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Le Web des Cheminots

Le sommet dit "social "


Invité Gnafron 1er

Messages recommandés

Invité Gnafron 1er

Comme 2 personnes avisées , valent mieux qu'une :

Je laisse la photo de N S ...pour ceux et celles qui ne le connaisse pas assez.Et ainsi éviter une autre erreur dans qlq mois !

Mémoriser bien son visage.....


  • Sarkozy engage plus de 400 millions d'euros pour l'emploi

  • lefigaro.fr

  • Mis à jour le 18/01/2012 à 16:38 | publié le 18/01/2012 à 14:46 Réactions (162)
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    Crédits photo : Remy de la Mauvinere/AP

    coeur-.gifNicolas Sarkozy a annoncé la teneur des «mesures d'urgence» décidées ce matin lors du sommet social. Au menu notamment: renforcement des moyens de Pôle emploi et suppression des charges à l'embauche d'un jeune dans les TPE.


    A l'issue du sommet social ce mercredi, le chef de l'Etat et les partenaires sociaux sont parvenus à un accord sur des mesures d'urgence pour l'emploi. «Sur le front de l'emploi, la situation est extrêmement préoccupante. Cela impose des décisions fortes et rapides», a répété Nicolas Sarkozy à l'issue de quatre heures de discussions avec les syndicats.
    Si aucun accord n'a été trouvé au sujet de la TVA sociale ou du temps de travail, sujet que Nicolas Sarkozy évoquera à la fin du mois, les mesures rendues publiques aujourd'hui représenteront un effort total de 430 millions d'euros. Elles seront toutefois financées par «un redéploiement» des crédits existants, afin «de ne pas accroître d'un centime le déficit de notre pays», a précisé Nicolas Sarkozy. Le recours au Fond social européen ainsi qu'à ceux gérés par les partenaires sociaux permettra par ailleurs «de doubler ce montant», à 800 ou 900 millions d'euros.
    Parmi les mesures d'urgence annoncées figure comme prévu la facilitation duchômage partiel. Ce dispositif, qui fait l'objet d'un relatif consensus entre les partenaires sociaux, permet à une entreprise de conserver son salarié à temps partiel en cas de ralentissement de son activité, plutôt que de le licencier. «Il s'agit de tout faire pour éviter de couper le lien entre le salarié et son entreprise», a expliqué Nicolas Sarkozy. Et permettre au salarié, durant ce temps libre forcé, de se former. Faciliter le recours au chômage partiel devrait représenter un coût supplémentaire de 140 millions d'euros.
    Réforme radicale de la formation professionnelle

    Les mesures annoncées ciblent les publics les plus fragiles. Afin de faciliter l'insertion des jeunes sur le marché du travail, Nicolas Sarkozy a annoncé laréactivation du dispositif zéro charge dans les TPE, durant six mois, pour toute embauche d'un jeune de moins de 26 ans. Applicable dès aujourd'hui, cette mesure devrait coûter quelques 100 millions d'euros. L'apprentissage sera aussi renforcé. Un «plan sans précédent de formation» sera par ailleurs mis en place à destination des chômeurs de longue durée, sans emploi depuis plus de deux ans. À «ces chômeurs très éloignés de l'emploi», seront proposés «soit une formation, soit un emploi, soit un processus de resocialisation», pour un coût de 150 millions d'euros.
    Plus largement, comme annoncé lors des voeux du chef de l'Etat le 1er janvier dernier, l'accent sera mis sur le renforcement de la formation des demandeurs d'emploi. Une mission sera confiée à Gérard Larcher pour «porter sous deux mois les bases d'une réforme radicale de la formation professionnelle dans notre pays». Alors que moins de 10% bénéficient actuellement d'une formation, l'objectif est que chacun ait la possibilité d'en avoir une et «qu'au bout, chacun soit conduit à accepter l'offre d'emploi qui lui sera proposée». Les moyens de Pôle emploi, dont les agents peinent actuellement à faire face à la hausse du chômage, seront enfin renforcés, grâce à l'embauche de 1000 CDD supplémentaires, pour un montant de 39 millions d'euros d'euros.

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Invité Gnafron 1er

Le figaro dira : Quel grand et beau programme !!!! Quel grand et beau président !!!

Grand par le génie et non par la taille ?Un mensonge qui ne se voit pas tout de suite ...vvohaurf

Libé et L'huma diront : euuuuuuuuuhhhhhhhhhhhh !!!!

Ils ne pourront pas dire l'inverse car le mensonge se verrait immédiatement.....revvohaurf !

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Invité necroshine

Le problème de ce sommet, est :

Qu'on ne peut pas tenter de résoudre un si grand projet en seulement..... 4h de discussions....

Se sera un texte vite voté, vite baclé .....

Dommage !!!

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comment peut on prôner le libéralisme et à la fois prôner les emplois ??? se rendent ils enfin compte quand sans salariés ( peut importe le grade) le libéralisme ne sert à rien ou est-ce seulement un coup de pub marketing pour vendre le produit NS en avril/mai 2012 ??

  • J'adore 1
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Un titre d'article à la ramasse comme le Président...

Nicolas Sarkozy évite l'affrontement avec les syndicats

http://fr.news.yahoo.com/nicolas-sarkozy-évite-laffrontement-avec-les-syndicats-160021715.html

PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy a annoncé mercredi des mesures d'urgence consensuelles contre la montée du chômage et évité un affrontement avec les syndicats en reportant à fin janvier des décisions sur des sujets controversés comme la "TVA sociale".

A la traîne dans les sondages et fragilisé par la décision de l'agence Standard & Poor's de retirer à la France sa note souveraine "triple A", le chef de l'Etat paraît jouer son va-tout à trois mois de l'élection présidentielle, où la crédibilité des candidats face à la crise sera déterminante.

Après quatre heures de débats avec les dirigeants de huit organisations syndicales et patronales (CGT, FO, CFDT, CFTC et CFE-CGC, Medef, CGPME et UPA), il a annoncé 430 millions d'euros de mesures d'urgence, financées par redéploiements de crédits.

Cent millions d'euros iront ainsi au développement de l'activité partielle pour éviter les licenciements, alors que le taux de chômage approche les 10%, 100 autres à l'exonération de charges pour l'embauche de jeunes dans les très petites entreprises, et 150 à la formation des chômeurs.

La situation "extrêmement préoccupante" sur le front de l'emploi "impose la prise de décisions fortes et rapides", a souligné Nicolas Sarkozy, qui a également annoncé l'embauche d'un millier de salariés avec des contrats à durée déterminée dans le service public de l'emploi.

Autant de mesures qui ne pouvaient guère recueillir que l'assentiment des participants, même si elles ont été jugées trop tardives par le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque, ou insuffisantes par celui de la CGT.

Ces mesures, "de notre point de vue, n'auront pas d'impact véritable sur la situation de l'emploi aujourd'hui", a déclaré Bernard Thibault à son départ de l'Elysée.

"FLOU TOTAL"

Le chef de l'Etat avait lancé, en ouvrant la réunion, une mise en garde contre la tentation de "l'attentisme" à l'approche de l'élection présidentielle - une façon de répondre à ceux qui lui reprochent d'avoir voulu faire un "coup" politique.

Il n'en a pas moins pris garde de ne pas dévoiler ses intentions sur les chantiers les plus sujets à controverse.

"Nous avons un flou total sur les futures décisions du gouvernement sur le financement de la protection sociale et les accords compétitivité-emploi", a déploré François Chérèque.

Les grands syndicats ont redit leur opposition au transfert d'une partie des cotisations patronales sur une fiscalité "anti-délocalisation" qui prendrait la forme d'une hausse de TVA. Selon les Echos, cette hausse serait limitée à 2 points.

Nicolas Sarkozy a confirmé sa volonté d'alléger le coût du travail en faisant contribuer les importations au financement de la protection sociale mais renvoyé ses décisions à fin janvier.

"Nous avons (...) entendu les remarques de l'ensemble des organisations", a dit le chef de l'Etat, selon qui le Premier ministre, François Fillon, et le gouvernement poursuivront leurs contacts dans les dix prochains jours.

Il a aussi renvoyé à la fin du mois ses arbitrages sur des accords permettant aux entreprises en difficulté de négocier la durée du travail, une baisse de salaire ou un mélange des deux.

"Il va falloir rester mobilisé dans cette séquence", a averti Bernard Thibault, alors que plusieurs milliers de personnes - 1.700 selon la police - défilaient à Paris à l'appel de la CGT "contre la politique d'austérité du gouvernement".

"J'en appelle à la poursuite d'une mobilisation pour faire en sorte que des éléments importants du droit social français ne soit pas mis au pilori", a-t-il ajouté.

DOPER L'OFFRE DE LOGEMENTS

Nicolas Sarkozy a également annoncé une décision prochaine sur la création d'un établissement bancaire dédié au financement de l'industrie et sur "des mesures extrêmement puissantes pour doper l'offre de logements", dont l'insuffisance est un frein à la mobilité du travail.

"Nous réfléchissons aussi à l'amélioration du fonctionnement des mécanismes de caution et de garanties pour les locataires", précise-t-on dans son entourage.

C'est également fin janvier qu'il entend préciser les "contours" du projet de taxe sur les transactions financières qu'il souhaite voir repris dans l'ensemble de la zone euro mais se dit prêt à mettre en oeuvre seul dans un premier temps.

Enfin, il a dit avoir chargé l'ancien président du Sénat Gérard Larcher de proposer dans les deux mois une "réforme radicale" de la formation professionnelle.

"L'objectif est simple : que chaque chômeur ait une formation et qu'au bout de la formation chacun soit conduit à accepter l'offre d'emploi qui lui sera proposée", a-t-il dit.

Selon des sources gouvernementales, les mesures arrêtées seront inscrites dans un projet de loi de finances rectificative soumis au Parlement fin février-début mars, avant la suspension de la session pour cause de campagne présidentielle.

Edité par Yves Clarisse

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La presse... le flop ?

Sommet social : Nicolas Sarkozy réactive des dispositifs anticrise

http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2012/01/18/sarkozy-annonce-430-millions-d-euros-de-plus-pour-l-emploi_1631251_1471069.html#ens_id=1628077

Sommet social : «Des mesures assez consensuelles»

http://www.liberation.fr/economie/1201573-sommet-social-le-plan-du-gouvernement

Sommet contre la crise: Nicolas Sarkozy promet un tout petit rien pour l'emploi

http://www.humanite.fr/sommet-contre-la-crise-nicolas-sarkozy-promet-un-tout-petit-rien-pour-lemploi-488056

Sarkozy engage plus de 400 millions d'euros pour l'emploi

http://www.lefigaro.fr/emploi/2012/01/18/09005-20120118ARTFIG00490-sarkozy-engage-pres-de-500-millions-d-euros-pour-l-emploi.php

Sommet social : le détail des mesures annoncées

http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0201850021817-sommet-social-le-detail-des-mesures-annoncees-276800.php

tva sociale temps de travail sarkozy rendra ses decisions a la fin du mois

http://www.leparisien.fr/election-presidentielle-2012/candidats/tva-sociale-temps-de-travail-sarkozy-rendra-ses-decisions-a-la-fin-du-mois-18-01-2012-1817564.php

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a DALISARKO quelle grande vedette est son tube si souvent entendu :

"PAROLES ,PAROLES , ENCORE DES MAUX , TOUJOURS DES MAUX

une rengaine qui fait mal pas qu' aux oreilles

  • J'adore 1
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Une réaction en vidéo de la CGT

Le refus du chantage à l’emploi

et de la TVA sociale

http://www.cgt.fr/Le-refus-du-chantage-a-l-emploi-et.html

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Et le communiqué écrit.

Sommet social

Un scénario écrit d’avance

mercredi 18 janvier 2012

La CGT a été reçue avec l’ensemble des organisations syndicales et patronales par le président de la République pour évoquer la situation économique et sociale ce mercredi 18 janvier 2012.

Le Président a expliqué la nécessité d’aller vite sur des mesures conjoncturelles et structurelles pour répondre aux conséquences de la crise.

Le Président est contraint, face à l’augmentation du chômage et de la précarité, d’apparaître volontariste sur la situation de l’emploi dans cette période préélectorale.

Comme cela était prévisible, l’essentiel de la réunion a porté sur un diagnostic contradictoire s’agissant des causes du sous emploi avec les organisations syndicales.

Si la délégation de la CGT* s’est efforcée de démontrer que les origines de la crise portaient sur un mode de développement donnant la priorité à la valorisation du capital, Nicolas Sarkozy reprend à son compte l’analyse patronale selon laquelle le coût du travail trop élevé est le facteur déterminant de perte de compétitivité des entreprises françaises. La CGT a dénoncé cette campagne de culpabilisation des salariés.

Diverses mesures ou intentions ont été annoncées par le Président en fin de Sommet. Aucune d’entre elles n’est susceptible d’avoir un impact réel sur la situation de l’emploi.

Encore une fois, les employeurs obtiennent immédiatement un nouveau cadeau pour un dispositif zéro charge pour l’embauche d’un jeune dans les petites entreprises.

Une mission a été confiée à Gérard Larcher pour remettre à plat l’ensemble de la formation professionnelle dans deux mois.

S’agissant du chômage partiel dont les modalités devraient être simplifiées, la CGT a exigé – et a priori obtenu – qu’une même entreprise ne puisse alterner des périodes de chômage partiel et des périodes avec des heures supplémentaires défiscalisées.

Quant aux mesures structurelles, TVA sociale ou accord de compétitivité, le chef de l’Etat est resté flou et devrait s’exprimer avant la fin du mois sur ces arbitrages.

L’accord de compétitivité consisterait pour un employeur à négocier un accord collectif autorisant la baisse des salaires ou la révision du temps de travail au nom de la préservation de l’emploi sans que le salarié n’ait plus de recours pour exiger le respect de son contrat de travail.

La tonalité de la réunion et la confrontation des analyses sur la situation confortent l’appréciation de la CGT sur la volonté du pouvoir de faire de la crise un alibi pour une nouvelle offensive s’attaquant aux règles de financement de la protection sociale et à la législation du travail.

La CGT appelle l’ensemble de ses organisations et militants à amplifier la diffusion et arguments de la CGT dans l’intense bataille idéologique actuelle.

Montreuil, le 18 janvier 2012

* Bernard THIBAULT – Mohammed OUSSEDIK – Maurad RABHI

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Alors que moins de 10% des demandeurs d'emploi bénéficient actuellement d'une formation, l'objectif est que chacun ait la possibilité d'en avoir une et «qu'au bout, chacun soit conduit à accepter l'offre d'emploi qui lui sera proposée».

Et comme d'habitude cette vieille suspicion qu'un demandeur d'emploi refuse une offre correspondant à sa situation ...

Si les 10% de demandeurs d'emploi actuellement bénéficiaires d'une formation ne se voient pas tous proposer un emploi à l'issue de la formation (ça se saurait ...), qu'en sera t il lorsque 50, 75, 100% des demandeurs d'emploi seront formés ?

Pfffffff ... du vent !!!

,

Modifié par michael02
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mais si il vont proposer du temps partiel, du boulot en Roumanie à 450 euros par mois. Comme pour les retraites, le but pas payer

ne vous y tromper pas Pinocchio n'a pas d'idées mais ce qui tirent les ficelles en ont eux

une info la Pariso a l'annonce du dit sommet a eu un orgasme et je me lève avec le mal au cul , c'est normal docteur?

y parait que ça ce soigne avec du Mélenchon

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FO: déclaration de la commission exécutive confédérale du 19 janvier

http://www.humanite.fr/fil-rouge/fo-declaration-de-la-commission-executive-confederale-du-19-janvier

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A à peine 100 jours de l'élection , il faut bien qu'il fasse croire qu'il s'interesse au chomage .

Une réunion de 4 h , ça suffit pour que les médias en parlent à foison , avec direct et envoyé spécial à la sortie de la réunion ; c'est tout ce qui compte pour lui .

et c'est aux français d'en tirer les conséquences : ce n'est pas moi qui le dit , mais lui .

Modifié par dav1077
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t'a échoué t'a merdé c'est normal Nico t'es pas bon en rien t'es mauvais en tout

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