Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Taxe carbone
Fillon exclut de baisser la CSG pour compenser la taxe carbone Reuters Sophie Louet François Fillon exclut de baisser la contribution sociale généralisée (CSG) pour compenser l'introduction de la taxe carbone en 2010 et envisage une baisse des charges salariales au profit des ménages. Les modalités de la "contribution climat-énergie", inscrite dans le projet de loi de finances 2010 qui sera discuté à l'automne au Parlement, nourrissent autant les joutes politiques de la rentrée que les réflexions gouvernementales. Réflexions parfois contradictoires qui mettent les services des ministres de l'Economie et du Budget, Christine Lagarde et Eric Woerth, en porte-à-faux. Bercy pencherait, entre autres scénarios, pour une baisse de la CSG, instituée en 1991 à l'initiative du gouvernement socialiste de Michel Rocard, qui préside aujourd'hui un comité d'experts sur la taxe carbone. Dans l'avion qui le menait à Gdank pour les cérémonies du 70e anniversaire du déclenchement de la seconde guerre mondiale, le Premier ministre a écarté cette piste, préférant une baisse des cotisations sociales. "Cela se fera sur la base d'un transfert de fiscalité", a-t-il dit à des journalistes. "On baisse l'impôt sur le travail et l'investissement et on le replace sur la pollution et l'environnement", a-t-il expliqué. On réaffirme dans l'entourage du chef du gouvernement que cette mini-révolution "verte", qui vise à réduire l'usage des énergies fossiles (essence, fioul, charbon et gaz) et à promouvoir les technologies propres, se fera à prélèvements constants pour les entreprises et les ménages. LE RETOUR DU "CHÈQUE VERT"? Une mise au point à usage aussi de la majorité où les "sociaux" redoutent une innovation inégalitaire et les "libéraux" ne veulent pas entendre parler d'un nouvel impôt. L'une des idées, poursuit-on, c'est d'agir sur les charges sociales et d'assurer aux salariés une compensation concrète sur leur feuille de paie. Pour les ménages les plus défavorisés, un mécanisme de redistribution serait à l'étude. Ainsi, à l'inverse d'Eric Woerth, François Fillon ne rejette pas en bloc l'idée du "chèque vert" avancée prématurément par le ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo : il s'appliquerait seulement à "des catégories particulières" à définir, en fonction des revenus, du lieu d'habitation A Ségolène Royal, qui a dénoncé vendredi dernier un nouvel "impôt insupportable", le Premier ministre rétorque qu'elle avait signé en 2007, comme tous les autres candidats à la présidentielle, le pacte écologique de Nicolas Hulot qui incluait la taxe carbone. L'ancienne candidate à l'élection présidentielle s'est déclarée convaincue mardi sur RTL que sa charge imposerait au gouvernement de revoir sa copie. Le gouvernement projette de taxer aux alentours de 15 euros la tonne de CO2, en deçà des 32 euros avancés par l'ancien Premier ministre Michel Rocard. La contribution représenterait de l'ordre de trois centimes par litre d'essence, ce qui rapporterait quelque quatre milliards d'euros. Reste donc à "recycler" le produit de la taxe sans donner l'impression aux ménages, en cette période de crise, d'une forme de "TVA verte". Malgré les inévitables difficultés d'arbitrage, François Fillon assure que le calendrier sera tenu. Edité par Yves Clarisse
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Attestation assuré social + ANPE
Demandes à ton paternel de se renseigner auprès de son bureau administratif ou de l'agence famille en expliquant ta situation.
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Rupture conventionnelle du contrat de travail
Procédure de réforme pour raison médicale à la demande de l'agent ? Attention a tes droits pour la protectyion sociale et la retraite.
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Actualités Politiques
Prison avec sursis pour six ouvriers de Continental revoltages Reuters Six ouvriers de l'usine Continental de Clairoix (Oise) ont été condamnés à des peines de trois à cinq mois de prison avec sursis pour le saccage de la sous-préfecture de Compiègne lors d'une manifestation en avril dernier. Un septième ouvrier a été relaxé par le tribunal correctionnel de Compiègne. Le leader du mouvement des « Conti », le délégué CGT Xavier Mathieu, a été condamné à cinq mois de prison avec sursis. Le tribunal a renvoyé sa décision au 4 novembre pour le montant d'éventuelles amendes. Des peines de trois à six mois de prison avec sursis pour « destruction en réunion de biens au préjudice de l'État » avaient été requises à l'audience par le parquet. Tant la CGT que l'Union syndicale solidaires ont dénoncé après le jugement une volonté de criminaliser l'action syndicale et les luttes sociales. « Alors que les salariés ont un impérieux besoin de sécurité dans leur emploi et dans leurs droits, d'un côté on criminalise ceux qui luttent face aux décisions unilatérales des actionnaires, de l'autre on fait preuve d'indulgence voire de connivence avec les dirigeants qui imposent leurs décisions stratégiques sacrifiant les entreprises et l'emploi », déclare la CGT dans un communiqué. Pour l'Union syndicale solidaires, ces condamnations apparaissent « comme une revanche vis-à-vis de salariés qui ont mené pendant des semaines une lutte sans concession ». Le 21 avril dernier, environ 200 ouvriers de Continental avaient pénétré dans la sous-préfecture de Compiègne et détruit des bureaux et des ordinateurs. Les dégâts avaient été évalués à plusieurs dizaines de milliers d'euros. À l'audience, les ouvriers avaient reconnu « un dérapage », expliquant avoir agi « sous la colère de l'annonce de la fermeture de l'usine » de pneumatiques. Les sept prévenus risquaient une peine maximale de cinq ans de prison et 75 000 euros d'amende. Le groupe Continental a annoncé en mars dernier la suppression de 1 900 emplois et la fermeture du site de Clairoix, qui employait 1 120 salariés. Les ouvriers de Continental Clairoix avaient manifesté pendant des mois et obtenu une indemnité de 50 000 euros par salarié licencié. Pierre Savary, édité par Yves Clarisse
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licenciement d'un délégué.
Peut-on être patron et syndicaliste ? ...L'éternelle question... j'y répond...OUI Mais au MEDEF... :Smiley_03:
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Polémique autour d'un chiot écrasé en gare de Montpellier Saint-Roch
La solution : "dire qu'on aurait cru voir" un cadavre sur la voie... lapleunicheuse
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Signal d'alarme : quand il n'y a pas moyen de verbaliser...
Ils (nos grands dirigeants ...) z'ont qu'à supprimer les signaux d'alarme... lapleunicheuse
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Réponse SNCF, en claire ?
Dom Le Trappeur a répondu à Chris54000 situé dans Recrutement SNCF et formations internes aux métiersRésultats budgétaires certes... mais aussi diminution des effectifs (-2.000 par an...) âge de départ en retraite retardé (réforme des retraites ...merci Sarko...) diminution du nombre de recrutements... (sans parler de leur localisation géographique, du métier, des compétences et diplomes, du sexe et de l'année de naissance du futur recruté...) Il doit y avoir 200.000 candidatures pour 6.500 embauches...
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Polémique autour d'un chiot écrasé en gare de Montpellier Saint-Roch
10 jours après : le cadavre du chiot a-t-il été retiré ?
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Colo CCE SNCF - Argol - Presqu'île de Crozon - Finistère
Sauvetage à Argol. Retour au calme après l'émotion 30 août 2009 - Le Télégramme Les douze adolescents de la colonie de vacances SNCF d'Argol(29) qui avaient chaviré vendredi midi, lors d'une virée à bord de catamarans dans la baie de Douarnenez, se sont, semble-t-il, remis de leurs émotions. Aucune cellule psychologique n'a été mise en place, les animateurs du centre ayant eux-mêmes assuré ce rôle auprès des jeunes, tandis que la cellule de communication du CCE de la SNCF se chargeait d'informer les familles disséminées dans toute la France. «Tout est rentré dans l'ordre, le traumatisme est passé, on en discute simplement», confiait, hier matin, l'un des encadrants de la colonie. Cinq adolescents avaient été hospitalisés pour des blessures légères ou le choc émotif occasionné par cet accident, mais tous ont pu rejoindre leurs camarades hier soir, sans complication particulière. Demain, ces enfants de cheminots, qui ont passé quinze jours dans la presqu'île de Crozon, regagneront leur domicile. Avec certainement un souvenir indélébile de cet accident qui aurait pu très mal tourner.
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Actualités Politiques
Les primaires du PS "ne concernent pas le centre", selon Marielle de Sarnez AP Les primaires socialistes "ne concernent pas le centre", estime Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem, soulignant la nécessité pour la formation de François Bayrou d'affirmer son "identité" et son "autonomie". "Ces primaires sont faites pour régler la question du leader au PS. Elles ne concernent donc pas le centre", déclare la député européenne dans un entretien publié dans "Aujourd'hui en France/Le Parisien Dimanche". Marielle de Sarnez explique qu'en France, "l'élection présidentielle est à deux tours, ce qui n'est le cas ni aux Etats-Unis ni en Italie, pays de référence pour les promoteurs de cette idée". "On peut donc soutenir l'idée que la meilleure confrontation démocratique avec les Français reste le premier tour", juge-t-elle. La vice-présidente du MoDem écarte également l'idée de listes communes avec le PS et les Verts au premier tour des élections régionales de 2010. "Personnellement, je suis pour affirmer d'abord notre identité et notre autonomie, et participer ensuite à des rassemblements plus larges, car personne ne peut gouverner seul, pas plus une région qu'un pays", souligne-t-elle. AP Enfin quelqu'un qui rappelle l'essentiel... Ben on est pas tiré d'affaire ni pour 2010 (les régionales), ni pour 2012 (les présidentielles)... :Smiley_41:
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Quel salaire pour bac+5 avec 2ans d'ancienneté?
Juste un smig... C'est la crise...
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Colo CCE SNCF - Argol - Presqu'île de Crozon - Finistère
Carla est un vrai rayon de soleil dans notre triste et morose existence... :Smiley_28:
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Colo CCE SNCF - Argol - Presqu'île de Crozon - Finistère
Grand soleil sur le Finistère c'est la faute à Thibault...
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Mobilisations des 26 mai et 13 juin 2009
Bah... Chérèque ayant pris sa défense...(HiHiHi) c'est juste le retour du bâton...
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Colo CCE SNCF - Argol - Presqu'île de Crozon - Finistère
Le Télégramme 29 août 2009 mise à jour de l'article Argol. La grosse frayeur de douze ados 29 août 2009 - On a frôlé le drame hier midi, dans la baie de Douarnenez où, lors d'une sortie à la voile, douze adolescents de 11à 15 ans et trois adultes du centre de vacances SNCF d'Argol se sont retrouvés à l'eau après que leurs embarcations se sont retournées. Tout le monde est sain et sauf. Sur une mer bien formée, avec un vent de 40km/h, les adolescents évoluaient dans la baie de Douarnenez à bord de deux mini-catamarans, depuis le milieu de la matinée. Mais à 12h20, le vent avait semble-t-il bien forci, et la responsable du groupe, diplômée d'État, a alors ordonné le retour à la base. C'est alors que la flotte se trouvait à une centaine de mètres de la crique de Caméros (Argol), où sont installés les locaux du camp d'été du comité d'entreprise de la SNCF, qu'une houle soudaine a provoqué le dessalage des deux mini-catamarans. D'importants moyens à proximité Les embarcations sécurité, qui les suivaient, ont également chaviré en tentant de leur porter assistance. Un naufrage qui n'a pas échappé à l'oeil d'une autre monitrice qui surveillait leurs évolutions de la côte, et qui a déclenché l'alerte. Sous la coordination du centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage(Cross), d'importants moyens de secours ont été aussitôt déployés, arrivant rapidement sur la zone. «On a eu la chance que beaucoup de bateaux de secours étaient disponibles à proximité», commentait cet officier de la préfecture maritime. Outre les deux hélicoptères Dragon de la Sécurité civile et Dauphin de la Marine nationale, sont intervenus quatre bateaux pneumatiques des pompiers de Douarnenez, Crozon, Camaret et Le Faou, le bateau SNSM de Douarnenez, et aussi le remorqueur Altaï qui était en mission de vigilance pas très loin. Les jeunes en état d'hypothermie En survolant la zone, le pilote de l'hélicoptère de la Marine a constaté que plusieurs jeunes avaient regagné la côte à la nage. Les autres étaient, pour la plupart, agrippés aux embarcations renversées. L'un des catamarans ainsi qu'un bateau d'assistance ont d'ailleurs été drossés sur les rochers, une fois ses occupants sauvés. C'est en état d'hypothermie qu'ils ont été pris en charge par les pompiers ou hélitreuillés, pour deux d'entre eux. «Il y a eu un léger vent de panique mais, finalement, tout s'est bien organisé», témoignait un pompier. À l'arrivée, aucune blessure importante n'est à déplorer, seulement des égratignures pour plusieurs jeunes qui ont été soignés sur place. Choquée par la mésaventure de ses compagnons, une autre jeune fille du camp, qui n'avait pas pris part à la sortie en mer, a perdu connaissance, et s'est cognée la tête en tombant. Elle a été transportée à l'hôpital, les secours suspectant un traumatisme crânien. Les ados portaient bien des gilets Au cours de la journée, dans un communiqué, la préfecture maritime indiquait que certains jeunes ne portaient pas de gilet de sauvetage. Cette information, divulguée sur la foi du témoignage du pilote d'hélicoptère de la Marine nationale, a été formellement démentie ensuite par la brigade nautique de Crozon, en charge de l'enquête. Par ailleurs, le procureur de la République de Quimper lève le doute sur la qualification des trois adultes qui accompagnaient les adolescents. «L'un était diplômé d'État et les deux autres moniteurs. Ils étaient dans les clous. On peut même estimer que la responsable du groupe a eu un bon réflexe, en décidant le retour prématuré de la flotte, alors que les conditions météorologiques avaient changé». Pour le parquet, donc, «s'il y a infraction, mais encore faut-il l'établir, elle ne peut être que pour blessures involontaires, synonyme d'une contravention». Visiblement choqué par cette mésaventure qui aurait pu avoir des conséquences dramatiques, le jeune directeur du centre de vacances a refusé tout commentaire. Un mutisme respecté également par M.Clerget, pourtant chargé de communication au comité central d'entreprise de la SNCF. * Jean-Luc Padellec
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Colo CCE SNCF - Argol - Presqu'île de Crozon - Finistère
Le Télégramme de Brest Argol. Deux catamarans chavirent avec onze ados à bord 28 août 2009 à 19h18 On a frôlé le drame ce midi, dans la baie de Douarnenez. Lors d'une virée à la voile, douze adolescents de 11 et 15 ans et trois accompagnateurs du centre de vacances SNCF d'Argol, se sont retrouvés à l'eau après que leurs embarcations se soient retournées. La préfecture maritime n'hésitait pas hier, à parler d'inconscience. Sur une mer agitée, avec un vent de 40 km/h, les adolescents évoluaient dans la baie à bord de deux mini-catamarans, depuis le milieu de la matinée. Mais à 12 h 20, le vent a semble-t-il bien forci, et c'est alors qu'ils se trouvaient à 100 mètres environ de la crique de Caméros (Argol), où était installé le camp, qu'un coup de vent soudain a provoqué le dessalage des deux mini-catamarans. Les autres embarcations sécurité qui les suivaient, ont également chaviré en tentant de leur porter assistance. D'importants moyens à proximité C'est une autre monitrice qui surveillait la flotte de la côte, qui a déclenché l'alerte. Sous la coordination du centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) d'importants moyens de secours sont arrivés rapidement sur les lieux. "On a eu la chance que beaucoup de bateaux de secours étaient disponibles à proximité", commentait cet officier de la Préfecture maritime en listant les moyens déployés : hélicopères Dragon de la sécurité civile et Dauphin de la marine nationale, quatre bateaux pneumatiques des pompiers de Douarnenez, Crozon, Camaret et Le Faou, le bateau SNSM de Douarnenez, sans compter le remorqueur Altaï qui était en mission de vigilance pas très loin. Des jeunes sans gilet de sauvetage Arrivé sur zone, le pilote de l'hélico de la Marine constate que plusieurs jeunes ont regagné la côte à la nage. Les autres sont aggripés sur les embarcations renversées. Il croit voir que plusieurs enfants n'ont pas de gilet de sauvetage (lire ci-dessous). Tous seront pris en charge par les pompiers en état d'hypothermie, sauf deux, hélitreuillés par les hélicoptères. A l'arrivée, aucune blessure importante à déplorer, seulement des égratignures pour deux jeunes. Une jeune fille, du camp, qui n'avait pas pris part à la sortie en mer, a été transporté à l'hôpital : choquée par l'accident de ses compagnons, elle avait perdu connaissance et avait chuté sur la tête. Les secours suspectaient un traumatisme cranien. Une enquête ouverte Etait-il raisonnable d'effectuer cette sortie, alors que la mer était bien montée ? Les accompagnateurs étaient-ils habilités à diriger cette sortie ? Pour l'heure, aucune réponse du service de communication du comité central d'entreprise de la SNCF. De son côté, la brigade nautique de Crozon a ouvert une enquête. Et la préfecture maritime de rappeler : "On est passé pas loin d'un drame de l'inconscience". * Jean Luc Padellec Sauvetage d'Argol. Les adolescents portaient bien des gilets Rebondissement dans l'affaire des douze jeunes et trois accompagnateurs qui ont été secourus ce midi en baie de Douarnenez alors qu'ils venaient de chavirer de leurs embarcations. La brigade nautique de Crozon, en charge de l'enquête, dément formellement l'information selon laquelle certains jeunes ne portaient pas de gilet de sauvetage. Cette information avait pourtant été écrite dans un communiqué de la Préfecture maritime, sur la foi du témoignage du pilote d'hélicoptère de la Marine nationale, qui participait aux manoeuvres de sauvetage. Par ailleurs, le procureur de la république de Quimper lève le doute sur la qualification des trois adultes qui accompagnaient les adolescents. "L'un était diplômé d'Etat et les deux autres moniteurs". Une enquête est en cours nénamoins. "S'il y a infraction, mais encore faiut-il l'établir, elle ne peut être que pour blessures involontaires, synonyme d'une contravention", précise le parquet. De son côté, la cellule communication du comité central d'entreprise de la SNCF, qui organisait ce camp d'été à Argol, refuse toujours tout commentaire.
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Des sans-papiers exploités par un sous-traitant de la SNCF
As-tu tout compris ?
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Mobilisations des 26 mai et 13 juin 2009
Exact... Bernard Thibault est né le 2 janvier 1959 souce wikipédia Mais bon je revendique la retraite pour tous à 50 ans... lotrela
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La SNCF enregistre une perte de 500 millions
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La SNCF enregistre une perte de 500 millions
On applique le bonus-malus pour les dirigeants ... ça s'appellerait le désintéressement ça devrait combler le trou du déficit... Je dis ça de façon tout à fait désintéressée...
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Grippe A, Fermeture des Gares et Suppressions de Trains de Voyageurs
Attention : Le virus de la grippe A, dite " fièvre porcine " H1N1 ( touchant les CO-CHONS ) est en train de se combiner avec celui de la grippe aviaire H5N1 ( touchant les CA-NARDS ) pour devenir H1N5 ( qui s'attaque aux CO-NARDS )... Va y avoir des pertes ... de grosses pertes !!! moi j'vous le dis
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Actualités Politiques
Martine Aubry favorable à des "primaires ouvertes" Reuters Martine Aubry, premier secrétaire du Parti socialiste, se dit favorable à des "primaires ouvertes" pour désigner le candidat à l'élection présidentielle de 2012 dans une tribune à paraître ce jeudi dans Le Monde. "Réinventer la démocratie, c'est changer profondément les pratiques et les règles politiques au sein de notre parti, notamment sur le non-cumul des mandats et sur l'organisation de primaires ouvertes pour la désignation de notre candidat", écrit-elle dans cette tribune dont le site internet du Monde publie des extraits. Martine Aubry, qui devrait officialiser sa prise de position à l'ouverture de l'université d'été du PS, vendredi à La Rochelle, ne précise pas cette notion de "primaires ouvertes". Sur la question des alliances, qui fait également débat au sein du PS, elle reste prudente, assurant que "c'est un PS porteur de valeurs et d'idées, modernisé dans son fonctionnement qui doit s'ouvrir à toute la gauche" et que "le projet précédera les alliances, c'est incontournable". Ces derniers jours, les partisans de primaires ouvertes à toute la gauche ont intensifié leur campagne interne. Plusieurs personnalités socialistes sceptiques, voire hostiles jusqu'alors, ont apporté leur soutien à une telle présélection en vue de l'élection présidentielle, un processus déjà utilisé par la gauche italienne. L'ancien Premier ministre Laurent Fabius a jugé ce processus "inévitable" et le maire de Paris, Bertrand Delanoë, fait partie des premiers signataires de l'appel "à une primaire populaire, ouverte au vote des sympathisants" lancé mercredi par la fondation Terra Nova, un cercle de réflexion socialiste. "La primaire est d'abord un élément de la refondation de la gauche", affirme ce texte. "C'est pourquoi nous, citoyens de gauche, demandons au Parti socialiste, ainsi qu'aux autres partis progressistes, d'adopter un système de primaire populaire pour désigner notre candidat à la présidentielle." Henri-Pierre André et Laure Bretton
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Actualités Politiques
C'est la rentrée politique... Profitons en... PS : "Un fonctionnement en vase clos" LE MONDE | 26.08.09 | Professeur en sciences politiques à l'université de Reims, membre du Centre d'études et de recherches administratives, politiques et sociales (Ceraps) de l'université Lille-II, Rémi Lefebvre est coauteur avec Frédéric Sawicki de La Société des socialistes (Editions du Croquant). Il a dirigé le numéro de la revue de l'Office universitaire de recherche socialiste (OURS) consacré aux "transformations du militantisme socialiste" (éd. OURS, juin 2009). Quel diagnostic portez-vous sur la crise du Parti socialiste ? Le terme de crise n'est pas vraiment approprié, car il fait référence à une situation transitoire. Le Parti socialiste est, en réalité, confronté à un processus de décomposition lente engagé bien avant le congrès de Reims. Ce congrès a certes accentué cette évolution, en rendant le PS ingouvernable, mais tout cela vient de plus loin. C'est le résultat d'un ensemble de dérèglements intervenus avec la succession de François Mitterrand lors du congrès de Rennes de 1990, qui se sont traduits par la "désidéologisation" et la professionnalisation du Parti. Je ne suis pas sûr cependant que cette crise affecte tous les socialistes. Un grand nombre d'entre eux semblent s'en accommoder et ne connaissent pas ladite "crise". Le PS n'a jamais eu autant d'élus locaux. Le PS est un Janus : un organisme national démobilisé, privé de leadership et de perspectives, un niveau local qui n'a jamais été aussi florissant. Le PS ne serait-il devenu qu'un parti de notables locaux bien implantés, mais privé de perspectives nationales ? Il reste difficile de connaître la composition du PS aujourd'hui, l'âge, l'origine socioprofessionnelle de ses adhérents. La dernière enquête remonte à 1998. Ce qui ressort toutefois, c'est qu'il s'agit d'un parti vieillissant, qui compte un grand nombre de retraités et beaucoup de fonctionnaires des collectivités locales. On sait aussi que la moitié de ses membres sont des élus absorbés principalement par la gestion locale. C'est ce lien essentiel et professionnel qui les retient à l'organisation. Le chiffre de 120 000 adhérents, habituellement retenu, correspond à la cartographie de cette implantation locale. Dans vos enquêtes, vous évoquez aussi le rôle particulier des "professionnels" du PS, collaborateurs d'élus... La professionnalisation des militants du PS est un phénomène plus récent. La filière de recrutement n'est plus le syndicalisme ou les réseaux associatifs. Un nombre de plus en plus important de ses adhérents vivent de et pour la politique. Avec la décentralisation, on a assisté à la montée en puissance d'une haute fonction publique territoriale et de collaborateurs d'élus, membres des cabinets ou salariés des collectivités locales qui se retrouvent militants semi-professionnels. Ce système endogamique fonctionne en vase clos, dans un milieu social fermé, entre personnes liées par des intérêts professionnels et politiques qui se confondent. Loin en tout cas des groupes sociaux que le Parti est censé représenter ou défendre. Le PS s'est donc coupé de ses racines populaires et laïques ? A l'exception de certaines grandes fédérations comme celles du Nord et du Pas-de-Calais, le Parti socialiste n'a jamais été un parti de masse, ancré dans le monde ouvrier. Il a notamment compensé ses faiblesses dans ce milieu par ses liens privilégiés avec les enseignants, une composante stratégique au coeur de l'organisation, qui étaient des relais d'opinion et la courroie de transmission auprès des classes populaires. Ces liens ont été rompus. Certes, le PS n'en est pas seul responsable. Le monde enseignant s'est transformé. Il est moins politisé et s'est embourgeoisé. Mais le Parti n'a rien fait pour reconstruire ces liens, notamment avec les syndicats. Il n'assure plus de promotion aux enseignants. Il suffit de se souvenir du nombre d'enseignants parmi les députés de la "vague rose" de 1981. Il n'y en a pratiquement plus aujourd'hui chez les nouveaux élus. Cette transformation a-t-elle eu une incidence sur la ligne politique ? Cette mutation s'est accompagnée d'un phénomène de désidéologisation. Même si on y débat en permanence - sans rien clarifier -, le PS n'accorde plus d'importance à la réflexion doctrinale, alors même que le déclin du modèle social-démocrate la rend impérieuse. Les prises de position cachent - mal - les luttes de position. Les élus sont dans une culture du pragmatisme. Ils sont devenus des notables qui cherchent à rassembler, à créer du consensus, en masquant souvent à cette fin leur étiquette politique. Cela ne signifie pas que la gestion de gauche est identique à celle de la droite. Le PS continue de s'appuyer sur le pouvoir local, mais il ne le conçoit plus comme un outil de transformation sociale. On est loin du cercle vertueux des années 1970, dans la relation entre le local et le national, lorsque les municipales de 1977 avaient préparé la victoire de 1981. Le désinvestissement de la question idéologique renvoie aussi aux courants en déshérence et aux liens totalement décomposés avec le monde intellectuel. Comment évaluez-vous le désarroi des militants ? Le PS, parti pluraliste, a toujours été agité par des divisions internes très fortes. C'est une constante historique. Mais pour les militants, elles s'appuyaient sur des substrats idéologiques qui n'existent plus. Les courants sont devenus des agrégats volatiles de soutiens qui se font et se défont. Les luttes internes, artificielles, n'ont plus de sens que pour les dirigeants. Confrontés aux citoyens et aux électeurs, les militants portent le fardeau de ces divisions et paient l'image de la dégradation de leur parti, d'où beaucoup de souffrance. Ce qui ne rend pas le parti attractif, d'où le repli dans l'entre-soi. Comment adhérer à une organisation qui donne un tel spectacle de mise en scène permanente de ses divisions ? Sur quelles bases le PS peut-il espérer se reconstruire ? L'équation sociologique est complexe : il doit réfléchir à la reconstruction d'une alliance de classes entre les catégories populaires et des classes moyennes, et pour cela redonner de la lisibilité au monde social. Ce n'est pas évident de faire converger des intérêts parfois contradictoires. Mais on ne sait plus qui le PS représente, qui il défend, quel est son adversaire. Il y a un déficit de conflictualisation, or la gauche ne peut faire l'économie du conflit dans une société profondément inégalitaire. Le PS a tenté de se renouveler avec les adhésions à 20 euros. Quel bilan en tirez-vous ? Comme toujours, le PS agit et bricole dans l'urgence et le court terme. Cette formule a été un succès, puisque 80 000 adhérents l'ont rejoint. Mais la plupart sont aussitôt repartis. Ces militants à 20 euros ont été souvent stigmatisés comme "utilitaristes". Ils ont adhéré pour la désignation de Ségolène Royal à la candidature de l'élection présidentielle. Comme elle a perdu, ils se sont retrouvés disqualifiés. Mais rien n'a été fait pour intégrer ceux qui voulaient rester et s'engager plus durablement. Le nouveau militant n'est pas forcément bien accueilli dans une organisation qui s'en méfie, car il perturbe les équilibres, peut contester l'élu en place, apporter un regard extérieur que l'appareil redoute. Or le PS a besoin de s'ouvrir. Un parti qui veut penser et changer la société ne peut se contenter d'une base étroite de 120 000 militants. Propos recueillis par Michel Delberghe
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Mobilisations des 26 mai et 13 juin 2009
Congrès de la CGT à la fin de l'année... Thibault passerait-il la main ? En plus il a 55 ans ou presque, l'âge de la retraite...