michael02

On le plaint bien ce petit c...., si c'est le résultat d'un jeu stupide. On lui souhaite de se remettre rapidement et d'en tirer les enseignements nécessaires... (je ne dirai pas puisqu'il est au courant...) okok

Considérant la chute des ventes des quotidiens nationaux, on pourra de plus en plus calculer le nombre des béni-oui-oui de chaque courant okok

La Voix de son Maître...

Ne pas trop promettre c'est clair : un engagement va au dela de l'info... dire qu'on fait le maximum... et le faire...

C'est du journalisme d'opinion, Dominique...

C'est tragique que le Président - qui prétend décider de tout - méconnaisse à ce point un point sensible du dossier, et qu'exprimant son point de vue personnel ("je pense", dit il) il se retrouve en contradiction avec ce que le gouvernement (+ M.Soubie et le MEDEF) a prévu et que tout le monde sait, sauf lui. C'est comique que, face à ce Président, sûr de lui même, et suscitant de chaque hochement de tête l'approbation générale, un militant puisse répliquer " et bien ça c'est nouveau, Monsieur le Président". Cependant, le résultat est de loin plus tragique que comique... parce que le rouleau compresseur ne s'arrête pas pour autant. Même distance de la réalité et déclarations contredites ensuite par les faits ou les politiques gênés aux entournures, pour le pseudo service minimum, pour les pêcheurs, pour les 35h, pour le pouvoir d'achat, pour la bande à Zoé...

Eh eh.... il y a des abherrations au principe du tarif barème km : si tu achètes un Roissy-aéroport/Paris, tu constateras que le kilométrage figurant sur le billet est de .... 53, ce qui fait beaucoup sasn supposer un détour . En fait c'est le moyen qu'a trouvé le STIF pour "surtaxer" cette liaison.

Loi tellement bidon qu'elle ne garantit en aucune façon le "service minimum" promis par M.NS qui supposait un service normal aux heures de pointe...

Le dis pas trop fort, on pourrait t'entendre.... lotrela

Entre le coup de gueule d'un syndicaliste emporté, et la calme détermination d'un Président de la République en visite stratégique, prétendant déterminer et décider de tout en matière politique, ce n'est pas le même niveau d'impasse... Ta remarque, Vinces, me fait penser à ceux qui pensent, parce que les journaux le disent, "qu'il n'y a pas de fumée sans feu". Si j'avais écrit le récit de cette période, j'aurais insisté personnellement sur le fait qu'un gouvernement soutenu par l'opinion peut venir à bout de toutes résistances catégorielles. J'aurais ainsi défini une autre "ligne générale" de ce conflit décrivant avec un autre éclairage que les Echos ce qui s'est passé.

Un jour, un de ces journalistes quelque peu imbus d'eux mêmes m'a demandé si je lisais quotidiennement, - souvent - parfois - ses analyses dans le Monde. Je lui ai répondu que non désormais (ce qui n'est pas tout à fait vrai), puisqu'ayant constaté ce qu'il écrivait d'erroné sur ce que je connaissais bien, je craignais beaucoup de lire ce qu'il écrivait sur ce que je ne maîtrisais pas. Cet article des Echos raconte une histoire. C'est un son de cloche destiné à conforter les convictions du lectorat. La réalité des faits est probablement beaucoup plus nuancée... et diversifiée. Pourquoi par exemple passer sous silence les conséquences de l'intervention tragi-comique de M.Sarkozy au Landy... ? Ce n'est pas parce que le récit est cohérent et vraisemblable qu'il est véridique. Avant de gerber sur l'attitude des uns et des autres, j'attendrai qu'ils s'expriment. A défaut, je prendrai cela pour un roman.

Ce qu'on répond à Sylvain03 me rappelle que lorsque j'ai été reçu en entretien de recrutement par le Directeur Régional de l'EPA (etablissement public administratif) auquel je collabore, après une longue attente dans un couloir où il n'y avait même pas une chaise, il m'a demandé : - En dehors de sortir du chômage, quel est votre objectif en entrant dans notre Etablissement ? Je m'entends encore lui répondre presque en état second : - Monsieur, ce serait de recevoir les gens mieux que j'ai été reçu bien souvent dans vos services et en particulier aujourd'hui. Il y a eu un moment de silence et il m'a simplement répondu sans sourire : - Alors banco, bienvenue !. oufffffffffffffffff C'est un truc que je ne referai jamais ! fallait être c.... Il ne s'agit pas de critiquer le travail des ASCT mais de chercher si on ne peut pas améliorer la communication, celle de l'entreprise vers eux pour commencer. C'est valable aussi pour les agents de l'exploitation en gare. Mon exaspération, c'est que l'entreprise sncf n'arrive pas à trouver la méthode pour communiquer correctement.

Ce n'était pas la tempête de 99, mais une autre... Paris-St Quentin via Amiens en "quelques" heures... On nous avait comptés et recomptés, et pourtant à Amiens, c'est le suppo en solo qui a pris en charge tout le monde... Lorsque je rejoins la voiture vers 23h, j'ai le plaisir d'entendre M.Louis Gallois sur France Info décrire en détail les perturbations, leurs causes et leurs conséquences. Il était au courant de tout. Ce qu'il disait était de nature à être compris par tout le monde. Avant de le dire à la radio, il aurait dû le dire dans les trains... Pas de moyens techniques ? allons donc.... En cas de crise, l'info c'est parler aux gens, y compris pour leur dire que les techniciens travaillent et font le maximum... mais c'est le plus souvent un grand silence qui dure.... ou des contacts en petits groupes où les esprits s'échauffent et où les contrôleurs s'épuisent à répondre en boucle aux mêmes interrogations ou attaques. Il revient d'abord à l'entreprise de renseigner ses agents pour que l'info soit répercutée. C'est une lacune considérable de renseigner (sommairement) le 3635 et pas les roulants.... Il convient ensuite de repenser cette notion de "cause extérieure" qui dispense la sncf de délivrer les billets de retard. Un billet de retard constate purement et simplement le péjudice subi par le voyageur dans le cadre de son transport quelle qu'en soit la cause : le contrat de transport c'est cela. De là la suspition sur les causes annoncées. S'il s'avère que des causes extérieures sont intervenues, il faut que la sncf se retourne ensuite contre les auteurs de ces dysfonctionnements. Il y a des règles juridiques à modifier. Lorsqu'un produit quelconque s'avère défectueux, c'est bien au vendeur qu'on s'adresse au titre de la garantie et non pas au fabricant... Dans tous les cas, les voyageurs eux doivent avoir droit à être considérés avec respect. Le paradoxe, c'est qu'ils le sont... mais qu'ils ne le savent pas, parce qu'on ne leur dit pas.

Pour la bonne lecture du sujet pourrais tu préciser "région PACA" dans le titre Merci Ceci dit, v'la aut'chose.... revoltages

Reste qu'en matière de communication SNCF, c'est à dire de prise en considération des voyageurs, c'est quand il n'y a rien à dire qu'il faut parler... autant le faire pour tout le monde qu'en petits groupes autour des contrôleurs... La gestion des crises suppose une politique et des moyens pour organiser l'accueil, réouvrir les gares...

Surtout quand ca affiche "over" ou "40 mètres" après le choc.... Sinon je cocoone ce popo qui a fêté ses 26 ans ce Noël : Le 1er septembre 2007 au camping de Debden Green à 15 km de Londres... A l'origine, c'est un van 3 rangées de sièges, motorisé Diesel, un 253CS mis en service à Noël 1981. Je l'ai confié à un équipementier qui l'a équipé en camping car en 94 à prix d'or, sur un kit campérêve.... Je l'ai ensuite équipé d'une BV à 5 vitesses Dans les côtes, il est spécialement performant : je suis toujours en tête de la file dans les grimpettes... Il vient d'être lifté par mon garagiste sympa... Si vous voulez un site de passionnés VW transporteurs, coccinelles ... allez voir par ici

Sans caricaturer, l'entreprise coopérative est un modèle économique fiable. Une entreprise de l'économie sociale fonctionne sur un modèle classique, à une différence près : les bénéfices ne sont pas redistribués à des actionnaires : ils sont comptabilisés comme excédents sur l'exercice et sont réinvestis...

Il faut aller dans Mes Contrôles en haut de la page et se laisser conduire par le menu. C'est fait : encore 1 dans le 02 et le département change de couleur.

Ah ? (mode provoc ) Et quand il s'agit du fret alors ? ici

Je ne sais pas si cette interrogation a sa place ici, mais.... C'est une question que je me pose ou plutôt un constat que je fais : la possibilité pour les salariés de piloter ou d'orienter les décisions stratégiques concernant leur boutique est quasi nulle... Ce qui se passe à la SNCF (comme ailleurs) en témoigne. J'ai pensé longtemps que dans l'économie sociale ce pourrait être différent et je commence à en doûter sérieusement. C'est peut être provocant, et s'il en est de plus optimistes, ce serait cool.

Les deux dernières interventions sont complètement pertinentes. Au bout du compte, il y un fait : un hiérarchique porte plainte contre un subordonné pour des raisons autant personnelles que professionnelles... "Monsieur, il m'a traitée...." Je ne voudrais pas être à la place de cette personne devant la suite des évènements... Les conséquences sont disproportionnées. Et ça arrange la direction pour écarter un gêneur. Ces questions de plaintes entre agents d'une même entreprise, qui peuvent entrainer l'intervention de la justice à l'intérieur de la boîte ainsi que des mesures internes, sont importantes et graves, d'autant que tant que l'affaire n'est pas conclue, la personne visée ne peut pas contr'attaquer...

Et bien entendu aucun journaliste ne va aller demander à l'UMP ce qu'il en est à ce jour de cet "optimisme" de façade affiché au mois d'août. Il est important ce communiqué car il révèle l'état d'esprit revanchard, archaïque et démagogique de la droite régnante...

Ca se passe en général bien avec le contrôleur, mais ce n'est agréable ni pour lui ni pour le "client". Si tu t'es rendu compte du défaut d'impression, c'est ok. Si le contrôleur n'envoie pas son message habituel sur le "premier passage" tu peux aller à sa rencontre... encore que ce ne puisse être considéré comme une obligation qui s'impose au voyageur. Mais, dans le cas (fréquent) où la personne n'a pas vérifié la présence ou la qualité de l'impression, parce qu'elle a entendu le "bzzzzzzzzzzzzzz" habituel et non pas le bip agressif de l'appareil qui refuse, elle va être confrontée au problème lors du contrôle. A l'insu de son plein grè. C'est d'ailleurs autant un problème en gare qu'une question de contrôle ... Il y a de temps en temps une opération de vérification des titres à l'accès au quai, cette pratique tend à devenir nécessaire. Si la responsabilité du voyageur est bien de se munir d'un titre de transport valide, il est de celle de la SNCF de lui en donner les moyens. A défaut, libre à elle alors de se retourner contre son fournisseur...

9 voitures corail, 2 mn d'arrêt, 20 personnes sur 100 concerccnées. En Ecosse cet été : quand on doit acheter le ticket à bord du train et qu'on na pas pu, c'est au contrôle de sortie que l'agent est là avec son petit matos puisque on ne peut pas franchir le portique.... entrée gratuite, sortie 1,8 GBP comme le petit bal de Pierre Dac (entrée gratuite, sortie 15 francs)

L'ai bien reprérée la marque en braille... mais bonjour la possibilité de fraude jusqu'au prochain contrôle effectif... Et puis tout les voyageurs ne vérifient pas l'impression... C'est vraiment n'importe quoi ce matériel...