Aller au contenu
Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

Membre SNCF
  • Compteur de contenus

    14 623
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. http://www.lepopulaire.fr/editions_locales...sHFBkDBR4-.html 29 juillet 2009 http://www.lepopulaire.fr/dossiers/apres_l...sHFx0DBhQ-.html 06 juillet 2009 http://www.lepopulaire.fr/editions_locales...sHFx0FBRs-.html 05 juillet 2009 http://www.lepopulaire.fr/http://www.lamon...sHFx0EABk-.html 04 juillet 2009
  2. Sinon peut être ça selon une recherche google d_raillement_haute_vienne_presse.pdf
  3. Moi ce qui m'étonne le plus c'est le nombre de traders ...17.000...enfin de salariés concernés
  4. Bercy prône une hausse moyenne des tarifs d'électricité de 2,3% Reuters Le gouvernement propose d'augmenter les tarifs d'électricité de 1,9% pour les particuliers à compter du 15 août et de 2,3% en moyenne, en comprenant les entreprises. Dans un communiqué publié mardi, le gouvernement précise avoir saisi pour avis la Commission de régulation de l'énergie. "Le mouvement ainsi prévu permet de maintenir la compétitivité de l'électricité consommée en France, au bénéfice des entreprises et des consommateurs particuliers, qui disposent en moyenne de prix de 15% à 30% moins élevés que les prix européens," soulignent le ministère de l'Ecologie et celui de l'Economie dans un communiqué commun. Véronique Tison, édité par Pascale Denis
  5. Sous le sable chaud de la Plage... Le Pavé de Philo du jour... "La gauche au sens où l'est Carla Bruni": mais qu'est-ce donc? LePost Voilà ce qu'il y a de génial pendant les vacances. Il se trouve toujours un ami pour vous mettre dans les mains un livre, un journal ou un magazine que vous n'auriez jamais lu autrement. Pour ma part, j'ai hérité du dernier numéro du NouvelObs, qui titre sur les «Philosophies de l'Amour». Mais il faut sans doute un esprit vicié sinon vicieux, comme le mien, pour passer à côté de ces «Philosophies de l'Amour» et m'intéresser tout spécialement au portrait d'un obscur fonctionnaire. Un dénommé Olivier Poivre d'Arvor. Olivier, dit OPA n'est seulement le frère de Patrick, dit PPDA. C'est aussi un brillant diplomate, ambassadeur de la Culture française à l'étranger (patron de Culturesfrance) et surtout un très fin observateur de la politique française. Si fin observateur qu'il a su déceler dans l'évolution récente de la scène politique française, la naissance d'une nouvelle famille de la gauche française. La gauche «au sens où l'est Carla Bruni» ! Au journaliste taquin de l'Obs qui lui demande si, pour son métier d'ambassadeur culturel et pour ses ambitions, être «à gauche» est un handicap, Olivier Poivre d'Arvor répond : «Non, pas au sens où l'est Carla Bruni. Les vrais clivages sont entre immobilisme et mouvement. Ceux qui ont diabolisé Sarkozy en sont pour leur frais : entre la célébration de la victoire avec Didier Barbelivien et le ralliement de Frédéric Mitterrand (un « enchanteur »), il y a un chemin incroyable. Il n'a pas tort de se vanter d'avoir piqué à la gauche le mouvement et la culture.» Un morceau d'anthologie, n'est-ce pas? En tout cas, il entre sérieusement en compétition avec ce numéro du Le Point où l'on vante une N-ième fois le puissant intérêt de Nicolas Sarkozy les œuvres difficiles et où l'on retrouve le NouvelObs par la voix de son fondateur, Jean Daniel : «L'être présidentiel est celluloïde et ne répond à aucune formule mathématique. UMP, majorité, droite : tous ces mots qui le renvoient à sa famille politique sont devenus obsolètes, hors compétition électorale. Est-il encore de droite culturellement ? (...) Où est donc le Sarkozy qui voulait liquider l'héritage de Mai 68 ? Où est celui qui s'affichait entre Mireille Mathieu et Steevie durant la campagne présidentielle ? Jean Daniel, fondateur du NouvelObs, voit dans cette nouvelle tendance sarkozyenne, outre la main d'orfèvre de Carla, l'influence de Barack Obama. (...) S'élever par l'ouverture, par la culture. S'élever par la lecture. Il n'a pas lu tout Maupassant, comme le prétendent certains de ces proches, mais il est vrai qu'il s'intéresse d'avantage à la littérature classique. A Borges, paraît-il. « J'aimerais qu'il me dise comment il lit Borges, c'est une lecture très compliquée », relève Jean Daniel.» La gauche «au sens où l'est Carla Bruni» ! Qu'est-ce que c'est donc ? Osons une définition. Ce sont ces gens de droite, faussement de gauche, qui s'accommodent bien du fait qu'il y ait des très riches et des très pauvres. Tout comme il y a des artistes à succès et des «loosers». Ce sont ces gens soit disant de gauche qui préfèrent le «mouvement». Un voile pudiquement posé pour ne pas dire qu'ils préfèrent le «pouvoir» à la lutte ingrate pour les valeurs de Justice. Comme les papillons préfèrent la lumière... Pas étonnant qu'ils vantent ce «mouvement» qui à défaut d'être «brownien» est «sarkozien». Si le mouvement «brownien» se caractérise par l'agitation rapide, désordonnée et aléatoire des particules, le mouvement «sarkozien» est lui caractérisé par un mouvement pseudo-aléatoire qui consiste à prendre plus à ceux qui ont moins pour favoriser les amis qui ont toujours plus. Dans ce mouvement d'agitation pseudo-aléatoire, il est plus facile de fondre dans la masse et de se dire de gauche. La devise de cette gauche «au sens où l'est Carla Bruni», pourrait être la suivante «qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'HADOPI, le bouclier fiscal et les Ors de la République...». PS: Olivier Poivre d'Arvor est sans aucun doute un excellent serviteur et ambassadeur de la culture française. Quoi qu'en pensent les esprits chagrins. On ne peut penser du mal de quelqu'un qui aurait permis de cette découverte scientifique de premier ordre : la gauche «au sens où l'est Carla Bruni». OPA publiera d'ailleurs un livre co-écrit avec Aurélie Filippétti qui sera publié à la rentrée. L'ocassion de nouvelles découvertes ?
  6. Et moi je rembourse les emprunts engagés par l'Etat ( les collecxtivités, les entreprises publiques, la SNCF...) du temps de mes grands-parents et même de mes parents ... Pour le coup désolé mais Ségolène Royal a raison de dénoncer les pratiques du gouvernement UMP Sarkozy-Fillon même si les prédécesseurs (dont elle d'ailleurs ...)
  7. Grèves à répétition...Tu peux nous faire un historique de 2008 et 2009 parce que je n'en ai pas vu beaucoup ces derniers temps de grèves à la sncf par contre des colères et coups de gueules dans les usines où ça licencient dur...oui...
  8. Alors quelles sont tes propositions concrètes ?
  9. Petit coup d'archéologie pendant que j'y suis... ça fonctionne toujours :Smiley_31:
  10. http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...ic=6457&hl= Pour mémoire les effectifs 1940/2006 graphique
  11. Les Effectifs de la SNCF 2004/2008 31/12/2004 : 175.416 31/12/2005 : 170.954 31/12/2006 : 169.386 31/12/2007 : 166.213 31/12/2008 : 163.485 Il s'agit de l'effectif réel Cadre permanent et contractuels CDD et CDI présent et payés au 31/12 de l'année considérée A noter que pour le 31/12/2008 ce chiffre prend en compte 977 agents détachés dans les filiales du groupe. source Rapport Annuel de la SNCF 2008 (Vous pouvez le trouver sur internet sur le site de la SNCF) Pour ceux qui ont accès à la partie privée http://www.cheminots...showtopic=20331
  12. Libération 1er Août 2009 SNCF : les embauches durailles de Wauquiez «. On avait des salariés qui avaient perdu leur emploi dans la sous-traitance automobile, on s’est battu pour faire en sorte que la SNCF les réembauche, que 1 500 salariés soient réembauchés.» Laurent Wauquiez, secrétaire d’Etat chargé de l’Emploi, le 16 juillet sur LCI. Alors que le climat social vire à l’explosif, comment faire pour dissuader les salariés victimes de licenciements ou de fermetures d’entreprises de recourir à la menace pour gonfler leur prime de départ ? Laurent Wauquiez, secrétaire d’Etat chargé de l’Emploi, a la solution : redonner confiance dans l’avenir, expliquer que la reconversion, mieux qu’une prime, est encore le meilleur moyen, et que l’Etat y travaille. Le 16 juillet, sur LCI, il affirmait : «Moi, en tant que ministre de l’Emploi, ma charge, ce n’est pas la prime, c’est d’essayer d’accompagner les salariés pour qu’ils rebondissent. Je vous donne un exemple précis. On avait des salariés qui avaient perdu leur emploi dans la sous-traitance automobile, on s’est battu pour faire en sorte que la SNCF les réembauche, que 1 500 salariés soient réembauchés, ceux notamment qui étaient autour du Havre. Ça, c’est mon travail.» Désintox La SNCF aurait recruté 1 500 salariés issus de la sous-traitance automobile ? Voilà un «exemple précis» à même de redonner de l’espoir aux salariés victimes de la crise. Hélas, cet «exemple précis» manque singulièrement de précision. Le chiffre de 1 500 salariés correspond à la fourchette haute d’un objectif affiché en début d’année : le 2 janvier, lors de la présentation du volet SNCF du plan de relance, François Fillon et Guillaume Pepy, patron de l’entreprise publique, avaient annoncé que sur 4 500 embauches en 2009, la SNCF recruterait «entre 1 000 et 1 500 salariés issus d’industrie en crise, dont l’ automobile» . Sept mois plus tard, Laurent Wauquiez semble suggérer que l’objectif est atteint. En réalité, on en est loin. Selon les derniers chiffres de la SNCF, l’entreprise ferroviaire a jusqu’à présent embauché… quinze salariés issus de la sous-traitance automobile. «Neuf sont à Rennes, les six autres dans le reste de la France», fait-on savoir dans l’entreprise. Conformément aux engagements pris en début d’année, la SNCF et Pôle Emploi avaient organisé en avril des réunions d’échange à l’attention de 900 salariés de la filière automobile. Mais l’objectif avait déjà été singulièrement revu à la baisse, puisqu’il n’était plus question que de pourvoir 160 postes dans la maintenance ou la conduite des trains. Après les réunions d’information, 228 salariés issus de la sous-traitance automobile se sont présentés début mai pour des entretiens individuels avec des recruteurs de la SNCF. Sur le lot, une bonne moitié n’a pas fait l’affaire ou n’a pas goûté les propositions de l’entreprise ferroviaire. Outre les quinze d’ores et déjà embauchés, une centaine de recrutements supplémentaires sont dans les tuyaux, dit-on à la SNCF, et «devraient être finalisés dans les prochains mois» . Au total, la SNCF pourrait donc permettre à une grosse centaine de salariés de rebondir. En temps de crise, c’est loin d’être négligeable. Même si c’est inférieur à l’objectif de 160, et bien éloigné du chiffre fantaisiste de 1 500 reclassements que claironne Laurent Wauquiez. La SNCF remettra-t-elle un coup de collier avant la fin de l’année pour améliorer ce chiffre ? L’entreprise ne s’avance pas sur le sujet. Ce qui est sûr, c’est que les 4 500 embauches globales prévues en début d’année par la SNCF ne seront pas au rendez-vous : l’entreprise a été surprise par le nombre de ses agents en âge de partir à la retraite qui ont finalement fait le choix de rester (à peu près un millier de cheminots). A quoi s’ajoutent les effets de la crise, qui touche aussi l’entreprise publique. sans parler des 2.500 suppressions d'emplois à la SNCF en 2009...
  13. Comprenne qui pourra... Alain Quinet, économiste Comment la taxe carbone a été calculée pour être "crédible" et "acceptable" LE MONDE | 31.07.09 | Les Français ne connaissent pas Alain Quinet. Mais ils ont sans le savoir déjà entendu parler de lui. Une taxe-carbone ou une contribution climat énergie à 32 euros la tonne que le gouvernement pourrait instaurer dès 2010, c'est lui. Du moins pour cette valeur de 32 euros endossée par la mission Rocard chargée de poser tous les enjeux de cette réforme fiscale et qui a remis ses recommandations le 28 juillet. Recevez dès 9 heures les titres du journal à paraître dans l'après-midi Abonnez-vous au Monde.fr : 6€ par mois + 30 jours offerts Sur le même sujet Le fioul, encore faiblement taxé, serait soumis à la taxe carbone, comme les autres énergies fossiles servant au transport et au chauffage. Entretien "La taxe carbone ne fera consensus que si l'Etat redistribue ses recettes" Synthèse Tout ce qu'il faut savoir sur le projet de taxe carbone Décryptage La taxe carbone sous l'avalanche des critiques Editorial du "Monde" Impôt vert Chat "Une taxe carbone modeste n'aura pas d'effet sur le changement climatique" Edition abonnés Archive : Cohn-Bendit qualifie de "révolutionnaire" la taxe carbone Cet économiste de 47 ans, directeur financier de la Caisse des dépôts, est l'auteur d'un rapport sur "la valeur tutélaire du carbone", qui, hormis auprès de quelques spécialistes, passa à peu près inaperçu lors de sa publication en juin 2008. Il sert aujourd'hui de fondement au projet que le gouvernement a entre les mains. Car pour établir cette taxe qui sera assise sur la consommation d'énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon) des entreprises et des ménages encore fallait-il pouvoir donner un prix à la pollution. Ce prix du CO2 qu'il propose pour lutter contre le réchauffement climatique est validé par un consensus d'experts. Mais les milieux économiques et certains politiques jugent le taux de 32 euros inacceptable. Alain Quinet nous explique sa démarche. La mission Rocard endosse votre proposition de taxer la tonne de CO2 à 32 euros en 2010 puis d'atteindre 100 euros en 2030 ? Comment avez-vous établi ces valeurs ? Nous sommes partis des objectifs ambitieux de réduction d'émissions de gaz à effet de serre que ce sont fixés la France et l'Europe - à savoir une baisse de 20 % d'ici à 2020 et une division par quatre des émissions d'ici à 2050 - et nous nous sommes interrogés sur la valeur qu'il faudrait attribuer au CO2 pour atteindre efficacement ces objectifs. Autrement dit, quel prix faudrait-il faire payer la pollution de l'air responsable du réchauffement climatique pour que tous les acteurs de l'économie - ménages, entreprises, collectivités - s'engagent dans la mutation qui doit nous permettre de limiter la hausse des températures à 2 °celsius d'ici à la fin du siècle. Notre groupe de travail, en combinant des travaux de modélisation économique, des perspectives climatiques et en tenant compte du potentiel de déploiement des technologies "vertes", est arrivé à la conclusion que la valeur de référence devait être 100 euros la tonne de CO2 en 2030. C'est selon nous un signal assez fort pour que chacun comprenne qu'il doit dès aujourd'hui modifier ses comportements pour construire une société sobre en carbone. Au-delà des économies d'énergie qu'il faut réaliser, les objectifs à atteindre sont la généralisation des véhicules électriques, la production d'électricité sans énergies fossiles et la transformation du parc de logements pour le mettre aux normes de basse consommation d'énergie. Pourquoi partir de 32 euros ? La trajectoire pour parvenir à 100 euros a fait débat. Elle doit être à la fois progressive et crédible. Elle doit tenir compte des transitions qu'il faudra organiser bien sûr dans le domaine technologique mais aussi d'un point de vue social, professionnel... A la différence de l'objectif de 100 euros, le 32 euros n'est pas le résultat d'un travail purement "technique". Il est déjà le fruit d'un compromis. Entre d'un côté, des experts engagés dans le domaine de l'environnement qui considèrent que, face au risque climatique, le principe de précaution doit pousser à commencer haut - vers 40 euros -, de l'autre, des partenaires économiques et sociaux, soucieux de rendre cette contribution acceptable. Ces 32 euros sont encore aujourd'hui considérés comme trop élevés notamment par les entrepreneurs. Peut-on introduire une taxe beaucoup plus faible et garder un signal efficace ? Il est important de mettre en place rapidement la contributionclimat énergie (CCE). C'est la première exigence pour pouvoir atteindre nos objectifs mais aussi par souci d'équité. Aujourd'hui, tous les efforts de réduction des émissions portent sur les grandes infrastructures industrielles. Celles-ci sont soumises au système européen d'échanges de quotas qui fixe pour chacune d'elles un plafond d'émissions qui diminue dans le temps. Ces industries sont aussi les plus exposées à la concurrence internationale. Il est donc important de répartir les efforts sur l'ensemble de l'économie. Ceci étant, il est impératif de se placer dans une trajectoire crédible si l'on veut que les agents économiques se persuadent le plus vite possible que la tonne de CO2 a un prix, et qu'il va aller croissant. Si l'on démarre trop bas, le signal envoyé ne sera pas suffisamment puissant. Les grandes installations industrielles et d'électricité soumises au système européen peuvent en ce moment acheter des quotas de Co2 à 13 euros la tonne, comment expliquer aux autres entreprises qu'elles devront payer presque trois fois plus ? Nous traversons une période exceptionnelle. La récession fait chuter le prix des quotas car les entreprises dont l'activité tourne au ralenti rejettent moins de Co2. Une fois la crise surmontée, ces prix ont vocation à remonter parce que l'activité va repartir et parce que les entreprises vont devoir mettre en oeuvre des techniques de plus en plus complexes de réduction des émissions. Il est très important qu'il n'y ait pas trop d'écart entre le prix domestique du carbone et celui fixé sur le marché européen. Une trop grande divergence signifierait que l'effort est mal réparti. Nous mettons en place des instruments nouveaux, nous faisons au mieux mais nous devons accepter la part d'incertitudes, de tâtonnements. La Suède, qui vient de prendre la présidence de l'Union, souhaite que les Vingt-Sept réfléchissent à une taxe-carbone européenne qui viendrait compléter le système européen d'échange de quotas, jusqu'où l'Europe peut-elle faire des efforts sans se soucier des politiques menées par les autres pays ? A partir du moment où l'Europe se fixe des objectifs ambitieux pour lutter contre le réchauffement climatique, il est important qu'elle le fasse en étant soucieuse de préserver la compétitivité de ses industries. Si ce n'était pas le cas, elle serait doublement perdante. D'abord d'un point de vue économique mais aussi au plan environnemental, puisque le risque serait alors de voir tout simplement les activités polluantes se délocaliser dans des pays moins exigeants. Il y a deux façons de répondre à ce problème de compétitivité. La meilleure consiste à obtenir des autres pays qu'ils partagent avec l'Europe les efforts pour lutter contre le réchauffement climatique. A défaut, l'Europe a aussi la possibilité d'introduire une taxe aux frontières qui serait parfaitement légitime et sur laquelle l'Organisation mondiale du commerce vient de donner des signes d'ouverture. Propos recueillis par Laurence Caramel
  14. Hum... Faudrait peut être prendre le temps de lire quelques fils de discussion sur ce forum ...
  15. De la libéralisation des transports... Des billets de train au même tarif permettent de voyager 260 km... ou juste 16 Zigonet Grande-Bretagne - Certains usagers du train payent leurs tickets 16 fois plus cher qu'à d'autres endroits du pays. Dans certaines régions, pour la même somme, des voyageurs peuvent voyager 256 km ou seulement 16 km. Le service de train le plus cher est celui de l'Heathrow Express qui demande 11 euros pour un parcours de 16 km tandis que la ligne Plymouth-Penzance permet à ses passagers de parcourir 260 kilomètres pour le même tarif. Un porte-parole de la compagnie du rail explique que d'année en année, l'inflation a fait exploser le prix des billets : "Voyager loin et souvent revient terriblement cher. S i de plus en plus de personnes arrêtent de prendre leur voiture pour le train, nous devons leur offrir un service plus fiable et surtout plus abordable." Un rapport dénonce que la politique tarifaire des billets de train est disproportionnée. Certains prix ont augmenté de 11 %. Le gouvernement s'est penché sur le dossier et a fixé un taux d'inflation de 1% annuel seulement.
  16. CPA - Temps Partiel Fin de Carrière - Réunion Bilatérale SNCF - CGT du 15 juin 2009 09_07_30_CR_rencontre_CPA__tps_partiel_fin_de_carriere_du_15.06.09.doc 09_07_30_CR_rencontre_CPA__tps_partiel_fin_de_carriere_du_15.06.09.pdf
  17. Encore une qui pourra dire que même le train lui est passé dessus... Je suis déjà sorti...
  18. Faudrait voir à remonter le slip...
  19. Je vous conseille de relire le référentiel sur "le service minimum"... et ses conséquences sur l'organisation du travail et le droit pour la direction de passer outre la réglementation du travail... On est en plein dans la problématique et le texte sur le service minimum pourrait fort bien s'appliquer dans ce cas de figure si le nombre de Cheminots malades atteints par la grippe A en particulier conducteurs et Agents circulations venait à être élevé... car "le service minimum" ne traite pas et ne s'applique pas que dans la seule situation de préavis de grève...
  20. Les petits trucs d'EDF pour augmenter ses tarifs et j'ajouterai : "du gouvernement"... http://eco.rue89.com/2009/07/29/les-petits...nter-ses-tarifs Par François Krug | Eco89 La facture EDF des particuliers devrait augmenter de 1,9% en août, affirment Les Echos. Mais un petit détail gêne le gouvernement. Selon les règles en vigueur, la hausse ne peut pas dépasser le taux d'inflation. Or, en un an, les prix ont justement reculé de 0,5%. Pour résoudre ce casse-tête, Jean-Louis Borloo et Christine Lagarde devront recourir à une rhétorique très subtile. 1 Qui va vraiment décider ? Ce ne sera pas EDF. Fournisseur d'un service public, le groupe doit pratiquer des « tarifs réglementés ». Le montant de la hausse sera établi conjointement par le ministère de l'Ecologie et de l'Energie et par celui de l'Economie, dans un arrêté comme celui-ci. EDF ne peut qu'exprimer ses souhaits. Son PDG l'a fait publiquement début juillet, de manière pas très diplomatique. Dans La Tribune, Pierre Gadonneix suggérait rien de moins qu'une hausse de 20% sur trois ans, pour « refléter les investissements nécessaires ». Le gouvernement optera bien sûr pour une hausse moins spectaculaire : les enjeux sont autant politiques qu'économiques. Et en coulisse, Jean-Louis Borloo et Christine Lagarde devront obtenir l'accord définitif de Nicolas Sarkozy, comme le précisent Les Echos. Avant de publier leur arrêté, les deux ministres devront cependant le soumettre à la Commission de régulation de l'énergie (CRE). Celle-ci nous a indiqué qu'elle n'avait encore rien reçu. Et rien n'oblige le gouvernement à suivre son avis. 2 Peut-on échapper à la hausse ? Non. Selon la loi et le « contrat de service public » conclu avec l'Etat, les tarifs doivent obligatoirement « couvrir l'ensemble des coûts supportés » par le groupe. Or, une décision du gouvernement a déjà fait gonfler une partie importante de ces coûts. Le 5 juin, Borloo et Lagarde ont décidé d'augmenter les Turpe, les « tarifs d'utilisation des réseaux publics d'électricité ». En clair, le coût de l'acheminement de l'électricité. U n service confié à deux filiales d'EDF, ERDF et RTE, qui le facturent à leur maison-mère et à ses concurrents. Mécaniquement, EDF répercutera cette hausse auprès de ses consommateurs. Le coût de l'acheminement représente déjà 47% de la facture finale, selon la CRE. Le calcul des tarifs prend aussi en compte les autres dépenses d'EDF, des centrales électriques aux agences commerciales. Et selon Pierre Gadonneix, les prix ne couvrent pas toutes les dépenses liées aux missions de service public du groupe. 3 Quel sera le vrai montant de la hausse ? En apparence, elle sera moins élevée que l'an dernier. Selon Les Echos, la facture pourrait augmenter de 1,9% pour les particuliers (le tarif « bleu »), de 4% pour les PME (le « jaune ») et de 5% pour les grandes entreprises (le « vert »). Contre 2%, 6% et 8% l'an dernier. Sauf qu'entretemps, l'inflation a nettement reculé. Et dans le contrat de service public signé en 2005, l'Etat et EDF s'engageaient justement à en tenir compte : « Les cinq premières années, l'évolution des tarifs aux particuliers ne sera pas supérieure au taux de l'inflation. » A l'été 2008, ce n'était pas un problème : l'inflation était en progression de 3,6% sur un an. C'est nettement plus compliqué cette année. Selon les chiffres les plus récents de l'Insee, datant de juin, les prix ont reculé de 0,5% en un an. Mais la référence aux « cinq premières années » reste très ambiguë. Signifie-t-elle que, jusqu'en 2010, on prendra en compte le taux d'inflation annuel ? Ou autorise-t-elle à se fonder sur l'évolution des prix depuis 2005 ? Nous avons tenté d'obtenir une traduction officielle, mais les cabinets de Jean-Louis Borloo et Christine Lagarde n'ont toujours pas donné suite à nos demandes d'explications.
  21. Web : "Ni putes, ni soumises" tire la sonnette d'alarme Elle Depuis quelques temps maintenant, on note une recrudescence des commentaires machistes, sexistes et particulièrement virulents, en réponses à certains articles publiés sur le net. Ainsi, Sihem Habchi, présidente de l'association "Ni putes,ni soumises" tire la sonnette d'alarme. Elle est en effet, effarée de lire certains commentaires au sujet de cette jeune fille violée en plein jour dans une piscine à Saint-Ouen... "On a pu lire qu'elle l'avait bien cherché ou encore qu'elle n'avait pas à se trouver là en maillot de bain, en gros que c'était de sa faute" déclare-t-elle dans la presse. Pour que ce sexisme propre au web cesse, Sihem Habchi va donc lancer une campagne d'information et de sensibilisation : "Web Respect City". La présidente de "Ni putes, ni soumises" explique : "On est face à une génération connectée en permanence, toujours sur les blogs, c'est leur mode de vie et d'échange. Les jeunes ne regardent presque plus la télé et s'informent sur Internet. C'est aussi là qu'ils apprennent, à nous alors de nous emparer de cet espace pour tenter de corriger le tir sur les relations entre filles et garçons où il y a un gros déficit d'éducation". Une version adaptée au net du "Guide du respect" paru en 2005, accompagnée d'une liste noire des sites laissant le champ à la haine" sera bientôt disponible. K.M.> Plus d'infos30/07/2009
  22. De la Burqa au voile : ça se corse... Corse: une communauté religieuse soupçonnée d'avoir abusé ses fidèles LePost Cette association religieuse dit être la « Messagère de la Vierge Marie » et «porter les stigmates du Christ». Rien que ça ! Implantée en Corse, à Vescovato, la communauté qui a pour nom « La famille Ave Maria de l’enfant Jésus » est dirigée par une ancienne aide-soignante d’une maison de retraite de Bastia, en Haute-Corse. Une communauté qui attire les fidèles venus de toute l’Europe… Mais une communauté qui, depuis plusieurs semaines, fait l’objet d’une enquête préliminaire du parquet de Bastia. Pourquoi ? La justice soupçonne cette association d’abus de faiblesse, d’abus de confiance et d’escroquerie… Le Parisien révèle que dans cette affaire, la police judiciaire de Bastia et les renseignements généraux multiplient les enquêtes. L’administration fiscale faisant de même. De son côté, l’évêché de Corse, a condamné avec la plus grande fermeté les pratiques de cette communauté « pas si catholique » que ça. La communauté est donc dirigée par Agnès Mignoni, 46 ans, qui se fait appeler « La Messagère ». Une « messagère » qui porte un voile blanc, ainsi qu’un habit religieux immaculé avec un portrait de la vierge en plastron. Elle affirme avoir divorcé sur ordre de la Vierge. Un divorce « exigé » pour se consacrer à la religion. Pour la petite histoire, c’est tout de même son mari qui a obtenu la garde des enfants… Le fidèle qui se connecte sur le site Internet de la communauté peut apprendre que « La Messagère » a vu sa première apparition de la Vierge le 23 juin 1986, alors qu’elle faisait ses études d’infirmière. Une deuxième apparition en mars 1990. Cette fois, la Vierge lui aurait montré « une croix glorieuse » surgissant au pied d’un rosier enflammé. Il y en aura trois autres... Des « apparitions » qui lui vaudront d’être licenciée de la maison de retraite où elle était employée… Dérive sectaire? Jean-Jacques Fagni, le procureur de Bastia précise que dans cette affaire on se trouve « face à une organisation religieuse à risques. Il existe une forte personnalisation autour de cette femme. Cela peut s’apparenter à un risque de dérive sectaire ». Sans oublier, poursuit le magistrat que cette association évoque constamment un grand «besoin d’espèces sonnantes et trébuchantes». Un homme originaire de Clermont-Ferrand a porté plainte « pour abus de faiblesse » contre l’association, son épouse ayant versé 12.000 euros à la communauté… En 2002, l’évêché de Corse avait demandé la fermeture du site Internet de la communauté. Sans succès. « Agnès Mignoni revendiquait faussement le soutien de certains prêtres qui n’ont pas le droit d’exercer », précise dans Le Parisien, Stéphane Sclavo, secrétaire particulier de Mgr Jean-Luc Brunin, évêque de Corse. Tout en rappelant que « cette organisation ne bénéficie d’aucun soutien de l’église catholique de Corse ». Chaque année en septembre, à l’occasion de la semaine de la Vierge en Corse, les fidèles de « La Messagère » peuvent l’approcher de près dans un appartement qu’elle loue à Pancheraccia. Là, allongée sur un lit, un crucifix en main, elle leur montre les prétendus stigmates de sang du Christ…
  23. Le port de la burqa serait très marginal en France Reuters Seules 367 femmes portent un voile intégral - burqa ou niqab - en France, selon une estimation de la police citée dans Le Monde daté du 30 juillet. Les députés, qui se sont récemment inquiétés d'un possible développement du port du voile intégral en France, ont créé le 1er juillet une mission parlementaire sur le sujet. Or, selon une note de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) citée par Le Monde, 367 femmes sur tout le territoire auraient adopté le voile intégral. Ce chiffre relève de l'observation du service et n'est pas exhaustif, précise le quotidien. Une très grande majorité de ces femmes est âgée de moins de 30 ans et, pour un quart d'entre elles, il s'agit de Françaises converties à l'islam. Tout en se gardant de citer des chiffres, une seconde étude de la Sous-direction à l'information générale (SDIG), également évoquée par Le Monde, va dans le même sens. Ce service, qui regroupe les anciens membres des RG, estime qu'il s'agit d'une "pratique marginale" de la part de femmes plutôt jeunes et souligne lui aussi l'importance des Françaises converties. Le port du voile intégral s'apparente à une volonté de "provoquer la société, voire sa famille", avance le SDIG. Il cite le cas d'une quinzaine de jeunes femmes qui se seraient rendues dans un grand magasin de Marseille sans faire le moindre achat, dans une démarche provocatrice. Le SDIG assure dans sa note que les fondamentalistes mis à part, les musulmans, dans leur grande majorité, rejettent le voile intégral et comparent ses défenseurs à une "secte". La mission d'information de l'Assemblée nationale dispose de six mois pour entendre et recenser les différents points de vue. Elle rendra son rapport à la fin de l'année. Devant le Parlement réuni en Congrès le 22 juin à Versailles, Nicolas Sarkozy avait vivement critiqué le port de la burqa, "un signe d'asservissement", et avait déclaré qu'elle n'était pas "la bienvenue" en France. La branche maghrébine d'Al-Qaïda a menacé de se venger de la France après les propos tenus par le président français. Gérard Bon
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.