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Le Web des Cheminots

quantz

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Messages publiés par quantz

  1. Il doit s'agir d'une loc affectée a la remorque des TER, peut-etre une BB25500

    Néanmoins, d'un point de vue journalistique, l'expression "locomotive de TER" est plus dramatique et rend possible l'identification du lecteur ("TER = passagers = moi, ma famille, mes proches").

    Parmis les termes utilisés; mise en danger de la vie d'autrui et tentative de provocation d'une collision me semble bien correspondent a la réalité au 1er degres (c'est a dire sans discution possible car c'est bien ce qui c'est passé)

    Un article dit que le cheminot a parcouru "170 mètres à 3 km/h. Il s'était arrêté à cinquante mètres d'une voie ouverte au trafic entre Marseille et Toulon (Var)." (Figaro 27/01/2009). Je pense qu'il y a des situations plus dramatiques, par exemple sur la route.

    Quelque que soit les motifs et sa situation psychologique, RIEN ne permet ou ne justifie de faire prendre des risques a d'autres

    Nous sommes d'accord, mais personne n'a cherché à "justifier" cet acte. D'ailleurs le cheminot a été condamné "à un an de prison, dont 6 mois avec sursis par le tribunal correctionnel de Marseille" (Figaro 27/01/2009). Par contre, on peut essayer d'élargir le débat au lieu de se focaliser sur un seul employé. Sinon, on tombe forcément dans une justice à deux vitesses (employés/supérieurs, pauvres/riches, etc.).

  2. "Ce jour-là, Jean-Jacques, un agent SNCF âgé de 51 ans, se trouve au dépôt de la Blancarde, dans le 4ème arrondissement de Marseille.

    Jean-Jacques monte à bord de la locomotive d'un TER.

    Il lance doucement l'engin, franchit des signaux d'arrêt et parcourt ainsi, à petite allure, un peu moins de 200 mètres.

    Puis le cheminot immobilise la loco sur la voie Marseille-Toulon.

    Pourquoi?

    Jean-Jacques dit avoir agi de la sorte dans un contexte particulier.

    Il venait de vivre en avril 2007 une grève de quarante jours, particulièrement dure."

    http://www.lepost.fr/article/2008/07/10/12...locomotive.html

    Quelques remarques :

    1) Je ne savais pas qu'il existait des "locos de TER"; pourquoi ne pas dire "un 26000" ou simplement "une loco" ?

    2) Le cheminot est accusé de "vol de locomotive, mise en danger d'autrui, abandon de poste et tentative de provocation d'une collision". Ces expressions sont des termes judiciaires de la partie adverse. Autrement dit, c'est une interprétation des faits - parmi d'autres possibles.

    Je ne travaille pas à la SNCF et je ne connais pas les conditions de travail de chacun. Mais on ne peut pas ignorer la pression qui est parfois exercée sur les salariés. (Exemple récent : Les faits malheureux mais prévisibles de chez Renault, qui ont été classés sans suite. Les médecins du travail étaient pourtant "extrêmement alarmés" selon le Nouvel Observateur). En tout cas, je me garderais bien d'émettre un jugement sur un tel cas.

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  3. Bonjour,

    Est-il possible, en théorie, de voler un train ?

    Par exemple une loco ou un yoyo abandonné dans une petite gare .

    Jusqu'où cela pourrait-il aller ?

    Est-ce déjà arrivé ?

    PS : N'ayez pas peur, je n'ai nullement cette intention.

  4. en gare de triage, ça m'a toujours impressionné de voir un locotrateur acheminer des wagons en haut d'une bute, puis les pousser afin qu'ils descendent tous seuls sur la bonne voie...

     

    Faut évaluer la bonne vitesse... les agents doivent être prudent... et comment se décrochent les wagons ?... voilà... si vous avez 2 minutes pour parler de ça....

     

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