Tout ce qui a été posté par katamiaw
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[controleur]
Oui, tu auras droit à la CP (caisse de prévoyance Sncf) et aux avantages concernant les facilités de circulation: http://www.cprsncf.com/ Rémunération à hauteur de (+ ou -) 1100 € pendant la formation. Par la suite tu auras en gros 30% de ton salaire en primes.
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Sncf Fret
En cherchant un peu, tu aurais trouvé ça: http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=3590 et tu aurais visité cette page spéciale technicien circulation: http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=1313 Technicien Circulation = Aiguilleur Technicien Circulation FRET = Aiguilleur dans une gare de triage de trains de marchandises Bienvenu à toi sur ce forum ! et n'oublie pas de te présenter ici: http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=1617
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Pepe, Tuco Ramirez : C'est Pour Vous
Tu penses vraiment qu'il y a besoin de battre des records pour qu'une grève soit significative ? J'aimerai bien avoir des chiffres détaillés pour connaitre un peu plus qui sont ces grévistes.... Plutot des Nordistes, des Sudistes, plutot des cadres (mdr) ou des exécutants... etc... etc... Quel est le % de cadres dans notre entreprise (donc de gars qui font jamais ou rarement grève) ? La Traction toujours en tête... 55% c'est un bon chiffre Assouan ? attention, record pas battu !!! Ne pas vouloir discuter et attendre de voir le taux de mobilisation c'est quand même un signe clair non ? J'approuve Pepe lapleunicheuse
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Pepe, Tuco Ramirez : C'est Pour Vous
Y'a pas de problèmes avec ce sujet, mais j'insiste: tu en penses quoi de % de grévistes ?
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Pepe, Tuco Ramirez : C'est Pour Vous
Et toi assouan tu en penses quoi ?
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Grève Sncf Du 8 Novembre 2006 : 30 % De Grévistes
30 % , en gros 1 personne sur 3, c'est une faible mobilisation ? mdrmdr
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Grève Sncf Du 8 Novembre 2006 : 30 % De Grévistes
SNCF: mobilisation mitigée pour les cheminots Le mouvement de grève des cheminots, mercredi, a occasionné des perturbations sur tout le réseau SNCF, mais la mobilisation est restée mitigée avec près de 27% de grévistes, selon la direction de lentreprise, 33% à 35% selon la CGT, majoritaire. La situation devait revenir progressivement à la normale jeudi dans la matinée. La présidente de la SNCF Anne-Marie Idrac, nommée à ce poste le 12 juillet dernier, était confrontée, mercredi, à son premier conflit social, qui na pas mobilisé fortement les cheminots, malgré le fait que la majorité des syndicats dénoncent "labsence de dialogue", de la nouvelle direction. A titre de comparaison, selon les chiffres de la direction, les cinq journées de grève nationale à la SNCF de 2005 ont été suivies par 36,9% des personnels le 19 janvier, 29,7% le 10 mars, 25,8% le 2 juin, 32,3% le 4 octobre, et 22,8% le 22 novembre. Mercredi, la circulation des trains était "globalement" conforme aux prévisions annoncées par la SNCF à la veille du conflit social, avec, en moyenne, deux TGV sur trois pour les dessertes Paris-province et un sur trois pour les liaisons inter-régionales et les Corail. La direction avait également prévu un train sur deux pour les TER et les liaisons de la banlieue parisienne. Sur ce dernier secteur, ce sont les usagers de la ligne B du RER qui ont subi les désagréments les plus importants, avec seulement 20% des trains maintenus alors que la direction tablait sur 40% de trafic assuré. Six syndicats de cheminots sur huit (CGT, FO, CFTC, CGC, Sud et FGAAC) avaient appelé à cesser le travail, de mardi soir à 20h à jeudi matin à 8h, pour dénoncer les restructurations internes à lentreprise -notamment celle du fret- les suppressions de postes, ou encore la politique salariale de la direction. Les six syndicats dénoncent notamment "une multitude de réorganisations, de restructurations, que plus personne ne semble être en capacité dexpliquer", et qui "fleurissent dans tous les secteurs dactivité de lentreprise". Sur le plan de lemploi, les fédérations de cheminots protestent contre la suppression de 14.000 postes depuis 2002, dont 7.000 pour le fret. Sur les salaires, ils exigent la mise en place dun "véritable 13e mois". Les syndicats veulent également obtenir des assurances quant au maintien de leur régime de retraites, et "tiennent à rappeler leur détermination à combattre toute remise en cause, par quelque gouvernement que ce soit", du "régime spécial de protection sociale", des cheminots. La fédération FO des cheminots, qui estime quun cheminot sur trois sest mobilisé mercredi, prévient dans un communiqué quau "vu du mécontentement qui sexprime", elle "sollicitera les autres fédérations pour envisager les suites à donner à cette action", si aucune réponse nest donnée par la direction concernant les revendications. Selon la CFTC, "27 % des cheminots ont clairement affiché leur révolte (...) mais ils sont infiniment plus nombreux à exprimer leur ras le bol quotidien à leur hiérarchie. A la SNCF, le malaise et les inquiétudes sont réellement omniprésents". SUD-Rail a également proposé, mercredi, "aux autres fédérations une rencontre dans les jours qui viennent, pour déterminer ensemble les suites à donner à ce mouvement", se disant "favorable à une grève reconductible". De son côté, la direction de la SNCF a assuré, dans un communiqué mercredi en fin daprès-midi, que "lactivité fret (...) restera au sein de lentreprise publique, le scénario de la filialisation de cette activité nayant pas été retenu", et que "le développement de cette activité reste lambition de la SNCF". La direction souligne par ailleurs "limportance du dialogue social et de la concertation dans la conduite", des évolutions internes à lentreprise. En matière demploi, elle confirme "le volume de 5.600 embauches prévues pour 2006 (soit 400 de plus que prévu, et 1.000 de plus quen 2005), ce qui représente un objectif de 1.100 embauches pour les deux derniers mois de lannée". Par ailleurs, un comité de suivi de laccord salarial 2006 aura lieu le 14 novembre, rencontre déjà annoncée avant la grève. Source: http://www.euroinvestor.fr/News/ShowNewsSt...StoryId=9475646
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Grève Sncf Du 8 Novembre 2006 : 30 % De Grévistes
La SNCF annonce des mesures Après la grève des cheminots de mercredi, qui a mobilisé environ un tiers des agents, la direction de la SNCF a annoncé des mesures pour l'emploi et le fret, accueillies de façon plutôt mitigée par les syndicats. La SNCF s'est notamment engagée à ramener en 2007 le nombre de suppressions d'emplois de vendeurs à 200 au lieu de 1.000 initialement prévues. Elle a prévu 1.000 embauches supplémentaires en 2007 pour les métiers ferroviaires et 1.000 nouveaux stages pour les jeunes. Du côté des salaires, revendications phares des syndicats, l'entreprise a promis de réunir le 14 novembre prochain un comité de suivi de l'accord salarial 2006 et s'est engagée à ouvrir des négociations salariales avant la fin février 2007. "La SNCF a fait un effort en matière d'emplois. Sur les salaires il n'y a rien, mais on a obtenu une date. Ca va dans le bon sens. C'est un début!", a déclaré Didier Le Reste, secrétaire fédéral de la CGT des cheminots, syndicat majoritaire de l'entreprise. Six des huit syndicats de cheminots avaient appelé à la grève. La CFDT et l'Unsa ne se sont pas associées au mouvement. La Fédération générale autonome des agents de conduite (FGAAC), qui a jugé "insuffisantes" les mesures, a d'ores et déjà annoncé qu'elle poursuivrait le mouvement, en l'absence dans les "tous prochains jours" de réponses aux revendications des conducteurs. Elle a proposé aux autres organisations de l'accompagner dans son mouvement catégoriel. Sud-Rail, qui s'est dit favorable à une grève reconductible, a proposé une rencontre intersyndicale dans les jours qui viennent "pour déterminer ensemble les suites à donner" au mouvement. Entre 27 et 33% de grévistes Le taux de participation à la grève s'est établit à 26,8%, selon la SNCF, 33%, d'après la CGT. "C'est bien moins que lors des précédentes grèves, sauf celle de novembre 2005 où le taux de grévistes était de 22,8%", a-t-on souligné à la direction de la SNCF. Le secrétaire fédéral Didier Le Reste s'est dit "satisfait" de l'ampleur du mouvement. La FGAAC, qui a revendiqué 55% de grévistes parmi les conducteurs, s'est elle aussi déclarée satisfaite. La CFTC a pour sa part concédé un recul par rapport aux précédentes grèves de cheminots. "Ce n'est pas énorme, 27%. Ce n'est pas un succès extraordinaire, on a connu des mobilisations plus fortes", a estimé Bernard Aubin, secrétaire fédéral de la CFTC-Cheminots. Ce mouvement de grève, entamé mardi à 20 heures, doit se poursuivre jusqu'à jeudi à 8h00 du matin, heure à partir de laquelle la SNCF prévoit un retour à la normale du trafic, à l'exception des axes normands où des perturbations sont à prévoir en raison d'un mouvement social local. Dans la journée 70% des trains TGV ont circulé en moyenne, selon la SNCF. Sur les lignes Eurostar et Thalys, le trafic a été normal. En Ile-de-France, plus de 50% des trains ont été en service et en province un TER sur deux a circulé en moyenne. Un train Corail sur trois a été en service. Anne-Marie Idrac, qui fut secrétaire d'Etat aux Transports du gouvernement Juppé lors de la grande grève de 1995 à la SNCF, a essuyé mercredi sa première grève depuis sa nomination en juillet à la tête de l'entreprise. Source: http://www.lexpress.fr/info/quotidien/actu.asp?id=7026
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Grève Sncf Du 8 Novembre 2006 : 30 % De Grévistes
Grève SNCF: mobilisation moyenne, Idrac fait un geste d'ouverture La grève à la SNCF mercredi a été suivie par environ 30% des cheminots, une mobilisation relative, dans la moyenne des conflits de ces dernières années, qui a néanmoins débouché sur un signe d'ouverture de la part de la nouvelle présidente Anne-Marie Idrac. Malgré un trafic assez fortement perturbé sur l'ensemble du réseau, il n'y a pas eu de panique et de confusion dans les gares françaises et le ministre des Transports, Dominique Perben, s'est félicité que le service garanti »fonctionne bien» en Ile-de-France. En fin de matinée, la direction recensait quelque 26,8% de grévistes, un taux supérieur à ceux des grèves du 22 novembre 2005 (22,8%) et de juin 2005 (25,8%), mais inférieur aux mouvements du 19 janvier (36,9%), du 10 mars (29,7%) et du 4 octobre (32,3%) de la même année. Le ministre des Transports Dominique Perben a néanmoins qualifié cette mobilisation de »faible», estimant que »la base» n'avait »pas suivi le mot d'ordre syndical». En fin de journée, la CGT a surenchéri, en annonçant 33% de grévistes sur l'ensemble de la journée, tout en se félicitant d'un mouvement »sérieux et utile». Le mouvement, non reconductible, lancé par six des huit syndicats (CGT, Sud Rail, FO, Fgaac, CFE-CGC et CFTC, mais ni la CFDT ni l'Unsa), doit se terminer jeudi à 08H00. Un retour progressif à la normale interviendra à partir de jeudi matin, avec une »remise en ordre» en fin de matinée, a assuré la direction. Mercredi, le trafic a été assez fortement perturbé, mais globalement conforme aux prévisions: 2 TGV sur 3, 1 train grandes lignes Corail sur 3. Les trains internationaux Eurostar et Thalys ont circulé. En région, environ »1 TER sur 2» a fonctionné, et un train sur deux en moyenne en banlieue parisienne. Pour M. Perben, le »service garanti a très bien fonctionné», avec »50% des Transiliens» qui ont circulé, contre seulement 33% l'année dernière à la même époque. La SNCF a signé en 2005 un accord avec le Syndicat des transports d'Ile-de-France (Stif, qui dépend du Conseil régional), prévoyant un système de »bonus-malus» en cas de grève. »Il y a eu une vraie information du public, les prévisions ont été respectées, c'est cela l'esprit du service garanti contractuel», a commenté le ministre. De fait, le débat récurrent sur un service minimum supposant une réquisition des grévistes est resté en sourdine du côté de la majorité. Roger Karoutchi, sénateur UMP des Hauts-de-Seine et président du groupe UMP au conseil régional d'Ile-de-France, a demandé que soit »généralisé à l'ensemble du territoire national» le service garanti. Les revendications syndicales, mises en avant depuis des mois, sont multiples: défense du fret, dont la situation est jugée »catastrophique» face à l'essor du transport routier, du service public, de l'emploi et des salaires. Après avoir jeté de l'huile sur le feu en évoquant un dialogue social »bloqué», le »mur de Berlin» et la »guerre froide», Mme Idrac a fait un geste envers les syndicats, le jour même de la grève, leur adressant un courrier où elle a précisé un certain nombre d'engagements, qu'elle avait pris deux jours avant la grève. Dans ce courrier, dont l'AFP a obtenu copie, elle »confirme» notamment son »attachement au caractère intégré» de l'entreprise publique SNCF et son choix de »ne pas filialiser le fret», revendications des syndicats. La CGT, qui avait menacé dans la matinée de »donner des suites» à la grève, y a vu »un certain nombre de réponses aux demandes et préoccupations exprimées par les personnels». Source: http://www.tageblatt.lu/edition/article.asp?ArticleId=54873
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Spéciale Provo : Pour Ceux Qui Bossent Demain ça Craint Ou Pas ?
Prends ton appareil photo et tu nous feras un reportage photo.... Sinon quand on fait grève on se doute quand même à quoi s'attendre de la part des clients/passagers, surtout lors d'un mouvement nationnal. Chacun assume ses choix, de faire grève ou pas, par contre il faut pas se voiler la face: tu vas avoir une journée trés difficile...
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Grêves Sncf : Le Service Public Tourné En Dérision
Le socialisme une idéologie dangeureuse ? Ils sont vraiment ailleurs eux !!! Un communisme amélioré alors ? Ou alors plutot tout le monde sur un même pieds d'égalité mais pas vers le haut, mais vers le bas.... tout le monde à 1000€ par mois... Des idées ils en ont ! Enfin, à ce moment là faut aller direct aux USA. Comment pensez une chose et son contraire en même temps ! Comment l'état va financer les retraite de "ceux qui y sont pas pervenu" sans cotisations ? Je me demande si Garcimore a pas monté ce groupe en fait... Un billet d'avion pour les USA !!! Ils sont droles non ? Ben en fait non.... controleursncf
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Grêves Sncf : Le Service Public Tourné En Dérision
Le FRET est DEJA ouvert à la concurence.... Comment englober tout le monde dans le même sac, on est tout cheminot à croire que c'est un métier lui-même. Quand au délit d'observation "regardez-les ils ne font rien !" c'est peut-être un peu court comme argument, car à quels cheminots de la SNCF fait-il allusion ? on ne sait pas. A moins d'être lui-même cheminot, ce monsieur parle d'un monde qu'il ne connait probablement que trés peu, a-t-il été voir les conditions de travail de nos gars qui bossent au bord et dans les voies, de ceux qui bossent dans les triages, a-t-il ouvert les portes des directions, des gares pour voir ce qu'il s'y passe exactement, est-il allé voir un poste de régulation, le métier de régulateur, etc.... etc... ??? Avant d'écrire des insanitées, peut-être faudrait-il savoir de quoi on parle. Quand on annonce des chiffres, on indique ses sources... Sinon comment vérifier l'exactitudes des dires ? C'est beau non de se défouler ainsi ? Il doit se sentir soulagé à la fin... Et vous, vous en pensez quoi de genre de réaction ?
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Grêves Sncf : Le Service Public Tourné En Dérision
LIVERTE-CHERIE.COM - http://www.liberte-cherie.com/a2547-Greves...n_derision.html Grêves SNCF : Le Service Public tourné en dérision La SNCF se prépare de nouveau à une journée d'inaction nationale le 8 novembre, avec le fourre tout habituel de revendications risibles : l'avenir du fret, l'emploi, les salaires. Oui, l'avenir du fret est bien est un problème grave à la SNCF, et l'organisation du travail un bon sujet. Année après année les industriels se sont lassés du manque de fiabilité et des délais des trains de marchandise, dus aux rigidités des conditions de travail et aux grèves à répétition. Toutes choses dont les syndicats sont les seuls responsables. Heureusement que le fret est en train d'être bientôt ouvert à la concurrence. Oui, l'emploi est bien un problème grave à la SNCF, mais pas dans le sens où l'entend la CGT. Promouvoir le service public, cela veut dire aussi rechercher la productivité maximum de façon à fournir le meilleur service tout en économisant l'argent du peuple. Or les effectifs de la SNCF sont encore aujourd'hui très largement excédentaires, comme on s'en convaincra en lisant les deux articles : Les effectifs de la SNCF: http://federation.liberte-cherie.com/a838-...de_la_SNCF.html La productivité à la SNCF: http://federation.liberte-cherie.com/a2548...s_francais.html Non, les cheminots ne sont ni sous-payés ni surmenés. On n'a aucune peine à en recruter, et il suffit de les observer au travail pour constater qu'ils ne sont pas surmenés. Les syndicats torpillent le service public. Ils prennent le public en otage pour faire avancer leurs revendications corporatistes et pour se donner une raison d'être. Chacune des grèves est une véritable galère pour des dizaines de milliers de braves gens qui cherchent par tous les moyens à se rendre au travail malgré cette carence de service public : gares surpeuplées; informations arbitraires et souvent fausses sur les panneaux d'affichage; trains aux horaires aléatoires pris d'assaut par des foules plus importantes que la contenance du train, couloirs des wagons complètement remplis de personnes debout, changement inopinés de trains en cours de trajet, voyageurs étrangers et vielles dames complètement désemparés, femmes enceintes écrasées par la foule, travailleuses attendues chez elles par les enfants seuls à la maison, rendez vous manqués, nuits passées à l'hôtel, etc. Comment peut-on être assez cynique pour appeler cela la défense du service public? Mais les syndicats ont des circonstances atténuantes : leur direction, avec la lâche complicité de l'Etat, laisse croire que la SNCF fait des bénéfices. Or il s'agit d'une escroquerie intellectuelle à côté de laquelle la falsification des comptes d'Enron fait pâle figure. On est arrivé à ce résultat - en découpant à l'intérieur des chemins de fer français un sous ensemble baptisé SNCF dont les dépenses sont du même ordre que les recettes et en rejetant sur le "Réseau Ferré de France", dont personne ne regarde les comptes, les plus grosses sources de perte. - en faisant entrer dans les "recettes" les subventions considérables de l'Etat et des régions. En réalité, les chemins de fer en France coûtent chaque année environ 13 milliards d'Euro au contribuable. Vous avez bien lu : 13 milliards, c'est à dire autant que le déficit de la Sécurité Sociale. Pour plus de précision, Voir Société Nationale de Catastrophes Financières La véritable raison de cette grève est des tester Anne-Marie Idrac, la nouvelle présidente, qui vient d'être nommée en remplacement de Louis Gallois. Elle vient de la RATP, une entreprise publique qui fait chaque année un déficit de 2 milliards d'Euros, couvert par des subventions, et dont l'endettement atteint 4 milliards d'Euros. Les retraites de ses employés ne sont pas provisionnées et ne sont même pas mentionnées dans les charges hors bilan, alors qu'elles représentent une dette supplémentaire de 18 milliards d'Euros. Les salariés font moins de 30 heures de travail par semaine, les retraites se prennent en moyenne à 53,5 ans etc. Et bien que fit Mme Idrac à son arrivée? Elle augmenta les effectifs de 10% alors que le nombre de voyageurs n'augmentait pas, et elle introduisit un 13ème mois ainsi que d'autres mesures "sociales" qui n'ont fait qu'accroître le déficit. Il n'est donc pas étonnant que les cheminots aient envie de la tester et si possible de lui arracher le même genre d'avantages. Elle a d'ailleurs déjà déclaré dans un entretien au journal interne de la SNCF, qu'elle "n'acceptera pas que les cheminots soient stigmatisés comme privilégiés". Et pourtant ils le sont, pour les horaires, les conditions de travail, les salaires, et les retraites. On peut donc s'attendre au pire si les usagers ne se défendent pas. Liberté-chérie: définition sur wikipédia Idéologie Liberté chérie a pour ambition de diffuser la pensée libérale au sein de la société française, notamment la responsabilité individuelle ou l'autonomie de l'individu, et de lutter contre le socialisme, qu'elle considère être une idéologie dangeureuse. Elle s'inscrit dans la tradition du libéralisme politique : elle plaide pour une limitation drastique de la taille de l'État. Elle souhaite une société d'égalité des droits, de laquelle seront donc supprimées toutes sortes de privilèges et de "statuts". Pour Liberté chérie, la pensée libérale a été principalement représentée et développée en France par Turgot, Benjamin Constant, Jean-Baptiste Say, Frédéric Bastiat ou, plus récemment, Jean-François Revel. Mais également, à l'étranger, par John Locke, Friedrich Hayek, Ludwig von Mises, Ayn Rand ou Milton Friedman. Liberté chérie se veut à la fois une association politique, rassemblant les libéraux de toutes tendances, et un think tank libéral. Thèmes Liberté chérie a pour vocation de traiter des thèmes qui bloquent le plus la société française. Elle a publié sa première liste de propositions de réformes[3] sur le syndicalisme, l'éducation, l'emploi, les systèmes de retraité et d'assurance maladie. Quelques points jugés « clefs » et mis en avant par Liberté chérie : * Emploi o Simplification du Code du travail, libre négociation des termes du contrat de travail entre l'employeur et l'employé. o Amélioration du fonctionnement du système éducatif, considéré comme "usine à chômeurs". * Retraites o Suppression des cotisations retraite obligatoires pour permettre une épargne libre et faciliter l'achat de son logement. o L'état subvient aux besoins de ceux qui ne sont pas parvenu à se constituer une épargne retraite. * Assurance maladie o Suppression des cotisations maladie obligatoires pour permettre une assurance libre et concurrentielle. o L'état subvient aux besoins de santé de ceux qui n'ont pas de revenus suffisants et des personnes dépendantes. * Éducation o Autonomie totale pour les établissements scolaires (programmes, méthodes, professeurs) o Mise en place du chèque éducation, subventionnant l'élève et non plus l'établissement. * Syndicalisme o Suppression de la présomption irréfragable de représentativité accordé à cinq confédérations. o Suppression des subventions publiques aux syndicats et publication de leurs comptes. o Liberté de choix des salariés de choisir le syndicat qui les représentera pour négocier la convention collective qui s'appliqera à son contrat de travail.
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Conflit AnnoncÉ À La Sncf, Et Les Usagers Alors ? (grève 08/11/06)
Pourtant la SNCF promet via son site officiel d'être un Service Public: Charte du Service Public
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Conflit AnnoncÉ À La Sncf, Et Les Usagers Alors ? (grève 08/11/06)
Petit rappel du statut de la SNCF: La SNCF devient au 1er janvier 1983 un EPIC établissement public à caractère industriel et commercial. On confond souvent le « service public » avec les grandes « entreprises publiques » nationales comme la SNCF ou EDF: Confusion "service public" / "entreprises publiques" Les Services Public du Secteur marchand : il s'agit de services financés principalement par une activité commerciale, mais qui sont considéré comme devant être sous controle de la collectivité. - Transports : transports urbains, transports ferroviaires régionaux (TER), ramassage scolaire, services portuaires, services aéroportuaires… ; - Énergie : distribution du gaz et de l'électricité ; - Eau potable ; - Services postaux ; - Télécommunications : téléphone, radiodiffusion.
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Conflit AnnoncÉ À La Sncf, Et Les Usagers Alors ? (grève 08/11/06)
SOS USAGERS - http://www.sos-usagers.com/256.htm CONFLIT ANNONCÉ À LA SNCF, ET LES USAGERS ALORS? Le conflit annoncé à la SNCF entre la direction et certains syndicats risque une fois encore de faire oublier que la SNCF est censée être d'abord au service du public. C'est pourquoi notre association va présenter à la présidente de la SNCF la "PLATE-FORME REVENDICATIVE DES USAGERS" et réclamer une véritable négociation avec la direction. Nous détaillerons dans les prochains jours ces revendications, mais nous disons dès maintenant que LES USAGERS ONT TOUTES LES RAISONS D'ÊTRE MÉCONTENTS. 1°) La SNCF n'est plus un service public, mais une "entreprise à deux vitesses" qui fait tout pour privilégier le TGV, Thalys et Eurostar aux dépens des trains de banlieue et des trains régionaux. 2°) La tarification des grandes lignes est devenue une véritable "roulette russe" avec des prix incroyablement différents pour le même train selon que le billet a été acheté au guichet ou sur Internet et, pour les achats en ligne, en fonction du jour et de l'heure de la commande. 3°) Les achats sur Internet fonctionnent mal. La FUT-SP a d'innombrables exemples d'usagers qui ont payé deux ou trois fois leurs billets parce que leur première ou seconde commande était censée avoir échoué, mais leur carte a quand même été débitée à chaque fois. 4°) Le service de réclamations SNCF d'Arras est sans doute l'un des pires connus à ce jour et certains litiges ne peuvent être réglés que grâce à l'intervention des médias! Il est donc URGENT d'ouvrir une négociation dont l'objectif doit être de REFAIRE DE LA SNCF UN SERVICE PUBLIC dont la mission est de TRAITER TOUS LES USAGERS AVEC ÉQUITÉ. Parallèlement, la FUT-SP demande aux futurs candidats à l'élection présidentielle de dire 1° S'ils partagent notre volonté de reconstruire le service public ferroviaire; 2° Quelle politique ils comptent engager pour parvenir à cet objectif.
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Grève Du 8 Novembre 2006 Dans La Presse Et Les Médias
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Grève Du 8 Novembre 2006 Dans La Presse Et Les Médias
LE MONDE - http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-...1-826708,0.html La nouvelle présidente de la SNCF, Anne-Marie Idrac, confrontée à sa première grève Les réunions de conciliation prévues dans le cadre de la prévention des conflits qui se sont tenues, vendredi 3 novembre, entre les organisations syndicales de la SNCF et les représentants de la direction n'ont pas abouti. En conséquence, les six syndicats (CGT, SUD-Rail, FO, CFE-CGC, CFTC, et FGAAC) qui appellent à cesser le travail ont confirmé leur mot d'ordre de grève pour la journée du mercredi 8 novembre. Dans les faits, le mouvement qui est qualifié de "carré", c'est-à-dire de 24 heures, non reconductible, débutera mardi 7 novembre à 20 heures pour se terminer jeudi 9 novembre à 8 heures. Cette grève, dont les mots d'ordre retenus par les syndicats vont de la "défense du fret, du service public, du statut, de l'emploi, des salaires" à des revendications plus ciblées comme "le réglement du contentieux traction" et à "l'arrêt des procédures disciplinaires" contre certains guichetiers indélicats est le premier mouvement d'ampleur nationale depuis qu'Anne-Marie Idrac a pris les rênes de l'entreprise au mois de juillet. Cette grève intervient également alors que contre toute attente, la nouvelle patronne des chemins de fer avait, lors d'un séminaire avec la presse à la mi-octobre, fustigé la qualité du dialogue social à l'interieur de l'entreprise, le jugeant archaïque et "datant de la guerre froide ou au mieux d'avant la chute du mur de Berlin". Ce mouvement a donc valeur de test pour Mme Idrac, convaincue que l'entreprise vit une "relation sociale très bloquée et très frustrante pour tout le monde". Les syndicats avaient vivement réagi à ces propos. Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT, première organisation syndicale de l'entreprise, avait ironisé en estimant que "Mme Idrac (avait) complètement déraillé". L'ironie était également de mise chez SUD-Rail où dans un communiqué, le troisième syndicat de la SNCF reconnaissait que "si le mur de Berlin est tombé, il reste manifestement des Bastille à prendre" et que l'archaïsme, "c'était de vouloir imposer des conditions sociales plus mauvaises sous prétexte de modernité". S'exprimant samedi 4 novembre sur Europe 1, Christian Mahieux, secrétaire fédéral de SUD-Rail a précisé que son organisation syndicale n'avait "pas de comptes personnels à régler avec Mme Idrac" mais que les cheminots se souviennent "effectivement de Mme Idrac en 1995 (alors secrétaire d'Etat au transport) et du rôle qu'elle avait dans le gouvernement Juppé qui s'est attaqué à la SNCF à cette époque". IMPRIMER SA MARQUE Le dirigeant de SUD-Rail a également déploré l'absence de la présidente de la SNCF, vendredi, lors des réunions de conciliation avec les syndicats, dans le cadre des préavis de grève : "On ne sait pas si Mme Idrac était occupée à reconstruire son "mur de Berlin" à elle, mais elle n'a pas daigné venir à la réunion de conciliation avec les organisations syndicales et cela pose un réel problème sur la façon dont est géré le dialogue social à la SNCF", a-t-il de nouveau ironisé en référence aux propos de Mme Idrac. Connaissant Mme Idrac, juge un spécialiste des transports, on imagine mal qu'elle ait fait de telles déclarations si elle n'avait pas vraiment l'intention de normaliser le dialogue social dans l'entreprise. "C'était le moment où jamais" reconnaît aussi un cadre de la SNCF avant d'expliquer qu'il fallait qu'elle imprime sa marque "dès ses premiers mois de présidence, pas l'année prochaine !". Mme Idrac a reçu le soutien de Dominique Perben, son ministre de tutelle. "Une fois pour toutes, il faut que chacun comprenne que la grève ne doit pas être le point de départ d'un dialogue social mais qu'il faut avant, discuter, négocier", a déclaré le ministre des transports, lors des questions d'actualité à l'Assemblée nationale. "L'appel à la grève ne doit être que le résultat d'un désaccord profond", a-t-il souligné, ajoutant : "Il faut que nous travaillions autrement." Selon la SNCF, depuis la signature, au mois d'octobre 2004, du texte sur la "prévention des conflits et l'amélioration du dialogue social" dans l'entreprise par six organisations syndicales (CGT, CFDT, CFTC, CFE-CGC, UNSA et FGAAC), les grèves nationales ont sensiblement baissé mais ont parfois mobilisé plus de cheminots. Ellles sont passées de "15 en 2004 à 10 en 2005 pour atteindre 7 à fin septembre 2006". Sur la même période, les conflits locaux, sont passés de "473 en 2004 à 450 en 2005 et à 262 à la fin du mois de septembre 2006". Enfin, sur 635 "démarches de concertation immédiate", comme celle qui a échoué vendredi, et qui oblige les syndicats à demander à être reçus par la direction avant de débuter un conflit, seulement "28 ont finalement débouché sur une grève" précise l'entreprise.
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Grève Du 8 Novembre 2006 Dans La Presse Et Les Médias
LES ECHOS - http://www.lesechos.fr/info/france/4494779.htm SNCF : une grève « à la carte » très politique La défense du fret, celle du service public, de l'emploi et des salaires, le règlement du contentieux traction et même l'arrêt des procédures disciplinaires contre certains guichetiers indélicats, ce qui semble, en l'occurrence, quelque peu en contradiction non seulement avec la morale mais aussi avec la notion intrinsèque de défense du service public... S'ils avaient voulu illustrer les critiques contre la culture de grève « rituelle » et « préventive » de la maison et conforter ainsi l'analyse d'Anne-Marie Idrac, leur nouvelle présidente, selon laquelle le dialogue social à la SNCF relève de l'époque de la guerre froide et du mur de Berlin, les syndicats de cheminots ne s'y seraient pas pris autrement en mettant en avant des mots d'ordre « à la carte » à très fortes connotations politiques pour mobiliser leurs troupes et expliquer le mouvement national qui démarre ce soir. Les intéressés eux-mêmes semblent d'ailleurs avoir eu du mal à s'entendre puisqu'il leur a fallu deux réunions très espacées pour arriver à trouver un consensus et s'accorder sur une date, et que deux organisations cheminotes sur six (deux autres préférant s'abstenir) ont préféré déposer des préavis séparés pour ces journées d'action. Pas étonnant qu'avec un menu aussi copieux que vague les négociateurs syndicaux puissent déplorer l'échec de la dernière réunion de conciliation avec la direction et s'étonner de n'avoir reçu que des « non-réponses » à l'ensemble de leurs revendications ! Donnant là encore du grain à moudre à leur nouvelle présidente, qui se plaignait récemment que les relations sociales dans l'entreprise soient « très bloquées » et « très frustrantes ». Il semble, en fait, que la nomination à la direction de la SNCF de l'ancienne dirigeante de la RATP qui fut aussi secrétaire d'Etat aux Transports dans les deux gouvernements Juppé, entre 1995 et 1997, au moment des grandes grèves contre la réforme des régimes spéciaux de retraite ait été mal vécue par certaines fédérations syndicales. Qui veulent, aujourd'hui, établir un rapport de force alors que la société nationale, toute bénéficiaire qu'elle soit, a encore de gros dossiers à régler, notamment celui de sa division fret, qui s'éloigne dangereusement de la voie tracée par Bruxelles dans le cadre de son plan de sauvetage. Qui voient aussi d'un mauvais oeil le projet de la présidente d'établir de nouvelles règles en déplaçant au niveau local autant que faire se peut un certain nombre de négociations sociales. Ce qui écornerait leur toute-puissance. Alors, si la mobilisation s'annonce massive, l'arme de la grève politique peut être à double tranchant. Le grand public se montre de moins en moins compréhensif avec ce type de mouvement et la direction de la SNCF, appuyée par le gouvernement, s'affiche de plus en plus intransigeante. En cette période préélectorale, les syndicats pourraient, en agissant ainsi, relancer le débat sur l'instauration d'un service minimum. A leurs risques et périls.
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Grève Du 8 Novembre 2006 Dans La Presse Et Les Médias
LES ECHOS - http://www.lesechos.fr/journal20061107/lec...ces/4494732.htm La direction de la SNCF ferme la porte aux syndicats grévistes Anne-Marie Idrac, la nouvelle présidente de l'entreprise, rompt avec l'habitude de son prédécesseur de recevoir les organisations cheminotes l'après-midi même d'une journée nationale de grève. La SNCF, qui a déjà reçu vendredi la CGT, SUD-rail, FO et la CFE-CGC ainsi que la FGAAC et enfin la CFTC, entend en rester là. A changement de président, changement d'orientation sur les grèves. Il y a quinze jours, Anne-Marie Idrac, la nouvelle présidente de la SNCF, avait indiqué son souhait de voir évoluer le dialogue social dans l'entreprise, l'estimant « frustrant » pour tout le monde. Reprenant les propos de certains cheminots, elle l'avait alors jugé proche de la « guerre froide » ou relevant de la période « juste après la chute du mur de Berlin ». Demain, à l'occasion de la première grève qu'elle aura à assumer - elle débute ce soir à 20 heures et doit se terminer jeudi à 8 heures -, la présidente entend passer aux travaux pratiques et amender la politique jusque-là suivie pour la sortie de grève. Il était en effet de rigueur sous l'ère Gallois de constater le rapport de forces le matin de la grève, à savoir le taux de grévistes. Sur cette base, organisations syndicales et direction se retrouvaient dans l'après-midi pour négocier : les syndicats pouvaient alors estimer avoir obtenu des avancées et justifier ainsi l'arrêt du mouvement social. Assumer les conséquences Mais, cette fois-ci, il n'est pas question de réunir les organisations syndicales dans l'après-midi. La SNCF, qui a déjà reçu vendredi dernier la CGT, SUD-rail, FO et la CFE-CGC qui ont appelé à la cessation de travail sur un mot d'ordre commun, ainsi que la FGAAC (autonomes) et enfin la CFTC, entend en rester là. Elle devait en informer hier les syndicats via une lettre. Anne-Marie Idrac souhaite sans doute que ces derniers assument totalement les conséquences de cette grève aux revendications disparates (emploi, statut, salaires, avenir du fret, et même défense de certains guichetiers d'Ile-de-France qui avaient vendu des billets en fraude). Reste à savoir comment les intéressés, qui ont déjà très vivement réagi après les propos d'Anne-Marie Idrac il y a quinze jours, vont réagir. Lors d'une conférence de presse commune des six organisations (sur huit que compte l'entreprise) ayant appelé à la grève, Jean-Michel Sgorlon, secrétaire général adjoint de la CGT-cheminots, a déploré : « On ne peut pas discuter, il n'y a plus rien à discuter. Madame Idrac ne veut écouter personne, elle n'entend rien. » « On ne peut pas prétendre avoir le dialogue social en tête et penser à affronter les syndicats », estime William La Rocca (FGAAC). 1 train sur 3 Sur fond de changement d'attitude de la direction, cette grève rituelle à la SNCF promet donc d'être bien suivie. Hier, l'entreprise prévoyait une circulation moyenne de 2 TGV sur 3 au départ de et vers Paris, 1 TGV seulement sur 3 sur les liaisons de province à province, 1 train Corail sur 3 sur le réseau grandes lignes classique, 1 TER sur 2 en régions et 1 Transilien sur 2 en Ile-de-France. Le trafic sera normal pour les TGV Eurostar et Thalys.
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Un Apn Pour Blonde
T'es vraiment une fille.... ouvrir un sujet pour être conseillée et puis finalement acheter l'objet déconseillé par tous.... Si les vendeurs à la FNAC étaient bons ils ne proposeraient même pas ces APN en vente.... Casio devrait en rester à ses calculatrices !!