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IGS4

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  1. Carte ferroviaire du département du Loiret Les Aubrais-Orléans - Pithiviers - Malesherbes (61,700 km) Les Aubrais-Orléans (Bifur) - Pithiviers - Malesherbes (Bifur de Filay) = 57,700 km. Observations : PK décroissants des Aubrais-Orléans (PK 118 + 928) à la bifur de Pithiviers (PK 117 + 517) = 1,411 km, puis PK croissants vers Malesherbes. Point culminant (PK 134 + 500) situé entre Loury-Rebréchien (PK 131 + 869) et Neuville-aux-Bois (PK 140 + 080). Déclivités maximales des rampes et pentes : 8 ‰ entre Pithiviers (PK 159 + 173) et Marsainvilliers (PK 164 + 568). Source (précisions des PK) Aux Aubrais-Orléans cette ancienne ligne avait son origine à hauteur du Poste B. De la bifur de Beaune-la-Rolande (ex. Poste C) à Pithiviers elle était en tronc commun avec l'ancienne ligne : Bellegarde-Quiers - Beaune-la-Rolande - Pithiviers. En gare de Pithiviers elle croisait à niveau l'ancienne ligne : Bellegarde-Quiers Beaune-la-Rolande - Etampes. Côté Malesherbes elle arrivait côté Sud (Montargis) à hauteur de l'ancien Poste 3 de la bifur du raccordement de Filay. A la bifur de Filay un raccordement direct permettait une liaison entre Montargis et l'ancienne ligne vers Bourron-Marlotte-Grez sans être obliger de rebrousser en gare de Malesherbes. Gare de Pithiviers à l'époque de la Compagnie du PO Gare de Pithiviers (le 22 juin 1974) Commentaire photo : Sur fond de sucrerie, ce train spécial, remorqué par la 230 G 353, veut faire oublier que la desserte voyageurs a cessé depuis cinq ans déjà, en 1969, sur toutes les branches de l'"X" pithivérien. La réouverture de celle reliant la préfecture du Loiret à sa sous-préfecture beauceronne est un rêve qui vient épisodiquement crever la profonde houle de l'océan des blés. La direction d'Orléans, ville natale de Charles Péguy, est à droite. Crédit photo : Dieudonné Michel COSTES. Source (photo et commentaires) : Massif central ferroviaire. Gare de Pithiviers en mai 2012 Source
  2. Carte ferroviaire du département de la Sarthe Sillé-le-Guillaume - Loué - Brûlon - Juigné-sur-Sarthe (45,400 km) A Sillé-le-Guillaume, cette ancienne ligne à voie unique avait son origine à proximité de l'ex. Poste 2 (côté Laval). Côté Sablé-sur-Sarthe, la bifur était située à 400 mètres en amont de Juigné-sur-Sarthe (côté Le Mans). Son point culminant (PK 27) se situait entre Chemiré-en-Charnie (PK 28 + 300) et Joué-en-Charnie (PK 23 + 600). Déclivités maximales des rampes et pentes : 15 ‰. Mise en service par la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest : le 26 mai 1884. Reprise de l'exploitation par la Compagnie des chemins de fer de l'État : le 1er janvier 1909. Le service voyageurs cessera le 15 mai 1938. Gare de Chemiré-en-Charnie (PK 28 + 800) à l'époque de la Compagnie de l'Etat Gare de Brûlon (PK 13 + 600) à l'époque de la Compagnie de l'Etat Gare de Brûlon en été 2010 Brûlon est la ville natale de Claude Chappe l'inventeur du télégraphe. Le Lycée Professionnel d'Arnage (banlieue du Mans) porte son nom.
  3. Bonjour, Actuellement, concernant le convoyage d'ordures depuis Chevry jusqu'à l'usine de traitement Sidefage de Bellegarde, je ne saurais te dire. Des "locaux" pourront peut-ëtre nous en dire plus ? Fin juin 2011 : (sur notre forum). Gare de Collonges-Fort-l'Ecluse Arrivée de la desserte Chevry - Bellegarde en avril 2011. Source (photo) : Wikipédia.
  4. Carte ferroviaire du département de la Haute-Savoie Ligne 898 : Annecy - Ugine - Albertville (45,300 km) A Annecy, cette ancienne ligne avait son origine à proximité de l'actuel Poste 1 situé côté Aix-les-Bains - Le Revard. Son point culminant se situait en gare de Faverges (506 mètres). Déclivités maximales des rampes et pentes : 20 ‰ entre Faverges (PK 25 + 300) et Marlens (PK 29 + 500). Mise en service par le PLM : le 3 juin 1901. Fermeture au service voyageurs : le 05 Mai 1938. Un train ouvrier, non accessible au public, continua de circuler entre Albertville et Ugine jusqu'en 1953. Gare d'Annecy à l'époque de la Compagnie du PLM Elle a été mise en service en juillet 1866. Dans le fond le massif du Parmelan (1832 mètres). Gare d'Annecy et ses installations ferroviaires Sur ce plan de la région SNCF de Chambéry (situation 2000) en bas à gauche, le début de la VU vers Ugine et Albertville. Source : Rail Passion Hors-série de l'été 2000 : "Alpes : La prodigieuse épopée du rail". Au départ d'Annecy la ligne desservait : Sévrier (+ 6,400 km) Saint-Jorioz (+ 9,900 km) Duingt (+ 12,800 km) Lathuile (+ 16,900 km) Doussard (+ 19,100 km) Giez (+ 21,900 km) Faverges (+ 25,300 km) Marlens (+ 29,500 km) Ugine (+ 36,200 km) Marthod (+ 39,600 km) et Albertville (+ 45,300 km). Gare de Sevrier (km 6 + 400)
  5. Carte ferroviaire du département de l'Ain Ligne 891 - Collonges-Fort-l'Ecluse - Gex - Divonne-les-Bains (37,900 km) Cette ancienne ligne a été mise en service par le PLM le 1er juin 1899 dans le but de desservir les principales localités du Pays de Gex. Malgré l'opposition du Conseil Général de l'Ain, la SNCF cessera le service voyageurs par fer entre Bellegarde et Divonne-les-Bains le 31 mai 1980. Son point culminant se situait en gare de Gex (PK 172 + 300). Déclivités maximales des rampes et pentes : 23 ‰ entre Collonges-Fort-l'Ecluse (PK 142 + 500) et Paradis (PK 146). Un autorail Picasso en gare de Chevry (PK 165 + 800) Source : La Vie du Rail. Gare de Gex (PK 172 + 300) à l'époque de la Compagnie du PLM
  6. Gare de Bedous (PK 275 + 300) Bedous était une gare majeure sur la ligne Pau-Canfranc, ouvert en 1914 elle fut un terminus jusqu’en 1928 avant l’ouverture de la ligne vers Canfranc. La gare fut un relais de traction, les convois se voyaient adjoindre une seconde locomotive pour gravir les fortes pentes en direction de Canfranc. Après l’accident de 1970, la gare fut à nouveau un terminus, en 1980 le trafic voyageur fut arrêté, 1985 pour le trafic marchandise. Source (photo et légende de la photo) Gare de Bedous à l'époque de la Compagnie du Midi.
  7. Carte ferroviaire des Pyrénées-Atlantiques C'est le 11 juillet 1928, que le premier train français avec à sa tête une BB Midi série E 4000 entra en gare de Canfranc marquant ainsi l'ouverture de l'exploitation entre Bedous et Canfranc. 11 juillet 1928, le personnel de la gare pose devant le premier train français. Photo Francisco de las Heras Le 18 juillet 1928, la gare internationale de Canfranc fut inaugurée en présence d'Alphonse XIII, roi d'Espagne, de Gaston Doumergue, président de la République française, du général Primo de Rivera et de Louis Barthou, l'enfant du pays. Aux Forges d'Abel, le 18ème régiment d'infanterie français défila devant les deux chefs d'Etat. Puis, le train inaugural franchit le tunnel du Somport et entra en gare de Canfranc où un un déjeuner de 275 couverts était servi. Les officiels français et espagnols le 18 juillet 1928. Photo Francisco de las Heras. Source (textes et illustrations) Tunnel du Somport (7874 mètres) Entrée du tunnel du Somport côté français. Source des deux photos Entrée du tunnel du Somport côté espagnol.
  8. Bonsoir Jackv, Les pancartes Z et R sont bien implantées uniquement dans le sens Canfranc - Pau. Les déclivités sont de 6 ‰ en amont et de 9 ‰ en aval (vers Pau) de cette ancienne gare. Ceci explique peut-être cela ? Bonne fin de soirée. Amicalement. Alexis. Gare de Gurmençon (PK 255 + 300) Source (photo)
  9. Section : Bedous - Urdos - Les Forges-d'Abel - Canfranc (33,200 km) France : 28 km - Espagne 5,200 km Mise en service par la Compagnie du Midi : le 11 juillet 1928. Son point culminant (1211 mètres) se situe (en Espagne) à l'intérieur du Tunnel du Somport (7874 mètres). Portail côté France : PK 300 + 100 Frontière franco-espagnole : PK 303 + 300 - Portail côté Canfranc (PK 308 + 500) : PK 308. Déclivités maximales des rampes et pentes : 43 ‰ entre Etsaut (PK 286 + 400) et Les Forges-d'Abel (PK 299 + 700). Cependant on atteint un pic de 55 ‰ sur un faible parcours (PK 291 + 500) à la traversée du Tunnel de Lagaüde (165 mètres) situé entre Urdos (PK 290 + 400) et Les Forges-d'Abel. La dérive du pont de l'Estanguet (27 mars 1970) Le vendredi 27 mars 1970, un train de 9 wagons chargés de maïs quitte la gare de Pau à destination de Canfranc. Il est tracté par deux BB Midi : la 4227 et la 4235. Le convoi dépasse la gare de Lescun-Cette-Eygun et attaque une rampe à 35 mm/m. Mais ce matin là, il fait froid dans la vallée d’Aspe et la sous-station d'Urdos ne fonctionne pas, entraînant des chutes de tension entre les deux sous-stations de Bedous et les Forges d'Abel au milieu des plus fortes pentes de la ligne. A 6h45, peu après la sortie du tunnel de Sens, le couplage patine sur les rails couverts de givre. Impossible de sabler les rails, les sablières des deux locomotives sont vides ! Les deux mécaniciens, après avoir placé la rame sous freinage rhéostatique, descendent pour mettre des cailloux du ballast sous les roues. En les écrasant la rame pourrait retrouver son adhérence et repartir. C'est une bonne idée mais la sous-station des Forges d’Abel disjoncte et, privée de freinage, la rame part en dérive. Les deux agents n’y peuvent rien. Le convoi dévale la ligne. Il repasse devant la gare de Lescun-Cette-Eygun, aborde à plus de 100 km/h le passage à niveau automatique de la route de Lescun qui n’a pas le temps de se fermer et finit sa course dans le gave d’Aspe au pont de l’Estanguet au km 280,683. Déséquilibré par la vitesse, un wagon accroche la cage de ce pont métallique construit en courbe serrée. Dans un fracas de tôles pliées, l’ouvrage s’effondre avec l’ensemble du convoi. Les dégâts matériels sont spectaculaires mais l’accident n’a pas fait de victimes. Source (suite du texte et illustrations) Les vestiges du pont de l'Estanguet en août 2001 Le pont de l'Estanguet et les deux BB Midi après l'accident.
  10. Section : Oloron-Sainte-Marie - Escot - Bedous (24,700 km) Son point culminant se situe à Bedous (PK 275 + 300). Déclivités maximales des rampes et pentes : 18 ‰ entre Escot (PK 265 + 800) et Sarrance (PK 268 + 900). Mise en service par la Compagnie du Midi : le 21 avril 1914. Fermeture au service voyageurs : le 31 mai 1980. Fermeture au service du fret : en 1985. Gare de Gurmençon (PK 255 + 300) Source (photo) Gare de Gurmençon en août 2008. Source (photo)
  11. Section : Pau - Buzy-en-Béarn - Oloron-Sainte-Marie (34,900 km) Carte ferroviaire des Pyrénées-Atlantiques Son point culminant (PK 233 + 500) se situe au Tunnel de Bélair (570 mètres) situé entre Haut-de-Gan (PK PK 231 + 200) et Buzy-en-Béarn (PK 235 + 300). Déclivités maximales des rampes et pentes : 20 ‰ entre Gan et le tunnel de Bélair. Exploitation : CAPI (Cantonnement assisté par informatique). Mise en service par la Compagnie du Midi : - section Pau - La Croix-du-Prince - Gan - Buzy-en-Béarn (19,600 km) : le 30 juin 1883. - section Buzy-en-Béarn - Oloron-Sainte-Marie (15,300 km) : le 1er septembre 1883. Gare de Gan (PK 223 + 200) Source (photo) Gare de Buzy-en-Béarn (PK 235 + 300) Source (photos) Janvier 2005, une Z2 Pau - Oloron-Sainte-Marie au niveau de la bifurcation vers Arudy (Laruns-Eaux-Bonnes). (Photo J. Pagès).
  12. Horaires des trains en été 1968 Source : Chaix de l'été 1968. Train 3701 - Le Mans 6.35 La Suze-sur-Sarthe 6.50 Malicorne-sur-Sarthe 7.07 La Flèche 7.32 (Saumur 8.41) - Quotidien Train 3705 - Le Mans 11.17 La Suze-sur-Sarthe 11.31 Malicorne-sur-Sarthe 11.48 La Flèche 12.11 (Saumur 13.15) - Quotidien Train 3709 - Le Mans 20.37 Saint-Georges-Etival 20.45 Voivres 20.49 La Suze-sur-Sarthe 20.57 Malicorne-sur-Sarthe 21.14 La Flèche 21.36 (Saumur 22.47) - Quotidien Train 3700 - (Saumur 7.14) La Flèche 8.26 Malicorne-sur-Sarthe 8.50 La Suze-sur-Sarthe 9.06 Le Mans 9.24 - Quotidien Train 3704 - (Saumur 13.35) La Flèche 14.47 Malicorne-sur-Sarthe 15.10 La Suze-sur-Sarthe 15.29 Le Mans 15.47 - Quotidien Train 3708 - (Saumur 17.23) La Flèche 18.34 Malicorne-sur-Sarthe 18.56 La Suze-sur-Sarthe 19.13 Le Mans 19.28 - Quotidien Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF. Gare de Malicorne-sur-Sarthe (km 344 + 800) Un train en provenance du Mans et de La Suze-sur-Sarthe. Gare de Malicorne-sur-Sarthe en 1906. Un train en partance pour La Suze-sur-Sarthe et Le Mans.
  13. Petit rappel historique . . . Bréauté-Beuzeville - Les Ifs - Fécamp (19,700 km) - Fascicule 3-16-4 (en 1957) Son point culminant (PK 206 + 500) se situe entre Bréauté-Beuzeville (PK 202 + 200) et Grainville-Ymauville (PK 209 + 100). Déclivités maximales des rampes et pentes : 18 ‰. Mise en service par la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest : le 25 février 1856. Reprise de l'exploitation par la Compagnie des chemins de fer de l'État : le 1er janvier 1909. Gare de Bréauté-Beuzeville (PK 202 + 200) Source des deux CPA Gare de Fécamp à la fin du XIXème siècle (PK 221 + 900) Gare de bifurcation des Ifs (PK 214 + 300) avant 1955
  14. C'est dans le Rhône. A tout hasard . . . Le PN situé entre la gare de Régny (PK 437 + 171) et le souterrain voisin (315 m). Si la réponse est correcte je passe la main.
  15. Horaires des trains en septembre 1932 Composition des trains TL : voitures de 1ère, 2ème et 3ème classe. Source : Livret-Chaix de la Compagnie de l'Etat de septembre 1932. Train TL n° 3735 - La Flèche 6.38 Durtal 7.04 Seiches 7.28 Angers 8.08 - Quotidien Train TL n° 3743 - La Flèche 11.39 Durtal 12.04 seiches 12.28 Angers 13.06 - Quotidien Train TL n° 3747 - La Flèche 17.50 Durtal 18.14 Seiches 18.38 Angers 19.25 - Quotidien Train TL n° 3732 - Angers 4.50 Seiches 5.26 Durtal 5.48 La Flèche 6.11 - Quotidien Train TL n° 3742 - Angers 14.29 Seiches 15.11 Durtal 15.35 La Flèche 16.01 - Quotidien Train TL n° 3578 - Angers 18.47 Seiches 19.25 Durtal 19.48 La Flèche 20.11 - Quotidien Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF. Gare de Durtal Source CPA
  16. Bonjour Pascal, La Flèche - Bazouges - Durtal - Saint-Barthélemy-d'Anjou (Angers) Mise en service par la Compagnie du PO : le 9 mai 1885. Fermeture au service voyageurs : le 10 octobre 1938. Fermeture au service marchandises de Gouis à Durtal (2 km) : en 1944. Fermeture au service marchandises de Durtal à Saint-Barthélémy-d'Anjou (30 km) : le 1er juillet 1951. Retranchements Zone de Gouis du PK 36 + 374 au PK 36 + 931 soit 0,557 km : le 12 décembre 2001. Entre Bazouges-sur-le-Loir et La Flèche du PK 47 + 100 au PK 48 + 417 soit 1,317 km : le 12 décembre 2001. Observations : annulé par décision du Conseil d'Etat du 3 décembre 2003. Source des dates de retranchements Le plan de voie de la gare de bifurcation de La Flèche dans les années 50 (1957) ainsi que la section : La Flèche - Bazouges - Gouis de l'ancienne ligne La Flèche - Saint-Barthélemy-d'Anjou (Angers). Gouis : EP des papeteries de La Rochette-Cenpa (La Rochette-Atlantique). Ancien PN de la D 308 (La Flèche - Baugé - Saumur) à la sortie de la gare de La Flèche. A gauche l'ancienne ligne vers Bazouges, Durtal, Le Plessis-Grammoire et Angers. A droite l'ancienne ligne vers Sablé-sur-Sarthe et Le Mans, en tronc commun jusqu'à la bifur de l'Aubinière située 3,600 km après l'ancienne gare de Verron (km 332 + 800). Toujours à la sortie de la gare de La Flèche, la même configuration avenue du Général de Gaulle (D 306). Au départ de La Flèche la ligne desservait : Bazouges (+ 8 km), Gouis (+ 13 km), Durtal (+ 15 km), Lézigné (+ 20 km), Le Bourgneuf (+ 24 km), Seiches-sur-le-Loir (+ 28 km), Villevêque-Corzé (+ 33 km), Pelouailles (+ 37 km), Le Plessis-Grammoire (+ 39 km), Saint-Barthélémy-d'Anjou (+ 45 km) et Angers (+ 49 km). Gare de Bazouges-sur-le-Loir (PK 40 + 900) Source des deux premières CPA
  17. Au pays des faïenceries d'art et du Prytanée national militaire (Le Mans) La Suze-sur-Sarthe - Malicorne - La Flèche (30,100 km) Son point culminant (PK 337 + 500) se situait entre Villaines-sous-Malicorne (PK 339 + 100) et la bifur de l'Aubinière (PK 336 +400). Déclivités maximales des rampes et pentes : 15 ‰. Mise en service par la Compagnie du PO : le 24 décembre 1877. Fermeture au service voyageurs : le 6 avril 1970. Fermeture au service du fret : milieu des années 90. A La Suze-sur-Sarthe cette ancienne ligne avait son origine côté Sablé-sur-Sarthe (Angers). La ligne desservait la ville de Malicorne-sur-Sarthe connue pour ses faïenceries d'art et pour son château de RiveSarthe qui était jusqu'en 2001 la propriété des services sociaux de la SNCF. Ce château qui proposait notamment des séjours à l'intention des enfants du personnel, ainsi qu'aux retraités, des stages de moniteurs de manœuvre, était réputé pour sa bonne cuisine. Le château de RiveSarthe est désormais une propriété privée. Source (photo) A partir de la bifur de l'Aubinière (PK 336 + 400) située entre Villaines (PK 339 + 100) et Verron (PK 332 + 800) la ligne était en tronc commun avec la ligne en provenance de Sablé-sur-Sarthe . La ligne desservait ensuite La Flèche sous-préfecture de la Sarthe connue pour son célèbre Prytanée national militaire fondé il y a 410 ans (1603) par Henri IV (Collège Royal). La Flèche était autrefois une étoile ferroviaire importante. Gare de Villaines-sous-Malicorne (km 339 + 100) Un train en provenance du Mans, de La Suze-sur-Sarthe et de Malicorne-sur-Sarthe. La Suze-sur-Sarthe - Malicorne-sur-Sarthe - La Flèche - Beaugé - Saumur RD : le fascicule 3-58-1 de 1957.
  18. Normal, Fabien est décédé le Jeudi 20 Janvier 2011 à 17h35 au centre Léon Bérard de Lyon (Jour de la Saint-Fabien). Message de son épouse le mardi 25 janvier 2011 sur le forum de Fabien.
  19. C'est aussi l'impression que j'ai eu en parlant de la réouverture de cette ancienne ligne avec Guy-Michel Chauveau, (qui connaît personnellement mon attachement pour l'ancienne étoile ferroviaire de La Flèche, et pour cause) à l'occasion du vin d'honneur du comice agricole (août 2012) du canton de La Flèche. La réouverture de cette ancienne ligne reste du domaine de l'utopie !
  20. Bonjour Jackv, Tout à fait ! D'autant plus que je n'ai jamais participer à ce genre de discussion. Par contre, les anciennes activités de la gare de La Flèche je connais, et pour cause. Bonne fin de journée. Amicalement. Alexis.
  21. Cette ancienne VUTR a été définitivement comdamnée à cause de la délocalisation de l'usine de traverses en béton qui était située en gare de La Flèche.
  22. Bonsoir Louis. Petit retour en arrière . . . Carte ferroviaire du département de la Sarthe Chemin de fer et tramways en Sarthe en 1890 Le Mans - Gare centrale des tramways de la Sarthe Gare centrale des tramways côté Sarthe en 1910 Le Mans - Pont en X sur la Sarthe Le célèbre pont en X a été construit en 1898 (Louis Harel de la Noë) pour le passage des tramways à vapeur départementaux et des tramways électriques de la ville du Mans. Cet ancien pont était situé à proximité de l'actuel pont Yssoir. Sabotage du pont en X le 8 août 1944 Le 8 août 1944 entre 2h00 et 6h00 le pont en X ainsi que le pont Yssoir, la passerelle d'enfer, le pont en fer ont été sabotés par les allemands. Le 8 août 1944 est le jour de la libération de la ville du Mans Le premier pont Yssoir (ferrailles) a été construit en 1813. Une autre vue de l'ancien pont en X.
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