Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
-
nouvelles actions les 28/10 et 06/11
Voir la modif au dessus avec mes plus plates excuses...
-
nouvelles actions les 28/10 et 06/11
Sauf les Boukistanais de sang ou de coeur... Modification... Voilà que "je mélenche" les pays maintenant
-
Actualités Politiques
Et oui c'est ici en Sarkozie... Encore une drôle d'affaire... où on retrouve toujours un peu les mêmes... Si jean-Marc Morandini n'avait été à l'insu de son plein gré touché par cette affaire qui semble bien ne pas le concerner... en aurions nous été informé car elle semble avoir quelques mois d'ancienneté (Le site) Jeanmarcmorandini.com suspendu à cause d'une procédure judiciaire visant son prestataire http://www.lemonde.f...tor=AL-32280184 et dans les différents liens... http://www.rue89.com/2010/06/02/omar-harfouch-le-proprietaire-mystere-des-indiscretscom-153336
-
nouvelles actions les 28/10 et 06/11
Je vous conseille d'aller faire un tour sur le document PDF qui présente les résultats du sondage et de regarder de près le fossé qui se creuse dans notre pays... qui pense quoi ... 57% des Français satisfaits des syndicats sur les retraites Reuters Près de six Français sur dix se déclarent satisfaits de l'action des syndicats durant la crise sociale liée à la réforme des retraites alors que plus de deux sur trois se disent mécontents de celle de Nicolas Sarkozy, montre lundi un sondage Ifop pour le quotidien France Soir. Le journal a interrogé un millier de personnes sur l'action de sept grands acteurs de cette crise et 57% d'entre elles ont jugé satisfaisante l'action des syndicats dans leur ensemble. Tous les autres acteurs concernés récoltent une majorité d'opinions défavorables, du président de la République, avec 68% de "mécontents", au premier secrétaire du Parti socialiste, Martine Aubry (55%), en passant par le Premier ministre, François Fillon (56%) et le ministre du Travail, Eric Woerth (61%). Le sondage a été réalisé les 21 et 22 octobre auprès d'un échantillon national représentatif de 956 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marc Angrand, édité par Gilles Trequesser http://www.ifop.com/media/poll/1288-1-study_file.pdf http://www.ifop.com/?option=com_publication&type=poll&id=1288
-
Manifs , Casseurs, flics infiltrés, violences etccc
J'ajouterai même que les dirigeants de ce grand syndicat de policiers seraient dans la mouvance ump selon une rumeur... beurk
-
Manifs , Casseurs, flics infiltrés, violences etccc
Y'a même un syndicat de policiers qui demande au ministre de l'intérieur de poursuivre Jean-Luc Mélenchon... Enfin ce syndicat de policiers, on ne l'a pas beaucoup entendu sur la question des retraites... Mais... "Ne Mélenchons pas tout..."
-
Sur le site de la CES.....
"Les propositions de la Commission portant sur l’aide que le secteur devrait apporter pour rétablir le système financier et contribuer aux budgets publics sont insatisfaisantes, sans ambition et inacceptables. " Taxes sur les Transactions Financières : 0,05 %... Ensemble luttons contre la pauvreté... ça c'est ambitieux !
-
Actualités Politiques
Démocratie... ? L'assemblée fantôme de la République Depuis le 1er octobre, les (rares) visiteurs du site officiel de la troisième assemblée de la République découvrent un étrange avis : "Le mandat des membres du Conseil économique, social et environnemental (CESE) a expiré le 30 septembre 2010. L'assemblée sera renouvelée au cours des prochaines semaines." L'agenda de Jacques Dermagne, 72 ans, qui préside le CESE depuis 1999, est vide. Le président ne préside plus. Les 170 membres, sur 233, qui ont été choisis par la société civile (syndicats, patronat, représentants de l'écologie, etc.), dans le cadre de la réforme instituée par la révision constitutionnelle de 2008, ne siègent pas. Le Conseil est devenu une assemblée fantôme. Pour qu'il puisse fonctionner de nouveau, le CESE attend le bon plaisir de l'Elysée. Soixante-trois membres - 40 personnalités qualifiées (PQ), sept représentants d'associations, quatre jeunes, onze citoyens d'outre-mer et un responsable de l'économie solidaire - doivent être nommés en conseil des ministres. Nicolas Sarkozy a la haute main sur les 40 PQ. Mais en plein conflit des retraites, le président a d'autres soucis. En août 2009, une loi organique avait déjà prorogé d'un an le mandat des conseillers, indiquant que "cette prorogation ne pourra excéder la date du 30 septembre 2010". La date butoir est dépassée mais, depuis, rien, silence radio. "On pourrait faire jouer l'article 16 de la Constitution, plaisante un conseiller sortant, qui confère au chef de l'Etat des pouvoirs exceptionnels si le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu." L'OMBRE DU REMANIEMENT La situation est inédite, pour ne pas dire abracadabrantesque. Si d'aventure les présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat voulaient faire usage de leurs nouveaux droits de saisine du CESE, ils trouveraient porte close. Il en serait de même si au moins 500 000 personnes déposaient une pétition sur une question économique et sociale, comme les retraites. L'effet est le même que si l'assemblée avait été dissoute, confirmant au passage le peu de cas que M. Sarkozy fait des corps intermédiaires et des contre-pouvoirs. Si les 63 conseillers manquants ne sont pas nommés, rétroactivement au 1eroctobre, au conseil des ministres du 27 octobre - ce que l'on n'ose imaginer -, les 170 autres ne toucheront pas leur indemnité (3 767,91 euros, brut). L'ombre du remaniement plane sur l'assemblée fantôme, le CESE étant souvent perçu comme une maison de retraite politique dorée pour ministres déchus. Lâché par le patronat, d'où il vient, et les syndicats, M. Dermagne n'a guère de chances de se succéder à lui-même. Dans les coulisses du palais en hibernation, la bataille de la présidence se joue entre Jean-Paul Delevoye, le médiateur de la République qui rêvait de devenir, en 2011, le Défenseur des droits, et Jean-Pierrre Davant, président de la Mutualité française. M. Delevoye, maire UMP de Bapaume (Pas-de-Calais), fait figure de favori. A suivre. Michel NoblecourtLe Monde
-
nouvelles actions les 28/10 et 06/11
Retraites : l'Assemblée et le Sénat parviennent à un accord en commission mixte paritaire Les sept députés et sept sénateurs réunis lundi 25 octobre en commission mixte paritaire (CMP) pour élaborer un texte de compromis sur la réforme des retraites sont parvenus à un accord, ce qui permettra un vote définitif du projet de loi mercredi. La CMP, à majorité de droite, a aplani les quelques points de divergence entre les deux chambres pour parvenir à un texte commun, a annoncé la présidente de la commission des affaires sociales du Sénat, la centriste Muguette Dini. Le vote du Sénat devrait suivre mercredi. Le projet de loi portant sur la réforme des retraites aura alors achevé son parcours législatif. Restera encore l'écueil d'une éventuelle saisine du Conseil constitutionnel par l'opposition, qui pourrait retarder la promulgation de la loi par le chef de l'Etat. Une fois ce dernier obstacle levé, il restera au chef de l'Etat à promulguer la loi. Selon son conseiller social, Raymond Soubie, la signature pourrait avoir lieu d'ici au 15 novembre. L'Elysée compte ensuite passer au plus vite à d'autres sujets, en ouvrant notamment des chantiers "sociaux" à même de faire remonter la cote de Nicolas Sarkozy auprès des Français. "UN NAUFRAGE DÉMOCRATIQUE" "Nous en sommes arrivés à un point de véritable naufrage démocratique : refus de débat avec l'opposition, refus de dialogue avec les organisations syndicales, refus de compréhension de ce qui se passe dans le pays et tout cela pour aboutir à un texte ni juste, ni responsable", a déclaré la députée PS Marisol Touraine lors d'un point de presse. Les élus PS ont voté contre tandis que ceux du PCF ont claqué la porte de la réunion. La majorité de la CMP a rejeté l'unique amendement socialiste qui demandait l'ouverture immédiate de négociations avec les partenaires sociaux. "Nous avons eu le sentiment d'une majorité totalement hors sol, incapable de comprendre ce qui se passe dans le pays, totalement fermée au mouvement", alors que "nous nous apprêtons à vivre la septième journée de grève et de manifestations", prévue jeudi. "Nous lui avons proposé une porte de sortie, d'accepter d'engager immédiatement des négociations avec l'ensemble des partenaires sociaux", or cet "amendement a été balayé d'un revers de la main sans discussion", a-t-elle déploré. Elle a annoncé que l'opposition exprimerait sa"colère" mardi lors du débat dans les deux chambres sur les conclusions de la CMP. "Les salariés de notre pays sont les grands perdants de cette réforme et le gouvernement ne s'en sortira pas comme ça", a renchéri la sénatrice Christiane Demontès. Le Monde 25-10-2010-13h15
-
nouvelles actions les 28/10 et 06/11
Au pas de charge... 12h35. L'amendement des socialistes demandant l'ouverture immédiate de négociations avec les partenaires sociaux, est rejeté par la commission mixte paritaire. Laquelle doit désormais conclure ses travaux dans quelques instants. Accord Assemblée-Sénat sur la réforme des retraites La commission mixte paritaire (CMP) Assemblée-Sénat sur la réforme des retraites convoquée lundi au Palais du Luxembourg est parvenue à un accord. Le texte, mis au point par la CMP composée de sept députés et de sept sénateurs, sera soumis mardi matin au Sénat qui l'examinera et se prononcera dans la foulée. Le texte sera examiné mardi après-midi par l'Assemblée qui se prononcera mercredi après-midi par un vote solennel. Le projet de loi réformant les retraites sera alors définitivement adopté par le Parlement. Emile Picy, édité par Yves Clarisse
-
nouvelles actions les 28/10 et 06/11
Projet de loi Réforme des Retraites ... De pire en pire... Info Libération ... 11h50. Surprise à la commission mixte paritaire qui travaille depuis ce matin à l'unification des versions de l'Assemblée du Sénat. Selon les informations de Libération, l'amendement Jacquat sur la médecine du travail (du nom du rapporteur UMP du texte à l'Assemblée), a été adopté: il prévoit que seul l'employeur peut être élu président du service de santé au travail, avec voix préponderante au sein du conseil d'administration. Et ce à la place d'une présidence tournante salariés-employeur, chacun pour trois ans, et d'un vrai paritarisme, comme l'avait voté le Sénat. Pour François Desriaux, rédacteur en chef de Santé et Travail, «cela montre la volonté du medef de garder la main sur les services de santé au travail, et visiblement, le gouvernement laisse faire…» 9h15. La Commission mixte paritaire, sept députés et sept sénateurs chargés d'unifier les versions de l'Assemblée nationale et du Sénat, commence à se réunir. Selon les informations de Libération, le député (PCF) Roland Muzeau quitte la séance. Le sénateur communiste Guy Fischer fait de même. «Cette CMP n’apportera rien de significatif. Nous dénonçons ce simulacre de discussion parlementaire puisque les quelques mesures ajoutées au texte initial (ndlr: pendant le débat parlementaire)l’ont été avec l’accord de l’Elysée», invoque Muzeau. Marisol Touraine, chargée des retraites au PS, dénonce un «naufrage démocratique» sur les retraites. Le PS attaque aussi la majorité sur l'amendement adopté en fin de semaine dernière prévoyant une réfléxion sur une «réforme systémique». Aveu par la droite que la réforme est partielle? Cette réforme en profondeur, en 2013, devrait déboucher sur un système pérenne, admet la sénatrice (UMP) Isabelle Debré, tandis que son collègue UMP de l’Oise, Allain Vasselle, accuse les socialistes d’avoir organisé le mouvement social. Toujours selon nos informations, les socialistes préparent un amendement demandant l’ouverture immédiate de négociation avec les partenaires sociaux.
-
nouvelles actions les 28/10 et 06/11
Réforme des retraites : Thibault (CGT) demande à Sarkozy... "de ne pas promulguer" la loi http://www.lepost.fr/article/2010/10/25/2280280_reforme-des-retraites-thibault-cgt-demande-a-sarkozy-de-ne-pas-promulguer-la-loi.html#xtor=AL-235
-
Calcul retenu jours de Grève
Et en plus si tu fais 20 jours de grève d'affilée (journées de travail et journées de repos) par exemple du 1er au 20 du mois tout est retenu en une seule fois sur la paye du mois M : pas d'étalement dans le temps !
-
Actualités Politiques
Sondage IFOP - Planet.fr L'opinion des 50-65 ans... Présidentielles 2012... Hypothèses candidatures et report des voix... Prenez le temps de regarder les différentes pages et tableaux du 2ème lien... http://www.ifop.com/?option=com_publication&type=poll&id=1285 http://www.planet.fr/elections-2012-1ers-resultats-du-barometre-politique-des-50-65-ans-planet-fr-ifop-elus-2-0.35769.1696.html
-
Actualités Politiques
Une des phrases les plus hilarantes de l'année 2010 : Liliane Bettencourt : « Je n'ai pas payé François-Marie Banier. En tout cas, pas plus que d'autres. » http://www.20minutes.fr/article/612275/politique-liliane-bettencourt-je-paye-francois-marie-banier-tout-cas-plus-autres
-
nouvelles actions les 28/10 et 06/11
Libération ... Premières estimations du coût de la grève... Chaque journée de grève interprofessionnelle (8 depuis le début du conflit des retraites) coûterait entre 200 et 400 millions d’euros, selon Le Figaro qui cite comme source le ministère de l’Economie. Ce chiffre, qui équivaut à un coût total de 1,6 milliard à 3,2 milliards d’euros, tient compte des heures de travail perdues et des pertes dans les différents secteurs, d’après le quotidien. Le ministère de l’Economie ajoute dans Le Figaro «qu’il faut aussi prendre en compte la dégradation de l’image de la France, inchiffrable» Selon les Syndicats ou la Police ? entre 200 et 400 millions d’euros 1,6 milliard à 3,2 milliards d’euros Bon à priori c'est plus facile pour le gouvernement UMP de chiffrer le nombre de manifestants à l'unité près que le "coût économique des grèves"...
-
nouvelles actions les 28/10 et 06/11
Lundi 25 Octobre 2010 Le mouvement contre la réforme des retraites n'entend pas faiblir, malgré la Toussaint LEMONDE.FR avec AFP La bataille contre la réforme des retraites , qui devrait être adoptée définitivement mercredi 27 octobre, entre dans sa dernière ligne droite avec une semaine ponctuée par de nouvelles manifestations, la poursuite des grèves et des pénuries de carburant. Une semaine charnière Au plus bas dans les sondages, à seulement 29 % d'opinions favorables en octobre, selon l'IFOP,Nicolas Sarkozy est confronté à la plus grave crise depuis son élection en 2007. Il compte sur les vacances de la Toussaint et l'accélération du calendrier législatif pour affaiblir la mobilisation, avant de remanier son gouvernement. Mais les syndicats vont lancer toutes leurs forces dans le dernier bras de fer avant la promulgation de la loi en maintenant la pression dans le secteur de l'énergie et en organisant plusieurs journées d'action : les étudiants seront mardi dans la rue, avant une journée nationale d'action jeudi, puis une autre le 6 novembre. Pour jeudi, qui sera la septième journée d'actions nationale depuis la rentrée, les syndicats espèrent malgré les vacances faire aussi bien que lors des précédentes mobilisations, où entre 1,1 et 3,5 millions de personnes (selon les sources) étaient descendues dans les rues. Mais s'ils ont réussi à maintenir la mobilisation à un niveau inégalé en France depuis 15 ans, la gestion de la sortie du conflit pour des syndicats s'annonce à hauts risques en raison de la pression de la base et des divergences de stratégie. La CGT réclame la non-promulgation de la loi Interrogé sur Europe 1, le conseiller social du président, Raymond Soubie, a estimé, dimanche, que la promulgation – c'est à dire la parution du texte au Journal officiel – interviendra vers le 15 novembre. Un peu plus tard, sur France 5, Bernard Thibault, le secrétaire général de la CGT, a demandé à Nicolas Sarkozy de "ne pas promulguer la loi", réaffirmant que l'"objectif" des syndicats était"l'ouverture de négociations sur l'avenir des retraites". De son côté, le Medef s'est alarmé de "la gravité de l'impact sur l'économie" du conflit social. Si les conséquences économiques de la grève n'ont pas encore été chiffrés, l'organisation patronale a relevé "l'arrêt ou quasi arrêt des livraisons des marchandises (matières premières ou produits finis) transitant par le fret ferroviaire" et les"retards considérables des livraisons transitant par le fret routier" ; le Medef réclame ainsi un report des paiements de charges pour les entreprises les plus touchées par la crise. Carburants : les blocages se poursuivent Dimanche, la France connaissait encore des pénuries de carburants, avec une station sur quatre à sec et des difficultés concentrées en région parisienne et dans l'Ouest. La situation pourrait se dégrader lundi, selon l'Union française des industries pétrolières, du fait du repos obligatoire des chauffeurs de camions-citernes qui alimentent les pompes. Le ministre de l'énergie, Jean-Louis Borloo, a confirmé que des "difficultés" supplémentaires seraient à prévoir lundi. "Cela ne voudra pas dire qu'on repart vers une dégradation du système", a toutefois relativisé le ministre lors d'un entretien téléphonique avec l'AFP. Il a expliqué que, compte tenu du repos imposé dimanche aux chauffeurs de citernes par la législation sur le transport de matières dangereuses, la "matinée de remise en route de la tournée des camions" devrait "être digérée" et pourrait "créer quelques problèmes" en première partie de journée. Samedi soir, sur France 2, M. Borloo avait appelé à la reprise du travail dans les douze raffineries du pays, toutes en grève et à l'arrêt. Outre les blocages du secteur pétrolier, la contestation s'est poursuivie ce week-end avec des perturbations dans les chemins de fer, des manifestations sur les routes, et des grèves d'éboueurs dans plusieurs grandes villes, comme Marseille, Toulouse et Belfort.
-
nouvelles actions les 28/10 et 06/11
Populaire ? Encore une bonne raison d'être mécontent... Vers une nouvelle hausse du prix de l'électricité de 3 à 4 % LEMONDE.FR avec AFP Les tarifs réglementés de l'électricité, qui ont déjà connu une hausse en août, pourraient de nouveau augmenter de 3 à 4 % au début de l'année prochaine, selon le quotidien Les Echos. Le gouvernement vient en effet d'accepter un amendement au projet de loi de finances 2011 permettant de relever la taxe dite "de contribution au service public de l'électricité" (CSPE), payée par chaque consommateur pour soutenir les énergies renouvelables, notamment le rachat de l'électricité photovoltaïque. Selon le journal, la CSPE pourrait passer de 4,50 à 7,50 euros par mégawattheure, dès janvier si le gouvernement ne s'y oppose pas expressément par un arrêté avant le 31 décembre. Un tel relèvement soulagerait les finances du groupe français, contraint d'acheter au prix fort l'électricité solaire. Mais il se traduirait par une nouvelle hausse de 3 à 4 % de la facture des particuliers et des professionnels, précise le journal. Jusqu'à présent, le gouvernement s'est gardé d'augmenter la CSPE pour éviter de prendre la responsabilité d'une hausse impopulaire du prix de l'électricité. Au début d'octobre, les députésMichel Diefenbacher (UMP) et Jean Launay(PS) avaient néanmoins rendu un rapport proposant d'augmenter la taxe de plus de 40 %. Selon eux, la hausse de la facture devait rester"relativement limitée, de l'ordre de 3 %". Interrogé dimanche soir par l'AFP, le ministère de l'économie et des finances n'a pas été en mesure de commenter l'information. La puissance du parc de panneaux solaires français a été multipliée par dix en deux ans, passant de 81 mégawatts (MW) fin 2008 à 850 MW fin 2010. En achetant l'électricité solaire, EDF accuse un surcoût, qui lui est normalement remboursé via la CSPE. Mais le niveau de la taxe, qui n'a pas bougé depuis 2004, est depuis quelques années insuffisant, et EDF accusait en 2009 un déficit de 1,6 milliard d'euros. Le 15 août, les tarifs avaient été augmentés de 3 % pour les ménages et de 4 % à 5,5 % pour les entreprises. Pour les premiers, cette hausse était la plus forte depuis juillet 2003.
-
Bon Anniversaire !
Bon Anniversaire... 4 membre(s) fêtant leur anniversaire aujourd'hui TRAM21 (54), armor22 (36), popo95 (24), Tibo42 (22)
-
nouvelles actions les 28/10 et 06/11
Une majorité de Français satisfaits des syndicats LEMONDE.FR avec AFP Une large majorité (57 %) des Français se déclare satisfaite des actions ou des prises de parole des syndicats dans le conflit sur la réforme des retraites, au contraire du personnel politique, qui fédère une majorité de mécontents, selon un sondage IFOPde lundi pour France-Soir. http://www.ifop.com/?option=com_homepage Selon cette enquête, 42 % des personnes interrogées sont mécontentes des syndicats pour leurs"actions ou prises de parole au sujet de la réforme des retraites". Du côté des dirigeants politiques, le premier ministre, François Fillon, et la première secrétaire du PS, Martine Aubry, s'en sortent un peu moins mal que les autres avec 42 % de satisfaits, contre respectivement 56 % et 55 % de mécontents. Viennent ensuite le ministre du travail, Eric Woerth, et celui de l'intérieur, Brice Hortefeux (33 % de satisfaits et 61 % de mécontents), l'ancienne candidate socialiste à la présidentielle Ségolène Royal (32 % de satisfaits, 66 % de mécontents) et enfin le chef de l'Etat,Nicolas Sarkozy (31 % de satisfaits, 68 % de mécontents). Sondage réalisé par téléphone les 21 et 22 octobre auprès d'un échantillon de neuf cent cinquante-six personnes représentatif de la population français majeure (méthode des quotas).
-
Actes de malveillance en parallele des greves
Pour avoir été dérangé par le téléphone en pleine nuit ...pas besoin d'être en période de grève ... et en plus souvent pour des conneries... C'est marrant depuis que j'suis en retraite le téléphone ne sonne plus la nuit... (Gnafron n'en profite pas la nuit prochaine s'il te plaît... d'ailleurs au Boukistant le téléphone n'a pas encore été inventé... )
-
SNCF: moins de grévistes, la CGT pour des débrayages quotidiens plus courts
Et qu'est-ce qui vous em^pecherait de faire des petits rassemblements à midi à l'entrée de votre zone d'activité en dehors de vos heures de travail... un problème de convictioons et de perspectives peut être... Au fait un syndicat est composé des salariés qui y adhèrent, pas d'adhérents.?..pas de syndicat tout simplement... A toi de te poser les bonnes questions ! Juste comme ça en tapant sur google : cgt Vatry Marne ... voir les résultats... http://www.google.fr/search?q=cgt+vatry+marne&ie=utf-8&oe=utf-8&aq=t&rls=org.mozilla:fr:official&client=firefox-a http://www.alvinet.com/actualite/article-6634521-le-depot-petrolier-de-vatry-marne-bloque-par-des-grevistes.html et sur http://www.romandie.com/infos/news2/101014155052.5shzs3kr.asp : Le dépôt pétrolier de Vatry (Marne) bloqué par des grévistes REIMS - Le dépôt pétrolier de Vatry (Marne), qui approvisionne les stations services en région Champagne-Ardenne, est bloqué depuis jeudi matin par des manifestants pour protester contre le projet de réforme des retraites, a-t-on appris auprès de la direction. "On est bloqué depuis ce matin et on le restera demain (vendredi). Les camions ne rentrent pas", a indiqué à l'AFP un responsable de la SFDM (Société Française Donges Metz), sans autre précision. Ce site est le second de la SFDM (groupe Bolloré) à être bloqué après celui de Donges (Loire-Atlantique) mercredi matin. Les dépôts de Fos (Bouches-du-Rhône), Bassens (Gironde), Le Havre (Seine-Maritime) et Saint-Baussant (Meurthe-et-Moselle) sont également paralysés. L'Union française des industries pétrolières (Ufip), qui craint une pénurie, a demandé jeudi au gouvernement le déblocage des dépôts pétroliers et l'autorisation de recourir aux stocks stratégiques de pétrole. BOLLORE Il s'en est passé des choses à Vatry... (©AFP / 14 octobre 2010 17h50)
-
nouvelles actions les 28/10 et 06/11
Le Front de gauche récolte 6.000 euros pour les grévistes Le Front de gauche a récolté samedi près de 6.000 euros pour les salariés en grève contre la réforme des retraites, annonce le mouvement politique dimanche. Des militants du Parti communiste, du Parti de Gauche et de Gauche unitaire ont obtenu 5.912 euros "en seulement deux heures de temps" lors d'une collecte devant le centre Georges Pompidou, à Paris, selon un communiqué du Front de gauche. "Les sommes récoltées seront notamment versées en Ile-de-France aux intersyndicales de la raffinerie de Grandpuits et du centre de traitement et de déchets de la porte d'Ivry", engagées dans une grève reconductible contre la réforme des retraites, précise le mouvement. Clément Guillou http://fr.news.yahoo.com/4/20101024/tts-france-retraites-greve-collecte-ca02f96.html
-
nouvelles actions les 28/10 et 06/11
Un p'Tit tour du net... instructif... medef : http://www.medef.com/ ump : http://www.lemouvementpopulaire.fr/ modem : http://www.mouvementdemocrate.fr/ ps : http://www.parti-socialiste.fr/ pcf : http://www.pcf.fr/ parti de Gauche : http://www.lepartidegauche.fr/ La Fase : http://lafederation.org/ npa : http://www.npa2009.org/ Lutte Ouvrière : http://www.lutte-ouvriere.org/ A vous...Si vous en avez d'autres... (sauf le F Haine ...Merci)
-
nouvelles actions les 28/10 et 06/11
«Ciblage des coupures d’électricité » La porte-parole de la CGT énergie, Marie-Claire Cailletaud, assure que les salariés du secteur sont déterminés à poursuivre l’action. Comment se déroule la mobilisation dans le secteur de l’énergie ? Marie-Claire Cailletaud. Ce gouvernement, qui cherche à passer en force pour imposer sa réforme minoritaire et pour laquelle il n’a pas été élu, suscite la colère. Les salariés des mines et de l’énergie sont impliqués dans les actions interprofessionnelles (blocages ponctuels, péages gratuits…). Ils ont également décidé de mettre leur outil de travail au service de la mobilisation. Concrètement, les salariés procèdent à des coupures d’électricité ou de gaz qui ciblent des préfectures, des permanences de parlementaires UMP ou encore des sièges locaux du patronat. En accord, avec les salariés et les syndicats concernés, ces coupures visent aussi des entreprises qui licencient pour augmenter leur profit. Ce matin, l’alimentation électrique du siège de l’entreprise de transport Fauvel, qui appartient au président du Medef de Dordogne, a été coupée. La caserne de CRS de Bergerac a également été privée d’électricité en solidarité avec les salariés de la raffinerie de Grand-Puits après leur évacuation par les forces de l’ordre. Les salariés organisent aussi des baisses de production d’électricité et agissent sur l’approvisionnement en gaz. Les industriels vont ainsi subir des coupures. Le gouvernement mise sur les vacances pour éteindre la mobilisation… Marie-Claire Cailletaud. Le gouvernement a d’ores et déjà perdu la bataille idéologique. L’idée qu’une autre réforme des retraites est possible s’ancre dans la population. En même temps, les salariés, y compris les jeunes, posent des questions plus larges, comme celle de la finalité du travail ou de sa place dans la société. Les salariés ont une volonté très forte de poursuivre le mouvement et s’organisent en conséquence. Ainsi, dans notre secteur, ils pratiquent la grève tournante et maintiennent un taux de grévistes qui varie entre 20 et 40 %. Entretien réalisé par Pierre-Henri Lab