Aller au contenu

Dom Le Trappeur

Membre SNCF
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Et allez hop ça continue... http://www.lepost.fr/article/2010/02/14/19...tml#xtor=AL-235 La suppléante de Noël Mamère lui demande de cesser de la qualifier de "musulmane" Post. Il est devenu de plus en plus courant, tant dans le milieu politique que parmi la population, de faire l'amalgame, conscient ou inconscient, entre les personnes originaires d'Afrique ou d'Afrique du nord et les fidèles de la religion musulmane. Cet amalgame, outre qu'il met en évidence un replis identitaire très fort de certaines catégories de la population française, démontre la baisse du niveau de culture générale de cette population. Il est, depuis quelques mois, à l'origine de nombreuses et vives controverses dans le microcosme politique. Il fait même parfois, relayé par les grands médias nationaux, office d'unique débat politique. Mais, Noël Mamère,au cours d'une émission de la Chaîne parlementaire du 28 janvier dernier, ( à partir de la 14 ème minute) a fait monter d'un cran "l'exercice de style". Non seulement il fait l'amalgame entre l'origine réelle de sa suppléante et son appartenance présumée à la communauté musulmane, mais il se permet d'affirmer que sa suppléante Naïma Charaï est "opposée à une loi sur l'interdiction du voile intégral". Ce qui est totalement faux! Naïma Charaï n'est pas musulmane et elle a "toujours milité pour une loi pour l’interdiction de la Burqa en France. ". C'est ce qu'elle a tenu à préciser samedi, sur son blog, dans un communiqué . "Militante féministe, laïque et socialiste, je n'accepte pas que mon député titulaire me présente comme une élue musulmane... Laïque et agnostique, je refuse qu’une élue - en l’espèce moi-même - soit présentée, réduite à une appartenance religieuse, bafouant ainsi le principe de la laïcité." écrit-elle. Quand à sa position sur une loi pour l'interdiction de la burqa, elle précise: "Féministe et militante associative, j’ai toujours milité pour une loi pour l’interdiction de la Burqa en France. " En conclusion, Naïma Charaï considère que les propos de Noël Mamère "sont du même ordre que le dérapage de Nicolas Sarkozy lorsqu'il présentait un préfet comme musulman et que j'avais vivement dénoncé à cette époque" . Par conséquent, elle demande à Noël Mamère de "retirer ses propos" et l’invite à ne plus parler à sa place. Comment Noël Mamère peut-il imaginer que cette titulaire d'un DESS (bac+5) en psychologie, présidente de la commission nationale de lutte contre les discriminations et pour l’égalité, qui ne cache pas que "l’idée d’être dominé jusqu’à la fin de mes jours hantait mes jours et mes nuits», puisse être opposée "à une loi sur l'interdiction du voile intégral"? Comment, à part dans une optique politicienne de renforcement de ses arguments, de sa conviction, au cours du débat avec le professeur Debré, Noël Mamère a-t-il pu se permettre de parler au nom d'une personne qu'il ne connait visiblement pas et déformer ainsi l'opinion de cette personne? Il y a là, de mon point de vue un irrespect caractérisée de la personne et une instrumentalisation honteuse. Quand je pense que c'est le même Noël Mamère qui, sur Radio J d'après son propre site, a qualifié Georges Frêche de "vieil homme ...symbole de ce que pouvait être la décadence de l’empire romain. » et qui a osé dire, toujours selon son site, que Georges Frêche "est depuis plusieurs années en train d’opérer un glissement progressif vers le lepénisme"! En lisant le communiqué de Naïma Charaï, je me demande si Noël Mamère ne souffrirait pas du même mal...qu'il diagnostique si généreusement chez d'autres. Que Maître Mamère enfonce le clou en prétendant que " Georges Frêche est un universitaire. Il devrait savoir que les mots ont un sens. Je ne peux pas imaginer qu’il n’ait pas mesuré la portée et la connotation de ses propos ", me fait doucement sourire. Et pour un avocat, les mots n'ont ils pas un sens ? Lui est-il interdit de mesurer la portée et la connotation de ses propos? N'est-il pas encore plus grave pour un homme ou une femme politique dit de gauche, de se servir d'une autre personne, de ses origines, pour défendre, en déformant les opinions de cette personne, une posture politique? Personnellement, je pense que Noël Mamère a commis une grave faute politique en confondant "originaire de" et "fidèle" d'une religion. Il a aussi commis une faute morale, éthique, en parlant à la place de Naïma Charaï . Finalement, entre Martine Aubry , représentante du PS, et Noël Mamère,représentant d'Europe Écologie, l'éthique et les valeurs de gauche sont cruellement mises à mal en ce moment....et je comprend mieux que, si ils on marché main dans la main pour tenter d'abattre médiatiquement Georges Frêche, c'était pour tout autre chose que des questions de Morale, d'Éthique et de "Valeurs de gauche". Car à eux deux, et en quelques jours, ils ont fait bien pire que n'a pu faire Georges Frêche en quelques décennies de pseudo-dérapages! P.S.: Ah que j'aurais aimé que Laurent Fabius dise à ses "camarades indignés" du PS " je refuse d'être présenté, réduit à une appartenance religieuse"! Malheureusement il a manqué de cette dignité élémentaire...
  2. Au fait les voyageurs qui devaient monter au Mans pour Rennes et la Bretagne ? Y-z-ont fait comment pour ramener les rillettes ? Le code de déontologie est un document pondu par la seule direction sncf y a bien longtemps qui est loin de faire l'unanimité dans l'entreprise... A sa parution, la direction a refusé de diffuser ce doc aux cheminots...
  3. Tiens y'en a un qui a des choses à faire oublier... Olivier Besancenot propose un "collectif unitaire" à gauche pour défendre la retraite à 60 ans AP Olivier Besancenot, porte-parole du Nouveau parti anticapitaliste (NPA), a lancé dimanche un appel aux autres formations de gauche pour créer, pendant la campagne des élections régionales, un "collectif unitaire" sur la question des retraites, qui sera au centre lundi du "sommet social" réuni à l'Elysée. "Je m'adresse aujourd'hui à tous les responsables politiques de gauche, Martine Aubry (PS), Marie-George Buffet (PCF), Jean-Luc Mélenchon (Parti de gauche), Cécile Duflot (Verts), Arlette Laguiller (Lutte ouvrière), tous ceux qui se reconnaissent dans ce combat-là: voyons-nous au plus vite pour monter un collectif unitaire, qui aura des collectifs locaux, pour défendre la retraite à 60 ans", a-t-il déclaré au cours du Grand Rendez-Vous Europe 1-"Le Parisien/Aujourd'hui en France". Pour le chef de file du NPA en Ile-de-France, "l'élection ne doit pas être une parenthèse, mais au contraire doit être l'occasion que cette campagne sociale et politique s'invite en pleine campagne électorale". Favorable à ce que des discussions s'ouvrent "au plus vite", si possible "dès cette semaine", entre partis de gauche, Olivier Besancenot estime que le "sommet libéral" de lundi permettra à "ceux qui avaient encore des illusions" d'y voir "plus clair". "Je dis à la gauche, ne capitulons pas avant que la bataille soit menée, prenons nos responsabilités", a-t-il poursuivi, reprochant à Martine Aubry d'avoir un temps avancé l'idée d'un recul de l'âge de la retraite à 61 voire 62 ans, un "message", selon lui, bien reçu par Nicolas Sarkozy. La première secrétaire du PS avait ensuite expliqué qu'elle ne parlait pas de l'âge légal mais de l'âge effectif. "On a des réponses alternatives qui sont différentes à gauche sur la question des retraites. En revanche, si on est tous d'accord pour s'opposer à la réforme du gouvernement et pour défendre la retraite à 60 ans, faisons-le ensemble", a-t-il encore plaidé, en se disant prêt à parler avec le PS "sur ça comme sur d'autres questions". Pour Olivier Besancenot, ce doit être l'occasion d'une "riposte du mouvement ouvrier, comme on l'a fait au moment du Contrat de première embauche (CPE)", sous le gouvernement de Dominique de Villepin. Il compte pour cela sur une forte mobilisation de la "gauche sociale et politique", mais aussi sur des "dissensions au sommet de l'Etat". A ses yeux, le maintien de l'âge de départ à la retraite "ce n'est pas d'abord une question démographique, c'est d'abord une question de répartition des richesses". En effet, a-t-il soutenu, "si on faisait cotiser les dividendes des actionnaires, on aurait les moyens aujourd'hui d'avoir une retraite à 60 ans et à 37 annuités et demi pour tous". AP
  4. Deux articles de Libération... 13 février 2010 Les Beaux-Arts priés de raccrocher l'œuvre censurée Le directeur est sommé par le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand de faire machine arrière. Il avait cru bon de faire décrocher l'installation d'une artiste chinoise qui détournait le slogan sarkozyste «travailler plus pour gagner plus». Le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand a demandé à l'Ecole des beaux-arts de raccrocher l'oeuvre de l'artiste chinoise Ko Siu Lan, décrochée mercredi par l'établissement car elle détournait un slogan du candidat Sarkozy, a-t-on appris samedi auprès du ministère de la Culture. L'Ecole des Beaux-arts a décroché mercredi une oeuvre de cette artiste de 32 ans détournant le slogan du candidat Nicolas Sarkozy "travailler plus pour gagner plus", estimant que cela pouvait porter "atteinte à la neutralité du service public". "Le ministre de la Culture a demandé au directeur des beaux-arts Henry-Claude Cousseau de raccrocher tout de suite l'oeuvre de Ko Siu Lan", a déclaré à l'AFP Tony Brown, professeur aux Beaux-arts et responsable du programme de recherche "La Seine" auquel participe l'artiste chinoise. "Je suis d'accord pour remettre les bannières. Je suis très contente", a déclaré l'artiste Ko Siu Lan. L'oeuvre de l'artiste se compose de deux grandes bannières noires sur lesquelles sont inscrits en blanc les mots "gagner", "moins", "plus" et "travailler". Le passant doit pouvoir lire "gagner plus" ou "travailler moins". (Source AFP) *************************************** 12 février 2010 Aux Beaux-Arts, pas d’expo lèse-Sarko Censure. Jugée provocante envers le Président, une installation de Siu-lan Ko a été retirée de la façade. Par PHILIPPE GRANGEREAU Siu-lan Ko, une artiste chinoise, a été censurée pour une œuvre jugée trop provocatrice à l’encontre de Nicolas Sarkozy. Son installation, composée de banderoles géantes, avait été mise en place mercredi matin sur la façade de l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris, qui donne sur le quai Malaquais. Elle a été retirée d’autorité pendant la journée. On pouvait y lire quatre mots : «travailler», «gagner», «plus», «moins». Démission.«Selon l’angle de vision, ce slogan de Sarkozy peut être vu différemment, explique l’artiste, qui a conçu et réalisé son œuvre à Pékin. Les Beaux-Arts avaient donné sans ambiguïté leur accord à l’installation, qui était prévue depuis décembre, selon l’artiste, qui exposait dans le cadre d’un projet artistique intitulé «Week-end de sept jours» - réunissant des étudiants du programme de recherche La Seine, du Royal College of Art de Londres et du Lassalle College of the Arts de Singapour. Bien que la commissaire de l’exposition se soit opposée à l’enlèvement de l’installation, et sans que l’artiste ait été consultée, la décision de décrocher les banderoles a été prise dans l’après-midi de mercredi. La censure a été décidée par le directeur des Beaux-Arts, Henry-Claude Cousseau, rapporte la commissaire, Clare Carolin, du Royal College of Art de Londres. «Pour toute explication, il m’a dit que cette œuvre se moquait du président français.» En quinze ans de carrière, Carolin dit n’avoir jamais été confrontée à ce genre de «censure». Pour protester, elle a décidé de remettre sa démission et de repartir à Londres samedi. «Je me sens insultée, et je ne veux pas être associée avec cette censure». Selon Ko, «l’œuvre gênait des personnalités du ministère de l’Education, ce qui est malvenu car ce ministère doit bientôt décider du budget annuel de l’Ecole des beaux-arts.» Contacté hier par Libération afin d’obtenir une explication, le secrétariat de Cousseau s’est contenté de promettre un communiqué. La direction justifierait son geste en faisant passer Siu-lan Ko pour «une étudiante»… Propagande. Siu-lan Ko, 33 ans, qui vit entre Hong-kong et Pékin, est pourtant une routière des expositions internationales. Ko s’intéresse au phénomène de la propagande, elle a d’ailleurs récemment réalisé une installation en Chine. «Ne pensez pas trop», disait une de ses banderoles. «Venant de Chine, je ne comprends pas cette censure brutale en France, et surtout dans l’une de ses écoles d’art les plus anciennes, qui est supposée encourager la liberté d’expression. Cela montre le degré de conservatisme du climat politique et le degré de peur qu’inspire Sarkozy», proteste l’artiste, qui dit envisager un recours en justice si son œuvre n’est pas restaurée avant le vernissage de «Week-end de sept jours», prévu vendredi.
  5. http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...c=23021&hl=
  6. Centre de Commande du réseau Bourgogne Franche Comté http://www.rff.fr/fr/le-reseau/pres-de-che...mande#436_title Page_projets___Poste_de_commande_centralisee_de_Dijon.pdf
  7. L'œuvre censurée flotte à nouveau sur les Beaux-Arts http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-L...263589_actu.Htm
  8. bigbisous La Baronne Parisot du Médef : "comment imaginer trente ou quarante ans sans travailler, et les financer en restant inactif?" http://www.lepost.fr/article/2010/02/14/19...tml#xtor=AL-235 http://fr.news.yahoo.com/64/20100214/tfr-p...-d-a2f96e4.html
  9. La SNCF veut améliorer sa ponctualité lefigaro.fr 13/02/2010 L'an dernier, environ un train sur cinq sur les grandes lignes est arrivé en retard. Elle vise les 90% de trains à l'heure en 2010, selon le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau, après un résultat qualifié de «moyen» en 2009. En 2010, les trains devraient arriver plus souvent à l'heure. «L'objectif de la SNCF est de revenir à 90% de régularité», a indiqué le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau, interrogé samedi matin par Europe 1, au lendemain de la publication d'un résultat qualifié de «moyen» pour l'année 2009. L'an dernier, environ un train sur cinq sur les grandes lignes est arrivé avec plus de cinq minutes de retard sur l'horaire prévu. Le taux de régularité des TGV et des trains grandes lignes Téoz et Corail est tombé de 82,6% en 2008 à 81,2% en 2009, selon la SNCF. Il était de 84,2% en 2005. De même, celui des trains Intercités, qui font des trajets interprovince, avait reculé de 84,84% en 2008 à 83,93% en 2009. Seule satisfaction, la régularité a été plus grande sur les courtes distances (transiliens et TER) et le fret. Modernisation du réseau Selon Dominique Bussereau, il existe deux causes à cette mauvaise performance : l'augmentation du trafic et «l'effort sans précédent pour renouveler les parties les plus anciennes du réseau». Les causes des retards internes à la SNCF, comme du matériel défaillant ou des erreurs humaines, ne sont à l'origine que de 35% des problèmes, précisaient vendredi Les Echos . «La plus grande part (environ 45%) vient de l'infrastructure, qui représente de surcroît près de 80% des retards supplémentaires entre 2008 et 2009», ajoutait le quotidien économique. La modernisation des lignes peut en effet nécessiter des ralentissements de trains sur certaines portions en travaux. Or, en dépit de la promesse des 90% de régularité, ces travaux ne vont pas s'arrêter durant les prochaines années. Jusqu'en 2013, 900 kilomètres de lignes doivent être rénovées tous les ans, contre seulement 400 kilomètres en 2006. D'où quelques largesses avec les modes de calcul. Pour les trajets de plus de 3h30, «l'objectif sera d'avoir neuf trains sur dix ayant moins de quinze minutes de retard», expliquent Les Echos. Et dix minutes pour les trajets entre 1h30 et 3h30.
  10. Où ? quand ? comment ? sources ? Vérification de l'information ?... Tu ouvres un autre sujet de discussion pour justement en parler...
  11. Sotteville - Garage de Locs Bon Etat... Photo 30 janvier 2010 Photo reçue par e-mail par transfert sur liste de diffusion...
  12. A priori le train TGV 8017 de 11h05 Paris Brest avec arrêt au Mans 11h59 circule TOUS LES JOURS (source horaires sncf sur internet...) Il ne s'agit pas là du premier conducteur qui rate un arrêt dans une gare. C'estr effectivement un fait assez rare. Pour l'ASCT : y-a-t-il une annonce type prévue pour ce genre de situation ? On peut imaginer que le collègue s'est trouvé dans une situation stressante : interrogation des voyageurs surpris voir mécontents appel au conducteur recherche d'une solution efficace sans parler des correspondances etc... informations à donner aux voyageurs utilisation de la sono, parler dans un micro... etc... je me rappelle du temps où j'étais chef de service sur un quai de gare avoir vu un train me passer sous le nez sans s'arrêter... Il y avait une vingtaine de personnes à attendre ce train Situation pas facile à gérer aller tout le monde dans une banlieue pour rattraper le GL arrêté à la gare suivante... et tant pis pour les retards Une autre fois : opération refoulement, le train s'était arrêté en pleine voie après la gare... 10 minutes de retard... mais tous les voyageurs dans le train... Le problème c'est la réactivité des cheminots sur le terrain et la priorité c'est de trouver une solution pour les voyageurs... et c'est vrai que dans un tel moment on ne s'embarrasse pas de fioritures et tans pis pour les dégâts collatéraux... Ne pas confondre la faute (acte volontaire donc inexcusable) et l'erreur humaine (acte involontaire) Qui n'a fait de connerie au boulot... Moi j'en ai fait peut être bien plus que d'autres...
  13. Pour Le Mans ce sera un grand pot de rillettes... :blush:
  14. Mode humour-Humeur... "Faut aussi dire que pour éviter une mutinerie dans le train ..." Bon ceci dit l'ADC doit bien être le seul à ne pas avoir regardé l'affichage sur le quai avant le départ... :blush:
  15. Transports en commun : la Bretagne mène grand train http://www.ouest-france.fr/region/bretagne...259849_actu.Htm Transports en commun : la Bretagne mène grand train jeudi 11 février 2010 L'arrivée de la ligne à grande vitesse en 2014 doit permettre de réorganiser l'ensemble de la desserte ferroviaire. La suite de notre état des lieux de la Région. Objectif 2014. Rennes à 1 h 27 de Paris. Brest et Quimper à un peu plus de 3 h de la capitale. En 2014, les 182 km de ligne à grande vitesse (LGV) entre Connerré (à l'est du Mans) et Rennes verront passer des trains à 320 km/h. Et la modernisation des lignes Rennes-Brest et Rennes-Quimper permettra d'atteindre les 220 km/h. Ce projet est le grand rendez-vous ferroviaire de la Région. Un investissement lourd : 3,2 milliards d'euros, dont un milliard sera financé par les collectivités bretonnes. Objectif : rapprocher encore plus la Bretagne du reste de la France et de l'Europe continentale. Les conventions de financement avec l'État et Réseau ferré de France, le choix de l'entreprise (Bouygues, Vinci et Eiffage sont sur les rangs) et les premiers coups de pioche sont pour la fin 2010, début 2011. L'effet grande vitesse L'objectif affiché est de « diffuser et prolonger l'effet LGV » tout au long du réseau ferroviaire régional. En 2015, tous les horaires seront revus et adaptés, de nouvelles liaisons créées, des trains tout neufs mis sur les rails, la gare de Rennes entièrement rénovée. Cela permettra, entre autres, deux allers-retours supplémentaires quotidiens entre Rennes et Brest, et Rennes et Quimper. Dans le même temps, la fréquentation des TER va exploser, notamment à la périphérie des grandes villes. En 2020, il est prévu trois fois plus de voyageurs qu'en 2007. La Région va investir 200 millions d'euros pour acheter 23 rames nouvelles, dont 17 trains à deux niveaux d'une capacité de 500 places, contre 270 aujourd'hui. Des trains plus grands et plus rapides qui permettront d'augmenter les cadences. Cinq ans à tenir Après une hausse de 14,5 % en 2008, en 2009 le trafic régional a subi les effets de la crise. Moins de voyages d'affaires, moins de voyages loisirs : la fréquentation des grandes lignes n'a augmenté que de 3 % alors que les liaisons domicile-travail et domicile-lieu d'études ont encore gagné 6 %. Mais la population va continuer de croître. Et les Bretons ont pris goût au TER. Peu ou pas de plaintes enregistrées. En attendant 2014 et les nouvelles rames, tout le matériel disponible sera mis à contribution. « La situation est tendue. Nous avons peu de marges de manoeuvre, notamment dans les liaisons péri-urbaines » avouent les responsables du TER. Pour faire face au succès croissant du TER, 122 allers-retours nouveaux par semaine ont été ajoutés autour de Rennes en septembre 2009. Impossible de faire plus, tant que la gare de Rennes n'a pas été agrandie. En attendant, certains vendredis aux heures de pointe, sur les lignes les plus chargées il faudra se serrer davantage. Dossier : Philippe GAILLARD.
  16. Les collégiennes placées en garde à vue ont bien été menottées Reuters Les trois collégiennes placées en garde à vue la semaine dernière dans un commissariat parisien, mesure qui a déclenché une vague de protestations, ont bien été menottées, a-t-on appris de source policière. Elles ne l'ont cependant pas été par les policiers qui ont procédé à leur interpellation mais pendant leur transfert dans un cabinet médical, a-t-on précisé de même source. "Elles ont été mises dans un fourgon où se trouvaient d'autres personnes. Et toutes ont été menottés comme le veut l'usage pendant le transport du commissariat du XXe arrondissement à un cabinet médical situé dans le XVIIIe", a-t-on ajouté. Cette version confirme celle des parents des collégiennes, qui se sont indignés des conditions de ces interpellations et de la garde à vue qui a suivi. L'Inspection générale des services (IGS) a été officiellement chargée de l'enquête administrative sur cette affaire. Les protestations se sont multipliées après l'annonce de ces gardes à vue, la gauche et les défenseurs des droits de l'homme dénonçant leur recours systématique par les forces de l'ordre, sous la pression de la "politique du chiffre" du gouvernement. Après le ministre de l'Education Luc Chatel, plaidant pour une limitation de ce pouvoir policier, la ministre de la Justice Michèle Alliot-Marie a confirmé au Sénat sa volonté d'une réforme. Mais furieux des attaques dont ils estiment être l'objet, les policiers affirment qu'ils ne font qu'appliquer les textes actuels et refusent d'endosser la responsabilité de la hausse impressionnante des gardes à vue. Le Syndicat national des officiers de police (SNOP, majoritaire) menace ainsi d'appeler les fonctionnaires à demander le retrait de leur habilitation judiciaire, mesure susceptible de paralyser la machine judiciaire. Il y a eu environ 800.000 gardes à vue en 2009 en France si l'on ajoute les délits routiers aux affaires de droit commun, une augmentation de 35% par rapport à 2003. Nicolas Bertin et Gérard Bon, édité par Yves Clarisse
  17. un message dans un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Brin de causette
    Excellent... C'est la grande forme ce soir...
  18. Et ben les jeunes... Nelson Mandela ça ne vous inspire pas ?
  19. Nelson Mandela, libre et vénéré depuis vingt ans http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-N...260117_actu.Htm
  20. un message dans un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Brin de causette
    Mais les commissaires (politiques) européens sont au fait des réalités ils ont les pieds sur (leur) terre sauf qu'ils n'en n'ont rien à foutre de la populace...
  21. http://www.lepost.fr/article/2010/02/11/19...tml#xtor=AL-235 Le Maire PS d'Angoulême se fâche ... "on retrouve des méthodes de voyous en col blanc, et une certaine jeunesse dorée de l'UMP. Si nous étions pendant la Seconde Guerre mondiale, elle ferait partie des Jeunesses Hitlériennes. "
  22. + 25 % de voyageurs + 7 % de trains en circulation + 82 % de productivité par cheminots C'est sur que le cheminot actif coûte cher... et j'vous parle pas des anciens ... et des veuves qui touchent la moitié de la pension de leur mari... 500/600 euros par mois... et comme on finira tous six pieds sous terre ou en cendres ...
  23. Le malaise grandit sur la banalisation de la garde à vue Reuters Les protestations se multiplient en France après le placement en garde à vue par la police parisienne la semaine dernière d'adolescents impliqués dans une bagarre de collège. Après le ministre de l'Education Luc Chatel, plaidant pour une limitation de ce pouvoir policier, la ministre de la Justice Michèle Alliot-Marie a confirmé au Sénat sa volonté d'une réforme, mais des personnalités de gauche demandent davantage. En revanche, le Syndicat national des officiers de police (SNOP, majoritaire) dénonce une "campagne de calomnie" et menace d'appeler les fonctionnaires à demander le retrait de leur habilitation judiciaire, sans laquelle ils ne pourraient plus enquêter. Dans un communiqué, le SNOP dénonce la "classe politique" et les "lobbies pour la plupart instrumentalisés par des avocats" qui s'acharnent, selon lui, sur les policiers et gendarmes. Les défenseurs des droits de l'homme appellent au contraire le gouvernement à se saisir réellement du problème. "Je pense que nous perdons la tête", a déclaré sur Europe 1 Jean-Pierre Dubois, président de la Ligue des droits de l'homme. Il juge illicite le placement en garde à vue et en cellule toute une journée, le 3 février à Paris, d'une jeune fille de 14 ans, emmenée en survêtement au commissariat et menottée, selon sa version, pendant son transfert à une visite médicale. Deux autres "suspects" adolescents d'une bagarre à la sortie d'un collège du XIXe arrondissement ont été arrêtés dans l'établissement et disent aussi avoir été menottés. "On n'a pas à mettre en garde à vue des gens pour des affaires aussi bénignes que celles-là", a dit Jean-Pierre Dubois. Il juge inutile la proposition répétée par la ministre de la Justice au Sénat dans la nuit de mardi à mercredi, qui propose de créer une nouvelle procédure d'audition de quatre heures hors garde à vue pour les faits mineurs. "OBLIGATION DE RÉSULTATS CHIFFRÉS" La police, a rappelé Jean-Pierre Dubois, n'est jamais obligée de placer une personne en garde à vue, et a toujours la possibilité d'interroger quelqu'un sans contrainte, notamment lorsque les "suspects" sont des enfants. Interrogée sur RTL, la secrétaire nationale des Verts Cécile Duflot a estimé que l'affaire était révélatrice d'une "dérive", qu'elle impute à l'obligation de résultats chiffrés demandée aux policiers. "Il faut faire des gardes à vue pour avoir des moyens, voire même des primes. C'est juste invraisemblable", a-t-elle dit. La garde à vue permet aux policiers de garder toute personne pendant une durée de 48 heures pour des affaires de droit commun. Le chiffre officiel est de 577.816 gardes à vue en 2008, une augmentation de 35% par rapport à 2003. Il faut cependant y ajouter les gardes à vue pour infractions routières, toujours comptées à part, et le chiffre global annuel serait donc autour de 800.000 actuellement. La préfecture de police et la direction de la police parisienne ont répliqué mardi en expliquant que la procédure avait respecté les droits de la jeune fille de 14 ans. Les avocats français tentent depuis plusieurs mois d'obtenir un accès plus grand aux interrogatoires et à la procédure de garde à vue en sollicitant des annulations des tribunaux. Ils s'appuient sur des arrêts de la Cour européenne des droits de l'homme visant la Turquie, mais le ministère conteste que ces arrêts remettent en cause le droit français. Le parquet général de Paris a diffusé mardi soir un arrêt de la cour d'appel de Paris qui estime qu'il est possible, en accord avec la jurisprudence européenne, de restreindre l'accès de la garde à vue à l'avocat pour des "raisons impérieuses". Thierry Lévêque et Gérard Bon, édité par Yves Clarisse
  24. Bon Anniversaire à ceux de la semaine ... Aujourd'hui... 4 membres fêtent leur anniversaire ce jour paul33(44), Harry10(23), TGV69006(25), smullyAloma(34)
  25. http://www.lepost.fr/article/2010/02/09/19...tml#xtor=AL-235 "Vomi", "cachot maculé d’excrément"… Un sénateur UMP raconte sa garde à vue ...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.

Configure browser push notifications

Chrome (Android)
  1. Tap the lock icon next to the address bar.
  2. Tap Permissions → Notifications.
  3. Adjust your preference.
Chrome (Desktop)
  1. Click the padlock icon in the address bar.
  2. Select Site settings.
  3. Find Notifications and adjust your preference.