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avec les révoltés de tunisie, d'algérie


levdav

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après le rassemblement de soutien à la lutte par delà la méditéranée, il y a demain samedi à 14 heures place de la république à paris un rasseblement pour exprimer son soutien, sa solidarité.

dénoncer la dictature là bas, l'exploitation et ceux qui soutiennent ici les ben ali et compagnies...

soyons le plus nombreux possible

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Invité Gnafron 1er

après le rassemblement de soutien à la lutte par delà la méditéranée, il y a demain samedi à 14 heures place de la république à paris un rasseblement pour exprimer son soutien, sa solidarité.

dénoncer la dictature là bas, l'exploitation et ceux qui soutiennent ici les ben ali et compagnies...

soyons le plus nombreux possible

Oui ...mais ne pas oublier ce qui s'est passé en Iran....!

Mise en place des barbus!

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pour l'Iran, faut se rappeler l'attitude des dirigeants français par exemple.

c'est ici que le futur dictateur intégriste avait refuge.

et puis entre le renversement du shah d'Iran et le pouvoir dictatorial des intégristes.... il y a eu toute une histoire.

vraiment rien d'automatique.

à noter que les militants ouvriers, les organisations ouvrières en Iran se réjouissaient des expressions de la solidarité ouvrière de par le monde.

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Invité Gnafron 1er

pour l'Iran, faut se rappeler l'attitude des dirigeants français par exemple.

c'est ici que le futur dictateur intégriste avait refuge.

Quand tu accordes l'asile politique , tu ne connais pas forcément les intentions de celui que tu héberges ....w.o.u.a.r.f !

et puis entre le renversement du shah d'Iran et le pouvoir dictatorial des intégristes.... il y a eu toute une histoire.

vraiment rien d'automatique.

Certe , mais ça a quand eu tendance à se reproduire....re###### !

à noter que les militants ouvriers, les organisations ouvrières en Iran se réjouissaient des expressions de la solidarité ouvrière de par le monde.

Et on connaît la suite.

Modifié par Gnafron 1er
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après le rassemblement de soutien à la lutte par delà la méditéranée, il y a demain samedi à 14 heures place de la république à paris un rasseblement pour exprimer son soutien, sa solidarité.

dénoncer la dictature là bas, l'exploitation et ceux qui soutiennent ici les ben ali et compagnies...

soyons le plus nombreux possible

http://www.lepoint.fr/monde/emeutes-le-president-ben-ali-cede-a-la-rue-et-quitte-la-tunisie-14-01-2011-129754_24.php

ÉMEUTES - Le président Ben Ali cède à la rue et quitte la Tunisie

Le chef de l'État a quitté son pays, vendredi, au terme d'un mois d'émeutes sanglantes. Le Premier ministre assure l'intérim.

les rats quittent le navire ,maintenant il va falloir savoir si ce "brave homme" revoltages

a des avoirs en france ,s'il va passer des jours heureux dans le midi comme "bébé doc" ...comme les dictateurs africains ....

ps je ne croyais pas si bien dire

Le président tunisien serait en route pour la France, selon Al-Jazira, mais l'Elysée dit n'avoir «aucune information» à ce sujet. Le premier ministre assure l'intérim pendant une période indéterminée.

http://www.lefigaro.fr/international/2011/01/14/01003-20110114ARTFIG00533-ben-ali-annonce-des-elections-legislatives-anticipees.php

.

Modifié par raez
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Quand tu accordes l'asile politique , tu ne connais pas forcément les intentions de celui que tu héberges .... !

gnafron ,toi tu as des problèmes au boukistan , tu cherches un hébergement à grosland lotrela lotrela lotrela !!!

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Le président de l'Assemblée nationale tunisienne a annoncé vers 19 heures le départ du Président Ben Ali.

Ne pas envenimer la situation à PAris.

Laissez les gazous régler leurs affaires en restant neutre

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Invité Gnafron 1er

On savait que c'était une bande "Mickey".... !

Des membres du clan Ben Ali réfugiés en région parisienne

La famille Ben Ali Trabelsi se disperse aux quatre coins du monde. Selon nos informations, certains membres sont déjà arrivés en France depuis jeudi soir, malgré les démentis des autorités. Ils séjournent à l’hôtel Disneyland au sein du parc d’attractions de Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne). Une des filles de Leila, l’épouse de Ben Ali, semble avoir été reconnue par des employés.

Le clan occupe trois suites VIP du Castle Club, une zone luxueuse réservée aux clients les plus fortunés, située au troisième étage de cet établissement. Des chambres réservées jusqu’à dimanche. Hier soir, ils avaient pour voisins les membres de la famille d’un célèbre disc-jockey parisien. Une ambiance très particulière régnait au sein de l’hôtel. Dans le hall, quatre agents de sécurité tunisiens montaient la garde sur un sofa. D’autres, oreillettes branchées en permanence, scrutaient chaque client. Pour aller dîner, un vigile de l’hôtel accompagnait les clients jusqu’aux différents restaurants de l’établissement. Là aussi, la sécurité tunisienne était présente et n’hésitait pas à écouter les conversations.

Le Parisien

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Qu'ils soient encore nerveux se comprend mais c'est fini, calmos: vous êtes en Europe, en démocratie.

Il faut aussi se réjouir d'accueillir si rapidement ces exilés car cela a permis de bloquer la situation et d'éviter que les troubles sanglants continuent.

Evitons surtout de mettre de l'huile sur le feu et laissons les tranquilles.

Pas de vagues, pas de troubles et quelques "négres" pour les aider à écrire les livres sur leur vision de ce soudain départ forcé.

En attendant, je ne peux que saluer le courage de ces exilés qui ont su saisir l'opportunité d'avoir un CDD en France:

Disney recrute 3 000 personnes en CDD

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Disney-recrute-3-000-personnes-en-CDD_6346-1655971-fils-tous_filDMA.Htm

Comme quoi, les relations aident à connaitre les bons filons avant tout le monde (c'est comme les soldes!)

Modifié par 2D2
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Au moins 42 prisonniers ont péri dans l’incendie d’une prison de Monastir,

dans le centre-est de la Tunisie.

Il s’agit de l’incident le plus meurtrier depuis le début, il y a un mois,

des émeutes qui ont conduit à la fuite vendredi de l’ancien chef de l’État Zine El Abidine Ben Ali.

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lu ici

Sur les images, Nicolas Sarkozy et Zine el-Abidine Ben Ali ne cessent de sourire. Carla Bruni porte une robe printanière. La secrétaire d'Etat aux droits de l'homme, Rama Yade, se tient légèrement en retrait. Cette dernière "ne se souvient plus très bien aujourd'hui du voyage", mais elle affirme qu'elle a pu "évoquer quelques dossiers" avec son homologue du gouvernement tunisien.

A l'époque, pourtant, lorsque M. Sarkozy se rend avec sept de ses ministres les 28, 29 et 30 avril 2008 en visite d'Etat auprès du président tunisien, les propos du président français frappent, c'est le moins que l'on puisse dire. "Certains sont bien sévères avec la Tunisie, qui développe sur bien des points l'ouverture et la tolérance", explique M. Sarkozy, avant d'affirmer que "l'espace des libertés progresse".

M. Sarkozy n'est pas le premier président français à afficher une telle indulgence à l'égard du régime tunisien. Tous ses prédécesseurs ont fait preuve avant lui, sinon de complaisance, au moins d'une prudence extrême à l'égard de cet ancien protectorat français.

En 1988, le président Ben Ali, fraîchement arrivé au pouvoir, est reçu en grande pompe à Paris par François Mitterrand, lors d'un dîner de gala réunissant 215 personnalités françaises. En 1991, le président socialiste, en visite à Tunis, déclare : "La Tunisie est un pays accueillant et les Français qui aiment venir en Tunisie pour leurs vacances auraient bien tort de s'écarter de ce chemin. C'est un pays où l'on peut vivre dans des conditions de confort et d'agrément très grandes." En 1995, c'est le président Chirac qui rend hommage à Ben Ali, affirmant qu'il a engagé son pays "sur la voie de la modernisation, de la démocratie et de la paix sociale", évoquant l'ouverture du Parlement aux "représentants de divers courants d'opinion" et son "audace économique et sociale".

Ces derniers jours, encore, la classe politique française a fait preuve d'une frilosité remarquée à condamner la répression opérée par le régime contre les milliers de manifestants. Mercredi 12 janvier, en conseil des ministres, puis jeudi matin lors du petit déjeuner de la majorité, M. Sarkozy a bien porté un jugement plus sévère sur le régime tunisien. Mais, rapporte l'un de ses ministres, "il a rappelé que l'on ne sait pas forcément si un autre dirigeant serait mieux à même de préserver le pays contre les intégristes religieux".

Si près de 600 000 Tunisiens vivent en France (40 % en Ile-de-France, 12 % dans la région lyonnaise et 8 % à Marseille), la France est également l'un des premiers investisseurs en Tunisie. 22 000 Français y sont installés. Près de 60 % sont des commerçants, des cadres supérieurs ou des chefs d'entreprise, 10 % des médecins, des avocats ou des enseignants et 30 % des employés, des exploitants agricoles ou des retraités.

Des hommes politiques français, comme le ministre Pierre Lellouche ou Bertrand Delanoë, sont nés en Tunisie et y conservent des attaches familiales ou des maisons. Le ministre de l'industrie et de l'économie numérique, Eric Besson, lui-même né au Maroc, a épousé Yasmine Tordjman, arrière-petite-fille de l'ancienne première dame de Tunisie, Wassila Bourguiba.

"Jusqu'ici, dénonce le sénateur socialiste Jean-Pierre Sueur, qui préside le groupe d'amitié franco-tunisien au Sénat, la France s'est abritée derrière le fait que le pays est le bon élève du Maghreb en matière d'éducation, de droit des femmes et d'enseignement du français pour expliquer que la Tunisie est un rempart contre l'islamisme et justifier son silence sur sa situation politique."

De nombreuses personnalités politiques, du monde des affaires et parfois de la presse ont été régulièrement invitées par le régime Ben Ali dans des campements de luxe du désert tunisien. Deux anciens ambassadeurs de France en Tunisie, l'amiral Lanxade (qui fut aussi le chef d'Etat-major des armées sous François Mitterrand) et Serge Degallaix (qui fut l'un des conseillers de Jean-Pierre Raffarin), sont devenus d'ardents promoteurs de la Tunisie.

L'agence de communication française Image 7, fondée par Anne Méaux, détient le contrat de l'ATCE, l'Agence tunisienne de communication extérieure, et organise des voyages afin de faire valoir les atouts du pays. Le vice-président d'Havas, Jacques Séguéla, était en octobre 2010 en Tunisie pour lancer son agence et passe pour avoir conseillé le président Ben Ali, ce qu'il dément au Monde.

Mais cette connivence va parfois plus loin. L'un des mémos de l'ambassade américaine en Tunisie, obtenus par le site WikiLeaks et révélés par Le Monde, a ainsi été titré "The French Connection". On y apprend que l'un des anciens ambassadeurs de France est vu "comme l'ambassadeur de Ben Ali auprès du président de la République française et non le contraire". Le mémo rapporte que cet ambassadeur aurait reçu du gouvernement tunisien une villa située dans une rue huppée de Tunis proche de la présidence, la résidence ayant été mise au nom de sa fille.

Enfin, la France a parfois fermé les yeux sur les agissements d'une partie de la famille Ben Ali. Entre la fin 2005 et le printemps 2006, trois yachts ont ainsi été volés dans des ports français, dont l'un appartenant à Bruno Roger, dirigeant de la banque d'affaires Lazard Frères, à Paris, et proche de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy. L'enquête a permis de remonter aux convoyeurs des bateaux dont l'un a avoué qu'ils avaient été remis à des neveux du président Ben Ali.

De fait, les yachts ont été retrouvés à Sidi Bou Saïd, le Saint-Tropez tunisien. Les enquêteurs, par le biais d'écoutes, ont appris que Jean-Baptiste Andréani, l'assureur d'un des trois yachts (le Beru Ma), négociait avec Tunis pour obtenir le rapatriement du navire et que celui-ci était en contact avec le président Chirac et M. Sarkozy, à l'époque ministre de l'intérieur.

In fine, faute de pouvoir faire éteindre les poursuites visant les neveux du chef de l'Etat, Tunis a obtenu, en liaison avec l'Elysée, de les faire juger dans leur pays. Seuls les comparses ont donc été présentés devant un tribunal français. En Tunisie, le procès n'a jamais eu lieu. p

Raphaëlle Bacqué et Jean-Pierre Tuquoi Article paru dans l'édition du 16.01.11

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tiens ! le BHL ,on ne l'a pas entendu sur ben ali ,lui qui "de s'offusquer" à fait profession.

merci marianne 2 de nous le rappeler .

Jack Dion interpelle les philosophes, tel Bernard-Henri Lévy, qui n'ont pas réagi aux manifestations en Tunisie. Pas un mot sur Ben Ali. Deux poids, deux mesures : ces intellectuels avaient fustigé, par exemple, la répression chinoise au Xinjiang, voilà un an et demi. Ou encore la condamnation de Sakineh.

Il y a des gens qui font profession d’indignation permanente ; des acharnés de la pétition, prêts à se mobiliser pour la moindre cause ; des professeurs de morale sans frontières ; des esthètes intransigeants de la cause humanitaire, surtout quand l’objet de leur courroux est géographiquement éloigné de l’hexagone. Or personne ne les entend à propos de ce pays très proche qu’est la Tunisie, ce pays francophone où un dictateur sénile agonise sous nos yeux, emporté par un peuple qui refuse de se coucher.

Les syndicats français se sont déclarés « solidaires » du peuple tunisien. Ils se sont « indignés » à juste titre de certaines déclarations de ministres du gouvernement Fillon, pour le moins gênés aux entournures. Des avocats ont lancé un appel international en soutien à la contestation populaire qui s’exprime de l’autre côté de la Méditerranée.

Mais chez les intellectuels, médiatiques ou pas, rien. Silence dans les rangs. Motus et bouche cousue.

Où est passé André Glucksmann, qui surveille la Russie de Poutine jumelles en mains ? Que devient donc Bernard Kouchner, qui a du temps maintenant qu’il n’est plus en charge d’un poste ministériel ? Quant à l’ineffable Bernard-Henri Lévy, sa Sainteté de Saint-Germain-des-Près, il s’est contenté de lancer un appel aux hackers à pirater et bloquer les sites internet officiels sur le site Twitter de sa revue en ligne, « La règle du jeu ». C’est tout ? C’est tout........

la suite

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La «révolution du Jasmin», de Sidi Bouzid à la fuite de Ben Ali

Retour sur un mois de contestation, de l'immolation d'un jeune diplômé chômeur à la chute du régime de Ben Ali, après 23 ans de règne.

http://www.liberation.fr/monde/01012313904-la-revolution-du-jasmin-de-sidi-bouzid-a-la-fuite-de-ben-ali

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On savait que c'était une bande "Mickey".... !

Des membres du clan Ben Ali réfugiés en région parisienne

La famille Ben Ali Trabelsi se disperse aux quatre coins du monde. Selon nos informations, certains membres sont déjà arrivés en France depuis jeudi soir, malgré les démentis des autorités. Ils séjournent à l’hôtel Disneyland au sein du parc d’attractions de Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne). Une des filles de Leila, l’épouse de Ben Ali, semble avoir été reconnue par des employés.

Le clan occupe trois suites VIP du Castle Club, une zone luxueuse réservée aux clients les plus fortunés, située au troisième étage de cet établissement. Des chambres réservées jusqu’à dimanche. Hier soir, ils avaient pour voisins les membres de la famille d’un célèbre disc-jockey parisien. Une ambiance très particulière régnait au sein de l’hôtel. Dans le hall, quatre agents de sécurité tunisiens montaient la garde sur un sofa. D’autres, oreillettes branchées en permanence, scrutaient chaque client. Pour aller dîner, un vigile de l’hôtel accompagnait les clients jusqu’aux différents restaurants de l’établissement. Là aussi, la sécurité tunisienne était présente et n’hésitait pas à écouter les conversations.

Le Parisien

ils sont partis .....

Des proches de Ben Ali, dont sa fille, ont quitté Eurodisney

Des proches de l’ex-président tunisien Zine El Abidine Ben Ali, dont une de ses filles, ont quitté s le parc d’attraction Eurodisney, où ils avaient trouvé refuge depuis jeudi. Les proches sur le sol français n’ont « pas vocation à rester » et ils « vont le quitter », a déclaré le porte-parole du gouvernement français.

ici

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Invité Gnafron 1er

Tant mieux .... !

Mais curieux quand même que soit disant ce président était là pour protéger les tunisiens des barbus alors qu'il se réfugie chez eux .....re !

Que la France ne les accueille pas = tant mieux même si on sait qu'il y a de l'opportunisme de la part de notre GVT .

Maintenant , composer avec quelle opposition ?Un général va t-il sortir du bosquet ?

Bref ...pas simple pour eux .

Modifié par Gnafron 1er
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Tunisie: une présence policière plus discrète à Tunis

Tunis et ses environs ont été survolés dans la nuit de samedi à dimanche par des hélicoptères de l'armée, tous projecteurs allumés, après la multiplication d'alertes sur des mouvements de véhicules suspects circulant à vive allure. Les occupants de ces derniers tiraient sur les maisons.

Dimanche, la capitale et sa banlieue se sont réveillées dans le calme. Le dispositif de sécurité, bloquant l'avenue Bourguiba dans le centre, a été un peu allégé, avec la levée des barrières dressées la veille au travers des rues d'accès et une présence policière plus discrète. Les grandes artères étaient quasi-désertes et l'armée était déployée à tous les endroits stratégiques de la capitale.

Dans la nuit, un citoyen apeuré avait joint l'AFP par téléphone: "une ambulance a été vue à "La Marsa" et une autre à "Mégrine" (nord et sud de la capitale). Ils tirent sur des maisons", avait-il dit, en affirmant que ces véhicules transportaient des personnes encagoulées.

Mise en place de comités de vigiles

Face aux menaces et aux pillages commis la nuit précédente, des comités de vigiles ont été mis en place et devaient se multiplier dans les quartiers, organisant des rondes pour protéger les habitants.

Plusieurs témoignages ont attribué les pillages et exactions de ces derniers jours à des membres de l'appareil sécuritaire, liés à Ben Ali, le président déchu, qui chercheraient à créer le chaos en semant la panique, pour favoriser son retour.

Début des réformes politiques

Le premier ministre tunisien sortant, Mohammed Ghannouchi, a commencé samedi à sonder les partis et les représentants de la société civile sur les réformes politiques visant à rompre avec le système du président déchu Zine El Abidine Ben Ali. Les consultations se poursuivent ce dimanche.

Dans l'après-midi, un large éventail de personnalités a défilé au Palais du gouvernement.

(ats / 16 janvier 2011 12:52)

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Tunisie: une présence policière plus discrète à Tunis

surtout les taupes en civil qui pistaient les tunisiens ,ceux là ,doivent se faire petit ,il va leur falloir éviter l'épuration et les vengeances .

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Avec la libéralisation du régime, le chef du parti islamiste El Nadha, Rached Ghannouchi, annonce son grand retour en Tunisie.

Avec lui, c'est l'islam politique et ses milliers de partisans qui vont tenter de reprendre pied dans un pays où Ben Ali les avait exclu des sphères de décision.

http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20110115233053/gouvernement-tunisie-islamisme-mohamed-ghannouchirached-ghannouchi-ou-le-retour-de-l-islamisme-en-tunisie.html

lapleunicheuse

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