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Le Web des Cheminots

Continental a décidé de fermer le site de Clairoix dans l'Oise


michael02

Messages recommandés

Invité necroshine

Plus de 1000 personnes au chomdu d'ici un an ...

Le reportage, et le plateau avec le Vice Président de Continental

France3 Picardie 2009_03_11 19-20

Continental a été racheté il y a peu de temps, aout 2008,

les investisseurs veulent surement un retour sur investissement plus que rapide.

1100 personnes ne representent rien humainement parlant pour ces "economistes" d'entreprise....

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Continental a été racheté il y a peu de temps, aout 2008,

les investisseurs veulent surement un retour sur investissement plus que rapide.

1100 personnes ne representent rien humainement parlant pour ces "economistes" d'entreprise....

mais non, mais non, la lutte de classes n'existe pas, tous les hommes sont frères .....

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A noter que dans cette usine, il y a peu, la direction a imposé le passage au 40H/semaine avec maintien du salaire antérieur. Faute d'acceptation, la direction disait qu'elle serait contrainte de fermer l'usine.

Le passage au 40H est passé, la direction ferme quand même.

Cela prouve bien ce que vaut la parole du grand patronat et actionnariat.

On ne peut que regretter que le drapeau lancé tel un javelot par un des ouvriers contre le directeur n'ait pas atteint sa cible.

Cela conforte également le choix des copains de la CGT et SUD de Goodyear à Amiens, qui ont refusé ce type de chantage, dans un contexte très difficile. A l'époque, les médias se déchainaient contre eux parce qu'ils étaient soit disants "responsables" de la mort annoncée de ces deux usines.

Solidarité avec les ouvriers clairoix. La bagarre doit, va, être rude pour les faire reculer.

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On ne peut que regretter que le drapeau lancé tel un javelot par un des ouvriers contre le directeur n'ait pas atteint sa cible.

Ah si seulement les armes etaient en vente libre en france........

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Ne répondont pas à leurs violences par la violence, du moins pour le moment il y a d'autres actions à mener. Déja se rassembler et pouvoir " le rapport " de force.

La violence ils n'attendent que cela pour nous lacher leurs chiens de gardes, alors soyont plus intelligeant, mobilisons un " max ", le reste des luttes viendra.

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Ne répondont pas à leurs violences par la violence, du moins pour le moment il y a d'autres actions à mener. Déja se rassembler et pouvoir " le rapport " de force.

La violence ils n'attendent que cela pour nous lacher leurs chiens de gardes, alors soyont plus intelligeant, mobilisons un " max ", le reste des luttes viendra.

Pour ma part c'etait du 2eme degré....

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  • 1 mois plus tard...

Les salariés de Continental saccagent la sous-préfecture de l'Oise

LEMONDE.FR | 21.04.09 | 16h57 • Mis à jour le 21.04.09 | 18h05

Le tribunal de Sarreguemines (Moselle) a débouté, mardi 21 avril, les salariés de Continental "sur tous les points", dans leur demande de suspension ou d'annulation de la procédure de fermeture de l'usine de Clairoix (Oise). "C'est le pire scénario, nous sommes catastrophés", a déclaré à l'AFP Pierre Rubeck, délégué syndical central CFTC et secrétaire du CCE.

Plusieurs centaines de salariés de l'entreprise ont saccagé en partie les locaux de la sous-préfecture de l'Oise à Compiègne, après l'annonce de la décision du tribunal. Contacté par Le Monde.fr, Xavier Matthieu, délégué CGT, explique "que le gouvernement nous prend pour des cons", énervé de ne pas avoir été reçu depuis cinq semaines au cabinet de Christine Lagarde. "On attendait la réponse de Sarreguemines, quand elle est tombée, tout le monde s'est énervé" affirme M. Matthieu. "Je suis totalement solidaire, je n'ai rien fait pour les retenir", explique-t-il. Selon Le Parisien.fr, les bureaux de la sous-préfecture étaient déserts. Les forces de l'ordre présentes n'ont pas réussi à empêcher le saccage.

Pour un porte-parole de la direction, "le tribunal a reconnu que Continental avait bien rempli ses obligations légales dans le cadre de la procédure d'information et de consultation des partenaires sociaux". "Les prochaines réunions du comité central d'entreprise, à commencer par celle de mercredi à Nice, peuvent donc avoir lieu", s'est félicité le porte-parole. La direction allemande a annoncé le 11 mars son intention de fermer les sites français de Clairoix et allemand de Hanovre qui emploient respectivement 1 120 et 780 personnes, pour réduire sa production de pneus en Europe.

Ralph Blindauer, avocat du comité d'entreprise et de l'intersyndicale, avait invoqué un délit d'entrave au comité d'entreprise, celui-ci ayant été consulté alors que la décision de fermeture était, selon lui, déjà prise. Il avait également estimé que le fabricant allemand de pneumatiques, dont le siège français est à Sarreguemines, aurait dû consulter le comité de groupe européen en préalable à l'engagement de toute procédure nationale. Le parquet l'avait soutenu dans cette analyse.

Ralph Blindauer avait encore estimé que la fermeture du site constituait une violation de l'accord de 2007 sur le retour aux 40 heures de travail hebdomadaire qui s'accompagnait, selon lui, d'une promesse de pérenniser l'usine jusqu'en 2012. Les représentants de l'entreprise avaient réfuté l'ensemble des arguments. "A quelle entreprise française a-t-on interdit de licencier pendant cinq ans alors que la situation économique est catastrophique ?", avait notamment demandé Me Déborah David à propos du dernier point.

Modifié par Jay17
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mais non, mais non, la lutte de classes n'existe pas, tous les hommes sont frères .....

putain arrête de faire de l'ironie sur une chose dont tous le monde c'est qu'elle est totalement dépassé !

N'oublie les grand préceptes de nos grand économistes : "les bénéfices d'aujourd'hui font les investissements de demain pour assurer l'emploi d'après demain"....

... comment ça on s'est foutu de notre gueule ? mais non ait "confiiaaaance" petit prolétaire ait "conffffiiaaaanssssse".

Modifié par Bandaa Bono
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putain arrête de faire de l'ironie sur une chose dont tous le monde c'est qu'elle est totalement dépassé !

N'oublie les grand préceptes de nos grand économistes : "les bénéfices d'aujourd'hui font les investissements de demain pour assurer l'emploi d'après demain"....

... comment ça on s'est foutu de notre gueule ? mais non ait "confiiaaaance" petit prolétaire ait "conffffiiaaaanssssse".

C'est de grand-père Barre dans le texte...

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Ne répondont pas à leurs violences par la violence, du moins pour le moment il y a d'autres actions à mener. Déja se rassembler et pouvoir " le rapport " de force.

La violence ils n'attendent que cela pour nous lacher leurs chiens de gardes, alors soyont plus intelligeant, mobilisons un " max ", le reste des luttes viendra.

C'est pour cela que nous devons attendre le 1er Mai pour nous rassembler derrière nos "camarades syndiqués des brins de muguets "( !)afin de protester énergiquement contre la situation économique qui se dégrade .

Et le 2 mai ,comme on aura vendu tous les brins de muguets , les "camarades syndiqué des brins de muguet " retourneront au turbin ......pour ceux qui en ont .les autres : "circulez , il n'y a rien à voir ! " re !

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C'est pour cela que nous devons attendre le 1er Mai pour nous rassembler derrière nos "camarades syndiqués des brins de muguets "( !)afin de protester énergiquement contre la situation économique qui se dégrade .

Et le 2 mai ,comme on aura vendu tous les brins de muguets , les "camarades syndiqué des brins de muguet " retourneront au turbin ......pour ceux qui en ont .les autres : "circulez , il n'y a rien à voir ! " re !

Salut Marco, je te sents un peu dubitatif sur mon dernier post, t'inqiète, nul envie de jouer les enfants de coeur. Eux il sont violents, inutile d'agir comme eux, il nous faudra juste être plus malin, c'est tout.

Quand au muget, il me file des allergies, py cet année de crise, la tige vaudra plus cher que la fleur, alors geule de bois assurée le 2 mai.

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Ségolène Royal déplore ""un dialogue social digne du Moyen-Age"

AP

Ségolène Royal a estimé jeudi que "la violence ne résout rien" dans les conflits sociaux, dénonçant "un dialogue social digne du Moyen-Age"

Interrogée sur le saccage de la sous-préfecture de Compiègne (Oise) par des salariés de Continental, la présidente socialiste de la région Poitou-Charentes a souligné sur RTL que "la violence ne résout rien" avant d'ajouter: "En même temps, je ne confonds pas les voyous et casseurs avec des salariés qui sont désespérés".

"Il faut appliquer la loi à tous les citoyens, mais il faut savoir apaiser les tensions de tous cotés, en appeler au calme et éviter de parvenir à ces extrêmes", a-t-elle noté. Et "il faut aussi avoir un gouvernement en face qui prenne ses responsabilités".

"J'observe qu'il a fallu en arriver à ces actes extrêmes pour que le gouvernement leur accorde la réunion tripartite qu'ils demandaient depuis 5 semaines: pourquoi depuis des semaines ce dialogue social ne s'est-il pas noué?", s'est interrogée Mme Royal.

Avançant "trois raisons pour lesquelles on peut craindre la multiplication de ce type d'actions", Ségolène Royal a identifié "des injustices exacerbées", "la parole de l'Etat qui n'est pas tenue" avec Nicolas Sarkozy et "un dialogue social qui est digne du Moyen-Age".

"Il y a dans les pays du Nord de l'Europe autant de mutations industrielles et très peu de grève et de conflits sociaux parce que les salariés et les organisations syndicales sont respectées", a analysé l'ancienne candidate à la présidentielle. "La loi oblige les entreprises à les associer aux mutations industrielles et on trouve de solutions avant que les gens basculent dans la colère". AP

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Salut Marco, je te sents un peu dubitatif sur mon dernier post, t'inqiète, nul envie de jouer les enfants de coeur. Eux il sont violents, inutile d'agir comme eux, il nous faudra juste être plus malin, c'est tout.

Quand au muget, il me file des allergies, py cet année de crise, la tige vaudra plus cher que la fleur, alors geule de bois assurée le 2 mai.

je ne sais pas, mais j'ai comme l'impression que le 2 mai, un certain nombre de boîtes ne rentreront pas au boulot ! Sans faire de parallèle absolu avec 68, c'est quand même ce qui s'est passé après le 13 mai (Dix ans ça suffit !). 13 mai précédé de conflits locaux et de grèves de durée limitée mais en nombre grandissant ...

Plus que 8 jours ....

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http://fr.news.yahoo.com/63/20090423/tpl-v...-e-5cc6428.html

Copie de la lettre de Ségolène Royal à Zapaterro...

Pleine de fraternitude cette missive ... :cool: restons à Clairoix cependant

Modifié par michael02
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La SNCF a fait un prix attractif pour les Conti. 45 € par pers A/R en couchette pour les 1200 manifestants venus de France en Allemagne.

Les Continental à Hanovre pour «le début d'une lutte internationale

Source: Médiapart

De notre envoyé spécial en Allemagne

Des cris, des chants, de la bière, une guitare dans un wagon, un djembé dans un autre: «Ah il est bien notre CE! Il organise plein de voyages en ce moment. A Reims, à Paris, à Sarreguemines et à Hanovre maintenant!» A Continental, on a l'humour qu'on peut. Amer, forcément. Mais, malgré le dépit qui rejaillit parfois entre deux blagues salaces, le train qui prend mercredi soir le départ de Compiègne pour l'Allemagne dégage une énergie impressionnante.

Par ses dimensions d'abord. L'usine de Clairoix, dont la fermeture a été annoncée pour 2010, compte 1.120 salariés. Or ils sont 1.200 à se coller-serrer dans les couchettes de 19 wagons d'un train spécialement affrété pour l'occasion (55.000 euros financés par le conseil régional et le conseil général). Certains sont venus accompagnés de leur compagne, de leurs enfants, de leurs parents, d'amis...

Mais à l'arrivée à Hanovre, la foule surprend aussi. Quelques centaines de salariés Continental allemands sont venus attendre les Conti français à la gare, avec les drapeaux et les sifflets de rigueur. Ils vont conduire le cortège vers le Kuppelsaal où se réunissent les dirigeants de l'entreprise multinationale.

Une tribune a été montée et Xavier Matthieu se lance dans un discours un brin grandiloquent mais qui fait mouche: «C'est un moment historique. Nous nous unissons, nous qui sommes démolis par les mêmes cadences de travail (...), unis par la même chaîne. (...) Brisons les divisions artificielles créées par nos dirigeants, qui n'ont qu'un but: faire oublier nos intérêts communs. (...) Unissons nos forces pour mettre en échec tous les plans sociaux! L'argent, ils l'ont. Il ne s'agit que d'un rapport de force entre eux et nous.» Le discours est traduit. Ovation de la foule.

  • «On n'en peut plus de ne rien faire(Cliquer sur la photo pour lancer le diaporama)




Il faut dire qu'en dehors de la langue, qui empêche le dialogue entre salariés, ces Allemands et ces Français partagent beaucoup. Car Hanovre aussi va fermer. Pas en totalité. Mais le département poids lourds est concerné, après le département pneus de tourisme, en 2004. 780 salariés risquent de se retrouver sur le carreau, même si quelques reclassements sont envisageables à l'intérieur du groupe.

En Allemagne aussi, une promesse avait été faite en 2005 aux salariés. Contre un passage aux 40 heures – contre 37 et demie auparavant –, 25 millions d'euros avaient alors été investis contre une baisse de 25% des effectifs. Il est vrai que le plan était prévu sur 5 ans et devait donc s'arrêter cette année. Sauf qu'en janvier 2009, un nouveau plan a été mis en place, avec certes des réductions d'effectifs prévues, mais «pas de licenciements».

Deux mois plus tard, le 11 mars, soit le même jour qu'à Clairoix, les salariés apprenaient la fermeture de leur département, «crise oblige». C'est un «sentiment d'abandon» que ressent alors Alain, que ses collègues appellent Alein (qui signifie «seul» en allemand), par défaut de prononciation.

Comme les Français, les Allemands savent qu'ils vont se faire manger. Mais pas encore à quelle sauce. Les salaires semblent à peu près similaires des deux côtés du Rhin mais les primes de départ le seront-elles? «On ne sait rien, dit Alain (photo), né en Normandie et venu en Allemagne pour se marier. Les syndicats négocient avec la direction. On attend.»

Jusque-là très sagement. «A l'allemande, dit Alan. Mais j'ai l'impression que les Français qui sont venus vont nous aider à allumer la mèche.» Ce jeudi, ce sera uniquement celle d'un ou deux pétards. Conti France, aussi, «a longtemps eu la réputation d'être gentil», comme le dit Bernard, 57 ans dont 25 de boîte. Et puis, à Compiègne, mardi après-midi, ils se sont fâchés. Et une cinquantaine de salariés ont saccagé la sous-préfecture. «Ça soulage, dit Steeve. On n'en peut plus de tourner en rond depuis cinq semaines. On ne produit plus. On ne fait rien. On gamberge.»

«Lutte internationale"

Surtout, tous les salariés, même les très nombreux qui disent regretter cette irruption de violence, notent qu'immédiatement après, Luc Chatel a proposé une réunion tripartite. «C'est regrettable, c'est un exemple terrible pour les autres usines de France, mais sans notre radicalisation, il n'y aurait jamais eu cette réunion», estime Mathieu, 29 ans, à l'unisson de tous les salariés. Seul le délégué syndical CFTC, Antonio Da Costa, qui ne parvient à se faire entendre, assure que la réunion aurait eu lieu de toute façon. Il concède toutefois que l'opération de Compiègne a accéléré les choses.

A Hanovre, en revanche, pas de grabuge: «C'est autre chose aujourd'hui, c'est le début d'une lutte internationale. C'est tellement rare que des salariés de pays différents défilent ensemble», s'enthousiasme Frédéric. «C'est quand ils annonceront les montants des primes de départ que ça risque de péter», pronostique Gilles, son compagnon de défilé. Xavier Mathieu, le délégué CGT, a prévenu qu'en cas de séquestration de patron, «ce ne serait pas du baby-sitting». Une simple menace pour mieux se faire entendre?

Jeudi, et sans qu'on puisse parler de baby-sitting, l'ambiance était pour le moins bon enfant. Aux cris de «Tous ensemble, Zusammen, hey, hey!» et «International Solidarité; Continental-Solidarité», les troupes ont rejoint le train qui devait les ramener vers Compiègne. Sans heurts, donc, mais avec une détermination sans faille.

Photos © Michaël Hajdenberg

Dans l'après-midi, Patrick Devedjian, ministre de la relance – ainsi qu'il le laissait fuiter depuis quelques jours –, a parlé d'une offre «sérieuse» pour l'usine de Clairoix: MAG, «un des plus grands accessoiristes automobiles du Proche-Orient» basé à Dubaï, regarderait le dossier. Sans trop d'illusion du côté de la direction du groupe: semblables sollicitations, Continental en reçoit «toutes les semaines», a précisé un porte-parole: «On étudie le dossier, mais il faut être très prudent.» (avec Reuters)

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La SNCF a fait un prix attractif pour les Conti. 45 € par pers A/R en couchette pour les 1200 manifestants venus de France en Allemagne.

Si j'ai bien tout compris , aucun dirigeant d'aucune conf. n'a fait le voyage .Perso , ça m'interpelle ! !

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