Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Sabotages caténaires............
Prudence policière dans l'enquête sur le sabotage du réseau SNCF 14h afp La police et la justice se montrent prudentes sur les charges éventuelles pesant sur les dix membres présumés d'un groupe d'ultra-gauche suspectés d'actes de sabotage contre le réseau SNCF. Les gardes à vue de ces suspects, six femmes et quatre hommes, ont été prolongées mercredi, apprend-on de source judiciaire. Deux ressortissants belges figurent parmi eux. Les policiers du renseignement intérieur et de la sous-direction antiterroriste, en charge de l'enquête, ne disposent pas pour l'instant de preuves matérielles. "Il n'y a pas d'élément matériel qui permette de les rattacher directement aux actes de malveillance", explique-t-on de source policière. "On ne peut pas leur imputer individuellement tel ou tel fait précis", a-t-on précisé de source judiciaire. La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, avait annoncé elle-même l'opération dès mardi matin, avant même les premiers interrogatoires, et laissé entendre que des indices désignaient les suspects comme les auteurs des actes. A la sortie du conseil des ministres mercredi, elle s'est montrée plus mesurée. "Les perquisitions ont permis de recueillir beaucoup de documents très intéressants", a-t-elle dit sans autre précision. Les interrogatoires, qui se déroulent pour neuf des suspects à Paris et un en Lorraine, peuvent se prolonger durant quatre jours, soit jusqu'à samedi. Les suspects devront être ensuite, soit présentés à un magistrat antiterroriste, soit remises en liberté sans charges. MOUVANCE ANARCHO-AUTONOME L'affaire vise quatre actes de malveillance constatés samedi dernier sur des caténaires de l'Oise, de la Seine-et-Marne et de l'Yonne et sur un autre commis le 26 octobre en Moselle. La technique employée a été à chaque fois identique. Un fer à béton a été placé avec un système de verrouillage sur une ligne à haute tension, ce qui a amené une mise hors-tension et hors-service des réseaux au passage des trains. Par coïncidence, les policiers de la sous-direction antiterroriste surveillaient depuis avril, dans le cadre d'une enquête préliminaire, certains des suspects, ce qui leur a permis de voir certains d'entre eux s'approcher, dans la nuit de vendredi à samedi, d'une voie ferrée en Seine-et-Marne. Les policiers n'ont cependant pas constaté de visu qu'ils avaient mis en place un dispositif de sabotage et n'ont rien remarqué d'anormal sur le coup. Aucun lien n'est donc établi avec un acte précis. La police ne dispose pas encore, par ailleurs, des résultats des comparaisons entre les empreintes digitales et génétiques des suspects et les traces relevées sur les mécanismes utilisés pour les sabotages. Enfin, la police n'a retrouvé ni horaires de train, ni carte détaillée du réseau SNCF, ni explosifs, a déclaré cette source policière, démentant des informations de presse. Aurait en revanche été découvert, selon plusieurs médias, un manuel décrivant la conduite à tenir en cas de garde à vue, mais ce type de document circule largement parmi les activistes habitués aux interpellations après des manifestations. Les suspects appartiennent à une mouvance appelée par les policiers "anarcho-autonome", dont la présence a été remarquée lors de manifestations politiques comme celles qui avaient visé le Contrat première embauche (CPE) en 2006, ou en marge de sommets internationaux. Ces personnes seraient, selon les spécialistes, au nombre de quelques centaines en France. Michèle Alliot-Marie estime qu'elle a amené la police à les surveiller de plus près. Thierry Lévêque, édité par Yves Clarisse
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cdi et cadre permanent
Cadre permanent : statut cheminot et tout ce qui va avec (statut, réglementation déroulement de carrière, caisse de prévoyance, caisse des retraites etc...) CDI : contractuel : régime général de sécurité sociale et code du travail
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Sabotages caténaires............
France Actus L'humanite.fr 11-11-2008 Sabotages à la SNCF : une vingtaine d'arrestations Une série d’arrestations dans "le milieu de l’ultra gauche", dixit le ministère de l’Intérieur, a été opérée mardi matin, dans l’enquête sur les actes de malveillance identiques ayant gravement perturbé le trafic voyageurs samedi. Dix personnes ont été interpellées en liaison avec les actes de sabotage commis ces derniers jours contre des caténaires de la SNCF, annonce mardi le ministère de l’Intérieur. Les interpellations, une vingtaine au total, ont eu lieu à Paris, Rouen, dans la Meuse et à Tarnac en Corrèze, dans un groupe "vivant en communauté et bien inséré dans la population locale", selon une source proche de l’enquête. Depuis plusieurs mois, la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) surveillait cette mouvance et c’est sur des informations émanant d’elle que la Sous-Direction anti-terroriste a opéré. Selon une source proche du dossier, la SDAT enquêtait sur cette mouvance depuis avril pour des "dégradations", sans autre précision. La SDAT, toujours selon cette source, s’interroge sur "d’éventuels liens avec l’ultra-gauche allemande qui a déjà revendiqué des actions contre des trains transportant des déchets nucléaires". Pour l’heure, il faut prendre avec prudence ce coup de filet, tant il corrobore les vues de la ministre de l’Intérieur, qui, mardi, rappelait que "dès mon arrivée au ministère de l’Intérieur, j’ai souligné les risques d’une résurgence violente de l’extrémisme radical", a-t-elle poursuivi. "J’observe depuis quelques années une radicalisation de la mouvance de l’ultra-gauche." Le gouvernement et la direction de la SNCF avaient évoqué la thèse d’une action concertée de sabotage après une série d’actes de malveillance sur le réseau ferré ces dernières semaines. "Cette opération réussie, conduite en plusieurs points du territoire, a été rendue possible grâce au travail de renseignement effectué depuis des mois sur cette mouvance par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) et aux investigations conduites sur ce groupe par la sous-direction antiterroriste (SDAT)", précise le ministère de l’Intérieur à propos de cette mouvance "anarcho-autonome". Cinq actes de malveillance sont en cause : à Vigny (Moselle) le 26 octobre, et quatre autres dans l’Oise, la Seine-et-Marne et l’Yonne commis samedi dernier Fers à béton Cinq des six incidents récents ont été provoqués par des fers à béton posés sur des caténaires, les fils d’alimentation électrique qui surplombent la voie, de sorte que le président de la SNCF, Guillaume Pepy, interrogé sur l’hypothèse d’un sabotage organisé, a déclaré : "Nous nous posons la question". La SNCF a indiqué n’avoir pas reçu de revendication de ces actes. Samedi, le trafic de quelque 160 TGV, Thalys et Eurostar a été perturbé jusqu’en milieu d’après midi. De 23H30 samedi à 4H00 dimanche, des équipes techniques ont réparé les caténaires sur la ligne Paris-Lille au kilomètre 40 et sur la ligne Lille-Paris au kilomètre 28. La situation était revenue à la normale dimanche matin, a indiqué la SNCF. Le premier TGV Paris-Lille est ainsi parti sans problème à 7h59 dimanche. Dans la nuit de vendredi à samedi, des tiges de fer à béton ayant été fixées sur des caténaires, dans l’Oise, l’Yonne et la Seine-et-Marne, les lignes à grande vitesse (LGV) Nord, Est et Sud-Est avaient été affectées après que ces fers eurent été percutées à 170 km/h par les trains-balais. Ceux-ci vérifient quotidiennement à 05H00 la sécurité des voies avant l’ouverture au trafic commercial. Selon un spécialiste de l’entretien des caténaires parlant sous le couvert de l’anonymat, ces actes de sabotage sont faciles à organiser pour des gens connaissant bien la SNCF et Réseau ferré de France. "Le travail d’entretien sur les caténaires s’effectue la nuit sur les lignes à grande vitesse (LGV), le courant est coupé pendant nos interventions, il suffit de savoir quand a lieu une intervention pour prendre une échelle et installer le fer à béton et repartir", a expliqué ce spécialiste à l’AFP. "On peut aussi utiliser nos perches isolantes qui mesurent environ sept mètre pour faire la même opération, pratiquée quotidiennement par des agents et qui demande très peu de temps", a-t-il précisé, observant qu’il y a des travaux toutes les nuits sur les lignes LGV. "Lorsqu’une caténaire rompt soudainement, cela fait des dégâts sur 300 à 400 mètres", a-t-il expliqué. Les enquêtes en cours sont menées "sous la "responsabilité directe" du directeur général de la gendarmerie nationale, selon le souhait de la ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie. Les sections de recherches de Paris, Amiens et Dijon sont saisies, avec l’aide des services techniques de recherche judiciaire et de documentation (STRJD) et l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN). S’agissant de la prévention, police et gendarmerie ont reçu une circulaire leur demandant de contacter les directions de la SNCF qui leur signaleront "les points sensible" du réseau ferré. Interrogée sur l’hypothèse d’un sabotage concerté, un porte-parole du Sirpa a indiqué que "les constatations effectuées par les gendarmes n’ont pas permis pour le moment de confirmer ni cette hypothèse, ni une autre" ajoutant que la "gendarmerie n’entendait pas s’exprimer durant le déroulement de l’enquête". La situation samedi avait été aggravée dans la matinée par la découverte du corps d’un homme déchiqueté sur l’axe Paris-Lille, entre Pierrefitte (Seine-Saint-Denis) et Garges-Lès-Gonesse (Val-d’Oise). Le commissariat de Garges-Lès-Gonnesse a indiqué dimanche n’avoir toujours pas identifié cette personne, n’étant pas en mesure de confirmer l’hypothèse d’un suicide ou toute autre hypothèse.
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Sabotages caténaires............
France Actus L'humanite.fr 11-11-2008 Les cheminots entre soulagement et interrogations Les syndicats de cheminots se sont montrés "soulagés" mardi par l’annonce de la garde à vue de dix personnes après les "sabotages" de caténaires de la SNCF, mais s’interrogeaient sur l’absence de résultats pour des événements similaires intervenus en 2007. "Nous actons positivement qu’il n’y ait pas de cheminots parmi les personnes interpellées", a déclaré Didier Le Reste (CGT Cheminots), jugeant "impossible d’imaginer que les cheminots en activité ou en retraite puissent casser leur outil de travail". Dix personnes "appartenant à l’ultra-gauche mouvement autonome", selon le ministère de l’Intérieur, ont été placées en garde à vue dans l’enquête sur les "sabotages" à la SNCF, Michèle Alliot-Marie précisant qu’aucune n’appartenait à l’entreprise. Arnaud Morvan (CFDT Cheminots) a exprimé son "soulagement parce que visiblement aucun agent SNCF n’est concerné dans cette affaire et que cela va contribuer à rassurer la clientèle", tout en disant vouloir "rester prudent" à ce stade de l’enquête. "Soulagement" aussi pour Bruno Duchemin (Fgaac, conducteurs), "parce que ces actes pouvaient mettre en danger la sécurité de circulation". Selon Bernard Aubin (CFTC Transports), "l’arrestation des saboteurs présumés" contribuera à "lever le climat de suspicion". Sud Rail a "pris acte" des déclarations du gouvernement, disant ne pas avoir "d’avis sur la réalité ou non de cette "mouvance" répartie aux quatre coins du pays" et mettant en garde "ceux qui frisent la diffamation en voulant confondre "terrorisme et action syndicale". La fédération a noté que des événements similaires intervenus il y a un an avaient à l’époque été "utilisés pour décrédibiliser ceux qui poursuivaient la lutte pour défendre les retraites". "Le matin même, des dirigeants SNCF de très haut niveau disaient savoir qui avait fait ça. Un an après ?", a interrogé le syndicat. "Nous attendons toujours les résultats des enquêtes sur les actes de sabotage de novembre 2007", a aussi souligné Didier Le Reste, en demandant la poursuite des investigations pour que "toute la lumière soit faite". Tant la CGT que Sud Rail ont souhaité que cette affaire n’occulte pas des problèmes de fond. Outre un "désengagement financier" de l’Etat au détriment des infrastructures, Didier Le Reste a pointé la "part de responsabilité" de la SNCF, qui "a supprimé plus de 19.000 emplois depuis 2002 et réduit de 20% les effectifs affectés à la surveillance et à la maintenance des installations". Soulignant "l’urgence de moyens et de mesures de fond pour assurer une maintenance correcte des installations et matériels ferroviaires", Sud Rail a demandé d’"arrêter de supprimer les emplois de cheminots".
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Sabotages caténaires............
Pour rigoler... Faut savoir en rire Merci aux caricaturistes... Je préfère un excès de caricatures que la censure...N'est-ce pas ?
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L Gallois / A.M. Idrac / G. Pépy
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Sabotages caténaires............
TARNAC il s'appelle le bled... l'une des plus grande commune de France en superficie et l'une des moins peuplées en densité...
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Sabotages caténaires............
Sur autoroute (mais pas seulement : voir les grandes villes ou périphérie) les caméras sont utilisées dans le cadre de la sécurité routière et de la gestion du trafic soit aux entrées -sorties d'autoroute soit dans des zones accidentogènes soit pour contrôler l'état et la densité du trafic. Mais on voit que ça ne règle pas tout : il y a quelques jours grave accident à un péage, découverte régulière de piétons, de cycliste, d'animaux ... voitures à contre sens... On trouve également aussi des caméras (fixes ou mobiles ) qui ont plus à voir avec la surveillance : radars vitesse ou distance sécurité, contrôles plaques numérologiques, ... Et bien entendu une caméra n'est jamais rien sans l'homme qui est devant l'écran pour l'utiliser... donc selon les ordres et directives qui lui sont donnés... A noter que la vidéo-surveillance maintenant appelée vidéo-protection (tout est dans le terme...) pénètre le monde ferroviaire chaque jour un peu plus mais c'est pour l'instant limité aux gares (halls, quais, escalators, couloirs, aux entrées de locaux... mais bientôt ça sera à bord des trains (comme les autobus ou le métro d'ailleurs) et le tout est visible à distance... y compris des CRO qui appellent parfois les postes pour demander pourquoi le trainXXX est toujours à quai alors qu'il devrait être parti depuis 30 secondes... Maintenant ça m'étonnerait fort qu'on puisse surveiller 34.000 Km de lignes depuis une salle d'écrans vidéos... Par contre je les vois bien équiper rapidement les locs et les rames d'une caméra en tête de train...
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Sabotages caténaires............
J'espère qu'aucun des interpellés n'a un père, une mère, un frère, une soeur, un cousin, un grand oncle ou un parrain "cheminot"... parceque sinon ça va être sa fête lapleunicheuse
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Grand Jeu
chançon ==>> charançon Le terme charançon ou balanin est un nom vernaculaire donné à plusieurs espèces d'insectes. Ce sont tous des insectes ravageurs de l'ordre des coléoptères, répartis dans plusieurs genres de la famille des Curculionidés. Ce terme désigne aussi parfois de façon générique d'autres insectes de la même famille comme par exemple les rhynchites, bruches, otiorhynques ou cigariers.
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Sabotages caténaires............
Sabotages sur le réseau ferré : dix personnes en garde à vue Charles SICURANI Dix personnes dont une partie issue de la mouvance anarchiste de gauche ont été placées en garde à vue mardi après une série d'actes de "sabotage" contre les chemins de fer qui ont entraîné de fortes perturbations dans le trafic des TGV, Thalys et Eurostar. La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a annoncé à la presse que dix personnes avaient été placées en garde à vue dans le cadre de l'enquête sur "les actes de sabotage" contre des caténaires SNCF (chemins de fer) ces derniers jours. Elle avait auparavant affirmé que huit personnes "appartenant à l'ultra-gauche, mouvance anarcho-autonome" avaient été interpellées en France. Ces personnes, dont au moins trois femmes, âgées de 23 à 33 ans selon des sources proches du dossier, peuvent rester en garde à vue jusqu'à quatre jours, ayant été arrêtées dans le cadre d'une enquête antiterroriste. Au total, 20 personnes ont été interpellées, mais dix ont ensuite été relâchées, selon une source proche du dossier. Interrogée sur de possibles liens entre ces personnes et d'autres groupes en Europe, Mme Alliot-Marie a affirmé constater que "ce mouvement ultra-gauche a des liens avec cinq pays européens (Belgique, Allemagne, Italie, Grèce et Grande-Bretagne) et avec d'autres pays non européens". Toutefois, ce sont des liens "plus idéologiques qu'organisationnels" avec des groupes dans ces pays, ont précisé des sources françaises. La ministre et le président de la SNCF, Guillaume Pepy, ont également souligné, au cours d'une conférence de presse commune, qu'aucune des personnes placées en garde à vue n'était salariée de l'entreprise publique. "En l'état actuel des choses, il n'y a pas de liens" entre les sabotages et des personnes de la SNCF, a assuré M. Pepy. Interrogé sur la nécessaire connaissance du réseau pour pratiquer ce type de sabotage sur des caténaires, M. Pepy a répondu que "la connaissance du ferroviaire n'est pas l'apanage des seuls cheminots, il y a plus d'un million de personnes en France qui s'intéressent aux chemins de fer". Plusieurs syndicats de cheminots se sont déclarés "soulagés" de voir qu'aucun cheminot n'était pour l'heure impliqué, dans un contexte de conflit social, notamment dû à un assouplissement des conditions de travail voulu par la direction dans le fret. La CGT (majoritaire) s'est toutefois dite surprise "par la rapidité avec laquelle les suspects présumés ont été arrêtés dans la mesure où nous attendons toujours les résultats des enquêtes sur les actes de sabotage de novembre 2007, coordonnés en huit points du territoire". Le président Nicolas Sarkozy s'est pour sa part "réjoui des progrès rapides et prometteurs obtenus" par les enquêteurs. Les interpellations ont eu lieu à Paris, Rouen (nord-ouest), dans la Meuse (nord-est) et à Tarnac (centre), dans un groupe "vivant en communauté et bien inséré dans la population locale", selon une source proche de l'enquête. Dans le village de 350 habitants de Tarnac qui a été bouclé, certaines des cinq personnes arrêtées tenaient l'épicerie du village. D'autres vivaient dans une ferme proche. Cela faisait plusieurs mois que la section antiterroriste surveillait ce groupuscule anarcho-autonome, a affirmé une source proche du dossier. Les services de police avaient fait part de leurs inquiétudes au sujet d'une résurgence de mouvements d'extrême gauche, notamment après une série d'alertes à la bombe contre les TGV en Savoie (Alpes), en juin 2008, assorties d'une lettre de revendication évoquant les Brigades rouges italiennes. Au ministère de l'Intérieur, on affirme que certaines personnes arrêtées se sont montrées très actives dans le mouvement de protestation en France entamé en juillet contre le controversé fichier de renseignements pour la police baptisé Edvige.
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Sabotages caténaires............
Sabotages à la SNCF: 10 personnes en garde à vue après une enquête éclair AFP Dix personnes issues de la mouvance "ultra gauche" placées en garde à vue, perquisitions en plusieurs lieux du territoire: la police a frappé fort dans le cadre d'une enquête éclair conduite par la police après les "sabotages" ayant entravé le trafic SNCF ce week-end. La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a annoncé tôt mardi que la police avait procédé à l'arrestation de personnes "appartenant à l'ultra-gauche, mouvance anarcho-autonome", dans le cadre des investigations sur "les actes de sabotage" contre des caténaires SNCF ces derniers jours". Elle a précisé lors d'une déclaration à la presse qu'aucune de ces personnes n'appartenaient à l'entreprise, ce que le président de la SNCF, Guillaume Pepy, présent, a souligné également. Dans un communiqué, le président Nicolas Sarkozy s'est "réjoui" en milieu de matinée "des progrès rapides et prometteurs obtenus dans le cadre de l'enquête sur les actes de sabotages commis contre de caténaires SNCF". Il a tenu à "saluer l'efficacité et la mobilisation des forces de police et de gendarmerie dans cette enquête, notamment la Direction Centrale du Renseignement Intérieur et la Sous-Direction Anti-Terroriste sous l'autorité de Michèle Alliot-Marie", ministre de l'Intérieur. Les interpellations, une vingtaine au total, selon une source proche de l'enquête, ont eu lieu à Paris, Rouen, dans la Meuse et à Tarnac en Corrèze dans un groupe "vivant en communauté et bien inséré dans la population locale", a-t-on indiqué. La Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) "surveillait cette mouvance depuis plusieurs mois et c'est sur des informations émanant d'elle, que la Sous-direction anti terroriste (SDAT) de la Direction centrale de la police judiciaire a opéré. Selon une source proche du dossier, la SDAT enquêtait sur cette mouvance depuis avril pour des "dégradations" sans autre précision. La SDAT, toujours selon cette source, s'interroge sur "d'éventuels liens avec l'ultra-gauche allemande qui a déjà revendiqué des actions contre des trains transportant des déchets nucléaires". Sous réserve qu'il soit confirmé par l'enquête et la justice que les arrestations annoncées ont un rapport direct avec les actes de sabotages, elles témoignent de la célérité des moyens d'investigations engagés après les actes de malveillance qui ont gravement perturbé le trafic SNCF ce week-end. Elles semblent également accréditer l'hypothèse d'une action concertée, d'emblée évoquée par la direction de la SNCF, qui plus est, à en croire les informations communiqués par la ministre, avec un caractère politique, puisque les personnes arrêtées l'ont été dans la mouvance de "l'ultra-gauche". La parquet antiterroriste avait été saisi lundi après une série d'actes de malveillance contre la SNCF ce week-end, alors qu'un nouvel incident, de nature différente s'est produit dimanche soir, un TGV reliant Bruxelles à Perpignan ayant percuté vers 23H00 deux plaques de béton d'un mètre et de 30 kilos chacune dans l'Aude). Samedi, selon un mode opératoire identique, des fers à béton disposés sur des caténaires des lignes des TGV Nord, Est et Sud-Est, avaient fortement perturbé le trafic, entraînant des retards pour 160 trains et des milliers de passagers. En charge dans un premier temps de ces affaires, les parquets d'Auxerre et de Senlis s'étaient dessaisis au profit du parquet antiterroriste, à Paris, une mesure qui a permis apparemment une accélération des enquêtes par leur centralisation. Dimanche, le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant, avait évoqué "une action concertée de sabotage", hypothèse soulevée la veille par le président de la SNCF, Guillaume Pepy. Depuis deux ans, divers actes de malveillance dans plusieurs régions de France avaient affecté le réseau SNCF, sans qu'on eût à connaître, depuis, les résultats des enquêtes ouvertes.
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Sabotages caténaires............
Des crétins surveillés depuis quelques mois...
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Sabotages caténaires............
Espèrons que non : pour l'instant aucun dans les 8 ou 10 interpellés (selon les dépêches de presse...)
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Sabotages caténaires............
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Sabotages SNCF: dix gardes à vue dans le milieu de l'"ultra-gauche" La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie a annoncé mardi l'interpellation et le placement en garde à vue de dix personnes "appartenant à l'ultra-gauche, mouvance anarcho-autonome" dans le cadre de l'enquête sur les actes de sabotage commis contre des caténaires SNCF ces derniers jours. "Depuis mon arrivée (place Beauvau, NDLR), j'avais souligné les risques de résurgence violente de l'extrême-gauche radicale", a dit Mme Alliot-Marie au cours d'une conférence de presse. "J'avais demandé un renforcement de sa surveillance". Elle a précisé que les dix personnes interpellées l'avaient été en Corrèze, dans la Meuse, en région parisienne ainsi qu'à Rouen. "Aucun cheminot ne figure parmi les suspects", a souligné la ministre. "Les perquisitions sont en cours". Mme Alliot-Marie a aussi précisé que des éléments de police technique et scientifique avaient été prélevés lors des constatations de la gendarmerie. Des liens auraient d'ores et déjà été établis entre les sabotages et certains suspects. "Ces sabotages n'ont pas été revendiqués", a-t-elle précisé. "Ces gens ont voulu s'attaquer à la SNCF car c'est un symbole de l'Etat et ils savaient que leurs actes auraient un fort retentissement médiatique". Présent Place Beauvau lors du point de presse ministériel, Guillaume Pepy, président de la SNCF, a remercié Michèle Alliot-Marie et les services de police et de gendarmerie pour cette "enquête rapide qui a donné des résultats". "Pour les voyageurs et les cheminots, c'est un soulagement", a-t-il ajouté. "La bonne nouvelle est qu'il n'y ait pas de cheminots parmi les interpellés". Le président de la SNCF a reconnu que le réseau ferré constituait "une cible particulière pour des gens qui ont envie d'empêcher notre société de fonctionner". Auparavant, Mme Alliot-Marie avait annoncé dans un communiqué que "cette opération réussie, conduite en plusieurs points du territoire, a été rendue possible grâce au travail de renseignement effectué depuis des mois sur cette mouvance par la Direction Centrale du Renseignement Intérieur (DCRI), et aux investigations conduites sur ce groupe par la Sous-Direction Anti-Terroriste (SDAT)", autant de services à qui elle a adressé "ses plus vives félicitations". Nicolas Sarkozy a réagi à cette vague d'interpellations en se réjouissant "des progrès rapides et prometteurs obtenus dans le cadre de l'enquête sur les actes de sabotages commis contre de caténaires SNCF". Dans un communiqué publié par l'Elysée, le chef de l'Etat a tenu "à saluer l'efficacité et la mobilisation des forces de police et de gendarmerie dans cette enquête, notamment la Direction Centrale du Renseignement Intérieur et la Sous Direction Anti-Terroriste sous l'autorité de Mme Michèle Alliot-Marie". Après les cinq actes de malveillance commis ces dernières semaines contre des caténaires du réseau ferré de la SNCF, les services antiterroristes de l'Etat avaient été chargés de l'enquête. Un nouvel acte de malveillance avait affecté dimanche un TGV circulant près de Narbonne (Aude). Cinq faits de même nature sont survenus depuis le 26 octobre à Vigny (Moselle) où un fer à béton avait été posé sur la caténaire du TGV est. Le week-end dernier, quatre objets de même nature ont été disposés à des endroits similaires dans l'Oise, l'Yonne, la Seine-et-Marne entraînant des retards sur la ligne TGV Paris-Lille. Les peines encourues pour ces actes de dégradations de bien public vont de trois à dix ans de prison ferme et jusqu'à 75.000 euros d'amende. AP
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Sabotages SNCF : 10 personnes en garde à vue, aucune de la SNCF (Alliot-Marie) Dix personnes ont été placées en garde à vue dans l'enquête sur les "sabotages" à la SNCF, a annoncé mardi à la presse la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie, précisant qu'aucune n'appartenait à l'entreprise. Au total, l'enquête sur les actes de sabotages visant le réseau de la SNCF a conduit à l'interpellation de vingt personnes, selon une source proche du dossier. Ces interpellations ont été opérées en différents points du territoire. Dix personnes ont été placées en garde à vue, a indiqué Mme Alliot-Marie lors d'un point de presse au ministère. La ministre et le président de la SNCF Guillaume Pepy, présent au point de presse, ont précisé qu'aucune de ces personnes n'étaient membres de la SNCF
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Sabotage à la SNCF: 8 personnes de l'ultra-gauche interpellées Reuters Huit personnes appartenant à l'ultra-gauche ont été interpellées en liaison avec les actes de sabotage commis ces derniers jours contre des caténaires de la SNCF, annonce le ministère de l'Intérieur. Le gouvernement et la direction de la SNCF avaient évoqué la thèse d'une action concertée de sabotage après une série d'actes de malveillance sur le réseau ferré ces dernières semaines. "Cette opération réussie, conduite en plusieurs points du territoire, a été rendue possible grâce au travail de renseignement effectué depuis des mois sur cette mouvance par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) et aux investigations conduites sur ce groupe par la sous-direction antiterroriste (SDAT)", précise le ministère de l'Intérieur à propos de cette mouvance "anarcho-autonome". La section antiterroriste du parquet de Paris a été saisie lundi de l'enquête sur une série de dégradations commises contre des caténaires et équipements électriques du réseau TGV. La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, devait faire une déclaration à la presse mardi à 10h00 (9h00 GMT). Le syndicaliste Bernard AUBIN, secrétaire fédéral de la CFTC Transports, s'est réjoui de ces arrestations. "L'arrestation des saboteurs présumés est source de satisfaction et de soulagement pour les cheminots et pour leur entreprise", a-t-il déclaré dans un communiqué. "Il appartiendra désormais aux enquêteurs de déterminer les mobiles de ces actes odieux et à la justice de faire preuve de la plus grande sévérité. Si la motivation de ces actes était d'ordre politique, leurs auteurs auraient choisi la pire manière d'exprimer leurs convictions", a-t-il ajouté. Cinq actes de malveillance sont en cause: à Vigny (Moselle) le 26 octobre, et quatre autres dans l'Oise, la Seine-et-Marne et l'Yonne commis samedi dernier. Des fers à béton, tiges utilisées pour le béton armé, ont été fixés sur des caténaires avec un système de verrouillage. Ce mécanisme entraînait la rupture des câbles d'alimentation au passage des trains, et a provoqué une coupure de courant et d'importants retards pour plus de 150 TGV sur le réseau Nord, Thalys (Paris-Bruxelles) et Eurostar (Paris-Londres). La SNCF a promis une surveillance accrue de ses 34.000 km de voies et la mobilisation de 2.000 agents de sécurité, ainsi que la mise à l'étude d'une meilleure mise sous contrôle vidéo du réseau. Le mode opératoire de ces dégradations, visant de manière identique des installations à haute tension très dangereuses, avait fait dire à un responsable de la CFTC-Transports qu'elles n'ont pu être commises que par des spécialistes, peut-être des cheminots ou d'anciens cheminots. Jean-Stéphane Brosse et Yves Clarisse, édité par Yves Clarisse
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Sabotages caténaires............
A prendre avec des pincettes en attendant d'avoir des informations plus détaillées... Sabotages à la SNCF: plus de 10 arrestations, perquisitions en cours "Plus de dix personnes" ont été interpellées dans le cadre de l'enquête sur les "sabotages" ayant affecté le réseau SNCF, a-t-on appris mardi de source proche du dossier alors que le ministère de l'Intérieur avait fait état précédemment de 8 arrestations. Des perquisitions policières étaient en cours mardi matin dans divers lieux du territoire, visant la mouvance "ultra-gauche", dans le cadre de l'enquête sur les "sabotages" ayant affecté le réseau SNCF, a-t-on appris de source policière. Dans un communiqué transmis à l'AFP, la ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie. "adresse ses plus vives félicitations aux services de police et de gendarmerie dont la diligence a permis l'identification et l'interpellation de huit personnes appartenant à l'ultra-gauche, mouvance anarcho-autonome, en lien avec les sabotages commis contre les caténaires SNCF ces derniers jours". "Cette opération réussie, conduite en plusieurs points du territoire, a été rendue possible grâce au travail de renseignement effectué depuis des mois sur cette mouvance par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), et aux investigations conduites sur ce groupe par la sous-direction anti-terroriste (SDAT)", souligne Mme Alliot-Marie.
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Nouvel acte de malveillance contre la SNCF dans l'Aude
TF1 C'est la voix de son maître c'est tout simplement la culture anti-service public casser la SNCF, c'est cassé France Télévision ...et ramener la pub dans son tiroir caisse...
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Nouveau logo RFF
Sauf les couleurs On dirait un fer à béton... Bof Bof
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Sabotages caténaires............
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Opération Marketing... tgvlab.com
Opération Marketing... La SNCF en quête de bonnes idées sur le Net Le Figaro... Avec tgvlab.com, la SNCF compte recueillir les propositions des internautes. Avec tgvlab.com, la SNCF vient de se doter d'une boîte à idées de nouvelle génération. Les internautes usagers du train à grande vitesse sont invités à faire des suggestions. Les plus judicieuses seront ensuite mises en œuvre. Adaptée à l'ère Internet, la traditionnelle boîte en bois, qui recueillait les observations des usagers, prend désormais des appellations branchées. Dans les couloirs de la SNCF, on parle de « communauté d'utilisateurs » ou de « plate-forme de feedback ». « Dans un contexte de concurrence forte, nous voulons que TGV reste la marque préférée des usagers, explique Stéphanie Dommange, directrice de la stratégie TGV et grandes lignes. Nous appelons donc les internautes à construire avec nous les projets et les services de demain. » Une fois connectés, les internautes sont invités à rejoindre l'une des quatre communautés créées pour se rassembler selon les centres d'intérêt : amélioration du site voyages-sncf.com, services TGV, portail mobile de la SNCF ; la dernière est ouverte aux PME qui veulent travailler avec la Société nationale. À chaque fois, il est possible de faire des suggestions, d'ajouter son commentaire à ceux des autres, de voter pour son idée favorite, de donner ses réponses à un sondage (actuellement : que pensez-vous de la suppression du billet papier ?) ou d'entrer en contact avec d'autres usagers, en vue, par exemple, de faire une partie d'échec ou de partager un taxi à l'arrivée. Quatre projets par an Lancé discrètement courant octobre, tgvlab.com (exclusivement réservé aux usagers des trains à grande vitesse) va rapidement monter en puissance. En dehors des propositions qu'ils ne vont pas manquer de formuler, les internautes seront conviés à réagir sur un projet initié par la SNCF, qui leur sera soumis une fois par mois . L'idée, à terme, est de retenir, grâce à cette étude conduite en direct, quatre projets dans l'année et de les mettre réellement en service. Parmi les premières suggestions : l'installation de la Wi-Fi dans les voitures, la possibilité pour les passagers d'éteindre la lumière (et sous quelles conditions…) ainsi que l'utilisation en ligne (et non plus seulement aux guichets) des « bons de voyages » qui accordent des réductions et sont offerts pour compenser les retards de train. Dans l'esprit de la Société, il s'agit de recueillir des suggestions constructives. Dans ce but, le site est veillé par des modérateurs, car il n'a pas vocation à servir de cahier de doléances. « Nous avons des services de réclamation pour cela », rappelle Stéphanie Dommange. Il ne reste plus qu'à s'assurer que les meilleures idées émises par les voyageurs du rail trouveront bel et bien leur application dans l'univers TGV. http://www.tgvlab.com/tgvlab
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Sabotages caténaires............
Fais gaffe le rail d'Ouessant passe juste à côté lotrela