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Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Le vice-président d'OpinionWay: "Ceux qui me connaissent savent que je ne suis pas de droite" LePost Le rapport de la Cour des Comptes a provoqué un tollé jeudi. Selon ce fameux rapport, l'Elysée a financé des sondages commandés par un cabinet et parus dans les médias, notamment Le Figaro et LCI. Denis Pingaut, vice-président de l'institut, explique ainsi: "Sur l'Elysée, tout est simple. OpinionWay reçoit commande d'études d'un cabinet de conseil, qui travaille avec plusieurs instituts; la Cour des comptes évoque une somme de 392 288 euros: moins de la moitié concerne des études d'OpinionWay. Et cela ne représente que 2% de notre chiffre d'affaires..." "Nous travaillons avec des institutions de gauche, comme les fondations Terra Nova ou Jean Jaurès. Il est de notoriété publique que nous avons travaillé pour Europe Ecologie pendant les européennes. Et tous ceux qui me connaissent, savent que mes inclinations politiques ne sont pas à droite. (Denis Pingaud est le biographe de Bové nedlr). Si OpinionWay était ce qu'en dit la rumeur, je n'en serais pas le vice-président exécutif."
  2. La hausse des tarifs d'électricité réclamée par le président d'EDF : Une amplification des effets de la crise pour les usagers, l'industrie, les PME et l'emploi Communiqué de presse CGT-EDF du 09 juillet 2009 Cumulée à celle déjà envisagée par l’augmentation du tarif d’utilisation du réseau, elle représenterait une hausse d’un tiers du tarif de l’électricité pour l’usager. Le besoin financier réel d’EDF est dû principalement aux investissements hasardeux faits à l’étranger. Il faut trouver de quoi combler les 5 milliards d’euros mis dans Constellation aux Etats-Unis et les 15 milliards d’euros pour British Energy en Angleterre. La FNME-CGT s’est déjà exprimée sur le sujet. Les investissements d’EDF, entreprise contrôlée par l’Etat, doivent être discutés à l’Assemblée Nationale. En effet, il y a une différence de taille entre des besoins pour construire des nouveaux moyens de production, sécuriser le réseau et jouer au Monopoly à l’international. C’est tout l’écart entre une politique industrielle au service des usagers et une politique financière au service des actionnaires. Cette demande de hausse de tarifs, au moment où les foyers français sont touchés de plein fouet par la crise est inacceptable. De la même manière, les effets d’une telle augmentation auraient des incidences désastreuses sur les entreprises utilisatrices de l’électricité quand on sait qu’il y a 15 % de fermetures supplémentaires de PME par rapport au second trimestre 2008. Les effets sur l’emploi seraient catastrophiques. Le plan de communication du Président d’EDF pour préparer les esprits à une augmentation des tarifs, justifier la mise en cause du tarif réglementé, faire rentrer la concurrence sur un marché qui intéresse moins EDF et justifier la cession d’actifs essentiels ne dupera pas les salariés et les usagers. Nous nous opposerons à toute ouverture du capital de RTE, filiale du transport de l’électricité, qui fragiliserait encore plus l’organisation du système électrique français. Nous ne pouvons imaginer qu’il n’y ait pas de concordance avec la stratégie actuelle de GDF-SUEZ qui va amener également, si nous n’y prenons garde, à une hausse des tarifs gaz. Décidément, la réalité fait preuve : la dérèglementation, qui désoptimise et complexifie le système, ne peut qu’amener des hausses de prix pour les usagers et ne bénéficie qu’aux actionnaires. La FNME-CGT conteste la hausse de prix demandée et réitère sa demande de rencontre des pouvoirs publics et de débats démocratiques sur les investissements d’une entreprise stratégique et contrôlée par l’Etat comme EDF.
  3. Le P-DG d'EDF en position délicate après ses propos sur les prix Reuters Benjamin Mallet et Emmanuel Jarry En évoquant une hausse des tarifs de l'électricité en France de 20% sur trois ans ou plus, le P-DG d'EDF, Pierre Gadonneix, a déclenché une tempête politico-médiatique qui l'a mis dans une position délicate vis-à-vis des pouvoirs publics. Ses déclarations interviennent dans un contexte de crise qui les rendent politiquement très délicates et alimentent les spéculations sur son avenir à la tête du groupe, son mandat arrivant à échéance à l'automne. Sur la forme, le gouvernement n'a guère apprécié que Pierre Gadonneix évoque une hausse tarifaire sans le consulter auparavant. D'autant que, si EDF a été introduit en Bourse en 2005, l'Etat détient encore près de 85% de son capital et garde le pouvoir de fixer le prix de l'électricité. "Quand on veut les étoiles, on demande la lune", a commenté la ministre de l'Economie, Christine Lagarde, peu après la publication des propos de Pierre Gadonneix. Dans l'entourage de Nicolas Sarkozy, on estime que les déclarations du P-DG d'EDF pourraient s'avérer contre-productives : "En interpellant les pouvoirs publics comme il le fait, il dessert sa cause. En faisant de l'augmentation de 20% qu'il demande une affaire d'opinion, ça n'incite pas les pouvoirs publics à aller dans son sens." Le P-DG d'EDF a ensuite voulu atténuer ses propos en estimant qu'ils avaient été sortis de leur contexte, mais le gouvernement ne semble pas pour autant disposé à satisfaire sa demande de hausse, qui atteindrait 7% environ par an en moyenne si elle était étalée sur trois ans. "L'augmentation qu'il aura sera très très loin de ça en rythme annuel. Ça sera très très loin de ce qu'il souhaite", selon un conseiller du chef de l'Etat. "ERREURS D'INVESTISSEMENT" Sur le fond, l'argumentaire du P-DG de l'électricien public semble pourtant solide : il fait valoir que le prix de l'électricité en France est resté stable depuis 20 ans pour les ménages alors que le budget consacré à l'eau et au téléphone a bondi et souligne que les tarifs français restent inférieurs d'environ 30% à la moyenne européenne. Surtout, Pierre Gadonneix rappelle qu'EDF doit investir massivement en France, notamment pour prolonger la durée de vie de ses 58 réacteurs nucléaires. Si les projets du groupe dans l'Hexagone ne sont pas contestés, sa stratégie à l'international est loin de faire l'unanimité, notamment le coût de l'acquisition de British Energy et le projet de rachat de la moitié des actifs nucléaires de l'américain Constellation, pour un montant total d'environ 17 milliards d'euros. "Les seuls points qui font l'objet d'une contestation ce sont les investissements à l'étranger. Est-ce qu'il fallait investir à ce niveau de prix au Royaume-Uni ? Est-ce qu'il fallait aller aux Etats-Unis ?", déclare-t-on à l'Elysée, tout en soulignant que l'Etat, représenté au conseil d'EDF, ne s'est pas opposé à ces investissements. Henri Guaino, le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, évoquait pour sa part des "erreurs d'investissement à l'étranger" lors d'un entretien au Parisien publié le 13 juillet, sans préciser si ces erreurs avaient été commises par Pierre Gadonneix ou son prédécesseur, François Roussely. UNE DETTE À 43 MILLIARDS À FIN 2009 Pierre Gadonneix a pour sa part souligné lors d'un entretien à Reuters que les investissements très lourds d'EDF à l'étranger ne posaient pas les mêmes problème qu'en France dans la mesure où ils étaient couverts par ses revenus internationaux. "A l'international, la dette est entièrement couverte par des recettes. Le problème, c'est l'augmentation de l'investissement en France, qui est essentiellement de l'investissement de maintenance", a-t-il dit. L'avenir de Pierre Gadonneix à la tête d'EDF est-il menacé ? Les observateurs soulignent en tout cas le côté incongru et inhabituel de ses propos sur les tarifs, qui tranchent singulièrement avec la prudence dont il a fait preuve depuis sa nomination à la tête de la société, en 2004. Selon un bon connaisseur de la société, Pierre Gadonneix pourrait avoir été informé que sa place était menacée et préparerait ainsi sa sortie de scène. Une source proche du gouvernement a cependant déclaré il y a peu à Reuters que des informations selon lesquelles l'Elysée aurait décidé de le remplacer n'étaient pas fondées. EDF, qui prévoit d'investir 7,5 milliards d'euros en France en 2009, soit 2,5 milliards de plus qu'en 2008, vient par ailleurs de récolter environ 3,2 milliards à travers un emprunt réservé aux particuliers. L'endettement du groupe, qu'il cherche à réduire à travers un programme de cessions, s'élevait à 24,5 milliards d'euros à fin 2008 contre 16,3 milliards fin 2007. Selon le consensus Reuters Estimates, il atteindra près de 43 milliards à fin 2009. Edité par Jean-Michel Bélot
  4. Photos reçues par e-mail avec le commentaire suivant : "En fait la sncf n'a rien à voir directement la dedans. Ligne fermée entre Cercy et Nevers. Chantier RFF avec transport confié à VFLI (filiale SNCF nonobstant) qui fait tout passer par la route. Et manque de bol, sans véritable plan d'acheminement avec la préfecture et les communes ça donne ceci; A diffuser Que le peuple s'amuse !! Régis"
  5. un message dans un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Brin de causette
    "Quatre Pistes" de Douarnenez (Finistère) http://www.myspace.com/quatrepistes
  6. "Ces braves gens" (qui surveilleraient le forum et donc nos écrits et pensées...) ne m'ont jamais envoyé de message d'ailleurs ça vaut mieux pour eux... revoltages
  7. ça fait quand même plus de 20 ans que les cheminots et leurs syndicats (CGT et SUD en particulier) exigent une amélioration des conditions de travail des salariés et le respect de la législation du travail concernant les entreprises travaillant pour la SNCF. La Direction se trouve mise dans l'obligation d'agir. Tant mieux. Espérons qu'elle étendra les mesures prises pour les entreprises de nettoyage à toutes les autres entreprises en particulier le nettoyage, la restauration, la manutention etc...
  8. Le PS met en cause l'institut de sondages lié à l'Elysée Reuters Le parti socialiste français estime que les révélations d'une enquête de la Cour des comptes sur les liens entre l'Elysée et un institut de sondages met en lumière une stratégie de manipulation de l'opinion. La Cour avait fait part jeudi de ses interrogations sur le contrat signé en juin 2007 entre la présidence française et l'institut de sondages et d'études Opinionway pour 1,5 million d'euros annuels. La présidence a payé en 2008 un "Politoscope" 392.288 euros alors que cette enquête a été publiée dans la presse et pouvait donc être connue gratuitement, remarque le président de la Cour Philippe Séguin. Au total, 15 enquêtes payées sur fonds publics étaient disponibles gratuitement dans les journaux. "Nous sommes ici au coeur d'un système d'instrumentalisation de l'opinion et de connivence entre le pouvoir, un institut de sondage et certains médias", écrit la députée socialiste Delphine Batho, proche de Ségolène Royal, dans un communiqué diffusé jeudi soir. Ségolène Royal et aussi le leader centriste François Bayrou estiment de longue date que l'Elysée utilise des instituts amis pour laisser penser qu'il a l'appui de l'opinion. Delphine Batho demande la publication par l'Elysée de la liste des 15 sondages payés alors qu'ils étaient publiés par certains médias. "Cela permettrait à coup sûr de revisiter les conditions de déroulement de certains débats publics où des jeux d'influence pervers s'exercent pour manipuler l'opinion", dit-elle. La Cour a remarqué que le contrat avait été passé par l'Elysée sans une mise en concurrence, pourtant obligatoire vu son montant, et qu'il avait généré au total 130 factures en 2008, outre des honoraires mensuels fixes de 10.000 euros pour le cabinet. Philippe Séguin souligne dans sa lettre à Nicolas Sarkozy le caractère "très succinct" de la convention entre Elysée et Opinionway, qui fait une seule page. La cabinet disposait d'une totale liberté d'appréciation quant aux études et sondages à mener et à facturer, ce qui privait la présidence de tout contrôle, remarque-t-il. Les services de l'Elysée ont répondu à la Cour que les relations contractuelles avec ce cabinet venaient d'être modifiées, avec notamment la règle d'un bon de commande par étude et la limitation du champ d'action, excluant a priori la facturation du "Politoscope". Dernier arrivé sur le marché en mars 2000, l'institut travaille notamment pour TF1, LCI, RTL et le Figaro. Thierry Lévêque, édité par Grégory Blachier
  9. Les salariés français ont travaillé en moyenne plus de 39 heures par semaine en 2007, selon l'INSEE AP Les salariés français à temps complet ont travaillé en moyenne 39 heures et 24 minutes par semaine en 2007, soit plus que la durée légale de 35 heures, selon une étude de l'Institut national de la statistique et des études économiques parue vendredi. Elle se base sur les déclarations des personnes travaillant à temps complet, en activité pendant au moins quatre semestres consécutifs (hors enseignants), lors des enquêtes "emploi" trimestrielles portant sur l'année 2007. Les salariés affirment avoir travaillé en moyenne 1.680 heures, selon l'INSEE. Toutes catégories sociales confondues, pour une semaine habituelle, cela correspond à une moyenne de 39 heures et 24 minutes réparties sur cinq jours. Dix pour cent des salariés déclarent une durée hebdomadaire égale ou supérieure à 48 heures, le maximum hebdomadaire légal. Pour les cadres et les professions intermédiaires, une semaine habituelle de travail représente en moyenne 44 heures et demi. A titre de comparaison, la durée légale de 35 heures hebdomadaires correspond à une durée du travail maximale de 1.607 heures sur l'année, note l'INSEE. Ce sont les non-salariés qui déclarent la durée annuelle de travail la plus longue: 2.560 heures, et des journées de travail de 9h28 en moyenne, contre 7h55 pour les salariés. Parmi les salariés à temps complet, les hommes disent travailler 1.730 heures, contre 1.600 heures pour les femmes. En 2007, les femmes qui vivent en couple et ont des enfants avaient une durée annuelle du travail inférieure de 50 heures aux femmes vivant seules, souligne l'INSEE. AP
  10. Comme quoi la SNCF est bien concernée par le problème comme donnant d'ordre... et qu'elle peut faire quelque chose... La SNCF résilie un contrat de gardiennage contesté Reuters - 9h00 La SNCF annonce avoir résilié un contrat qui la liait à la société Vigimark, après des révélations syndicales sur l'emploi de travailleurs étrangers en situation irrégulière par cette société. "Les engagements contractuels de la société Vigimark seront repris par une société de sécurité privée avec laquelle la SNCF travaille depuis de nombreuses années, qui reprendra donc le personnel affecté à ces contrats conformément à la législation", dit la société nationale dans un communiqué. Elle précise avoir écrit à l'ensemble des sociétés avec lesquelles elle travaille pour sa sécurité, leur rappelant leurs obligations. Une campagne de contrôle a été décidée. Le ministre de l'Immigration, Eric Besson, avait dit lundi qu'il transmettrait aux ministères de l'Intérieur et de la Justice le cas de dizaines d'étrangers travaillant dans les gares dans des conditions jugées indignes. Selon le syndicat Sud-Rail, quelque 150 maîtres-chiens sans papiers sont employés illégalement par un sous-traitant de la SNCF pour assurer la sécurité dans des gares parisiennes. Eric Besson a précisé que certains sans-papiers pourraient bénéficier d'un traitement favorable de leur dossier d'immigration. La SNCF le confirme dans son communiqué, qui laisse entendre qu'ils seront régularisés. L'ensemble des engagements pris par la SNCF à l'égard des salariés de la société Vigimark ne disposant pas de titre de séjour seront tenus, comme l'entreprise s'y est engagée auprès des pouvoirs publics, dit la SNCF. Thierry Lévêque
  11. Le budget de l'Elysée sous la loupe de la Cour des Comptes AP Laurence JoanGrangé Pour la première fois dans l'histoire de la République, l'Elysée a soumis ses dépenses 2008 à la loupe de la Cour des Comptes, qui constate que "le chemin à parcourir reste important" en matière de transparence, même si "des progrès significatifs ont été accomplis", a estimé jeudi le premier président Philippe Séguin. La Cour des Comptes épingle notamment "la très faible mise en concurrence des fournisseurs" de l'Elysée, le coût des déplacements officiels du président de la République et de son entourage ou encore l'entretien de résidences présidentielles inoccupées. Autant de postes qui pourraient réaliser des économies réelles. Demandé par Nicolas Sarkozy après son arrivée à la présidence, ce contrôle des comptes de l'Elysée vise à répondre notamment au député PS de l'Aisne René Dosière qui dénonce régulièrement depuis des années les dépenses présidentielles. "Cela fait 218 ans que le chef de l'Etat cache ses comptes à l'organe de contrôle, nous nous réjouissons d'avoir cette responsabilité, nous l'exerçons sans complaisance", a remarqué M. Séguin lors d'une conférence de presse de présentation des résultats du contrôle sur les services de la République. "Nous reconnaissons les efforts qui sont faits pour remettre l'Elysée dans le droit commun (...) Ainsi, le président de la République a été conduit à rembourser une partie de sommes qui, à son insu, nous en avons la conviction, avaient été payées à tort comme dépenses publiques alors qu'il s'agissait de dépenses privées", a souligné Philippe Séguin. Un remboursement qui atteint la coquette somme de 14.000 euros, sans que l'on sache quelles dépenses précisément. Jusqu'à présent éparpillées entre différents ministères, les dépenses de fonctionnement de l'Elysée sont désormais consolidées en un seul budget, celui de la présidence, a noté M. Séguin, "c'est le premier vrai budget de l'Elysée", qui a atteint 112,57 millions d'euros en 2008. Le premier président de la Cour des Comptes s'est refusé à contrôler le budget 2007, comme l'a fait René Dosière, car "le périmètre est différent". Une conclusion soutenue par le président de la 4e chambre Alain Pichon, qui a mené le contrôle: "le travail n'aboutirait pas de façon pertinente et démonstrative", selon lui. Si "déjà par rapport à la situation ancienne, le progrès en matière de transparence de régularité est remarquable", Philippe Séguin a estimé que l'Elysée doit désormais "prendre l'habitude d'avoir un recours systématique à la concurrence, même quand on n'y est pas obligé par les textes, alors qu'à l'Elysée comme à la cour d'Angleterre (...) on a l'habitude d'avoir des fournisseurs attitrés", comme le boucher qui n'a pas changé depuis 1969... D'autre part, "il y a des efforts qui ont été faits qui donnent des résultats inverses à ceux qu'on pouvait attendre: le président de la République met un point d'honneur à voyager sur des avions de ligne lorsqu'il voyage à titre privé, nous répondons que cela coûte plus cher", a-t-il expliqué. "Vous êtes obligés par les responsabilités qui sont les vôtres (...) d'être accompagné de six, sept personnes dont il faut payer le billet, et par ailleurs l'avion officiel vous suit parce une fois que vous serez arrivé à destination on peut, à tout moment, à une heure qui ne serait pas celle de l'avion de ligne, vous demander de repartir d'aller en Géorgie depuis le Var parce qu'il y a la guerre". Conclusion: "il serait plus simple que vous preniez l'avion officiel et que vous acceptiez de rembourser le billet fictif que vous n'aurez pas pris", a proposé Philippe Séguin. Enfin, la Cour des Comptes déplore les dépenses somptuaires pour l'entretien des résidences présidentielles inoccupées, Souzy-la-Briche (Essonne) et Marly-le-Roi (Yvelines). AP
  12. Contrôle de la Cour des comptes à l'Elysée : Nicolas Sarkozy rembourse des dépenses privées LeMonde.fr La Cour des comptes a rendu publics jeudi 16 juillet les résultats d'un contrôle effectué à l'Elysée sur la gestion des services de la présidence en 2008, première enquête concernant les comptes d'un chef de l'Etat dans l'histoire de la République française. 'D'une façon générale, l'application des procédures budgétaires et comptables reste à améliorer. Par ailleurs, sans se prononcer sur l'opportunité des déplacements officiels, la Cour a relevé que des économies seraient possibles dans ce domaine', dit cette institution dans un communiqué. L'enquête de la Cour des comptes a notamment révélé que des dépenses privées de Nicolas Sarkozy ont été payées par la présidence de la République en 2008. Juste avant la publication du rapport en faisant état, le chef de l'Etat a ainsi remboursé 14 123 euros à l'Elysée. Nicolas Sarkozy a assuré à l'institution qu'il ignorait que l'Elysée avait pris en charge ces dépenses personnelles. 'La Cour vous donne acte que vous avez remboursé la totalité de ces dépenses privées réalisées en 2008 dont vous n'aviez pas connaissance, à hauteur de 14 123 euros', écrit Philippe Séguin, président de la Cour des comptes, dans la lettre à Nicolas Sarkozy qui rend compte de l'enquête. Il précise que le chef de l'Etat a donné instruction pour qu'on lui remette en mains propres les factures de ses dépenses privées et de celles de sa famille. La Cour des comptes critique par ailleurs des dépenses d'études et la gestion des domaines immobiliers de la présidence. Elle montre notamment du doigt le coût important de propriétés très peu utilisées, comme le domaine de Souzy-la-Briche, dans l'Essonne. Dans la réponse publiée avec le rapport, la présidence de la République s'engage à poursuivre l'amélioration des procédures et promet de corriger certaines pratiques.
  13. Et ensuite il n'y aura plus qu'à construire uyn tunnel vers les Amériques...? Bouygues est déjà sur les dents...
  14. Hadopi 2 : la surveillance des emails écartée par les députés http://fr.news.yahoo.com/80/20090716/tpl-h...ls-7102401.html
  15. La délinquance remonte, Hortefeux rappelle les préfets à l'ordre http://fr.news.yahoo.com/78/20090716/tfr-l...pp-9e39cb8.html
  16. Trafic interrompu gare du Nord après un incendie à Saint-Denis Reuters Le trafic SNCF a été interrompu gare du Nord à Paris mercredi en fin d'après-midi en raison de l'intervention des pompiers au niveau de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), apprend-on auprès de la SNCF. Tous les TGV, y compris les Thalys vers l'Europe du Nord et les Eurostar vers Londres, sont restés à quai. Selon un porte-parole de la SNCF, un feu de talus s'est produit à 17h30 à hauteur de la gare RER Saint-Denis-Stade de France. Le sinistre s'est étendu à un camp de gens du voyage. Les pompiers, qui doivent passer sur les voies pour intervenir, ont demandé à la SNCF de cesser le trafic. "Nous espérons une reprise rapide", a déclaré le porte-parole de la SNCF, ajoutant que la situation gare du nord était "relativement calme". Le trafic sur les lignes B et H du RER avait repris vers 18h45, mais pas celui de la ligne D ni des TGV. Elizabeth Pineau, édité par Gilles Trequesser
  17. L'Assemblée vote le texte sur le travail dominical Reuters Les députés français ont adopté par 282 voix contre 238 la proposition de loi qui prévoit la possibilité d'ouvrir les commerces le dimanche dans les zones touristiques et thermales. Les groupes UMP et du Nouveau centre (NC), à l'exception de quelques-uns de leurs membres, ont voté pour. Le groupe socialiste, radical et citoyen (SRC) et de la gauche démocrate et républicaine (GDR, PC et Verts) ont voté contre cette proposition de loi présentée par le député UMP Richard Mallié et vivement soutenue par Nicolas Sarkozy. Le Sénat doit l'examiner à son tour à partir du 21 juillet, l'objectif étant que le texte soit définitivement adopté par le Parlement avant la fin de la session extraordinaire du Parlement, le 24 juillet. Engagé mardi dernier, l'examen de ce texte a été marqué par une bataille de procédure et d'amendements menée par les députés de l'opposition, socialistes notamment, qui affirment qu'il généralise le travail dominical. Emile Picy, édité par Yves Clarisse
  18. et en plus il faudra qu'elles aient des dents en or...
  19. helpsoso Jacques Chirac personnalité préférée des Français, selon un sondage AP Jacques Chirac conserve en juillet la première place du classement des personnalités politiques préférées des Français, selon un sondage IFOP pour "Paris-Match" rendu public mardi. Selon cette enquête à paraître jeudi dans l'hebdomadaire, 73% des Français ont une bonne opinion de l'ancien président de la République, qui gagne un point par rapport au mois dernier. Le directeur général du FMI (Fonds monétaire international) Dominique Strauss-Kahn fait son apparition dans le tiercé de tête. Il gagne dix points en un mois pour se hisser à la deuxième place du classement avec, lui aussi, 73% de bonnes opinions. Le maire (PS) de Paris Bertrand Delanoë conserve sa troisième position mais gagne deux points, passant de 67% en juin à 69% en juillet. Avec 68% de bonnes opinions (+3 points), le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner reste en quatrième place. Rama Yade, la secrétaire d'Etat aux Droits de l'Homme devenue secrétaire d'Etat aux Sports, dégringole de la deuxième à la cinquième place avec un pourcentage stable de bonnes opinions (6%). Le Premier ministre François Fillon reste en douzième position avec 58% de bonnes opinions (+4 points) et le président Nicolas demeure à la 28e place avec 48% d'opinions favorables (+2 points). - sondage réalisé au téléphone du 9 au 10 juillet auprès d’un échantillon de 955 personnes, constitué selon la méthode des quotas et représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. AP
  20. Libération : http://www.liberation.fr/societe/010157950...ns-sans-papiers
  21. Renault et PSA refusent d'indemniser les salariés de New Fabris Reuters Renault et PSA refusent de payer les indemnités demandées par les salariés de New Fabris qui menacent de faire exploser leur usine s'ils n'obtiennent pas satisfaction, annoncent des porte-parole des groupes. Lire l Les travailleurs de cet ancien sous-traitant automobile de Châtellerault (Vienne) en liquidation judiciaire ont disposé des bouteilles de gaz reliées entre elles en assurant qu'ils peuvent déclencher une explosion quand ils le désirent. Ils exigent le versement de 30.000 euros de primes en plus des indemnités légales pour chacun des 336 employés, soit dix millions d'euros au total, d'ici au 31 juillet. Les deux constructeurs automobiles estiment avoir déjà soutenu leur sous-traitant pendant la période de redressement judiciaire et déclarent qu'ils n'ont pas à prendre en charge les indemnités demandées par des salariés qui ne sont pas les leurs. "Les primes demandées ne sont pas prévues légalement. Renault n'est pas en leur faveur et de plus ce n'est pas au client de payer", a dit une porte-parole de Renault. Un porte-parole de PSA a abondé dans le même sens en soulignant que le problème de New Fabris pourrait faire tache d'huile si ces salariés obtiennent gain de cause. "A quel titre devrait-on payer des indemnités ? New Fabris est un client. On ne peut pas se substituer à l'actionnaire ou à l'Etat", a-t-il dit. "On ne peut pas supporter à nous seuls la restructuration de 12% de l'économie française." Le ministre de l'Industrie, Christian Estrosi, a annoncé lundi sur RTL qu'un rendez-vous avait été programmé le 20 juillet à Paris au ministère de l'Industrie avec les représentants du personnel de l'usine désormais fermée. "C'est notre devoir d'être à l'écoute, d'entretenir le dialogue social, de discuter aussi avec les grands constructeurs que sont Renault et PSA, de voir ce qui est possible et ce qui n'est pas possible, mais on ne peut pas le faire sous la menace", a-t-il déclaré. "Je dis à ces ouvriers: 'soyez raisonnables', parce que notre pays ne peut pas dans cette période de crise que nous traversons subir l'exemple d'une menace aussi puissante et aussi forte que de faire sauter son usine et son entreprise, ce n'est pas l'image de la démocratie et de la République", a-t-il dit. PSA D'ACCORD POUR RACHETER LES PIÈCES New Fabris a été placé en redressement judiciaire en novembre 2008 et, après la vaine recherche d'un repreneur, a été mis en liquidation en juin. Les salariés retiennent un stock de pièces produites et des outils de production qui venaient d'être installés. Durant la période d'observation fixée par la justice entre novembre et juin, les deux constructeurs disent avoir soutenu la société en maintenant leurs commandes. PSA est d'accord pour racheter les stocks de pièces au prix normal, ce qui apporterait 1,2 million aux caisses du liquidateur, mais les salariés les retiennent, a dit le porte-parole du groupe. Les syndicats de New Fabris ont souligné que l'ultimatum avait été initialement fixé au 15 juillet puis repoussé au 31 par une majorité des salariés. Les employés refusent de laisser les constructeurs récupérer les pièces en stock et les machines encore dans l'usine. Une délégation de salariés doit se rendre jeudi prochain à la direction de Renault pour tenter de négocier l'octroi des indemnités demandées. Au printemps, des salariés menacés de licenciement dans une demi-douzaine d'entreprises françaises avaient séquestré des patrons, comme ceux de Caterpillar à Grenoble (Isère), 3M à Pithiviers (Loiret) et Sony (Landes). Ces actions se sont avérées payantes puisque dans la plupart des cas les entreprises en question ont fait des concessions. A en croire les sondages, une majorité des Français disent comprendre, voire approuver ces stratégies. Thierry Lévêque, édité par Yves Clarisse Un article dans Libération : http://www.liberation.fr/economie/01015795...i-et-la-revolte
  22. La retraite c'est quand même mieux même avec un chat noir sur les genoux devant la cheminée... HiHiHi...
  23. Est-ce qu'on connait les suites de l'affaire ? Rapport ? Précisions sur l'évènement ? Enquête SNCF ? Enquête CHSCT ? Enquête BEA ? suite administrative ou disciplinaire ? Coût de l'incident ?
  24. Tu va être muté... si j'ai bien compris, ta copine a déjà déposé sa demande de mutation ... quand exactement ? quelques jours, mois, années ? Donc première chose à faire : ta copine (elle travaille dans quel métier exactement ?) envoie une nouvelle lettre à son RH pour lui signifier sa nouvelle situation : pacsée, son copain muté à tel endroit à telle date, ... avec les pièces jointes adéquates et renouveler en conséquence sa demande... Elle adresse la dite lettre non seulement par la voie hiérarchique mais également par envoi postal en recommandé avec accusé de réception (la confiance règne) et elle en conserve bien évidemment une copie qu'elle met dans un dossier qu'elle conservera au chaud... Et elle peut en profiter pour demander une audience personnelle à son DUO-DUP, RH voir DET... Ensuite il serait utile de relire complètement son contrat de travail et de revoir cette fameuse clause de dédit car il doit bien y avoir aussi des droits pour le salarié de ne pas acquitter le remboursement en question... Au delà il y aura aussi la possibilité des prud'hommes car il n'est pas certain que ce type de clause soit vraiment légal... Avant de démissionner il y aura toujours quelques solutions type congés sabbathiques ou autres...
  25. Oui mais dans les contrats signés par la SNCF et les sous-traitants au travers des marchés et appels d'offre légaux il y a normalement des clauses sociales...si si sauf que ce n'est pas la premières fois que des affaires de ce type se produisent en particulier pour les sous-traitants "ménage", "nettoyage" et "protection/sécurité" et cela fait de longues décennies d'années que ces affaires reviennent régulièrement à la surface (sans-papiers, non respects du code du travail, travail au noir etc, etc...)

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