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Tout ce qui a été posté par krisamv
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Tiens! Vous ne l'aviez pas lu celui-là! Mort de rire... http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...c=16422&hl=
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Attends Marc, regardes les marins, les dockers, les agriculteurs, ils donnent quand-même plus l'impression d'être là car très en colère que "les autres" qui courent au son du tam-tam avec des ballons accrochés sur la tête, nan ? (pour la bouffe, ok, faut faire trois repas par jour, c'est normal) Et pour les troupes, ils ne partaient pas en chantant "Alex, t'es foutu, les grognards sont dans la rue", le tout en dandinant du cul et en tapant des mains mdrmdr
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Une plainte a été déposée ?
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Et on a plus l'impression qu'ils sont là pour s'amuser plutôt que protester. Rappelle-toi, il y a peu, un membre maintenant banni nous racontait "avec fierté" sa première manif cheminote, cet idiot se vantait d'avoir picolé comme un mort et de s'être super bien amusé.
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Sur le site de l'Internationale des Fédérations Anarchistes, voilà ce qu'on peut y lire : "En Grèce, comme en France, les étudiants luttent contre la libéralisation de la société lancé par l’État. Ils ont identifié en lui leur ennemi et ils ont affirmé qu’ils ne participeraient à aucune négociation." Ayant lu pas mal d'articles sur leur site, je ne retrouve plus la page exacte de laquelle j'ai extrait ce passage, mais pour en savoir plus, voilà l'adresse du site : http://international.federation-anarchiste.org/
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Ca c'est sûr, aucun parti politique n'a l'air décidé (capable?) à oeuvrer pour l'intérêt collectif, on retombe toujours dans le face à face des uns contre les autres.
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Si tu tapes "anarchy greece" sur le site Youtube, tu y trouveras des tonnes de vidéos des violences régulières que la Grèce vit. Et tu y verras de nombreux drapeaux noir et rouge, le drapeau des anarcho-syndicalistes. Ces jeunes ne sont peut-être pas tous des anarchistes, mais il semble clair que les anarchistes soient systématiquement parmi les leaders.
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Et pour cela, c'est une refonte totale du système qu'il faudrait, pas des mesurettes et des propositions dirigées uniquement pour les uns ou contre les autres lapleunicheuse
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Dans le cas de ce sujet, les émeutes en Grèce, quelle prévention veux-tu qu'il y ait ? On les invite avant de casser à discuter sur le fait qu'il ne faut pas casser ? Y a des cas - comme celui-ci - où la notion de prévention ne se pose pas, non ?
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Prévention avant répression, c'est ton avis, mais pas forcément celui de tout le monde lapleunicheuse
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Intéressant ou non, et quelques soient les raisons de la colère en Grèce, les émeutes actuelles sont dirigées par de la racaille anarchiste & Cie. Espérons que le gouvernement grec saura se décomplexer de son récent passé et écraser cette rébellion. Il y a des problèmes en Grèce, mais ce n'est certainement pas en pillant et en brûlant qu'ils seront réglés ! Les violences en Grèce meublent les JT et les journaux en ce moment, mais ce n'est pas nouveau, c'est un phénomène récurrent. La mouvance anarchiste fait exploser la colère des jeunes grecs (article Le Point) AFP Les violences urbaines commises dimanche et lundi ( lire notre article ) en Grèce après la mort d'un adolescent tué par la police illustrent la combativité et la capacité d'organisation de la mouvance anarchiste active dans les principales villes du pays. Dès la bavure connue, samedi soir, de petits groupes de jeunes, casqués et cagoulés, se sont répandus dans les centres des grandes villes du pays, s'en prenant aux devantures de banques, vitrines de magasins et voitures en stationnement tout en bombardant les forces de l'ordre de projectiles en tous genres. Comptant selon les estimations de 2.000 à 3.000 personnes, la mouvance anarchiste est coutumière en Grèce de ce genre d'actions, qui émaille régulièrement les manifestations étudiantes ou les grands rassemblements syndicaux, souligne le criminologue Ioannis Panoussis. "Il y a un mécanisme bien rodé en place", dont la rapidité de réaction a beaucoup gagné avec Internet et les téléphones portables, estime-t-il, mais "cette fois, c'est parce qu'il y a eu rencontre avec une colère spontanée de la jeunesse que les incidents ont pris une telle ampleur". Manque d'efficacité policière L'activisme anarchique a été "le détonateur d'une sorte d'explosion sociale due à l'insécurité économique affectant beaucoup de jeunes, chômeurs ou mal payés", juge pour sa part l'avocat Dimitris Beladis, expert en guérilla urbaine. Lundi, l'ensemble des médias estimait que les autorités avaient fait le mauvais choix, en choisissant dans un premier temps de ne pas faire intervenir les forces de l'ordre, laissant le champ libre aux casseurs. Pour Ioannis Panoussis, cette option "reflète la tolérance, dont l'activisme anarchiste ou d'extrême gauche semble souvent jouir en Grèce, alors qu'il est tenu pour responsable depuis des années de fréquents petits attentats incendiaires contre des cibles publiques, diplomatiques et économiques". "Les autorités entendent prévenir ainsi plus de radicalisation", dans un pays où la jeunesse reste très politisée, et où la méfiance envers les représentants de l'ordre reste forte, héritée d'une histoire qui a vu se succéder les régimes autoritaires jusqu'à la dictature des colonels (1967-74), estime Ioannis Panoussis. En dépit du démantèlement en 2002 et 2003 des deux groupes historiques, actifs depuis le retour de la démocratie, le terrorisme d'extrême gauche reste d'actualité dans le pays. Le groupe Lutte révolutionnaire, considéré comme le plus dangereux, a été inscrit sur la liste des organisations terroristes par l'Union européenne, après huit attentats à Athènes depuis 2003, dont l'un à la roquette contre l'ambassade des États-Unis en janvier 2007. Face à cette menace, comme à la violence de rue, les experts grecs et étrangers mettent souvent en cause un manque d'efficacité policière, fruit d'une formation insuffisante, d'une mauvaise planification des opérations et du carcan législatif qui entoure le maintien de l'ordre. Les forces de l'ordre se sont ainsi vu refuser le droit d'utiliser quelque 300 caméras de surveillance mises en place pour les Jeux olympiques d'Athènes en 2004, mais dédiées, depuis, au seul contrôle de la circulation automobile. Par ailleurs, le droit d'asile universitaire, qui ne permet aux forces de l'ordre de franchir l'entrée d'une faculté qu'à l'issue d'une procédure exceptionnelle, offre aussi des sanctuaires aux fauteurs de troubles, à Athènes et à Salonique, en plein centre-ville.
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Bon on dirait bien que la Poste soit la seule banque qui te laisse faire ce que tu veux, où tu veux, quand tu veux lotrela
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J'avais loupé le passage de la quinqua qui nous dit qu'elle comprend ces jeunes sans perspective d'avenir qui se révoltent. Laisse-moi rire, tous ces jeunes extrémistes sont loin d'être des défavorisés, ce sont essentiellement des fils à papa qui font les hautes écoles !
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Le passage que tu cites ne parle que des mauvais souvenirs que refont surgir ces violences aux populations ayant connu une certaine époque. On part d'un quartier aux mains de certains groupuscules, d'une voiture de police qui y pénètre alors qu'il ne sont pas les bienvenus, d'un caillassage et d'un mort, pour en arriver à des émeutes où les groupuscules s'en prennent à tout ce qui représente l'ordre, le pouvoir, le capital.
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Depuis tout à l'heure, de tout ce que je peux lire sur la Grèce, il en ressort surtout qu'au-delà des problèmes sociaux qu'il peut y avoir chez eux, on a surtout à faire à des extrémistes qui profitent de la mort de ce jeune pour tenter de faire se soulever le pays contre le pouvoir.
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Un article du Point : Grèce - Exarchia, sanctuaire de l'ultragauche C'est de ce quartier central d'Athènes que sont parties les violences après la mort du jeune Alexis tué par une balle policière. Un secteur traditionnellement contestaire où les divers groupes d'extrême gauche sont comme des poissons dans l'eau. Reportage. Yves Cornu (avec Guillaume Perrier) « Rue Alexandros Grigoropoulos ». La plaque émaillée apposée sur le bâtiment décati est si bien réalisée que l'illusion est totale : ainsi, la municipalité d'Athènes aurait décidé de débaptiser la rue Missolonghi, une venelle du quartier bohème d'Exarchia, pour lui donner le nom de l'adolescent tué ici même dans la nuit du 6 décembre ? Il n'en est évidemment rien. Cette initiative anonyme ne constitue qu'un hommage parmi d'autres au jeune homme abattu par un policier dont la voiture était, selon la version officielle, la cible d'un caillassage. Au pied du bâtiment s'entassent bougies, fleurs, photos de la victime dont les joues aux rondeurs enfantines trahissent les 15 ans, messages d'adieu ou de colère maladroitement griffonnés, une tablette de chocolat, une écharpe du club de foot Panathinaïkos. Beaucoup d'Athéniens aussi, des jeunes, des vieux, d'ordinaire si diserts et passionnés, qui défilent devant l'autel improvisé dans un silence de mort. Ce n'est pas un hasard si le drame qui a endeuillé le pays et déchaîné la jeunesse grecque comme jamais depuis la chute du régime des colonels, en 1974, s'est noué à Exarchia. Avec ses rues piétonnes et arborées, ses cafés branchés, ses nombreuses maisons d'édition, ses artistes et intellectuels, le quartier tient plus du ghetto de bobos que de la zone de non-droit. Mais c'est, aussi, le plus politique d'Athènes. Des partis d'extrême gauche y ont leur siège, à l'instar de Syriza, ainsi que nombre d'associations de même obédience. Et la mouvance anarchiste, qui est sensiblement plus forte en Grèce que dans la plupart des autres pays européens, en a fait son fief. Les koukoulofori (les cagoulés) ont décrété, une bonne fois pour toutes, que les forces de l'ordre étaient persona non grata a Exarchia. Et, de fait, elles s'y font discrètes. Dans un contexte social tendu, la présence d'une voiture de police, le 6 décembre, a été considérée comme une provocation. La suite est connue : les deux flics sont pris à partie, l'un d'eux tire et la vie d'Alexis s'interrompt à l'angle de la rue Tzavella et de celle qui porte, désormais, officieusement son nom. Les autorités auraient pu saisir le prétexte des émeutes déclenchées par cette bavure pour reprendre pied à Exarchia ; elles s'en sont bien gardées. Tout au long de la semaine dernière, policiers et MAT, les forces anti-émeutes, sont restés à la lisière du quartier rebelle sans tenter de le soumettre. Y compris après l'attaque du commissariat le plus proche, dans la nuit de samedi à dimanche. Surprenante retenue, mais il y a mieux. Parcourir à pied les quelques centaines de mètres qui séparent ce dédale de l'Ecole polytechnique, c'est balayer tout le spectre de la violence politique en milieu urbain sur le mode crescendo. Ça commence par des murs saturés de graffitis vengeurs pour s'achever en apothéose de guérilla urbaine. Après plusieurs nuits d'affrontements, les rues Stounari et Lloyd George qui jouxtent le Polytechnio ne sont plus que carcasses de voitures calcinées, poubelles éventrées, vitrines béantes, avec en prime un immeuble incendié. L'ecole polytechnique : le QG Et pour cause : cette institution vieille de 170 ans et que fréquentent d'ordinaire 13 000 étudiants est, depuis le début de la crise, le quartier général de tous ceux qui ne conçoivent la protestation qu'en termes d'affrontements. Autonomes, anarchistes, étudiants ou jeunes actifs que la mort d'Alexis a convaincus de la nécessité d'en découdre avec les forces de l'ordre, ils ne sont guère que quelques centaines, mais n'ont pas leur pareil pour faire dégénérer les manifestations pacifiques ou s'en prendre aux symboles des pouvoirs politique et économique : la police et les commerces, avec une prédilection pour les banques. Après quoi ils viennent trouver refuge dans ce temple du savoir, transformé en cour des Miracles. Une fois franchie la grille ornée d'un drapeau noir et gardée par quelques farouches gaillards, il faut traverser une cour jonchée de canettes où brûle en permanence un feu, pour rejoindre le grand amphithéâtre où a lieu le debriefing en forme d'AG cacophonique. Certains exigent la démission du gouvernement, d'autres suggèrent de « brûler le Parlement », mais tous ont le souci de se montrer à la hauteur de leurs aînés : « Je crains moins les flics que l'essoufflement du mouvement, explique un participant ; en 1973, ceux qui étaient retranchés ici avaient tenu pendant des semaines. » 1973 : la référence absolue et pas seulement pour les anars. A l'époque, les étudiants d'Athènes s'étaient barricadés dans ces mêmes locaux pour réclamer le retrait de la junte militaire qui avait pris le pouvoir six ans auparavant. Le 17 novembre, celle-ci avait noyé la révolte dans le sang, faisant une trentaine de morts parmi les occupants. Une répression aveugle dont les effets désastreux condamnèrent ses auteurs, contraints de rendre le pouvoir l'année suivante. Un pays traumatisé Trente-quatre ans après l'éviction du colonel Papadopoulos et consorts, la Grèce reste incroyablement traumatisée par cet épisode que symbolise une photo en noir et blanc, très présente depuis quelques jours sur les murs de la capitale : celle d'un char qui enfonce les grilles de l'Ecole polytechnique. C'est vrai de l'opinion publique, qui a instinctivement tendance à prendre position contre tout ce qui porte un uniforme. Il faut avoir vu une mère de famille agonir d'injures des policiers ou un bon bourgeois tenter de s'en prendre physiquement à une sorte de Robocop imperturbable derrière son bouclier pour réaliser combien ceux qui ont connu cette époque associent encore l'ordre et ses représentants à une menace pour la démocratie. « Autant je condamne les destructions causées par les extrémistes, autant je comprends le désarroi des jeunes, confie une quinquagénaire venue participer devant le Parlement à une veillée à la mémoire d'Alexis. Ils ont pour toute perspective le chômage ou des emplois sous-payés et une vie politique verrouillée par les dynasties. A droite, l'actuel Premier ministre est le neveu d'un ex-Premier ministre et la ministre des Affaires étrangères est la fille d'un ancien chef du gouvernement ; à gauche, le chef de l'opposition est, lui aussi, fils et petit-fils de Premiers ministres. Alors, si en plus les gamins se font tirer comme des lapins... » Le traumatisme de 1973 est peut-être plus fort encore du côté des autorités. Notamment chez les forces de l'ordre : « En général, les flics surréagissent parce qu'on ne leur a pas enseigné la riposte graduée. Mais, depuis la mort d'Alexis, ils restent en retrait par crainte d'une nouvelle bavure, mais aussi parce qu'ils ont peur face à une violence inédite », explique un journaliste. Un pouvoir inhibé Quant au gouvernement conservateur, il est totalement inhibé par la hantise d'être assimilé aux yeux de l'électeur à la dictature de sinistre mémoire. Et le Premier ministre, Kostas Karamanlis, y est d'autant plus sensible que sa majorité parlementaire n'est que de 1 siège. Ainsi, les responsables du maintien de l'ordre se sont vu interdire l'usage des centaines de caméras installées dans la ville à l'occasion des Jeux olympiques de 2004. Le recours à ce réseau aurait permis de traquer plus efficacement les casseurs, mais il aurait ouvert la porte aux accusations d'Etat policier. Cette même préoccupation explique, également, le peu d'empressement de l'autorité à reprendre pied à Exarchia. Plus significatif encore, une loi du 13 mars 2007 intitulée « Libertés et asile de l'université » stipule que « l'accès d'une force publique dans les locaux n'est autorisé qu'à l'invitation ou après autorisation de l'organe compétent de l'établissement ». En clair : nul ne peut déloger les ultras de l'Ecole polytechnique. Leur pire ennemi n'est donc pas « le porc fasciste et assassin » ; c'est le risque de démobilisation http://www.lepoint.fr/actualites-monde/exa...he/924/0/300895
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Tu serais bien déçu d'entendre les jeunes, va dans n'importe quelle manif de pré-pubères, interroge-les, tu verras que très peu sauront te dire pourquoi ils manifestent. Chanter, sauter et courir après une banderole, ça ils savent faire, mais à part quelques meneurs étant là pour défendre des revendications et leurs convictions, les autres, ben c'est juste pour le folklore, un peu comme une tradition, manifester quand t'es au lycée, c'est comme te bourrer la gueule, ça fait partie "du truc", c'est fun...
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Un policier a tué un casseur*, il ne faut pas mettre tous les policiers dans le même sac Antoine. * merci de rectifier si je me trompe, mais n'ayant pas spécialement suivi ce qui se passe en Grèce (je balaie devant ma porte avant d'aller voir ce qui se passez ailleurs), je crois avoir compris qu'il caillassait une voiture de police.
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Une pensée également pour les policiers au service des leurs qui s'en prennent plein la tronche en ce moment là-bas lotrela
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Désolé de l'avis critique que je vais lancer, mais quelques semaines plus tôt, on fait grève pour dire qu'on ne veut pas qu'on touche au RH, et là on fait grève parce que les journées sont au RH Parler en kilomètres des nouvelles journées prévus est-il objectif ? X km pour combien de trains ? Avec combien de temps entre chaque train? Ca ne peut tout de même pas être pire qu'un mécano FRET scotché 5h d'affilé à son manche, non ?
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Je ne sais pas, il faut demander la liste des justificatifs acceptés, le bail n'en fait pas partie je crois, je l'ai eue entre les mains il y a peu, mais je ne la retrouve pas là. En plus, un bail chacun......ça fait pas très concubin Et avec le bail, impossible de justifier chaque année par une preuve de moins de 3 mois que tu vis toujours avec lui. Factures EDF, si tu n'en as pas, tu peux remplacer par facture GDF, eau, téléphone, internet (?). Sinon, au lieu des factures tu peux faire établir un certificat de concubinage à la mairie, mais j'ai entendu dire que ce document n'existait plus.