michael02

Retards dus à une gêne de transit ? :Smiley_40:

Surtout en même temps ... A ++ Vu du côté voyageur, ça me rappelle l'époque où les vitres s'ouvraient largement dans les voitures. J'étais intervenu pour mettre en garde avec ménagement une jeune fille qui profitait d'un effet de brumisateur par temps sec ....

http://rail4402.fr/PAGES/LIGNE_11/L11_11.htm

C'est bien ce que je dis, ADC ... Vous n'avez pas indiqué ce qui s'est passé pour votre père. On lui a forcément proposé de payer la contravention avant de rédiger le PV d'infraction ..

Les réchauffes pour un Boeing, rien de plus normal ... :Smiley_41:

Orange ne me prévient qu'aujiourd'hui :Smiley_03:

Sur la ligne jamais construite entre Aulnay et Verberie, une des piles pour les 28 arches du viaduc de Néry ? Donc d'après les dernières précision, ce n'est pas ça ... Voie métrique ...

j'espère bien ne pas me blinder sur ce genre de situations .... même à la retraite !! nonmais

Illustrons : Confus" après avoir dormi, un pilote fait plonger son Boeing: 16 blessés Un pilote d'Air Canada, qui venait de se réveiller d'un repos en vol de nuit, a cru que son appareil allait en heurter un autre venant en face et l'a fait plonger brusquement, faisant 16 blessés parmi les occupants, selon un rapport d'enquête publié lundi. http://actu.orange.fr/insolite/confus-apres-avoir-dormi-un-pilote-fait-plonger-son-boeing-16-blesses-afp_570568.html

C'est comme pour une contravention routière, même si la SNCF est moins impérieuse que l'Etat ... On a toujours intérêt à payer une contravention : si on a gain de cause pour sa réclamation, on est remboursé tout ou partie, mais surtout, si la contestation est refusée, on ne paiera pas plus cher. Et c'est bien là l'essentiel.

et surveille l'orthographe ... Pense à prendre la réponse du centre de recouvrement et même tout le dossier.

Un rat passe ...(flap, flap...) et trépasse... :Smiley_39: Pourvu que la pestilence s'arrête aux portes du corail de Paris ...

C'est une carte TER Rhône Alpes. Allan, peux tu obtenir en gare une attestation selon laquelle tu n'es pas tenu au coupon de rechargement. Sinon appelle le service clientèle : http://www.ter-sncf....ion=rhone_alpes (attention, le téléphone est à 0,22 €/mn d'un poste fixe, mais tu peux les interroger par message électronique)

Enfin bon, puisque le recrutement constitue une partie de mes activités ... Dire à un candidat - à l'issue d'une longue procédure de recrutement qui s'est passée sans heurts - qu'on a décelé au final des fragilités au moment de la synthèse, me poserait problème... lego608, un refus fait partie des possibilités qu'il faut envisager... voir peut être une opportunité de commercial en gare ..

Il faut souhaiter que l'EAS ne fasse pas tâche d'huile ...

"Mettre de l'humain dans les trains" suggérait une asso d'usagers dans un autre topic de ce forum... Voila, avec le cadeau fait à Louis, un grand plein d'humanité. Joyeux anniversaire Louis ! et bravo à ceux qui ont permis la fête !

Je suis surtout d'accord avec "Il faut que la SNCF remette de l'humain dans le train" mais moins avec la suite qui ne parle que de la fonction contrôle dans cet aspect humain. L'argument "faire disparaitre le sentiment qu'on paye pour les autres (sans billet) et qu'on est bête de le faire.." me séduit moins. Si le contrôle doit être systématique, autant l'automatiser. C'est ce qui se fait en zone centrale en région parisienne. Tout le monde s'en accommode et les équilibristes prennent leurs responsabilités. C'est équitable... La présence humaine dans les trains mérite donc d'être débattue : contrôle, information, services : dans la conception actuelle du métier d'ASCT, c'est l'aspect "commercial" qui est mis en avant par l'acronyme, et l'aspect "contrôleur" par la vox populi... Il y a nécessité d'y réfléchir en écoutant attentivement ce que chacun en pense... Regarder les pratiques différentes : IdTGV, Thalys, Eurostar, Thello, DB avant que la "concurrence intérieure" tellement attendue par certains présente un modèle d'agent d'accompagnement ressemblant plus à un PNC de l'aérien qu'à nos représentants SNCF.

Ok ... dans ma caboche d'abonné, je me dis que je vais éviter les extrémités ... Pensées pour les victimes.

La Presse et le désastre. Le premier message sur l'accident arrive à New-York une heure avant que le Titanic ne coule. Le lundi matin 15 avril, le New York Evening Sun titre "Tous les passagers du Titanic sauvés après la collision. Le paquebot est remorqué vers Halifax." L'article indique que les passagers avaient été recueuillis sur le Carpathia et le Parisian et que l'équipage est resté sur le Titanic en remorque. Dans la journée, les bureaux de la compagnie White Star Line rassurent les proches des passagers. Pourtant, alimentées sans doute par des radio amateurs, des rumeurs circulent sur le naufrage. La confirmation arrive à la White Star Line vers 18 h, par un message de l'Olympic. La compagnie confime un peu plus tard l'immensité du désastre. A 21h, on apprend que le Carpathia n'a recueilli que 700 survivants, ce qui laisse supposer la perte de 1500 vies. Pourtant à Londres, le 16 avril encore, le Daily Mail titre "Le Titanic coulé, pas de pertes de vies humaines". Les difficultés de transmissions expliquent largement ces imprécisions. Le 16 avril au matin, le New York Times annonce le naufrage et publie une première liste de rescapés transmise par l'Olympic. La plus grande partie des articles évoque les disparus célèbres. Puis la nouvelle tombe que le Carpathia arrivera à New York le 18 avril. En Angleterre, la nouvelle du naufrage n'est publiée que le 17 avril. Le Carpathia arrive à quai le 18 avril vers 22h au quai de la White Star Line, attendu par 40 000 personnes dont énormément de journalistes à la recherche de témoignages des passagers. Le New York Times a loué un hôtel où il a installé un standard téléphonique...

Celui qu'attend l'entreprise, quelle qu'elle soit. On peut dégager cette attente en lisant attentivement les termes de l'annonce ou de la fiche de poste (rubrique profil recherché) ou en écoutant ceux qui sont passés par là avec succès. Par rapport à la SNCF, l'intérêt particulier, exprimé de façon raisonnable et raisonnée, qu'on peut porter à la chose ferroviaire fait partie des arguments supplémentaires qu'on doit mettre en rapport avec le profil demandé... sans donner le sentiment qu'on cherche surtout à se faire plaisir ...

En d'autres temps, c'était sans doute d'entreprises concurrençant SERNAM dont on n'avait pas besoin ... :Smiley_74:

Symphonie ==== > Nouveau Monde

Lundi 15 avril 1912 À minuit, la salle de tri du courrier est inondée, Thomas Andrews, l'architecte du paquebot établit alors un pronostic : le navire coulera dans une heure ou deux heures tout au plus. 5 minutes plus tard, le capitaine fait enlever les tauds des embarcations et rappeler l'équipage, le cours de squash, 10 mètres au-dessus de la quille est sous l'eau. À 00h10, le 4e officier Boxhall calcule la position du navire : 41°46'N, 50°14'O. À 00h15, le premier appel de détresse est envoyé en signal CQD (Come Quickly Danger). À 00h20, l'eau envahit déjà les quartiers de l'équipage à l'avant du Pont E. À 00h25, l'ordre est donné de faire monter les femmes et les enfants en premier dans les canots de sauvetage et le RMS Carpathia, un navire ayant capté le signal de détresse fait route à toute vapeur mais il est lent (17 nœuds) et la présence de glaces le ralentit encore plus. À 0h45, la première fusée de détresse est envoyée, et le canot n°7 est affalé avec seulement 28 passagers contre 65 possibles, le signal CQD est transformé en SOS. Les officiers s'occupent de faire monter les femmes et les enfants en priorité dans les canots, les 1res classes étant bien évidemment avantagées pour obtenir une place. Mais la capacité des canots de sauvetage du Titanic n'est que de 1 178 personnes au total et il y a 2 201 personnes à secourir sur le paquebot. À intervalles réguliers, jusqu'à 1h40, des fusées de détresse furent envoyées. Il en est de même pour les SOS qui furent envoyés jusqu'à 2h17. Divers navires ont apparemment aperçu ou entendu ces signaux. Effectivement, un officier de quart aurait aperçu les fusées de détresse du Titanic mais en aurait déduit qu'il s'agissait d'une fête pour célébrer la croisière inaugurale du paquebot et n'en a donc pas tenu compte. Sur le Californian, l'opérateur radio serait parti se coucher peu avant l'instant où le message de détresse du Titanic fut envoyé. Parmi les navires ayant bien reçu le SOS, l'Olympic (bateau jumeau du Titanic) était à plus de 500 milles (926 km) donc il était impossible pour lui d'arriver à temps, le Mount Temple était à 49 milles (95 km), le Frankfurt était à 153 milles (285 km), les navires Bisma, Baltic et Virginian étaient respectivement à 70, 243 et 170 milles, le Carpathia étant seulement à 58 milles (107 km), c'est lui qui tenta de porter secours au Titanic. À 00h55, les canots n°6 et n°5 sont affalés avec respectivement 24 et 36 personnes embarquées seulement. Entre 1h00 et 1h10, les canots n°3, n°1 et n°8 sont mis à la mer avec seulement 40, 12et 28 personnes. Le reste des canots est amarré avec environ 60 personnes à bord jusqu'à environ 2h00 du matin. À 2h05, le canot pliable D est le dernier mis à la mer avec succès contenant 24 personnes à bord contre 49 possibles. À 2h10, le commandant relève les opérateurs radio Jack Phillips et Harold Bride de leur fonction. À 2h17, Thomas Andrews est aperçu seul dans le fumoir de 1re classe, le commandant retourne sur la passerelle, l'orchestre s'arrête de jouer juste avant la chute de la cheminée avant. Peu après, la grande verrière se brise en entraînant la destruction de l'escalier d'honneur et donnant accès à l'eau à toutes les pièces de l'avant. À 2h18, les lumières du RMS Titanic clignotent une dernière fois puis s'éteignent. Un instant plus tard, le paquebot se brise en deux. Alors que la partie avant coule, la partie arrière flotte pendant quelques instants et se remplit d'eau lentement jusqu'à ce qu'elle sombre à son tour à 2h20, 2 heures et 40 minutes après la collision. La température de l'eau est alors de -3°C. Beaucoup plus tard, à 3h30, les passagers des canots aperçoivent les feux du Carpathia. 40 minutes plus tard, le premier canot, le n°2, est récupéré par le navire d'assistance. À 5h30, le Californian prévenu par le Frankfürt arrive sur les lieux du désastre. Le dernier canot, est récupéré à 8h30, le second officier Charles Lightoller est le dernier à monter à bord. Le Carpathia fait ensuite route vers New York à 8h50, Joseph Bruce Ismay télégraphie à la White Star Line le naufrage du RMS Titanic. (d'après wikipedia) Il y aura 705 rescapés. Le nombre des victimes varie entre 1491 et 1513 personnes.

Normalement certes ... il y a peut être eu un ralentissement. Quant à la personne elle même, vu que l'immobilisation des trains n'a pas dépassé 1h30, j'interprète qu'elle s'en est tirée ... Le 12313 avec 1h de retard au départ a circulé vers 16h40 par Ormoy-Verberie.