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Parisot


windson

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Quelqu'un a vu l'interview de mme Parisot, présidente du MEDEF sur France 2 dans télématin?

C'est pour savoir si je n'ai pas révé, et comme je ne l'ai pas vu, mais un tout petit extrait ce midi sur canal +, à propos des salariés sur les 35 heures

, elle aurait, selon mon oreil, esquicé le mot abr...?

Pour moi, c'est abruti.

Modifié par windson
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Quelqu'un a vu l'interview de mme Parisot, présidente du MEDEF sur France 2 dans télématin?

C'est pour savoir si je n'ai pas révé, et comme je ne l'ai pas vu, mais un tout petit extrait ce midi sur canal +, à propos des salariés sur les 35 heures

, elle aurait, selon mon oreil, esquicé le mot abr...?

Pour moi, c'est abruti.

Je ne pense pas...

Il s'agit de l"émission Les 4 vérités du mercredi 5 décembre. (curseur à 02:38)

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  • 5 semaines plus tard...

Elle est complettement barée cette extraterrestre

non , elle vit simplement dans un autre monde où les salariés n'étaient dotés que de 2 oreilles mais sans capacité à comprendre ce qu'ils entendaient et surtout ils sont muets .Car depuis le temps qu'ils sont muets ,la nature leur a suppprimé l'orifice qui leur

servaient de bouche .La seule difficulté restant était de se nourrrir ...les perfusions feront bien l'affaire surtout qu'elles laissent plus de temps à la production .Les salariés ont fini par grogner car ils ne pouvaient plus parler et ont obtenu des contre parties habillement négociées par les "cerveaux supérieurs" .Maintenant , ils peuvent s'asseoire

5 ' pour recevoir la perfusion .Tout le monde est content , mais au fil des générations la nature va continuer son petit bonhomme de chemin et ce qui servait pour entendre se mutera en

simple orifice inutile .Car il y aura longtemps qu'il n'y aura plus rien à entendre , ni dire .

Par contre , la vue étant souvent sollicitée pour la production ,celle-ci se dévellopera afin de pouvoir suivre le journal télévisé de TF1 qui est sous titré en langue Sarkosienne .Nouvelle langue instauré naturellemnt après le 3 ème mandat du Roi Nico

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  • 1 mois plus tard...

Coup d'éclat de Mme la Présidente du MEDEF hier soir et devant tout le monde : après les "révélations" concernant les conditions de départ avantageuses de M.Gautier Sauvagnac, elle demande à tous les membres de l'UIMM de remettre à disposition du MEDEF leurs mandat de représentation. Ce grand ménage en public fait un peu théâtre... Bien entendu les autres branches du MEDEF sont totalement exemptes de dérives comparables...

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Invité MarcM

Coup d'éclat de Mme la Présidente du MEDEF hier soir et devant tout le monde : après les "révélations" concernant les conditions de départ avantageuses de M.Gautier Sauvagnac, elle demande à tous les membres de l'UIMM de remettre à disposition du MEDEF leurs mandat de représentation. Ce grand ménage en public fait un peu théâtre... Bien entendu les autres branches du MEDEF sont totalement exemptes de dérives comparables...

Surtout quand on crie partout que les caisses sont vides alors qu'ils se gavent comme des porcs .Donc ,pour pouvoirnous brider encore plus , il faut un "pseudo" ménage pour mieux faire passer leurs messagesà la con !

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UIMM MEDEF:

Gautier-Sauvagnac appelle Laurence Parisot

à "garder son sang-froid"

PARIS, 2 mars 2008 (AFP) -

L'ancien président de l'UIMM Denis Gautier-Sauvagnac a appelé dimanche la présidente du Medef Laurence Parisot à "garder son sang-froid" et s'est étonné de sa "véhémence" sur l'affaire de ses indemnités de départ, a déclaré son avocat .

"Denis Gautier-Sauvagnac s'étonne de la teneur et de la véhémence des déclarations de la présidente du Medef", a indiqué Me Jean-Yves Le Borgne dans une déclaration lue à l'AFP.

"L'injure n'apporte rien au débat, il vaut mieux garder son sang-froid plutôt que de s'évertuer à envenimer une situation dont la justice est saisie", a ajouté l'avocat, s'exprimant au nom du délégué général de l'Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM).

La présidente du Medef a affirmé dans un entretien au JDD avoir demandé "solennellement à tous les membres de l'UIMM qui exercent des mandats nationaux dans des institutions au nom du Medef de remettre immédiatement leur mandat à la disposition du Medef". Sont concernées notamment "l'assurance-chômage et l'Agirc", la caisse de retraite complémentaire des cadres. "Pour la première, Michel de Virville m'a spontanément proposé sa démission, et je salue son geste", ajoute-t-elle.

"Trop, c'est trop. Je ne décolère pas", a encore lancé Mme Parisot sur France 2. "Ca abîme l'image des entreprises, du Medef, mon image", a-t-elle insisté, en dénonçant un comportement "méprisant et méprisable".

Denis Gautier-Sauvagnac "s'interroge sur les réelles motivations d'une véhémence qui ne sert pas la cause de l'entreprise mais jette la confusion dans les esprits et tend à diviser au lieu de rassembler", a affirmé Me Le Borgne, rappelant que son client "a toujours agi avec probité depuis 15 ans à l'UIMM comme au Medef".

Le patronat de la métallurgie a confirmé jeudi que DGS avait négocié une indemnité de départ de 1,5 million d'euros ainsi que la prise en charge par l'organisation patronale des conséquences fiscales de l'affaire des retraits de fonds suspects des caisses de l'UIMM dans laquelle il est mis en examen.

Pour l'avocat de Denis Gautier-Sauvagnac, "ses conditions de départ ont été fixées selon une procédure régulière et juridiquement incontestable". Les négociations sur ces indemnités ont été conduites par Michel de Virville, membre du bureau de l'UIMM, qui a "spontanément" démissionné samedi de la présidence de l'Unedic, selon Mme Parisot.

Quelque 19 millions d'euros en espèces ont été retirées entre 2000 et 2007 des caisses de l'UIMM sous l'autorité de DGS.

M. Gautier Sauvagnac a, "en dépit de la confiance que l'UIMM lui a manifesté à plusieurs reprises", "admis de quitter ses fonctions pour aider à tourner la page, assumant ainsi la tradition centenaire et non le poids d'une faute personnelle", a encore rappelé son avocat.

L'UIMM (Union des industries et métiers de la métallurgie) a confirmé jeudi que son ancien président, Denis Gautier-Sauvagnac, avait négocié une indemnité de départ de 1,5 million d'euros, ainsi que la prise en charge par l'organisation patronale des conséquences fiscales de l'affaire des retraits de fonds suspects des caisses du patronat de la métallurgie. Ces négociations ont été conduites par Michel de Virville, membre du bureau de l'UIMM. Secrétaire général de Renault, il avait été désigné en janvier par le Medef pour prendre la présidence de l'Unedic. Laurence Parisot l'avait aussi nommé à la tête de la commission des relations du travail du Medef.

Le président de l'Agirc est Dominique de Calan, directeur général adjoint de l'UIMM, placé mi-février en garde à vue dans l'affaire des retraits suspects de l'organisation patronale. Selon une source proche du dossier, il pourrait avoir conclu des accords similaires à ceux de M. Gautier-Sauvagnac.

L'annonce de la transaction financière avait provoqué vendredi de vives réactions, le PS demandant notamment l'"annulation" de l'accord et le Premier ministre, François Fillon, estimant que la question se poserait en cas de sanction.

Face à un accord qualifié d'"omerta" par l'eurodéputé PS Benoît Hamon, à une CGT "indignée" du possible maintien jusqu'à l'année prochaine parmi les représentants du Medef de M. Gautier-Sauvagnac, ou à un Parti communiste dénonçant "quelque chose de pourri dans le royaume du Medef", Laurence Parisot ne pouvait rester silencieuse plus longtemps. Interrogée pour savoir si M. Gautier-Sauvagnac devait renoncer à son indemnité, Mme Parisot a simplement indiqué: "je pense que ces contrats sont discutables juridiquement".

Elle demandera des "éclaircissements" au nouveau président de l'UIMM, Frédéric Saint-Geours, qu'elle "rencontre lundi matin".

Cet automne, après la révélation du dossier des retraits suspects des caisses de l'UIMM, pour lequel M. Gautier-Sauvagnac a été mis en examen, notamment pour "abus de confiance", Laurence Parisot, tentant déjà de reprendre la main, avait dit vouloir s'engager dans la transparence financière.

Prenant très clairement ses distances avec l'UIMM, "adhérent mais pas filiale" du Medef, elle a appelé au "rassemblement tous les patrons qui exigent transparence et éthique, tous ceux qui sont prêts à se dresser contre les démonstrations d'opacité que certains nous infligent, et contre leur sentiment abusif d'impunité".

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Le temps des réglements de compte * est arrivé

Nous ne sommes pas au bout de nos surprises...

* et c'est pas des petites sommes... lotrelakoiquesse

Face à l'affaire de l'UIMM,

Parisot veut "tout remettre à plat"

PARIS (Reuters) -

La présidente du Medef appelle tous les chefs d'entreprise à l'aider à "tout remettre à plat" après la révélation de l'accord entre l'UIMM et son ancien président, Denis Gautier-Sauvagnac, et elle demande la démission des membres de l'UIMM détenant des mandats nationaux au nom du Medef.

Dans un entretien au Journal du Dimanche diffusé samedi, Laurence Parisot annonce que le président de l'Unedic, Michel de Virville, lui a "spontanément proposé sa démission". "Je salue son geste", ajoute-t-elle.

Selon l'hebdomadaire Marianne, qui a révélé que Denis Gautier-Sauvagnac avait reçu 1,5 million d'euros d'indemnités de départ et l'assurance d'une prise en charge d'éventuelles sanctions financières, Michel de Virville aurait négocié cette prime.

"Je lance un appel à tous les chefs d'entreprise de France, des TPE, des PME, des grands groupes, quelle que soit leur taille, quels que soient leurs secteurs d'activité, et en particulier à ceux de l'industrie, afin qu'ils me soutiennent et s'associent à moi pour tout remettre à plat", déclare Laurence Parisot dans les colonnes du Journal du Dimanche.

"Je m'adresse notamment aux adhérents de l'UIMM qui sont choqués par ce que nous découvrons", ajoute-t-elle.

"L'UIMM et le Medef sont deux entités séparées, mais je sais que la plupart des dirigeants d'entreprise de l'UIMM sont de bonne volonté et partagent nos valeurs."

"Avec eux, je veux rassembler tous les patrons qui exigent transparence et éthique, tous ceux qui sont prêts à se dresser contre les démonstrations d'opacité que certains nous infligent, et contre leur sentiment abusif d'impunité", poursuit-elle.

Laurence Parisot "demande solennellement à tous les membres de l'UIMM qui exercent des mandats nationaux dans des institutions au nom du Medef de remettre immédiatement leur mandat à la disposition du Medef".

Dans un entretien sur France 2, samedi, elle précise qu'elle souhaite ces démissions "dès lundi matin".

Priée de dire si elle comptait engager une procédure judiciaire, Laurence Parisot répond au Journal du Dimanche : "J'étudierai toutes les hypothèses. L'accord entre l'UIMM et son délégué général (Denis Gautier-Sauvagnac) me semble très discutable sur le plan juridique."

Denis Gautier-Sauvagnac, qui est toujours directeur général de l'UIMM, a été mis en examen pour "abus de confiance, recel d'abus de confiance et travail dissimulé" le 15 janvier.

L'enquête judiciaire qui le vise concerne une vingtaine de millions d'euros retirés en liquide sur des comptes de l'UIMM entre 2000 et 2007. Denis Gautier-Sauvagnac admet son implication mais il a refusé de livrer le nom des bénéficiaires de ces fonds.

Selon les partis de gauche, la prime de 1,5 million d'euros était destinée à acheter son silence.

Jean-Baptiste Vey

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Et pendant ce temps là...

Débrayages aux remontées mécaniques

dans plusieurs stations de ski

LES MENUIRES (Savoie), 2 mars 2008 (AFP) -

Les saisonniers ont momentanément interrompu dimanche matin les remontées mécaniques dans plusieurs stations de ski françaises pour protester contre la remise en cause de leur assurance chômage, en présence de vacanciers majoritairement compréhensifs, a-t-on appris auprès des grévistes et des stations.

A l'appel de la CGT, ce débrayage national vise principalement à protester contre la suppression, après trois périodes de travail et d'indemnisation, de leurs allocations versées au titre du chômage saisonnier, prévue par une convention Unedic signée en 2006.

Les effets de cette convention signée par le Medef, la CFTC et la CGC, mais refusée par la CGT et FO, devraient se faire sentir à partir de 2009. De nombreuses stations françaises réparties sur l'ensemble des massifs ont été touchées par des arrêts de travail d'un heure dans les remontées mécaniques entre 8H30 et 9H30, a-t-on appris de même source.

Dans plusieurs stations savoyardes et haut-savoyardes, parmi lesquelles Valmorel, Flaine, les Arcs, la Plagne, mais aussi les Deux Alpes (Isère), les grévistes ont distribué des tracts, parfois des croissants, et fait signer des pétitions aux vacanciers. Aux Ménuires (Savoie), une soixantaine d'employés des remontées mécaniques, des pisteurs et quelques saisonniers travaillant dans l'hôtellerie était présent dès 8H30 au départ du principal télésiège de la station.

A l'exception de rares mécontents, la plupart des vacanciers ne semblaient pas surpris et se montraient globalement compréhensifs à l'égard des grévistes. "Ca ne me dérange pas du tout, pour une heure ça va. Tous les métiers particuliers --remontées mécaniques, milieux artistiques-- ils sont en train de tout remettre en cause", a déclaré une mère de famille parisienne de 35 ans.

Dans quelques stations, comme aux Karellis (Savoie), la grève des saisonniers portait sur des revendications salariales. Des négociations étaient toujours en cours entre la direction et les syndicats dans cette station, où les remontées mécaniques étaient toujours à l'arrêt peu avant 10H00 dimanche, selon un délégué CGT.

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  • 2 semaines plus tard...

UIMM: le Medef lâche M. de Calan,

le juge s'intéresse à la piste politique

AFP - Jeudi 13 mars, PARIS (AFP) -

Le Medef a retiré jeudi à Dominique de Calan, ex-numéro deux du patronat de la métallurgie (UIMM) son mandat pour présider la caisse de retraites complémentaires des cadres (Agirc), alors que la justice s'intéresse aux éventuelles ramifications politiques du scandale UIMM.

Dans un courrier lu lors du conseil d'administration de l'Agirc, réuni jeudi, le Medef a indiqué que M. de Calan, "désigné par courrier du 22 janvier 2008 pour siéger au conseil d'administration de l'Agirc ne fait plus partie des administrateurs désignés par le Medef à compter de ce jour".

Le Medef n'a pas désigné immédiatement de remplaçant, indiquant vouloir le faire "dans les plus brefs délais".

Le lâchage de M. de Calan intervient alors que la présidente du Medef, Laurence Parisot, continue d'exiger que l'UIMM renonce à ses mandats au sein des organismes paritaires, gérés avec les syndicats, et qu'une violente polémique l'oppose à la vieille garde de l'UIMM sur la question de savoir si elle avait ou non eu vent de l'existence de retraits en liquide avant l'été.

Quelque 19 millions d'euros ont été retirés en liquide entre 2000 et 2007 sur des comptes appartenant à l'UIMM.

Les enquêteurs soupçonnent que ces fonds aient servi au financement de syndicats mais n'excluent pas qu'une partie ait pu servir à des financements politiques occultes.

L'ancien président de l'UIMM, Denis Gautier-Sauvagnac a jusqu'à présent tu à la justice le nom des bénéficiaires, car ce "ne serait pas bon, du point de vue de l'intérêt général", a-t-il soutenu le 15 janvier lors de sa mise en examen.

Le juge Le Loire, chargé de l'enquête, a entendu jeudi l'ancien patron des Renseignements généraux (RG) Yves Bertrand, invité à s'expliquer sur des affirmations contenues dans un livre publié chez Plon en octobre 2007, "Je ne sais rien...mais je dirai tout".

Dans cet ouvrage, l'ancien directeur central des RG de 1992 à 2004 écrit notamment que des "enveloppes" de l'UIMM ont servi à la campagne de Valéry Giscard d'Estaing pour l'élection présidentielle de 1974.

A la sortie de son audition, M. Bertrand a affirmé ne pas avoir fait de "révélation", mais expliqué au juge le contexte du financement d'organisations syndicales et politiques dans les années 1970, évoquant un "cours d'histoire".

Selon des sources policières alors en poste, à cette époque "pour le patronat, l'ennemi numéro un était le communisme et l'URSS".

Plusieurs administrateurs syndicaux de l'Agirc avaient souhaité mercredi le départ de M. de Calan, réélu président le 12 février, pour en principe deux ans. Ancien bras droit de Denis Gautier-Sauvagnac, il avait été mis en examen le 14 février dans le cadre de l'affaire.

Un comité des mandats est prévu la semaine prochaine au Medef, qui devrait désigner ses nouveaux candidats à la présidences de l'Agirc et de l'assurance chômage (Unedic).

La succession à la tête de l'Unedic s'annonce très disputée, plusieurs dirigeants patronaux ayant déjà fait acte de candidature au poste occupé à trois reprises, par Denis Gautier-Sauvagnac, de 1994 à 2006.

Mme Parisot a déjeuné jeudi à l'Elysée avec le président Nicolas Sarkozy.

Les projets de loi et réformes à venir après les municipales ont été évoqués, mais aussi les négociations en cours sur la représentativité des organisations syndicales.

Elle a prévu de rencontrer "vendredi en fin d'après-midi" plusieurs grands patrons pour évoquer la modernisation du patronat.

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L'intéret général ne serait t'il pas de savoir la vérité?

L'interet général s'arrête là où commence certains interets particuliers mdrmdr

Va y avoir du sport comme on dit!

Pour le sport , tu as plus de chance avec le JO Pékinois ou le tour de France .c'est le Medef qui va faire les controle anti dopage et Kerviel comme soigneur .Tout va être clean ................!

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L'interet général s'arrête là où commence certains interets particuliers okok

Pour le sport , tu as plus de chance avec le JO Pékinois ou le tour de France .c'est le Medef qui va faire les controle anti dopage et Kerviel comme soigneur .Tout va être clean ................!

Tous pourris je vous dis mon brave monsieurs bigbisous

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Bernard Thibault

exige la fin de l'omerta sur l'UIMM

Par Catherine Lagrange Reuters - Mardi 18 mars, LYON (Reuters) -

Bernard Thibault a appelé le gouvernement et le patronat à briser l'omerta sur l'affaire des fonds suspects de l'UIMM et à restituer l'argent qui semble avoir été détourné aux métallurgistes eux-mêmes.

Devant le congrès de la fédération des travailleurs de la métallurgie CGT, à Lyon, le secrétaire général de la CGT a jugé "intolérable" que la suspicion ait été portée sur les organisations syndicales.

"Sans jamais apporter le début d'une preuve, le président en exercice de l'UIMM laisse entendre que tous les syndicats français sont achetés", a-t-il lancé.

Le syndicaliste visait les propos de l'ex-patron de la fédération de la métallurgie, Denis Gauthier-Sauvagnac, affirmant que ces fonds avaient servi à "fluidifier le dialogue social."

Or, cet argent "a d'abord servi à toutes les turpitudes du patronat", a estimé Bernard Thibault, affirmant qu'une "forme d'impôt contre-révolutionnaire était prélevé."

Selon lui, le patronat a reconnu implicitement qu'il s'agissait "d'un système de financement opaque assumé collectivement" en négociant le départ de Denis Gauthier-Sauvagnac.

Pour le syndicaliste, la CGT doit "contribuer à faire la lumière et à briser l'omerta entretenue autour de cette affaire."

"Nous exigeons du patronat et du gouvernement des réponses à nos questions", a-t-il dit en demandant que soient révélés les noms des patrons et des entreprises "qui ont financé cette ou ces caisses noires de plusieurs centaines de millions d'euros pendant des décennies."

INVESTIGATIONS MINIMUM

Il demande également que soit divulgué "le montant réel des sommes qui ont été détournées au fil des ans."

"Pourquoi n'a-t-on pas de réponse lorsque nous posons la question dans les comités d'entreprises ? Pourquoi aucune investigation commandée par le gouvernement ?", a-t-il ajouté.

Lors d'une conférence de presse, Bernard Thibault a déclaré que ce n'est pas à la CGT de se porter partie civile dans l'affaire des fonds de l'UIMM.

"C'est aux pouvoirs publics d'ouvrir des investigations", a-t-il dit.

"A notre connaissance, les seules investigations en cours concernent des demandes d'explications sur l'utilisation du seul argent liquide de la caisse noire et ne portent que sur la destination d'une partie des sommes collectées", a-t-il dit.

"On veut connaître, dans le détail, la liste des entreprises et des responsables qui sont à l'origine de ce mécanisme, dans la mesure où l'argent a été prélevé à la métallurgie", a poursuivi le syndicaliste.

Il a également évoqué la possibilité d'ouvrir des poursuites pour abus de biens sociaux.

"Aujourd'hui, on parle d'un scandale de plus de 600 millions d'euros et ça ne déclenche que des investigations minimum", a-t-il déploré.

"Nous sommes victimes d'une part des agissements patronaux qui ont recruté des équipes musclées de barbouzes et par ailleurs des sous-entendus qui laissent entendre que les syndicats seraient achetés", a-t-il insisté.

********

Tout à fait d'accord pour la transparence complète sur cette affaire

et tant mieux si ça fait des vagues

et qu'on découvre des faits malhonnêtes touchant des syndicalistes ouvriers.

ça permettra de faire le ménage si nécessaire.

Pour le syndicalisme patronal (UIMM et MEDEF) : c'est déjà plié...

600 millions d'euros sortis des caisses des entreprises pour s'opposer aux luttes des salariés.

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Bonjour,

Soit tout le monde se "graisse", soit personne... Connaissant le poids du "nerf de la guerre", je penche pour une situation telle la première, et tout le monde de jouer la grande comédie de la vierge effarouchée..

C'est vrai que celà n'est pas trés clean de pomper, alors que la précarité s'installe un peu partout. Et donc les uns et les autres de nier. En ces temps bizarres, où le malheur économique frappe partout, mais de préférence à la porte du voisin... , la machine à consommer "pauvre", la télé, mais aussi les syndicats, jouent un rôle de stabilité qui fait partie des leviers de contrôles des citoyens. Dès fois que l'on ressortirait les fourches de nos campagnes, vindiou.....

Pour L PARISOT, même si cette affaire est sans nul doute un peu brusqué, et si le vent médiatique vient aussi soudainement de s'arreter qu'il avait commencé, je dois reconnaitre un certain courage si elle joint ses actes à ses paroles.

Fabrice

Modifié par Fabr
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Bernard Thibault

exige la fin de l'omerta sur l'UIMM

Tout à fait d'accord pour la transparence complète sur cette affaire

et tant mieux si ça fait des vagues

et qu'on découvre des faits malhonnêtes touchant des syndicalistes ouvriers.

ça permettra de faire le ménage si nécessaire.

Pour le syndicalisme patronal (UIMM et MEDEF) : c'est déjà plié...

600 millions d'euros sortis des caisses des entreprises pour s'opposer aux luttes des salariés.

Mieux vaut tard que jamais...........Suis ok sur tes propos :Smiley_24:

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  • 2 années plus tard...

Hello ,

Laurence for ever :

Elle est la seule pour l'instant en course , pour " l'éléction " à la présidence du MEDEF , mais fort

heureusement voici une mauvaise pour elle et ses amis .

http://slovar.blogspot.com/2010/05/laurence-parisot-une-patrone-qui-gagne.html

Modifié par zoreglube
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Elle va faire un score à la sovièt ... mais en fait comme c'est le travail des salariés qui paie les cotisations des entreprises au Medef... Au fait la SNCF y cotise toujours ?

Modifié par Dom Le Trappeur
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Hello ,

Laurence for ever :

Elle est la seule pour l'instant en course , pour " l'éléction " à la présidence du MEDEF , mais fort

heureusement voici une mauvaise pour elle et ses amis .

http://slovar.blogspot.com/2010/05/laurence-parisot-une-patrone-qui-gagne.html

je doute que ce DG n'ait pas pesté un jour contre les prud'hommes ,mais il sait s'en servir quand le vent tourne !

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