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Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. sabots ==>> Jeannette...
  2. chaussures ==>> grolles
  3. Allez, je suis heureux et je vous transmets un petit bout de mon bonheur... Dom qui vous aime tous... même les grognons... :blush:
  4. Quand je vous dit que c'est contagieux le bonheur, même les agences de presse s'y mettent... Le bonheur serait contagieux, selon une étude Maria Cheng LONDRES -- Ce sourire sur votre visage, et ce bonheur dans votre vie, il vous faut peut-être en remercier de parfaits inconnus: car le bonheur est contagieux, et plus vous êtes entourés de gens heureux, même à votre insu, plus vous l'êtes vous-même, selon une étude publiée vendredi dans le très sérieux "British Medical Journal". Des chercheurs américains ont suivi plus de 4.700 habitants de Framingham, Massachusetts, dans le cadre d'une étude menée de 1983 à 2003. Et à la lecture des résultats sur les tendances au bonheur, les scientifiques ont découvert que non seulement les gens heureux transmettent leur joie à des gens qu'ils ne connaissent pas personnellement, mais que cette 'contamination' peut durer une année. "Le bonheur, c'est comme une onde de choc", a déclaré le Pr Nicholas Christakis, professeur en sociologie de l'Université de Harvard, un des auteurs de l'étude. "Etre heureux ne dépend pas juste de vos propres actions, comportements et pensées, mais de ceux et celles de personnes que vous ne connaissez même pas". Christakis et James Fowler, professeur associé de science politique, de l'Université de San Diego (Californie), avaient déjà démontré que l'obésité et la consommation de cigarettes se propageaient socialement de cette manière. Pour cette étude, ils ont étudié des questionnaires demandant aux gens d'évaluer leur bonheur et ont pu repérer un groupe de gens heureux et un autre groupe de gens malheureux plus distincts l'un de l'autre que ce à quoi ils se seraient attendus s'il ne s'était agi que du simple hasard. Le bonheur se propage sur trois cycles, jusqu'aux amis des amis des amis. Les gens heureux avaient tendance à se trouver au centre de réseaux sociaux et avaient de nombreux amis qui étaient, eux aussi, heureux. Avoir des amis ou des parents qui habitent à côté augmentaient les chances d'être joyeux. Les conjoints heureux représentent aussi un facteur positif, mais pas autant que les amis de même sexe. En revanche, aucun effet n'a pu être observé avec les collègues de travail. Christakis et Fowler estiment que chaque ami heureux augmente de 9% votre probabilité d'être heureux. Avoir des amis grognons la diminue de 7%. Etre heureux a d'autres avantages: "Le bonheur a un effet protecteur sur votre système immunitaire et sur le fait que vous fabriquez moins d'hormones du stress", a déclaré Andrew Steptoe, professeur de psychologie à l'University College de Londres, qui est extérieur à l'étude. Mais pour d'autres experts, les gens ne devraient pas partir du principe qu'il suffit d'avoir les bons amis pour être heureux: "La santé psychologique de vos amis est un indicateur de votre propre santé mentale, mais dire que vous pouvez décider de qui sont vos amis pour devenir plus heureux serait aller trop loin", estime Stanley Wasserman, statisticien Université de l'Indiana, qui étudie les réseaux sociaux. L'étude ayant été menée dans une seule communauté, d'autres recherches sont nécessaires pour confirmer ces résultats. L'étude a par ailleurs été conduite avant la flambée des sites de réseaux sociaux en ligne, notamment Facebook et MySpace. "Ces technologies améliorent les contacts amicaux. Elles pourraient donc favoriser la forme de contagion émotionnelle que nous observons", a déclaré Christakis. Bien qu'il ne puisse pas dire si être sur Facebook rendrait plus heureux. Pour Fowler en tous cas, cette étude est la première tentative d'analyse du karma: "Le fait que le bonheur se propage de personne en personne laisse penser que notre propre rayonnement puisse au final nous revenir". AP Sur le Net: http://www.bmj.com
  5. Un petit dessin du jour ...
  6. Et gros bazar ce matin sur Plaisir / Montparnasse train de voyageur en panne voie 2 à Fontenay le fleury (z5300 en UM - début d'incendie sur le circuit basse-tension de la cabine de tête) à 8h15 (heure de Super-Super Pointe à Fontenay justement deux trains bloqués derrière Secours par l'avant côté Versailles les autres trains en IPCS par la voie 1 (avec les voyageurs de 4 trains dans un seul pour évacuer trains arrêtés dans les gares intermédiaires ...) Fin du secours vers 10h45/11h... Retards de l'ordre de 50/60 minutes nombreuses suppressions de trains... et grosses difficultés de gestion au CRO de PRG C'est le 3ème incident du même type en un an (décembre 2007 et juin 2008...) Mais il parait que les cheminots et les usagers ne sont jamais contents et qu'ils passent leur temps à se regarder le nombril quand ils s'interrogent sur la régularité et la qualité du trafic...
  7. pastagas ==>> pataugas
  8. Edito du Monde Refus de vote LE MONDE | 04.12.08 | 14h30 • Toutes les enquêtes d'opinion l'attestent : dans leur très grande majorité, les salariés sont profondément attachés à la justice prud'homale, chargée de juger les litiges individuels relatifs au contrat de travail. La crise économique et la montée du chômage ont souligné une évidence : chaque salarié peut, un jour, avoir besoin des prud'hommes. Pourtant, lorsqu'il s'agit, en principe tous les cinq ans, d'élire leurs conseillers prud'homaux, les salariés boudent les urnes. Le 3 décembre, 74,5 % des inscrits se sont abstenus, soit une hausse de 7,2 points par rapport à 2002 et de 37,7 points par rapport à 1979 ! Que les élections prud'homales recueillent une nouvelle fois la palme de l'incivisme soulève plusieurs problèmes. Le fait que le refus de vote soit la grand vainqueur de ce scrutin montre que la démocratie sociale, prônée à droite comme à gauche, reste à construire. Un tel niveau d'indifférence à l'égard d'une institution jugée aussi utile que la Sécurité sociale est aussi le symptôme d'une société qui va mal. Ce n'est pas d'un désaveu que les syndicats, eux aussi reconnus nécessaires, sont victimes, c'est d'un mal d'autant plus grave qu'il ne cesse d'augmenter : le désintérêt. En commentant ces résultats, Xavier Bertrand a fait une étonnante déclaration. Le ministre du travail s'est demandé s'il ne fallait pas "développer plus largement le vote en entreprise". M. Bertrand a observé que "là où un bureau de vote a été installé dans l'entreprise, le taux de participation a régulièrement dépassé les 50 %". Vue la hausse continue de l'abstention depuis trente ans, il ne fallait pas être grand clerc pour deviner que la meilleure façon de la combattre était de voter sur les lieux de travail. Aux élections professionnelles, la participation oscille entre 64 % et 66 %. L'absence de campagne de sensibilisation, hormis quelques spots dans l'audiovisuel public, n'a pu que renforcer l'abstention. Il en résulte qu'on ne peut pas faire d'un miroir brisé un test électoral. Les syndicats qui ont progressé - la CGT (+ 1,6 point), la CFE-CGC (+ 1,2), l'UNSA (+ 1,2), Solidaires (+ 2,3) - ont su mieux mobiliser leurs sympathisants que les perdants - la CFDT (- 3 points), FO (- 2,3) et la CFTC (- 0,7). Cela les met juste en meilleure posture pour aborder, en 2009, la réforme de la représentativité syndicale.
  9. Le bonheur est contagieux, selon une étude LEMONDE.FR | 05.12.08 | 11h52 • Le bonheur des gens dépendrait du bonheur de ceux qui les entourent. C'est la conclusion des recherches menées pendant plus de vingt ans par deux scientifiques américains, dont l'étude est publiée, vendredi 5 décembre, par le British Medical Journal (BJM). Au-delà du fait, évident, que certaines émotions soient contagieuses d'une personne à l'autre, on en savait peu jusqu'ici sur l'impact, à long terme, de l'entourage d'un individu sur son bonheur, ainsi que sur le nombre et la proximité des personnes "contaminées" par le bonheur d'un tiers. L'objectif du professeur Nicholas Christakis, de la Harvard Medical School, et du professeur James Fowler de l'Université de Californie à San Diego, qui ont mené cette étude auprès de 4 739 personnes de 1983 à 2003, dans une ville du Massachussets, était donc d'évaluer si le bonheur pouvait se répandre, à long terme, d'une personne à l'autre, et dans l'ensemble d'un groupe social. Leur réponse est que "les variations dans le niveau de bonheur d'un individu peuvent se propager par vagues à travers des groupes sociaux et générer une large structure au sein même d'un réseau, créant ainsi des groupes de gens heureux ou malheureux", la proximité géographique important aussi bien que la proximité sociale. Par exemple, la probabilité qu'une personne soit heureuse augmente de 42 % si un ami qui vit à moins de 800 mètres le devient lui-même. Ce chiffre passe à 25 % si l'ami vit à moins de 1,5 km, et il continue de décliner à mesure que l'éloignement croît. Et le bonheur d'un individu peut "irradier" jusqu'à trois degrés de séparation, c'est-à-dire que l'on peut rendre heureux, l'ami de l'ami d'un ami. PAS DE CONTAGION AUX COLLÈGUES DE BUREAU "Les gens qui sont entourés par beaucoup de gens heureux (...) ont plus de chance d'être heureux dans le futur. Les statistiques montrent que ces groupes heureux sont bien le résultat de la contagion du bonheur et non seulement d'une tendance de ces individus à se rapprocher d'individus similaires," précisent les chercheurs. Les chances de bonheur augmentent de 8 % en cas de cohabitation avec un conjoint heureux, de 14 % si un proche parent heureux vit dans le voisinage, et même de 34 % en cas de voisins joyeux. Ces recherches "sont une raison supplémentaire de concevoir le bonheur, comme la santé, comme un phénomène collectif" expliquent-ils. Ce phénomène a cependant des limites : ainsi la formule ne s'applique pas au bureau. "Les collègues de travail n'affectent pas le niveau de bonheur, ce qui laisse penser que le contexte social peut limiter la propagation d'états émotionnels", selon l'étude. Dans son éditorial, le BMJ estime que cette étude "révolutionnaire" pourrait avoir des implications en termes de santé publique. "Si le bonheur se transmet effectivement par le biais des relations sociales, cela pourrait contribuer indirectement à la transmission similaire de la [bonne] santé, ce qui a des implications sérieuses pour l'élaboration des politiques", estime le journal. Dans leur introduction, les chercheurs rappellent que le bonheur est si essentiel à l'existence humaine que l'Organisation mondiale de la santé le désigne de plus en plus comme un composant à part entière de l'état de santé. Le Monde.fr avec AFP
  10. Mon épouse a reçue TROIS cartes... (dans le même bureau de vote...) pour un seul et unique travail... Manifestement l'organisation a laissé à désirere tant pour internet que pour le vote par correspondance -nombre de votes ont été renvoyés au mauvais endroits, la carte non signée etc...) Quand le vote avait lieu sur le lieu de travail quasiment (cas pour de grosses entreprises) le taux de participation est supérieur à 50% et atteint parfois 75%... 18 millions de salariés inscrits et 5 millions de votants : prendre ausii en considération que 5 millions de personnes ont voté. C'est sûr faudrait que ça s'améliore. je lisais il y a quelques jours que les principaux syndicats sont représentés dans moins de 20% des entreprises de plus de 10 salariés... En sessous n'en parlons pas et plus le nombre de salariés dans l'entreprise est important, plus on trouve de sections syndicales. Il y a un lien de cause à effet entre présence de sections syndicales dans une entreprise et participation des salariés. L'information/communication officielle sur l'orgtanisation des élections prud'homales est peu passée c'est sur, également pas de campagne officielle à la télé par exemple. A rapprocher peut être des élections politiques partielles (cantonales et législatives par exemple) où le taux de participation est souvent très faible (25/30%) Au delà on s'a^pproche de la fin de l'année, les gens sont sous la table avec les infos sur la crise financière et la crise économique ils n'entrevoient pas réellement de solutions (les annonces de Sarko d'hier tournent déjà en eau de boudin) et il n'y a pas d'opposition crédibleet audible (perspectuives- projets) Quand au syndicats ils sont en permanence cassés dans le discours sarkozien et ceux de ses sbires ... sans parler de ce qui se dit sur le terrain lui-même, ne parlons pas par exemple de ce forum ci... Alors faut pas s'étonner... Mais la situation n'est pas meilleure du côté employeurs : environ 30% mais chose intéressante les listes Medef et consorts (CGPME, FNSEA etc...) se prennent une claque de près de 8% au profit des listes économies sociales. Je n'ai pas deaucoup d'infos sur le sujet mais ça mériterait un petit examen sérieux...
  11. ...C'est créateur d'emploi "d'enleveur d'autocollants"... métier pénible cela va sans dire...
  12. Plan de relance: les réactions Voici les principales réactions au plan de relance présenté jeudi à Douai par le président Nicolas Sarkozy: - La nouvelle Première secrétaire du PS Martine Aubry a critiqué "un plan pour quasi-rien". "Ce soir, la France n'a toujours pas un plan de relance économique, social et financier à la hauteur de la crise dans laquelle elle s'enfonce", a déploré la maire de Lille lors d'un point presse rue de Solférino. Démontant "l'opération de communication" de Nicolas Sarkozy, Mme Aubry a pointé l'absence de mesure pour le pouvoir d'achat, "si ce n'est une prime de 200 euros pour 3,8 millions de Français". - L'ex-candidate socialiste à la présidentielle Ségolène Royal a dénoncé "des mesurettes qui ne sont pas à la hauteur du problème". Pour elle, "Le président de la République est maintenant déconnecté de la base et a perdu le sens de la réalité de la vie quotidienne". "On voit d'un côté des milliards qui ont été débloqués comme par enchantement pour les banques et de l'autre des filières industrielles de toute première importance qui font des profits et à l'égard desquelles il n'y a aucun respect pour les salariés". - Le président socialiste de la commission des Finances de l'Assemblée nationale Didier Migaud s'est dit "particulièrement surpris que le président de la République ait pu oublier le thème de sa campagne, la question du pouvoir d'achat". "Je trouve que le plan de relance est plus un plan de rattrapage", a-t-il ajouté, jugeant que la prime de 200 euros prévue pour les 3,8 millions de bénéficiaires potentiels du revenu de solidarité active (RSA), n'est pas à l'échelle". Je vous rappelle que le paquet fiscal c'est 10 milliards d'euros". - Le secrétaire national du PS chargé de l'Economie Michel Sapin a fustigé "un beau coup de poudre aux yeux". Dans les 26 milliards d'euros du plan de relance, pour "plus de la moitié", c'est "simplement l'Etat qui rend l'argent qu'il doit aux entreprises", a-t-il expliqué, ajoutant que "pour beaucoup d'autres" annonces, "c'est de l'habillage de mesures qui auraient été prises et qui sont éventuellement accélérées". - Le fondateur du nouveau Parti de gauche Jean-Luc Mélenchon juge qu'"avec 26 milliards d'euros, le plan de relance (...) fait d'emblée pâle figure face aux 360 milliards d'euros dégagés il y a quelques semaines pour les banques et la finance". - Pour Cécile Duflot, secrétaire nationale des Verts, "ce patchwork de mesures ne répondra pas plus aux problèmes des Français que les précédents". "Face aux crises économiques, sociales et climatiques, il faut une véritable reconversion de notre économie et un partage des richesses. Mais pouvait-on attendre autre chose de Nicolas Sarkozy pompier-pyromane de cette crise économique et sociale, comme tant d'autres adorateurs de la croissance?", conclut-elle dans un communiqué. - Pour le parti communiste français, "une véritable politique de relance s'appuie sur l'augmentation des salaires". "Comment porter crédit à la promesse de construction de logement sociaux, quand la droite s'attaque avec acharnement à la loi SRU (solidarité et renouvellement urbain)?", s'interroge le PCF dans un communiqué, ajoutant que "les annonces en matière de logement contredisent dans les actes le projet de loi Boutin qui sera voté en décembre". - La LCR affirme que "ce plan de relance est très clairement en faveur des patrons : 11 milliards d'euros de remboursements anticipé et une augmentation des exonérations de charges s'ajoutant aux 30 milliards d'exonérations déjà en vigueur, plus tous les profits qu'ils pourront tirer à partir des 10,5 milliards d'investissements publics, en lien avec la dérégulation des marchés publics et des conditions de travail". - L'UMP, par la voix de son porte-parole Marc-Philippe Daubresse, salue "deux mesures fortes": "l'exonération des charges sociales pour les PME et la relance du bâtiment et de l'automobile" et rappelle que "grâce au revenu de solidarité active et au contrat de transition professionnelle les salariés les plus modestes qui seront touchés par la crise" recevront une aide supplémentaire. - Le Nouveau Centre "se félicite du plan de relance ambitieux et volontariste que le Président de la République vient de présenter aux Français". "Il est urgent que les régions dotées de compétence économiques, prennent enfin toutes leurs responsabilités, comme le fait l'Etat, pour relancer l'économie locale" souligne le parti présidé par le ministre de la Défense Hervé Morin, visant ainsi le Parti socialiste. - Le député de l'Essonne Nicolas Dupont-Aignan raille "les cachets d'aspirine du Docteur Sarkozy ne suffiront pas à guérir le malade". Le président de Debout la République déplore que "ce plan constitue un effort conjoncturel totalement insuffisant dans son ampleur, sa vitesse d'exécution et sa durée d'une part car il ne s'attaque pas aux causes profondes du mal français, dont la crise va aggraver les effets". - La CGT juge que "la relance se borne essentiellement à de nouveaux cadeaux aux entreprises sans contreparties réelles. En dehors des mesures ciblées sur l'automobile et le logement, d'impact limité, celle concernant le pouvoir d'achat est repoussée à plus tard", estime la confédération de Bernard Thibault dans un communiqué. "Les investissements publics annoncés à hauteur de 10 milliards d'euros sont entourés d'une grande imprécision et donnent le sentiment du déjà vu", assure la centrale syndicale arrivée en tête lors des élections prud'homales. - Pour la CFDT, "ce plan recycle un certain nombre de mesures déjà annoncées (...) et des remboursements d'engagements de l'Etat déjà dus aux entreprises et aux collectivités". "D'autres mesures anticipent des investissements publics dans des infrastructures". Enfin, ajoute le communiqué, "ce plan est centré sur l'investissement. Mais il est pauvre concernant la relance de la consommation et du pouvoir d'achat". - Pour FO, les annonces ne sont "pas à la hauteur des enjeux". "En opposant d'emblée dépenses d'investissement et dépenses de fonctionnement, la communication présidentielle esquive soigneusement la question du soutien des dépenses de consommation". Dans un communiqué, Force ouvrière qualifie ce plan de "catalogue" de mesures qui "entérine pour nombre d'entre-elles les engagements politiques déjà affirmés, notamment au travers du 'grenelle' de l'environnement". - La FSU estime que "le plan de relance annoncé par le président de la République à grand renfort de superlatifs, additionne en fait la réaffirmation de décisions déjà prises, des anticipations de paiements, des accélérations d'investissements et des mesures nouvelles". - La présidente du Medef, Laurence Parisot, a noté que "cette vision qui privilégie l'investissement sur le fonctionnement, l'efficacité sur la bureaucratie, le travail ou le retour le plus vite possible au travail sur l'assistanat, nous la partageons". "Cette crise est une convulsion douloureuse. Mais elle nous oblige tous à accélérer la modernisation de notre pays", juge-t-elle. Elle ajoute que "le MEDEF salue l'encouragement donné aux TPE en leur facilitant l'embauche d'un nouveau salarié". - Le PDG de Renault Carlos Ghosn évoque des "mesures très positives": "cette prime à la casse qui est annoncée pour un an va permettre selon nos prévisions qu'au lieu que le marché français soit par exemple l'année prochaine à -15%, il sera probablement à -5%. Cela va permettre d'amortir un peu la récession que nous voyons sur le marché français pour l'année prochaine", s'est réjoui M. Ghosn. AP
  13. Aubry: la France n'a "toujours pas le plan de relance" exigé par la crise La première secrétaire du PS Martine Aubry a jugé jeudi, après la présentation des mesures Sarkozy, que la France "n'a toujours pas le plan de relance" qu'exige la crise économique. "Ce soir, la France n'a toujours pas le plan de relance à la hauteur de la crise qui s'installe", a déclaré la maire de Lille lors d'une conférence de presse au siège de son parti, aux côtés de Didier Migaud, président de la commission des Finances de l'Assemblée. Elle a souligné la nécessité d'une relance du pouvoir d'achat. "Les Français ont un problème c'est le pouvoir d'achat, et c'est cela qui bloque la relance de la consommation et bien évidemment de la croissance", a-t-elle dit. "Sur ces sujets", selon elle, il n'y a eu "aucune annonce si ce n'est une prime de 200 euros pour 3,8 millions de ménages. Je dis tant mieux", mais "ce que nous demandons c'est d'abord une augmentation des salaires et surtout des minima sociaux". "Rien pour augmenter l'indemnisation du chômage et pour accompagner les licenciés, rien sur le logement, si ce n'est quelques crédits de recyclage et de rattrapage", "rien sur les investissements publics qui n'ait déjà été prévu" et "des remboursements pour les entreprises qui sont des dettes de l'Etat", a-t-elle encore dit. "Ce que nous demandions, c'est ce que Gordon Brown a fait en Grande Bretagne et José Luis Zapatero qui a annoncé en Espagne 11 milliards d'euros", a affirmé Mme Aubry. "C'est une grande déception", "c'est "un plan pour rien tant les éléments majeurs d'une relance économique ne sont pas traités", a ajouté la patronne du PS. La prime à la casse annoncée par le président évoque, aux yeux de la première secrétaire, d'autres primes de naguère: "de même qu'on avait eu la balladurette et la juppette, nous avons maintenant la sarkozette qui aura le même effet, c'est a dit un effet extrêmement éphémère, un effet d'aubaine". Elle a encore vivement critiqué "la déréglementation en matière d'urbanisme et réforme des marchés publics, mesures que la droite aime beaucoup". Selon elle, en relevant à 20.000 euros du seuil en-dessous duquel un marché public peut être conclu sans aucune procédure, "la mise en concurrence n'existe pas" et "quand on sait quelles ont été les pratiques antérieures, c'est inquiétant".
  14. Plan de relance Sarkozy: réactions CGT, FO, CFDT, FSU et Secours catholique Le plan de relance de 26 milliards d'euros annoncé jeudi par Nicolas Sarkozy pour contrer la crise a suscité de nombreuses récations dans les mondes syndical et associatif. - CGT: "La seule certitude qui ressort de ce énième discours présidentiel sur la crise, c'est que les employeurs viennent une nouvelle fois de passer au guichet", notamment en bénéficiant de "nouveaux allègements de cotisations". "Dans ce contexte, il est plus urgent que jamais qu'une action unitaire soit décidée dans les délais les plus rapides pour que les exigences des salariés s'expriment avec force". - FO "déplore l'absence totale de mesures sur le pouvoir d'achat et le déséquilibre patent entre soutien de l'offre et relance de la demande". "Les annonces du chef de l'Etat ne sont pas à la hauteur des enjeux" et "la communication présidentielle esquive soigneusement la question du soutien des dépenses de consommation". - CFDT: Ce plan "est pauvre concernant la relance de la consommation et du pouvoir d'achat" et "la mesure d'avance de RSA est largement insuffisante". "La CFDT regrette qu'un nouvel allègement du coût du travail voit le jour, sans contrepartie demandée aux entreprises en terme d'emploi et de pouvoir d'achat", mais "note cependant en positif l'augmentation des fonds alloués à l'accompagnement des chômeurs". - FSU: le plan de relance "comporte des mesures ponctuelles et très limitées envers les plus défavorisés, il omet totalement les instruments qui permettraient une politique salariale susceptible de contribuer à une relance de la consommation". La FSU "fera tout pour que les perspectives d'action unitaire interprofessionnelle prévues début 2009 se concrétisent au plus tôt". - SECOURS CATHOLIQUE: pour son président François Soulage, la prime de 200 euros aux futurs bénéficiaires du RSA est "un coup de pouce", mais "ne remplace pas une revalorisation des minima sociaux, qui ne cessent de prendre du retard sur le Smic". "De plus, les jeunes de moins de 25 ans sont une fois de plus oubliés". "Avec les mesures en faveur du logement, on est plutôt sur le sommet de la gamme du logement que sur les logements très sociaux".
  15. un message dans un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
    donc 50% n'y touchent pas...
  16. C'est vrai que la campagne électorale a été très animée... et qu'il y a eu une intense propagande (télé, radio, journaux, tracts, collage...) Regardons également les élections partielles en cours (cantonales, législatives, l'abstention frise les 75% également...)
  17. Prud'homales : la CGT progresse, la CFDT et FO reculent LEMONDE.FR avec AFP | 04.12.08 | 04h34 • Le taux de participation aux élections prud'homales de mercredi 3 décembre s'est établi à 25,5 % dans le collège "salariés", soit une abstention record de 74,5 %, selon les résultats définitifs publiés jeudi 4 décembre au petit matin par le ministère du travail. La CGT a renforcé sa première place parmi les organisations syndicales, en progressant de 1,6 point à 33,8 %, aux dépens de la CFDT, en baisse de trois points à 22,1 %, et de FO, en recul de 2,3 points à 15,9 %. La CFTC s'effrite (-0,7 point) à 8,9 %, tandis que la CFE-CGC progresse de 1,2 point, à 8,2 %, et ravit à la CFDT la première place chez les cadres avec 27,9 % des voix dans la section "encadrement". L'UNSA (syndicats autonomes), en cours de rapprochement avec la CFE-CGC, gagne 1,2 point, à 6,2 %, tandis que l'Union syndicale Solidaires, qui comprend les syndicats SUD, fait plus que doubler son score, passant de 1,5 % à 3,8 %. Les listes diverses représentent 1 %. La participation, qui avait chuté de 63,2 % en 1979, premières élections prud'homales, à 32,7 % en 2002, a encore fortement reculé, à 25,5 %, atteignant son plus bas niveau en trente ans. En revanche, elle a progressé dans le collège employeurs, à 31,5 %, contre 26,6 % en 2002. Les listes d'union – Medef, CGPME, FNSEA (agriculteurs), UPA (artisans), UNAPL (professions libérales) – reculent de près de 8 points tout en restant largement majoritaires, à 72,1 %, devant les employeurs de l'économie sociale, qui progressent de 7,7 points à 19 %, et les listes diverses (8,5 %). Afin d'enrayer cette chute globale de la participation, le ministre du travail, Xavier Bertrand, a estimé, jeudi matin, qu'il fallait "faciliter et simplifier" les modalités de vote. Parmi les pistes de réflexion, M. Bertrand a notamment insisté sur la "piste très concrète" de la généralisation de l'installation des bureaux de vote dans les entreprises. Malgré l'abstention, "les résultats ont une vraie signification, car près de 5 millions de votants, ça compte", a-t-il souligné.
  18. Prud'homales : les leaders syndicaux mettent en cause l'organisation du scrutin LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 04.12.08 | 11h04 Les trois quarts des salariés du privé ont boudé les élections prud'homales organisées, mercredi 3 décembre, à travers la France, marquées par une abstention record et par la progression de la CGT, qui renforce sa première place aux dépens de la CFDT, en recul sensible, et de FO. La portée du scrutin est cependant réduite par une très faible participation – un quart seulement des inscrits –, la plus faible depuis l'origine de ces élections en 1979. Arrivée en tête du scrutin (avec 33,8 % des voix, contre 32,1 % en 2002), la CGT a estimé dans un communiqué diffusé jeudi matin que le résultat du vote était "un message clair des salariés en direction des pouvoirs publics et du patronat pour que leurs droits soient respectés et leur situation améliorée, dans un moment où tout est fait pour leur faire payer la crise". Comme elle l'avait fait avant le scrutin, la CGT critique "la désinvolture avec laquelle cette élection, unique en son genre, a été organisée". Le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque, s'est, quant à lui, déclaré "déçu", jeudi matin sur Europe 1, alors que son organisation recule de trois points, à 22,1 %. Il a reconnu que le soutien à la réforme des retraites a pu "jouer un rôle". "Mais j'assume le résultat, a dit M. Chérèque. Surtout j'ai confiance dans les militants de la CFDT qui, dans les entreprises, ont la confiance des salariés", a indiqué M. Chérèque. Souhaitant apporter une nuance aux résultats décevants pour son syndicat de ce scrutin boudé par les trois quarts des salariés du privé, le leader syndical a souligné "que toutes les grandes confédérations baissent en nombre de voix, c'est important". Il a aussi regretté que l'Etat n'ait pas organisé "de véritable publicité sur ces élections. (...) Vous avez eu un débat dans les radios sur les élections ?, a-t-il interrogé, il y a 18 millions d'électeurs et on n'en n'a pas parlé, c'est un élément qui est important". La CFTC, qui recule légèrement, à 8,9 %, s'est, elle, attachée à décrypter les raisons de son repli et la progression des "organisations contestataires". Selon le syndicaliste Bruno Aubin, ces dernières "sortent renforcées du scrutin pour trois raisons : la droite est au pouvoir, sa politique est contestée, les attaques contre les acquis sociaux et la baisse du pouvoir d'achat ont pesé dans la balance". Quant au patron du syndicat, il a lui aussi critiqué l'organisation du scrutin : "Rien n'a été fait pour que cette élection ait la place qu'elle mérite", a estimé Jacques Voisin. Dans la nuit, Jean-Claude Mailly, pour FO, avait aussi tenté de relativiser l'échec de son syndicat, qui recule de 2,3 points à 15,9 %. "L'ordre ne va pas être changé, on le savait, et les trois premières organisations, ça ne va pas changer." Quant à l'union syndicale Solidaires – dont font partie les syndicats SUD –, qui a remporté 3,8 % des voix (contre 1,5 % en 2002) et se pose comme l'autre vainqueur du scrutin, elle salue la progression d'un "syndicalisme de lutte et de proximité". Solidaires regrette néanmoins un taux de participation "très faible" et des "difficultés techniques" qui ont empêché des salariés de voter. L'alliance entre l'UNSA (syndicats autonomes) et la centrale des cadres CFE-CGC devient une "force incontournable" dans le paysage syndical, avec 14,4 % des voix à elles deux aux élections prudhomales de mercredi, s'est de son côté félicité Alain Olive, secrétaire général de l'UNSA.
  19. Le communiqué "solidaires" (sud) http://www.cheminots.net/forum/index.php?a...st&id=11253
  20. professeur (dans tintin) ==>> Tournesol
  21. http://www.resultats.prudhommes.gouv.fr/ Peut être un jour les résultats sur le site du ministère du travail Pour l'instant : rien...
  22. un message dans un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
    La loi s'applique à tout le monde... et pendant que certains veulent mettre des gamins de 12 à 13 ans en prison (ça concernerait une vingtaine de gamins pour une tranche d'âge d'environ 750.000...) Mais que font Dati et Sarko ? Je rappelle que Sarko est dans les allées du pouvoir depuis 2002, ça fait 7 ans...déjà Une figure du grand banditisme relâchée après une erreur de procédure Jeudi 04 décembre 2008, Serge Lepage, une figure du grand banditisme soupçonnée de plusieurs vols à main armée, et trois de ses complices présumés, ont été récemment remis en liberté à la suite d'une erreur de procédure, a-t-on appris jeudi de source judiciaire, confirmant une information du Point.fr. En novembre 2007, Serge Lepage avait été interpellé avec huit autres personnes en région parisienne dans le cadre d'une enquête sur une série de vols. Ils ont été mis en examen pour vols, blanchiment et escroquerie en bande organisée. La police les soupçonne d'appartenir au "gang de la banlieue Sud" de Paris, qui avait défrayé la chronique dans les années 1980 et 1990. Ce gang, composé de gitans sédentarisés, est soupçonné de nombreux vols et braquages tous plus audacieux les uns que les autres et de participation à des évasions. Le 1er juillet 2008, la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris avait rejeté la demande de certains mis en cause qui demandaient l'annulation des écoutes diligentées dans le pavillon de Serge Lepage. Le dispositif, autorisé jusqu'au 20 juin 2007, était resté en place jusqu'au 5 juillet sans autorisation de prolongation. Dans un arrêt rendu le 13 novembre, la chambre criminelle de la Cour de cassation a estimé qu'une telle situation était illégale et elle a annulé la décision de la chambre de l'instruction. Statuant à nouveau le 25 novembre, cette dernière a libéré les détenus.
  23. eau de vie ==>> gnôle
  24. Ben non justement ce doit être justement la période. Tu pourrais peut être aller faire un tour sur le site internet des impôts http://www.impots.gouv.fr/portal/dgi/home?...ome&sfid=00 https://www.telepaiement.cp.finances.gouv.f...ntexteinitial=2
  25. Tu pourrais aussi mensualiser tes versements : la somme de ton imposition réelle 2008 par exemple sera divisée en dix versements égaux de janvier à octobre 2009 Vers avril-juin : Tu effectues ta déclaration et tu fais un calcul estimatif de ton impôt sur les revenus 2008 à déclarer et payer en 2009 (sur internet c'est à l'euro exact) et tu peux éventuellement adapter tes versements pour les derniers mois sinon les impôts te retiendront sur nov et déc 2009 ton reliquat si tu leur dois des sous sinon ils te remboursent la différence si tes acomptes sont supérieurs à ton impôt réel...

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