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Le Web des Cheminots

En hommage aux combattants du Vercors


Invité Moustique69002

Messages recommandés

Oui, des gens massacrés par des soldats Ukrainiens, entre autres (et oui), qui avaient rejoint le parti Nazi.

Et ça tombe bien, notre gouvernement soutient aujourd'hui, avec les USA, les néo-nazis ukrainiens de Pravy sektor qui participent au gouvernement nationaliste actuel anti-russe... tout va bien ! :dry:

Mais bon, comme le dit Laurent Fabius, ce ne sont pas des gens d'extrême-droite, il sont juste " un peu plus à droite que d'autres"...

Un peu d'histoire : https://fr.wikipedia.org/wiki/Maquis_du_Vercors

Modifié par clicsouris
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Oui, des gens massacrés par des soldats Ukrainiens, entre autres (et oui), qui avaient rejoint le parti Nazi.

Et ça tombe bien, notre gouvernement soutient aujourd'hui, avec les USA, les néo-nazis ukrainiens de Pravy sektor qui participent au gouvernement nationaliste actuel anti-russe... tout va bien ! :dry:

Mais bon, comme le dit Laurent Fabius, ce ne sont pas des gens d'extrême-droite, il sont juste " un peu plus à droite que d'autres"...

Un peu d'histoire : https://fr.wikipedia.org/wiki/Maquis_du_Vercors

Est-ce pertinent que de dire cela? C'est l'armée allemande (quelles que soient les unités présentes sur le terrain) qui a massacré les civils et les résistants considérés comme "terroristes", détruit Vassieux, La Chapelle en Vercors et d'autres villages. Et même si ce n'est pas dit cette répression n'a-t-elle pas été aidée comme aux Glières par de bons français les kollabos et la milice?

Je vais relire un livre que je possède sur cet épisode tragique : Vercors Haut-lieu de France par le commandant Pierre TANANT Chef d’État-major du Vercors publié aux éditions Arthaud en 1948 (mon exemplaire fait partie de la 7ème édition).

Modifié par black5
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L’article du Conseil général de l'Isère, sur la fin du maquis du Vercors rappelle la légende noire de « la trahison des alliés » qui auraient laissé tomber le maquis lorsqu’il a été attaqué par la 157e division de la Wehrmacht en juillet 1944.

Un colonel suisse a écrit un livre extrêmement intéressant sur les opérations de la 157e réserve-division allemande qui a combattu aux Glières et dans le Vercors sud.

C’est un livre très technique, à la suisse, c’est-à-dire très sérieux.

Le maquis du Vercors sud avait eu comme instructions de Londres de se faire discret, de ne pas énerver les Allemands, et de s’entrainer sur le plateau du Vercors afin qu’au moment voulu, ils se mettent en unités constituées à disposition des armées alliées qui remontaient la vallée du Rhône.

Malheureusement, des partisans (d’où, le titre du livre « maquis et partisans) ont commis des actions contre-productives (attentats, règlements de compte) dans la vallée, ce qui a donné un motif aux Allemands pour intervenir.

Voilà pourquoi le maquis aurait été abandonné à son sort ; il n’aurait pas obéi aux ordres de Londres (voir le deuxième encadé de la page 258 du livre)

C’est ce que j’ai compris de cette affaire.

L’article parle aussi de la citadelle imprenable du Vercors

Il y a quelques années, j’ai passé mes vacances à Gresse-en-Vercors, et j’ai parcouru un « Goulet » de la formidable muraille du Vercors sud.

Les Goulets qu’on appelle « couloirs » dans les Alpes du Nord se situent entre les éperons, ils sont raides mais ont été remontés par les soldats allemands qui ont surpris les maquisards sur le plateau qui ne s’attendaient pas à ce qu’ils passent par là ; sauf au Grand Goulet qui est facile, et même là, les sentinelles ont été surprises.

Modifié par VSG
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Le maquis du Vercors

La muraille de la citadelle du Vercors, au-dessus de Gresse-en-Vercors. On voit bien les "Goulets"

En remontant un "goulet" de la muraille ; passages empruntés par les soldats allemands

À la sortie du "goulet" on arrive sur le plateau du Vercors, là où s'entrainait le maquis.

C'est un endroit désertique, glacial en hiver. On peut se perdre facilement, surtout quand il y a de la neige, tomber dans une diaclase, et y laissait sa peau.

Il fallait être costaud pour vivre là-haut pendant les années de guerre.

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pour ceux que ce livre intéresse sur Abebooks .fr

La longue marche de la Division 157 (French Edition)

Wyler, Christian

Edité par Editions Jacques Grancher (2004)

ISBN 10 : 2733908928 ISBN 13 : 9782733908921

Neuf(s) Couverture souple

Quantité : 3

Expéditeur : Nomade Store Europe (La Rochelle, A., France)

Evaluation du vendeur : fourstar.gif

Prix: EUR 29,41
frais de port : EUR 8,50
Vers France

Description du livre : Editions Jacques Grancher, 2004. PAPERBACK. État : New. 2733908928 GRANCHER (38308) Weight: 630g. / 1.39lbs Great Customer Service!. N° de réf. du libraire 9782733908921

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Merci à JACKV pour son incitation à la lecture du livre de Christian Wyler.

Quelques photos pour montrer l'impressionnante citadelle du Vercors, protégée côté vallée Grenoble/Gap, par une longue muraille.

On dirait une vague déferlante.

Mais aussi les points faibles de cette muraille : un autre "goulet" qui permet d'accéder "facilement" sur le plateau, (facilement pour les "gebirgsjägers" ; les chasseurs alpins allemands).

C'est raide, exposé, mais ça n'est pas de l'escalade proprement dite.

Modifié par VSG
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Il y avait deux sortes " de troupes alpines " dans les armées allemandes pendant la 2 ème guerre mondiale.

Les troupes conventionnelles " heer " montagne et les troupes de la waffen SS spécialisée montagne. Toutes deux ayant héritées leur savoir faire de l'infanterie de montagne de l'autriche créée pendant la première guerre mondiale.

Dans le Vercors ( comme en Haute Savoie sur le plateau des Glières) se sont surtout des troupes de la waffen SS montagne qui sont intervenues pour déloger les maquisards.

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Le maquis du Vercors sud avait eu comme instructions de Londres de se faire discret, de ne pas énerver les Allemands, et de s’entrainer sur le plateau du Vercors afin qu’au moment voulu, ils se mettent en unités constituées à disposition des armées alliées qui remontaient la vallée du Rhône.

Malheureusement, des partisans (d’où, le titre du livre « maquis et partisans) ont commis des actions contre-productives (attentats, règlements de compte) dans la vallée, ce qui a donné un motif aux Allemands pour intervenir.

Voilà pourquoi le maquis aurait été abandonné à son sort ; il n’aurait pas obéi aux ordres de Londres (voir le deuxième encadé de la page 258 du livre)

C’est ce que j’ai compris de cette affaire.

salops de partisans des communistes encore,c'est leur faute si on a perdu la guerre !

j’exagère, mais , mais de peu !

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On parle souvent de la résistance dans le vercors, mais il avait une base arrière bien placée et efficace, la Chartreuse ( chère aux actes de résistances menés par mon grand père ).

Car si ils agissaient souvent en direction de grenoble voiron et voreppe, ils menaient aussi la résistance vers l'isère nord et le sud ouest de la savoie. ( certains combats eurent lieux vers st Béron, Pont de beauvoisin et côté savoie vers la Bridoire et autour du lac d'aiguebelette. Là d'autres groupes logeaient dans le massif des Bauges.

https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=2&cad=rja&uact=8&ved=0CCkQFjAB&url=http%3A%2F%2Fresistanceenisere.eklablog.com%2Fle-maquis-de-la-chartreuse-a107320430&ei=EIu9U7X8OuyS0QWopoEo&usg=AFQjCNGF_XN5MZgKido8wo2rIukWP1y8KQ

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Chasser l'occupant des Alpes, du nord au sud, faits de guerre ou de résistance rendu possible par des pros du combat des cîmes désengagés de gré ou de force des troupes de montagnes de l'armée française. Ces chasseurs alpins de métier furent bien utile à la formation et à l'encadrement des résistants. Des noms connus, dont certains se rappellent à ma mémoire d'enfant de chasseur!!!

http://www.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Fguysylvain.perso.infonie.fr%2Fphotoalpin%2Fresistance%2Fresistance1.jpg&imgrefurl=http%3A%2F%2Fguysylvain.perso.infonie.fr%2Fnouvellepage10.htm&h=664&w=900&tbnid=-ownOQNhztQRAM%3A&zoom=1&docid=fdAiX2hbM6UFcM&ei=gI69U5rWHeua0QWH1oDoCA&tbm=isch&iact=rc&uact=3&dur=323&page=1&start=0&ndsp=16&ved=0CEAQrQMwCg

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Le maquis du Vercors sud avait eu comme instructions de Londres de se faire discret, de ne pas énerver les Allemands, et de s’entrainer sur le plateau du Vercors afin qu’au moment voulu, ils se mettent en unités constituées à disposition des armées alliées qui remontaient la vallée du Rhône.

Malheureusement, des partisans (d’où, le titre du livre « maquis et partisans) ont commis des actions contre-productives (attentats, règlements de compte) dans la vallée, ce qui a donné un motif aux Allemands pour intervenir.

Voilà pourquoi le maquis aurait été abandonné à son sort ; il n’aurait pas obéi aux ordres de Londres (voir le deuxième encadé de la page 258 du livre)

C’est ce que j’ai compris de cette affaire.

salops de partisans des communistes encore,c'est leur faute si on a perdu la guerre !

j’exagère, mais , mais de peu !

Il y avait une concurrence entre les Résistances, car il y avait plusieurs organisations de résistance : FFI, FTP, SOE, Armée secrète, etc.

Je ne mets pas la photocopie, mais je lis sur la page 251 du livre « mais on peut se demander, aujourd’hui, si cette stratégie de la provocation n’a pas précipité le destin du Vercors ».

Ça ne vise pas spécialement les FTP (communistes), l’auteur met en cause aussi le SOE qui a effectué beaucoup de parachutages d’armes sur le plateau, inquiétant les Allemands

Le SOE (spécial opération executive) était un service secret de l’armée anglaise spécialisé dans le parachutage d’armes (dont les fameuses mitraillettes Sten), qui agissait aussi pour son propre compte.

Il y avait un maquis SOE dans le massif des Trois Pignons de la Forêt de Fontainebleau, appelé Réseau Publican (Publican voulant dire « tenancier de pub » dans l’argot anglais).

http://fr.wikipedia.org/wiki/Special_Operations_Executive

http://milly91490.blogspot.fr/2010/10/le-monument-de-la-resistance-noisy-sur.html

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Il y avait une concurrence entre les Résistances, car il y avait plusieurs organisations de résistance : FFI, FTP, SOE, Armée secrète, etc.

parmi les etc...

il y a le

150px-Logo_Front_National_%28ann%C3%A9e_

Front National créé par la Parti Communiste.

JM Le Pen a fait un pied de nez à l'histoire avec un grand H en baptisant son mouvement du même nom.

Et à l'époque, personne ne lui a fait un procès.

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Pour la libération ils surent s'allier et faire l'impasse sur leurs idées pour repousser l'occupant hors des frontière. Cette force allier des divers groupes de résistants représentait 20 000 hommes. ( ce n'est pas rien ) cela allait donner lieu à la reconstitution de la 27 ème division alpine ( pour les alpes du nord) Certain groupes iront repousser les allemands jusqu'à Turin après avoir mené les combats les plus hauts d'europe pendant cette guerre ( col du midi 3500 m ).

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On parle souvent de la résistance dans le vercors, mais il avait une base arrière bien placée et efficace, la Chartreuse ( chère aux actes de résistances menés par mon grand père ).

Car si ils agissaient souvent en direction de grenoble voiron et voreppe, ils menaient aussi la résistance vers l'isère nord et le sud ouest de la savoie. ( certains combats eurent lieux vers st Béron, Pont de beauvoisin et côté savoie vers la Bridoire et autour du lac d'aiguebelette. Là d'autres groupes logeaient dans le massif des Bauges.

https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=2&cad=rja&uact=8&ved=0CCkQFjAB&url=http%3A%2F%2Fresistanceenisere.eklablog.com%2Fle-maquis-de-la-chartreuse-a107320430&ei=EIu9U7X8OuyS0QWopoEo&usg=AFQjCNGF_XN5MZgKido8wo2rIukWP1y8KQ

Les Bauges : l’auteur du livre en parle. Les Allemands ont tenu à « nettoyer » définitivement (je cite) les Bauges avant de s’attaquer au plateau du Vercors.

Ça commence par la zone du plateau du Revard : échec.

Puis ratissage des Bauges (sud du lac d’Annecy, de la Montagne du Semnoz à la montagne du Charbon : nouvel échec. Les maquisards ont passé les mailles du filet pour se regrouper plus loin.

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Les Bauges : l’auteur du livre en parle. Les Allemands ont tenu à « nettoyer » définitivement (je cite) les Bauges avant de s’attaquer au plateau du Vercors.

Ça commence par la zone du plateau du Revard : échec.

Puis ratissage des Bauges (sud du lac d’Annecy, de la Montagne du Semnoz à la montagne du Charbon : nouvel échec. Les maquisards ont passé les mailles du filet pour se regrouper plus loin.

Faut dire qu'il y avait de sacrés gaillards!!! Pour exemple, en vallées de chamonix au niveau de servoz, 7 résistants avaient réussi à refouler un convois allemand dans le défilé des Egratz!!! fallait avoir des coui.... pour oser cela!!!

Modifié par Rail cassé
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​pour rester dans les mêmes régions, dates et encore la 157emme

http://www.ledauphine.com/isere-sud/2014/07/10/l-epopee-de-l-ete-1944

Été 1944 : après des années sous le joug de l’occupant allemand ou italien, notre région était libérée. Une série à suivre en juillet et août.

extrait

"En Oisans, la Résistance mène la vie dure à la Wehrmacht contrainte de se replier en direction de la Maurienne et de Grenoble. Le 21, des troupes américaines bifurquent en direction de la vallée du Rhône pour mener la bataille de Montélimar.

Dans l’intervalle en Haute-Savoie à l’annonce du débarquement en Provence, la Résistance libère successivement Evian, Thonon, Annemasse, Bonneville et Cluses. Le 19 août, Annecy tombe à son tour, la garnison allemande de la ville forte d’un millier d’hommes rend les armes. Réalisée en quatre jours et par les seuls FFI, la libération du département de Haute-Savoie est un cas unique en France.

Dans la nuit du 21 au 22 août, les troupes allemandes de la 157e division de réserve fuient la ville alors que l’avant-garde alliée et la Résistance se trouvent à ses portes. Le 23, 1 500 hommes de la Wehrmacht refluent vers Domène et Gières dans la banlieue grenobloise sous les attaques de la Résistance. Ils se rendent aux GI et aux Résistants le 24."

Modifié par le jour b
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et bien sur les GLIERES

à l’automne 1943, lorsque l’armée allemande occupe le département, les conditions sont réunies pour que s’affirme en Haute-Savoie une Résistance significative. Elle est riche en hommes, notamment du fait de l’apport des « réfractaires », mais pauvre en armes. C’est dans ce contexte que va naître Glières au début 1944.

extrait

Glières n’aurait pu être que le site de parachutage choisi par les Alliés en janvier 1944 pour armer les maquis de Haute-Savoie. S’il est devenu un fait d’armes héroïque témoignant de la résolution de la Résistance face à l’anti-France de Vichy et à l’occupant allemand, il le doit à l’état d’esprit exemplaire qui anima ses hommes.

Venus de toutes les régions de France, pour la plupart refusant de se soumettre au service du travail obligatoire en Allemagne, ces jeunes de 18 à 25 ans ont été accueillis et hébergés par les Haut savoyards, puis entraînés par les cadres du 27ème BCA porteurs de leurs compétences et de leurs traditions militaires.L’isolement, la faim, le froid, la solitude de la montagne et les périls grandissants scellèrent leur solidarité dans la vie et dans la mort.

Leurs chefs, animés d’une foi ardente dans l’avenir de la France, partagèrent avec eux l’espérance de la libération et la volonté de faire face à l’ennemi. Bien que d’origines et d’horizons politiques divers, et même pour certains de pays étrangers, faisant partie d’organisations de Résistance différentes (AS et FTP), tous s’unirent dans une même ardeur pour faire triompher la liberté en prenant pour devise « Vivre libre ou mourir ».

Le premier commandant du Plateau des Glières, le lieutenant Théodose Morel, dit Tom, à l’autorité si exigeante mais si fraternelle et si présente à tous malgré les distances qui séparaient leurs cantonnements et leurs postes de combat, fut pour eux l’incarnation de leurs espoirs et de leur volonté. Sous ses ordres, puis, après sa disparition tragique, sous celle du capitaine Anjot, dit Bayart, à qui il allait revenir de conduire un combat inégal face à la Wehrmacht, ces jeunes maquisards firent preuve de la forme la plus désintéressée et la plus pure du combat de la Résistance : pas d’arrière-pensées, pas de calculs personnels, pas de visées partisanes, mais la France, rien que la France, qui méritait bien, pour eux, cet absolu dévouement.

En se faisant l’âme d’une communauté fortement unie par les circonstances et par l’idéal, « l’esprit Glières » devint un élan fraternel unissant des hommes qui se sentaient responsables d’un même avenir.Cet « esprit Glières », ce fut la volonté au service de l’espoir, l’enthousiasme de la jeunesse pour la liberté reconquise, la mystique de la libération en vue d’une France fraternelle qui serait comme une vaste extension de la communauté du Plateau.

http://www.glieres-resistance.org/L-Esprit-des-Glieres

Voilà pourquoi Glières reste, aujourd’hui encore, une exceptionnelle source d’inspiration, notamment pour les générations nouvelles, qui peuvent y trouver une illustration sans pareille des valeurs qui fondent notre communauté nationale.

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le cimetiére de Morette en bas du plateau et l'histoire de la prise du plateau

http://www.herodote.net/histoire/evenement2.php/t/articles/7?jour=19440326

Sur Radio Londres, par la voix de Maurice Schumann, on peut encore entendre ceci le 7 avril 1944 : « À Glières, 500 Français ont résisté à 12.000 Allemands pendant 14 jours ». Il n'en reste pas moins que le maquis des Glières aura convaincu les chefs alliés de l'utilité de la Résistance française dans leur combat contre le nazisme.

Modifié par jackv
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J'en reviens au livre du Commandant Pierre Tanant, que je n'ai pas fini de relire, voici l'image de la page de couverture :

Le maquis du Vercors, enfin si l'on l'appeler ainsi, regroupait quelque 4000 hommes, militaires du 6ème BCA recréé, avec d'anciens rappelés et et des nouveaux enrôlés, des éléments du 11ème Cuirassiers reconstitué. Tout ces hommes étaient encadrés par des militaires de carrière et tous ont prouvé leur valeur au cours des combats contre des forces très supérieures en nombre et beaucoup mieux équipées artillerie, planeurs et vêtements chauds : il faut savoir que des Tirailleurs Sénégalais se trouvaient là et qu'ils ont du être retirés du combat faute de vêtements chauds. De façon générale l'habillement était pauvre, des uniformes "récupérés" dans des dépôts à Grenoble et ses environs manque de chaussures adaptées ! certains nouveaux n'avaient que des chaussures basses!... Asuivre

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