosion politique et économique.

Je ne parlerai pas des régimes spéciaux, mais là où il y a un "+" pour certains, il y a un "-" pour d'autres. Les précédentes générations ont appauvries les nouvelles comme jamais auparavant. Est-ce dans l'intéret général de préserver tous les systèmes innégalitaires ? Je ne le pense pas, mais ce n'est que mon avis.

Le gros "hic" dans la communication médiatique de ces 10 derniers jours, c'est que pas UN SEUL reportage,UNE SEULE interview n'a parlé des contraintes professionnelles, sociales et familiales que nous subissons... Certes, les cheminots ne sont pas les seuls à en avoir. Mais ces "avantages" sociaux sont actuellement là pour compenser ces contraintes... C'est au menu et pas à la carte. On s'est pris une baffe sur les retraites, plus accentuée que pour le secteur privé, et maintenant, on veut de surcroit supprimer quelques avantages, et augmenter la pénibilité par une réforme de notre code du travail (le RH0077).... Il y a de quoi ne pas être d'accord. Tirer sur ces taquets horaires, c'est mettre en péril la sécurité des circulations. L'ultra libéraliste dira que c'est du risque calculé... Oui jusqu'au jour ou il y a une grosse catastrophe.

L'arrivée de la concurrence, ça ne sera pas comme dans l'aviation... On peut faire décoller 10 avions de 10 compagnies différentes en moins de 30 mn pour faire Paris New York, empruntant des couloirs aériens différents, mais sur des rails, on roule comme sur des départementales.... Une voie par sens.... Donc un signal d'alarme, une panne, un accident de personne, et les retards se cumuleront, quelque soient les opérateurs... Et puis.... regardez le ciel américains: de 5 "majors" au début des années 80, avant la libéralisation, on en est revenu à ....4 "majors" dont une low cost.... Socialement, tout a été nivellé par le bas. Seul "gain" qui ne profite qu'à une infime minorité d'actionnaires, qui eux, ont des statuts sociaux dont vous et moi ne pouvons même pas rêver... Donc dans 20 à 30 ans, de 3 ou 4 gros opérateurs nationalisés (DB, SNCF, FS, RENFE), on en sera revenu à 3 ou 4 gros opérateurs PRIVES européens, à la main de quelques actionnaires roulant sur l'or.... Mais pas leurs employés....

N'oublions pas non plus qu'un opérateur privé, loin d'exploiter une ligne par philanthropie, voudra faire du bénéfice.... Plus de notion de service public, donc adieu les subventions de tout poil, mais bonjour l'explosion du prix du billet.... Les temps de parcours ne vont pas se réduire miraculeusement. Quel gain pour les voyageurs??? Pas mal de témoignages dans les posts précédents montrent qu'il n'y en a pas sur une échelle plus réduite comme les réseau de bus de certaines villes.... Que pensez vous des privations d'EDF, GDF, ou autres qui ont vu les prix à la consommation augmenter plus que drastiquement?

En tout cas, vous avez au moins le mérite de venir au charbon (sans la prime, comme nous....), sur un site ou votre position n'est pas vraiment en odeur de sainteté.... Merci de participer à nos débats!!

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et il y a toujours eu des accords jour de grève contre jour de congés

au dépôt, j'ai toujours (bien que non syndiqué !!) été quasiment le seul a refuser cet "arrangement"

la grève c'est la grève

de plus les congés, on en a besoin.

en revanche, cette année, pas entendu parler du refus d'étaler sur plusieurs mois (comme pour les retraites) qui est quand même assez radical pour faire cesser un mouvement.

Modifié par cyclodocus
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:Smiley_25:

Ca c'est la vision débilitante des ultra-libéraux, 1+1=0, si on licencie tout le monde on devient riche... c'est mathématique.

Sauf que dans la vraie vie ça n'est pas tout à fait ça. D'abord il existe un principe de continuité historique.

Les 280000 retraités cheminots qu'il faut pensionner aujourd'hui, ont permis quand ils étaient actifs de faire tourner le système ferroviaire, donc en gros sans ces 280000 ex-cheminots et leurs millions de prédécesseurs qui ont "fait" le chemin de fer tout au long de leur carrière, pas d'opérateurs privés aujourd'hui, pas de bénéfices pour les patrons du privé aujourd'hui, rien, nada.

Ensuite, le nombre de cheminots "au statut" a été réduit considérablement, pour augmenter la rentabilité financière de l'entreprise, dans l'optique de privatiser la sncf "plus tard". Mais comme le mammouth était un peu trop vigoureux pour être dégraissé facilement, c'est l'europe qui a ouvert la porte par la mise en concurrence obligatoire. Et on en vient à détruire un service public pour en faire une galaxie d'entreprises à but lucratif.

Le but des ultra-libéraux qui nous dirigent n'est pas de créer des emplois ! Leur but est de capter les richesses produites et de les convertir en dollars sonnants et trébuchants. Un service public ? C'est du gâchis, alors qu'on peut en tirer des bénéfices en dégradant au maximum le service rendu au public par rapport aux recettes. Etc, etc....

Forcément comme l'argent ne pousse pas sur les arbres, il faut bien que quelqu'un paie leurs bénéfices au final, alors il faut choisir les moutons à tondre : clients, salariés, contribuables ? Les 3 à la fois ?

:Smiley_64::Smiley_26:

excellente analyse.

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Tout est bon pour faire de la provocation... à une autre époque, ces propos émanant de la droite, personne ne s'en serai ému, mais là provenant d'un membre du ps, cela démontre que ce parti n'a vraiment plus rien de social !!!

http://www.lepoint.fr/societe/greve-sncf-jean-marie-le-guen-fustige-les-jamais-contents-17-06-2014-1836908_23.php

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En réponse au mouvement des Cheminots, des collectifs d'usagers s'organisent pour faire la grève du billet, ainsi le taux de fraude va exploser... et surtout permettre de prendre des habitudes qui s'inscriront sur la durée...

http://www.lepoint.fr/societe/contre-la-greve-sncf-des-usagers-lancent-la-greve-des-billets-13-06-2014-1835951_23.php

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le même Le Guen a sévi ce matin sur France-Inter. Même du temps de Sarkozy, on n'avait pas entendu des horreurs pareilles.

Toute cette clique a jeté les masques par dessus bord. Leur chef a voulu d'abord être le petit père du peuple, celui qui rabiboche tout le monde, bisounours et cie.... mais maintenant, puisque ça n'a pas marché, quitte à tout casser, le PS en premier, il ne lui reste plus que la misssion qu'il s'est donnée dès le départ : être le meilleur élève de l'Europe dite "libérale" et en recevoir les félicitations.

Modifié par 5121
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Réforme ferroviaire : ce qu’il nous en coûterait de céder aux grévistes SNCF, ... même pour un projet insuffisant (atlantico.fr - 17/06/2014)

La grève à la SNCF tourne au bras de fer entre des grévistes qui prolongent le mouvement et un gouvernement qui affiche une posture de fermeté. Ce dernier s'est d'ailleurs inscrit dans une logique où tout recul pourrait prendre des proportions considérables ...

http://www.atlantico.fr/decryptage/reforme-ferroviaire-qu-en-couterait-ceder-aux-grevistes-sncf-meme-pour-projet-insuffisant-alain-bonnafous-bertrand-rothe-1619543.html

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Atlantico est l'équivalent "atlantiste" de Rue89, même si parfois de bonne qualité, il est orienté très libéral, voir néo... (mode d'emploi :) )

Et ce sont des chercheurs en sciences humaines qui parlent? Je veux bien parler de « collègues » dans le sens où on exerce le même métier, mais ça s'arrête là.

« Si les autorités se retrouvent à céder devant un mouvement un peu plus "dur" que la moyenne, cela n'enverrait-il pas le signal que même en période de crise et de restrictions, il suffit pour les syndicats d'être fermes pour obtenir satisfaction ? Un recul du gouvernement n'entraînerait-il pas le début d'une cascade de revendications ?

Alain Bonnafous : Dans la mesure où il n’y a pas d’enjeux majeurs pour les cheminots, par exemple au sens où leur statut serait remis en cause, il est clair que pour les syndicats grévistes il s’agit d’exercer un rapport de force qui a pour objectif de rendre plus accommodante la puissance publique dans les négociations futures. En particulier lorsqu’il s’agira de négocier un cadre social commun aux salariés du ferroviaire, y compris ceux des opérateurs privés. La question sera de savoir jusqu’où les agents de la SNCF pourront accepter de rapprocher leur productivité de celle des salariés des opérateurs privés ou du niveau européen. Tout recul du gouvernement garantirait l’avortement de ces adaptations.

Bertrand Rothé : C’est évidemment leur crainte [leur crainte à qui? au gouvernement? aux grévistes?]. Je pense qu’elle est fondée sur une erreur de jugement. En face d’eux, ils n’ont pas une réaction rationnelle. Les gens, les cheminots, les Français ont peur. Et souvenez vous des vieilles thèses de Laborit, devant la peur il y a trois réactions possibles : l’agressivité, le suicide ou la fuite. La fuite est impossible. Depuis trente ans à chaque réforme, les politiques, souvent socialistes, comme Jacques Delors, ont annoncé des lendemains qui chantent. La seule conséquence, ce sont les augmentations du chômage et des inégalités croissantes. Les gens se sentent acculés, ils deviennent agressifs. Il faut faire baisser la pression. La CGT aimerait bien mais la centrale court après sa base, et les cheminots ne veulent rien entendre. Une de leurs peurs c’est de ne pas être écouté, et elle est fondée. En 2005 ils refusent le traité constitutionnel, on – socialistes et UMP – leur impose. Ils votent Hollande pour faire une pause dans la mondialisation, pour tenir tête aux choix allemands. Le président de la République devient quelques jours après son élection le vice chancelier de Merckel - l’expression est d’Emmanuel Todd -. Ils votent alors FN à 25 %. Le président fait une apparition à la télévision pour leur dire qu’il les a compris… et cela continue. »

Dans un sens, les universitaires peuvent se trouver dans l'incapacité de comprendre la raison d'un mouvement « de corps » (dans le sens positif du terme) parce que chez nous, dans l'université française, nous en sommes à une logique libérale du tous contre tous depuis 20 ans, dans l'espoir de garder nos maigres cacahouètes, voire d'en obtenir quelques autres. Alors, vu d'un bureau du CNRS, des personnes qui luttent ensemble dans un but commun ce ne peut être que des corporatistes, ou, pour les plus romantiques, le matin du grand soir. En tout cas, la retranscription de cette interview est à gerber.

Modifié par Peppercorn Class
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