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Le Web des Cheminots

IGS4

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Tout ce qui a été posté par IGS4

  1. A partir d'une simple faille dans le système informatique la SNCF va être délestée de la somme rondelette de 100 000 €. De quoi créer un gros bug dans les comptes de la vénérable dame de Fer. Il faudra d'ailleurs plusieurs mois à la « brigade financière et à la police judiciaire, saisies de cette affaire, pour remonter la filière jusqu'aux malfaiteurs » explique le service communication de la SNCF. Et prendre à contre-pied ce "trait de génie" de "parfaits escrocs". La présidente Fouché, qui avait à juger, hier, cette affaire qui remonte à l'année 2002, a exposé simplement le scénario pour le moins abouti. Un homme se présente à un guichet SNCF pour soi-disant, acheter un billet. À la question sur le moyen de paiement qu'il va utiliser, il répond invariablement : carte bancaire. L'hôtesse rentre cette information sur son écran. Mais au moment de s'acquitter de son achat, il prétexte l'oubli de son code, de sa carte... Quand arrive, inopinément, une connaissance. Cette dernière s'enquiert de son problème et propose de le dépanner en effectuant un chèque. Seulement le chèque émane d'un chéquier volé. Mais l'individu ne laissera pas le temps à la SNCF de s'en apercevoir. Peu de temps après, il appelle la SNCF pour décommander son billet et demander le remboursement de son titre de transport. 239 fois l'aller-retour virtuel entre Annecy et Rennes La société de transports consulte les données enregistrées, relève qu'un règlement carte bancaire a été effectué et crédite donc le compte de la somme a priori déboursée. Ce sont donc des milliers d'euros qui vont atterrir sur des comptes bancaires ouverts par « des étudiants grenoblois d'origine africaine » poursuit M e Collin, pour la SNCF. Les étudiants vont en effet reproduire leur petit manège dans plusieurs gares rhônalpines. Annecy n'échappera pas à "l'escroquerie", elle se fera délester de 10 000 €. Au total, le groupe a fait virtuellement 239 fois l'aller-retour entre Annecy et Rennes, en première classe ; cette année-là, il y a eu inflation sur les bigorneaux. Depuis les individus ont été rattrapés par la justice pour d'autres affaires de même nature en 2003 et 2004. L'un deux a même purgé sa peine et commencé à rembourser la SNCF, souligne M e Gauthier. « Je regrette toutefois son absence » répète le procureur qui va demander à l'encontre du prévenu qui avait opéré à Annecy, 8 mois de prison avec sursis mise à l'épreuve assortis d'une obligation de travail et d'indemniser la SNCF de 10 000 €. Il a été suivi dans ses réquisitions. La petite histoire ne dit pas si depuis « qu'il est rentré dans le rang », le client de M e Gauthier prend le train pour ses déplacements. Le Dauphiné Libéré de ce jour
  2. Le rapport qui explique le déraillement du wagon Un expert du bureau d'enquêtes sur les accidents de transport terrestre souligne une accumulation «sans précédent» de plusieurs causes. Le bureau d'enquêtes sur les accidents de transports ferroviaires vient de publier un rapport technique copieux d'environ 70 pages, consacré au déraillement du wagon transportant des matières dangereuses, le 24 novembre 2009, en plein centre-ville d'Orthez. Une enquête réalisée à la demande du ministère de l'Écologie, du développement durable, des transports et du logement (MEDDTL), qui ne vise pas à établir de responsabilités mais « de prévenir de futurs accidents », est-il indiqué en préambule. Le rapport est basé sur les investigations menées par un enquêteur, qui s'est rendu sur place le surlendemain des faits, pour examiner le site et pour faire procéder aux relevés géométriques. Il a également inspecté le wagon dérailleur, le 16 décembre 2009, à Artix, où il était placé sous scellés. L'enquêteur a également eu à sa disposition le rapport des essais et analyses réalisés par l'agence d'essais ferroviaire de la SNCF et à l'étude du mécanisme de déraillement réalisée par le centre d'ingénierie du matériel de la SNCF. Il s'est enfin appuyé sur les pièces de l'enquête préliminaire diligentée par le procureur de la République de Pau Sans précédent connu De toutes les investigations menées, il ressort « que le déraillement est dû à la combinaison de nombreux facteurs causaux liés respectivement à la voie, au matériel roulant et à l'interface roue-rail. » Autrement dit, une accumulation de plusieurs causes, qui si elles étaient survenues isolément, n'auraient pas provoqué l'accident. Les conclusions soulignent qu'« une telle combinaison de facteurs n'a pas de précédent connu. » L'hypothèse privilégiée est celle d'un « déraillement de type classique appelé déraillement par montée de la roue guidante. » Le déraillement a eu lieu dans une courbe située peu après le pont Neuf : une courbe « à fort dévers » (1), ce qui signifie qu'un rail était plus haut que l'autre à l'endroit du déraillement. Dans le virage dans lequel s'est produit l'accident, le poids du wagon exercé sur le lisoir était d'autant plus lourd que l'excès de dévers était élevé. Or ce lisoir est jugé « très usé », ce qui aurait empêché le train de roulement de tourner correctement. De plus, le rapport note une absence de graissage des rails à l'endroit de l'accident, ce qui aurait eu pour effet de faciliter l'escalade de la roue sur le rail extérieur. Huit recommandations Cette analyse a conduit à huit recommandations : l'une concernant la voie, trois autres la maintenance du matériel roulant, une autre relative au graissage des rails et trois dernières concernant les mesures de protection ferroviaire à prendre en pareil cas. Car le rapport indique que les conséquences du déraillement « auraient pu être aggravées » par plusieurs facteurs : « le manque de clarté et de complétude du signalement du conducteur » : « l'absence de la description des mesures à prendre en cas d'accident impliquant des matières dangereuses » ; « le retard dans la décision et la réalisation de la coupure d'urgence de la tension caténaire. » Ainsi, les trois dernières recommandations énoncent que la communication des conducteurs, en cas de présomption de déraillement, doit être plus précise et non ambiguë. La dernière recommandation prévoit le recours en cas de danger chimique, à la coupure d'urgence de la tension caténaire « pour permettre d'arrêter les trains en cas d'urgence et de réduire le risque d'explosion en cas de fuite de matière dangereuse. » (1) Différence de hauteur entre les deux rails. Article et photo d'archive : Sud-Ouest de ce jour L'hypothèse privilégiée est celle d'un déraillement classique « par montée de la roue guidante.»
  3. Nouvelle relation quotidienne directe Bretagne - Languedoc-Roussillon (12 décembre 2010) TGV 5318 - Rennes 9.10 Le Mans 10.24/10.30 Lyon-Part-Dieu 13.31/13.37 Montpellier 15.27 Du Mans à Montpellier circule en UM avec le TGV 5326 en provenance de Nantes (arrivée 10.20) Au départ du Mans rame Nantes en tête Rame Rennes en queue Particularité du retour vers Rennes le soir . . . Montpellier 16.28 Massy TGV 20.29/20.32 (Courtalain 20.59 +) Le Mans 21.19/21.22 Rennes 22.34 De Montpellier à Massy TGV circule en UM avec le TGV 5380/5381 à destination de Nantes Au départ de Montpellier rame Rennes en tête - Rame Nantes en queue Le TGV 5381 (Massy départ 20.37) (Courtalain 21.04 +) dessert Saint-Pierre-des-Corps mais pas Le Mans
  4. Concernant les ADC bien avant Tours et Le Mans : au PRS 17 (bifur de Courtalain)
  5. Lundi en fin de journée, quatre jeunes mineurs demeurant à Béziers ont été arrêtés par les policiers de la Bac de jour d'Agde. Ils sont soupçonnés d'avoir roué de coups un agent de la gare SNCF qui venait de les réprimander car ils avaient traversé les voies ferrées sans autorisation, au péril de leur vie. Tout débute quelques minutes plus tôt, vers 18 h 50, le contrôleur du train Montpellier-Béziers contrôle ces quatre jeunes. Ils circulent sans billet valable jusqu'à Béziers. Ils ont en fait, acheté un titre de transport leur permettant d'arriver seulement à Frontignan, mais eux souhaitent rentrer chez eux à moindre frais. Ils sont donc priés de descendre du train en gare d'Agde. Ces derniers s'y refusent. Le contrôleur est obligé d'employer la force pour que les quatre individus descendent de la rame. Là, par esprit de contradiction et alors que c'est formellement interdit pour des raisons de sécurité, les quatre jeunes quittent le quai et traversent toutes les voies ferrées de la gare. Alors, un employé leur demande de repartir dans l'autre sens en empruntant les passages souterrains et les sermonne. Les jeunes ne l'entendent pas de cette oreille. C'est un passage à tabac en règle que va subir l'employé de la SNCF. Puis, les quatre individus âgés de 15 à 17 ans, prennent la fuite en ville. Ils seront tous rattrapés par les policiers de la Bac près de 10 minutes plus tard. Tous ont été placés en garde à vue. Ils seront présentés ce matin devant le juge des mineurs. L'agent de la SNCF, frappé au visage par les quatre garçons, a une interruption temporaire de travail de trois jours. Midi Libre
  6. Lyon Part-Dieu : elle écope d'une amende à sa sortie du TGV, malgré des billets valides Elle n'avait pu présenter ses titres de transport qu'elle avait laissés à sa fille, assise à bord du train Un mois après les faits, l'histoire la met encore en rogne. Et pas question pour elle de payer cette amende de 83 euros injuste à ses yeux. « Ce qui m'a choquée, témoigne Francisca Pambou, c'est d'être « accueillie » par la police ferroviaire à ma descente du train à la gare de la Part-Dieu : on n'était coupables de rien, vous imaginez pour mes enfants ! » Hier matin, au comité régional de la CGT à Lyon qui l'emploie comme secrétaire administrative, cette habitante de Vaulx-en-Velin raconte son voyage houleux en TGV entre Paris et Lyon, le 21 novembre dernier. Au terme du trajet, le contrôleur lui dresse une contravention pour « refus d'obtempérer » alors même qu'elle n'était pas du tout en infraction à bord. Les billets de 210 euros aller/retour qu'elle nous montre hier, le prouvent : ils sont dûment compostés. Qu'est-il arrivé ? « Je faisais la queue avec mon fils de 6 ans à la voiture-bar pour lui acheter à manger : il était presque 22 heures. Lorsque le contrôleur est passé, je n'avais pas mes billets : je les avais laissés à ma fille de 14 ans, restée assise à nos places. » C'est là, dit-elle, que le contrôleur commence à devenir agressif. « Il m'a demandé d'aller chercher mes billets mais moi, je ne voulais pas perdre ma place dans la queue. Il est devenu méprisant : « Vous êtes sourde ou quoi ? Allez chercher vos billets, vous me les ramenez ! » Il me disait même que mon fils pouvait bien faire la queue à ma place. Et pourquoi pas payer avec ma carte bleue ! Je n'ai jamais refusé de présenter mes billets, je lui ai même précisé à quelles places on se trouvait, pour faciliter son contrôle. On en est restés là...» Son repas payé, Francisca a regagné son siège, sans se douter un instant de ce qui l'attendait en gare de Part-Dieu... Même un responsable cheminot du comité régional de la CGT s'est dit, selon elle, « sidéré » par cette histoire. À ce jour, le courrier que Francisca a envoyé le 22 novembre en recommandé au service clientèle de la SNCF n'a pas reçu de réponse. Le service communication de l'entreprise à Lyon, sollicité lundi par « Le Progrès », a indiqué hier ne pas être en mesure de nous fournir sa version des faits avant la semaine prochaine. L'agent incriminé a utilisé « l'arme » du refus d'obtempérer. Une riposte sans doute disproportionnée dans le cas de cette mère de famille en règle, qui rentrait tranquillement d'un baptême à Paris. Le Progrès
  7. Pour ce qui concerne les clients à destination de Perpignan Les clients du Lunea 4795 (Perpignan 8.25) ont été acheminés de Lyon à Perpignan avec le TGV spécial 27477 (Perpignan arrivée théorique : 20.38) Retard prévu : + 60 mn (Source : Gares en mouvement) Soit un retard de 13h15 environ
  8. Les clients du Lunea 4295 (Nice-ville 9.09) ont été acheminés de Marseille (20.59) à Nice-ville (23.31) avec le TER 17499 Arrivée réelle : 0.21 soit + 50 (Source : Infolignes) Soit un retard de 15h12
  9. Les quelque six-cents passagers du train de nuit Strasbourg-Port Bou ont pu repartir lundi en fin d'après-midi de Saône-et-Loire, où ils ont été retenus plus de trois heures par, cette fois, une panne de locomotive, 20 heures après leur départ d'Alsace. «C'est une avalanche d'incidents liés aux conditions climatiques et à des problèmes techniques. On a fait venir une locomotive de Chalon-sur-Saône pour remplacer la motrice défaillante», a expliqué à l'AFP Jean-François Dherin, un responsable marketing SNCF dépêché à la gare de Tournus (Saône-et-Loire). C'est en effet en pleine Bourgogne que le convoi au retard exceptionnel a marqué vers 13H45 un nouvel arrêt avant de repartir peu avant 17H00 pour un ravitaillement à Lyon. Le train devait arriver vers 18H00 à la gare de Lyon-Perrache. Le retard de ce train a également causé quelques perturbations en gare de Dijon. Le bien public
  10. La gare de Lyon-Perrache reconnaissable grâce à la présence du Poste C Je passe la main okok
  11. Le Lunea 4295 . . . Détresse à Tournus : 3h00 de stationnement Départ de Tournus vers 16.55/17.00 Le train vient d'arriver à Lyon Les voyageurs pour le Languedoc-Roussillon seront acheminés au départ de Lyon par TGV Les voyageurs pour Nice-ville restent dans les voitures directes La SNCF s'engage a rembourser les titres de transport à 100 % + un aller retour offert Source : Infos RTL à l'instant
  12. Je passe la main okok
  13. A tout hasard . . . Limite de région : Rhône-Alpes - PACA (Drôme/Hautes-Alpes) Un PK situé quelque part entre Lus-La-Croix-Haute (km 211 + 807) (Drôme) et l'ancienne gare de Saint-Julien-en-Beauchêne (km 218 + 675) (Hautes-Alpes)
  14. Le commentaire du petit père au sujet du conducteur en retard dans la Vidéo du Dauphiné Libéré "J'ai appris qu'il avait eu une aventure amoureuse et que sa nana l'a pas laisser partir" mdrmdr
  15. Le train bloqué en gare de Chambéry pendant 1h40 Ce 25 décembre 872 passagers du TGV Annecy - Paris sont restés bloqués en gare de Chambéry pendant 1h40. Le conducteur prévu était lui aussi bloqué dans un autre TGV. Il a fallu déclencher une astreinte et attendre l'arrivée d'un nouveau conducteur. Le TGV arrivé à 18h20 est finalement reparti vers 20h. Le Dauphiné Libéré
  16. 171 voyageurs bloqués dans un TGV pendant plusieurs heures Ce samedi à 15 h 45, un TGV s'est arrêté sur la voie entre Saint-Julien-en-Genevois et Annemasse, en raison d'une panne électrique sur une caténaire, probablement conséquente aux intempéries et au fort blizzard soufflant au pied du Salève. En attente d'une solution pour reprendre leur voyage en ce jour de Noël, les 171 passagers du TGV reliant Paris Gare de Lyon à Evian ont dû prendre leur mal en patience. Une bonne centaine d'entre eux ont été pris en charge par les dizaines de pompiers du canton mobilisés sur place. Quant aux autres, une soixantaine environ, ils avaient décidés de rester dans le train et d'attendre des nouvelles. Ce n'est que vers 18 h 15 qu'une locomotive en provenance de Saint-Julien est venue remorquer le train inerte vers la gare de Saint-Julien où un second train attendait afin de permettre aux passagers de rejoindre leur destination Article et photo : Le Dauphiné Libéré Des dizaines de pompiers et de gendarmes ont procédé à l'évacuation des passagers ne voulant plus attendre. Ces derniers ont été emmenés vers le centre de secours. Le froid et le vent soufflant très fort ont rendu les opérations particulièrement difficiles
  17. Eure : une collision entre une voiture et un train fait deux morts La conductrice et le passager d'une voiture ont été tués samedi soir à un passage à niveau à Bueil (Eure) à l'est d'Evreux, dans une collision avec un train express régional assurant la liaison Caen-Paris, a confirmé la préfecture de l'Eure, jointe par leparisien.fr. Le véhicule, qui n'a pu quitter la voie, «pourrait avoir été victime d'une panne», a expliqué un porte-parole. La voiture s'est encastrée sous le train qui s'est arrêté à 1,5 km de distance du lieu de l'accident, vers 18h25, a expliqué un représentant de la SNCF. Le passage à niveau où l'accident est survenu n'est pas classé comme dangereux, a-t-il dit. Il n'y a pas eu de blessé parmi les 570 passagers du train, même si le conducteur est sous le choc. Un autre train en provenance de Saint-Lazare est attendu vers 22 heures sur les lieux pour les prendre en charge. La circulation sur la ligne entre la Normandie et Paris-Saint-Lazare a été rétablie peu après 20h30. Le Parisien
  18. Merci Maurice pour ce complément d'informations D'après infolignes : TGV 6584 - Paris : + 3h00 TGV 6585 - Genève : + 25 mn Un automobiliste de 30 ans a été tué hier soir dans la collision de sa voiture avec un TGV à un passage à niveau situé à Bourg-en-Bresse Un automobiliste a été tué vendredi soir dans la collision de sa voiture avec un TGV à un passage à niveau situé à Bourg-en-Bresse. L'accident est survenu peu avant 21 heures. La victime est un automobiliste de 30 ans, originaire de Saint-denis-les-Bourg, qui se rendait à un réveillon en famille. Sa voiture n'aurait pas pu s'arrêter sur la chaussée enneigée, elle aurait heurté la barrière qui venait de se fermer avant de se retrouver sur la voie. Elle a été heurtée par le TGV Genève Paris dont les passagers sont indemnes. L'accident a eu lieu vers 20 h 50. Le TGV s'est arrêté près de cinq cent mètres plus loin. Le TGV venait de quitter Bourg-en-Bresse pour rejoindre Bellegarde, dans l'Ain, avec 190 passagers à son bord. Article, diaporama photos et commentaires des lecteurs : Le Progrès
  19. Un automobiliste a été tué ce soir dans la collision de sa voiture avec un TGV à un passage à niveau situé à Bourg-en-Bresse (Ain), a-t-on appris auprès des pompiers. L'accident est survenu peu avant 21h00, dans des circonstances qui restent à préciser. La victime, dont l'âge et le sexe ne sont pas encore connus, était le seul occupant de la voiture. Le TGV venait de quitter Bourg-en-Bresse pour rejoindre Bellegarde, dans l'Ain, avec 190 passagers à son bord. Tous sont indemnes. Le Figaro Buon Natale a tutti !
  20. Pour les locaux (région SNCF de Nantes) il ne restait plus que Pornic et Le Croisic Ca sert toujours d'avoir fait des saisons de Chef de service dans les gares balnéaires de l'ancienne CEX (Circonscription Exploitation) de Nantes-Etoile Je passe la main Buon Natale a tutti !
  21. Saint-Gilles - Croix-de-Vie ?
  22. Les Sables d'Olonne ?
  23. Pointe de Grave ?
  24. Le Verdon-sur-mer ?
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