Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Elections Prud'Homales
Prud'homales: abstention record, progrès de la CGT aux dépens de CFDT et FO AFP Simon VALMARY et Vincent DROUIN Les trois quarts des salariés du privé ont boudé les élections prud'homales de mercredi, marquée par une abstention record et par la progression de la CGT, qui renforce sa première place aux dépens de la CFDT, en recul sensible, et de FO.Evénement Le taux de participation s'est établi à 25,5% dans le collège "salariés", soit une abstention de 74,5%, selon les résultats annoncés jeudi matin par le ministre du Travail Xavier Bertrand. La participation, qui avait déjà chuté de 63,2% en 1979, premières élections prud'homales, à 32,7% en 2002, atteint ainsi son plus bas niveau en 30 ans. Les résultats marquent des évolutions notables pour des élections où les changements ne sont jamais spectaculaires. La CGT, en première position, a progressé de 1,6 point à 33,8%, devant la CFDT (22,1%) en baisse de trois points, FO (15,9%) en recul de 2,3 points, et la CFTC (8,9%) qui perd 0,7 point. La CFE-CGC (8,2%) progresse de 1,2 point parmi l'ensemble des salariés, et ravit à la CFDT la première place chez les cadres avec 27,9% des voix dans la section "encadrement". L'Unsa (syndicats autonomes), en cours de rapprochement avec la CFE-CGC, gagne 1,2 point, à 6,2%, tandis que l'Union syndicale Solidaires, qui comprend les syndicats Sud, fait plus que doubler son score, de 1,5% à 3,8%. Les "divers" représentent 1%. La CFDT, qui peu de temps après les élections de 2002 avait connu une désaffection d'une partie de ses militants en raison de son soutien à la réforme des retraites de 2003, apparaît comme une perdante du scrutin. Pour sa part, FO est talonnée par l'alliance entre CFE-CGC et Unsa, qui totalisent 14,4% et qui voient dans le résultat un encouragement à leur rapprochement. Du coté des patrons, la participation est en revanche en hausse, à 31,25%, contre 26,6% en 2002. Les employeurs de l'économie sociale -qui visaient notamment les voix des particuliers employeurs- ont effectué une percée, avec 19% (contre 11,3% en 2002), même si les listes d'union menées par le Medef restent largement en tête avec 72,1% des voix (80% en 2002). Les listes diverses totalisent 8,5%. Les salariés représentaient l'immense majorité des électeurs (18,6 millions sur 19,2 millions) appelés à désigner les conseillers prud'homaux chargés de juger les litiges individuels du travail dans le secteur privé. Les leaders syndicaux ont déploré l'abstention, l'attribuant en partie à un défaut de communication gouvernementale, et au fait que l'élection ne se déroule pas dans l'entreprise. Xavier Bertrand s'est montré à cet égard ouvert à une généralisation du vote sur le lieu de travail pour les prochains prud'homales, en précisant qu'il "semblerait que là où un bureau de vote a été installé dans l'entreprise, le taux de participation a régulièrement dépassé les 50%" La faible participation, malgré la généralisation du vote par correspondance et l'introduction du vote par internet à Paris, montre qu'il y a "un problème", a souligné Jean-Claude Mailly (FO). "Les salariés ne sont pas prêts à se mobiliser pour une élection qui a lieu en dehors de l'entreprise", a déclaré François Chérèque (CFDT), en regrettant l'absence de "campagne forte". Pour Jacques Voisin (CFTC), "rien n'a été fait pour que cette élection ait la place qu'elle mérite". Bernard Thibault (CGT) s'est félicité de la progression de son organisation qui marque un "inversement de tendance" par rapport à la baisse qu'elle enregistrait depuis 1979. Mais il a regretté de "nombreuses anomalies" dans le vote.
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Elections Prud'Homales
Progrès des syndicats contestataires aux prud'homales Reuters 4/12/2008 Sur fond de crise économique, les syndicats contestataires CGT et Sud ont progressé en France au détriment des modérés, lors d'un scrutin national pour former des juridictions tranchant les conflits du travail. La portée du scrutin est cependant réduite par une très faible participation d'un quart seulement des inscrits, la plus faible depuis l'origine de ces élections en 1979. La CGT voit cependant ce vote comme un "message des salariés" au pouvoir politique, et Sud estime qu'il conforte la voie vers un "syndicalisme de lutte". Le gouvernement insiste de son côté sur la faiblesse de la participation. "Je préfère avoir des partenaires sociaux exigeants et renforcés plutôt que des partenaires sociaux dont on a le sentiment que les salariés s'éloignent", a dit le ministre du Travail Xavier Bertrand aux journalistes. Selon les résultats définitifs, diffusés par Xavier Bertrand, la participation a été de 25,5%, en baisse de sept points par rapport à 2002. La CGT conforte sa place de premier syndicat du pays en obtenant 33,8% contre 32,1% en 2002. L'organisation la plus radicale, Sud, double presque son score avec 3,8% contre 1,5% lors du scrutin précédent. La CFDT, syndicat ayant soutenu la "réforme des retraites", en fait une augmentation de la durée de cotisation pour une retraite à taux plein en 2003, chute à 22,1% contre 25,2%. Enfin, FO recule à 15,9% contre 18,3% et la CFTC passe à 8,9% contre 9,7%. Chez les cadres, la CFE-CGC progresse à 8,2% contre 7,0% et prend la première place dans ce collège à la CFDT, et l'Unsa progresse aussi à 6,2% contre 5,0%. CHÉRÈQUE DÉCU, THIBAULT EN COLÈRE "Je suis déçu", a reconnu sur Europe 1 le secrétaire général de la CFDT François Chérèque. Il reconnaît que le soutien à la réforme des retraites a pu "jouer un rôle" mais estime cependant que son syndicat n'est pas désavoué pour autant. "C'est un message clair des salariés en direction des pouvoirs publics et du patronat pour que leurs droits soient respectés et leur situation améliorée, dans un moment où tout est fait pour leur faire payer la crise", a dit dans un communiqué la CGT. L'échec de l'appel à la mobilisation des salariés aux urnes est dénoncé par la CGT. "On a toute une série d'anomalies qui feraient scandale s'il s'agissait d'élections politiques", a dit à la presse son patron, Bernard Thibault. Le ministre Xavier Bertrand et François Chérèque estiment qu'il faudra modifier les modalités du vote en installant par exemple des bureaux de vote dans chaque entreprise. Le scrutin marque aussi un changement chez les employeurs, les syndicat du patronat traditionnel Medef, CGPME et UPA regroupés dans l'UDE obtenant tout de même 72,1% des suffrages, mais en forte baisse devant l'AESS, en faveur d'une "économie solidaire" qui obtient 19%, soit 7,7 points de plus qu'en 2002. Plus de 19 millions d'électeurs étaient invités à élire les conseillers prud'homaux qui tranchent chaque année quelque 200.000 litiges entre salariés et employeurs en France. Le scrutin était un test alors que s'amorcent plusieurs réformes importantes comme celle de La Poste et surtout celle de la représentativité syndicale voulue par Nicolas Sarkozy. Le système actuel n'accorde une "présomption irréfragable" de représentativité qu'aux cinq centrales CGT, CFDT, FO, CFE-CGC et CFTC, qui sont donc privilégiées dans les négociations. Les autres syndicats doivent prouver leur représentativité par branche d'activité. Plus de 14.500 conseillers siègent dans 210 conseils. Cinquante pour cent des affaires traitées concernent la rupture du contrat de travail et 40% des problèmes de rémunération. Environ 70% des décisions font l'objet d'un appel mais les décisions de première instance sont confirmées dans près de 70% des cas. Jean-Baptiste Vey, Thierry Lévêque
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Elections Prud'Homales
Déclaration CGT Publié le jeudi 4 décembre 2008 Elections prud’homales Progrès en voix, en pourcentage et en sièges de la Cgt La Cgt progresse en voix et en pourcentage aux élections prud’homales du 3 décembre 2008. Sur 90 % des votants la Cgt recueille plus de 1,7 million de voix. C’est un message clair des salariés en direction des pouvoirs publics et du patronat pour que leurs droits soient respectés et leur situation améliorée, dans un moment où tout est fait pour leur faire payer la crise. C’est la première fois depuis 30 ans que la Cgt enregistre un tel progrès qui se traduit dans toutes les sections et dans la quasi-totalité des départements. Avec 34,4 % des voix, la Cgt atteint son meilleur score depuis 20 ans dans des élections prud’homales. C’est d’autant plus significatif que la participation au scrutin connaît une nouvelle baisse, dont la responsabilité incombe très largement à des conditions particulièrement déplorables d’organisation du scrutin. La Cgt n’accepte pas la désinvolture avec laquelle cette élection, unique en son genre, a été organisée, pas plus que l’absence d’espace d’expression dans les médias, témoignant d’une crainte du résultat que pourrait donner une forte mobilisation des électrices et électeurs. Le vote électronique expérimental à Paris est loin d’avoir rempli les conditions de fiabilité et de sécurité qu’on est en droit d’exiger dans une consultation démocratique. Ce résultat place la Cgt très largement en tête de toutes les organisations syndicales. Cela lui confère des responsabilités importantes pour construire une démarche syndicale soucieuse du rassemblement et de l’unité d’action. A l’appui de ce résultat, gagné par un intense travail de tous ses syndiqués, la Cgt entend plus que jamais aller à la rencontre des salariés et construire avec eux et avec elles le syndicalisme conquérant, offensif, rassembleur et démocratique qu’ils viennent d’encourager. Montreuil, le 4 décembre 2008 à 3 h 00
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Le Bar de la Rotonde
ça nous concerne... on nous surveille... Les commentaires d'internautes dans le flou juridique LeMonde.fr Ce qu'il convient désormais d'appeller "l'affaire de Filippis" a provoqué une levée de bouclier autant chez les journalistes que dans la sphère politique. L'interpellation et la mise en examen de Vittorio de Filippis, PDG de Libération entre juin et décembre 2006, est le résultat d'une plainte en diffamation déposée par le fondateur de Free, Xavier Niel. Pendant cette période, le quotidien consacre six articles aux démêlés judiciaires de M. Niel, reconnu coupable de recel d'abus de biens sociaux. Ce dernier porte alors plainte, non pas contre une information paruedans l'un de ces articles, mais contre un commentaire d'internaute publié sous l'un d'entre-eux. La suite est connue : la procédure pour diffamation suit son cours dans l'indifférence générale jusqu'à l'interpellation musclée et la mise en examen du journaliste, considéré comme responsable car également directeur de la publication. Depuis la loi du 29 juillet 1881 sur la presse, il existe en effet le principe d'une présomption de responsabilité pénale du directeur de la publication. Selon la loi pour la confiance sur l'économie numérique (LCEN), en vigueur depuis 2004, il existe trois acteurs sur le Web : les fournisseurs d'accès à Internet, qui donnent l'accès et ne sont pas responsables du contenu des sites ; les hébergeurs, qui assurent la mise à disposition d'informations au publicmais ne sont pas soumis à l'obligation de surveillance ; et enfin les éditeurs, professionels ou non, qui sont considérés commes responsables du contenu. Or, relève Me Eric Barbry, avocat spécialisé dans le droit sur Internet, "ce sont des définitions simples mais totalement dépassées quiont été trouvées il y a presque dix ans". "Un environnement Web 2.0, où on laisse la possibilité aux internautesde s'exprimer, est apparu depuis, explique-t-il. On découvre un quatrième acteur, lespersonnes qui commentent les articles ou les blogs, et on ne sait pas où lesmettre. Les réactions et les commentaires de tiers restent une zone juridique floue", explique l'avocat. Dans le cas de Libération, M. de Filippis estpoursuivi en tant qu'éditeur du site du quotidien. Pourtant, aucune loi ne dit explicitement que le directeur de la publication peut être considéré comme éditeur sur Internet. Cela reste à l'appréciation des magistrats qui interprètent seuls la législation. "On peut aussi considérer que l'internaute qui a écrit le commentaire est éditeur, ce qui ferait de Libérationdans ce cas précis un hébergeur. Un hébergeur n'est responsable descontenus hébergés que s'il refuse des les enlever", note Me Barbry. Le journal a pourtant bien retiré le commentaire incriminé dès qu'il en a appris l'existence. David Corchia, responsable de la société qui s'occupe de la modération sur Libération.fr, affirme que le texte litigieux a été mis en ligne "le 22 octobre 2006, de 22 h 30 jusqu'à 9 h 15 lelendemain, lorsqu'il a été signalé aux responsables du site et retiré". M. Corchia explique ce retard par le fait que l'équipe de modérateurstravaillait de 9 heures à 22 heures. Quant à l'apparition même de ce message, elle resulte du fait qu'en 2006, sur Libération.fr, les commentaires étaient modérés après publication. Depuis, le site est passé ausystème de modération en amont. "A UN MOMENT, LE LÉGISLATEUR DEVRA TRANCHER" L'apparition du Web communautaire a donc brouillé les pistes, rendant plus difficile la différenciation entre le statut d'hébergeur et celui d'éditeur. Cela est dû, selon plusieurs juristes, au retard de la législation dans ce secteur en France. La LCEN, et la définition des acteurs qui existent en ligne, découle directement d'une directive européenne adoptée en 2000, que certains jugent obsolète puisqu'antérieur à l'avènement des blogs et des sites participatifs. Bruxelles refuse pour l'instant de bouger et laisse très peu de marge de manoeuvre aux pays, qui doivent donc trancher au cas par cas sans pouvoir se baser sur des législations solides. Ainsi, des jugements sur des affaires presque similaires peuvent varier d'un cas à l'autre, comme dans le cas du litige qui oppose le site participatif Fuzz.fr à l'acteur Olivier Martinez. La condamnation en première instance du site, accusé d'atteinte à la vie privée pour avoir publié un lien fait par un internaute renvoyant vers un blog, a été annulée il y a quelques jours par la cour d'appel de Paris. Le statut juridique de Fuzz.fr est passé de celui d'éditeur, et donc responsable du contenu fabriqué par les internautes, à celui de simple hébergeur. Compte tenu de sa médiatisation, la plainte de Xavier Niel contre Vittorio de Filippis et Libération, si elle aboutit, pourrait encore créer une nouvelle jurisprudence. "Si on considère que tous ceux qui permettent à des internautes deposter des commentaires sont éditeurs, il vaut mieux fermer tout desuite les zones de commentaires", estime Me Barbry. Ce dernier souligne la nécessité de créer le plus vite possible un statut juridique pour les internautes qui laisse des commentaires. "Aun moment, le législateur devra trancher, assure-t-il. Soit celui qui ouvre unespace de communication est responable de tout ce qui s'y dit, soit iln'est responsable que de ce qu'il écrit et n'est que l'hégergeur ducontenu des autres."
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terroristes libérés !
J'ai comme l'impression d'un vaste dérapage incontrôlé... sous influence Sarkozienne. En attendant on a droit aux larmes de crocodiles... Opération antidrogue au collège: Chatel critique, MAM demande une enquête interne Le contrôle antidrogue, mené le 19 novembre par des gendarmes avec des chiens dans un collège de Marciac (Gers), a été critiqué mercredi par le porte-parole du gouvernement Luc Chatel, la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie demandant une enquête interne. Un rassemblement contre la "terrorisation" des élèves est prévu vendredi devant le collège de Marciac où ce contrôle a été réalisé dans une classe de 3e. Selon le témoignage de Zoé, une adolescente de 14 ans, une gendarme avait alors fouillé "dans son soutif" et "cherché en passant ses mains sur sa culotte". "On a le sentiment que ce n'est pas vraiment une bonne méthode qui a été utilisée en la matière", a assuré mercredi M. Chatel en rendant compte devant la presse des travaux du Conseil des ministres. Un peu plus tard, lors de la séance des questions au gouvernement, Mme Alliot-Marie a dit "comprendre tout à fait l'émoi de ces jeunes enfants et de leurs parents devant les conditions confuses dans lesquelles cette opération a été menée". La ministre avait adressé mardi une circulaire aux préfets afin qu'ils veillent à éviter toute confusion entre "prévention et contrôle" lors des opérations de police et de gendarmerie dans les établissements scolaires. Dans ce texte le ministre souligne la "pertinence et l'efficacité" des actions de sensibilisation aux drogues menées en milieu scolaire (...) mais appelle à ce qu'elles ne soient pas confondues "avec des opérations de contrôle entrant dans un cadre judiciaire, sous l'autorité du procureur". Mme Alliot-Marie a par ailleurs demandé une "enquête interne" sur les conditions de l'opération. Premier syndicat de la fonction publique d'Etat, la FSU "s'est indignée" mercredi: "Depuis le début de cette lamentable affaire, la FSU du Gers demande que cesse rapidement la confusion entre prévention et répression". Lors d'un point de presse mercredi en début de soirée au ministère de l'Education, Xavier Darcos a déclaré que l'insécurité était "toujours mauvaise", répondant ainsi à la procureure d'Auch Chantal Firmigier-Michel, selon laquelle l'opération antidrogue était susceptible de créer de la "bonne insécurité". "L'inspecteur d'académie m'a donné des détails", a dit le ministre après l'avoir rencontré, et il a ainsi expliqué : "On a vu arriver des gendarmes, des chiens. On a demandé aux élèves de poser les mains sur les tables. On les a fouillés partout. En vain". "Je comprends l'indignation des familles et de la communauté éducative", a poursuivi M. Darcos, selon lequel "l'académie n'est pour rien" dans cette affaire qui "relève évidemment du parquet". "Nous n'avons aucune responsabilité dans cette affaire" a insisté le ministre. Chantal Firmigier-Michel a pourtant déclaré dans la soirée que le contrôle antidrogue avait eu lieu "à la demande expresse du principal" qui "a été tenu informé des modalités et du déroulement et a même assisté à l'opération". "L'action a eu lieu sur la foi de renseignements recueillis par le chef d'établissement", a assuré la procureure, ajoutant n'avoir été informée "d'aucune anomalie ni réclamation".
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terroristes libérés !
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Grand Jeu
soleil ==>> étoile
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terroristes libérés !
C'est pô grave ma brav'Dame Les gendarme ont investit un collège du Gers, terroriser les enfants avec leurs chiens renifleurs, procéder à des fouilles au corps ("dans le sous-tif et la culotte)... et rien trouver du tout ... et on va mettre les gamins délinquants violents de 12 ans en tôle alors qu'ils représentent 1,2% des cas de délinquances (enfin faudra déjà les arrêter...) C'est vrai que l'insécurité diminue à pas de géant depuis 2002 que Sarko et Alliot-Marie sont au pouvoir...
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Actualités Politiques
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Retraités - Caisses de Prévoyance et de Retraite
Sauf que LeLillois a posté un communiqué de sud qui ne fait pas suite aux résultats des élections qui viennent d'avoir lieu...
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Joyeuses fêtes!
Une photo de Carla toute nue...? Hoooooo !
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Retraités - Caisses de Prévoyance et de Retraite
Tiens j'avais pas lu ... une liste Fgaac, une liste Cfdt... C'est déjà le divorce... c'est de l'humour, je sors... Pas d'autres communiqués syndicaux trouvés sur le net pour l'instant...
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Utiliser les automates ...
Moi j'aime bien les tomates... et j'adore les jolies filles aux guichets; je suis même prêt à faire la q... (je déteste les automates même les distributeurs de cartes bleues qui gardent ma carte... mais bon les banquiers hein je me méfie...
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UFCM - Groupe National Cadre - Reflexions sur l'avenir du Fret et de l'Entreprise Publique (27/11/2008)
UFCM - Groupe National Cadre - Reflexions sur l'avenir du Fret et de l'Entreprise Publique (27/11/2008) 200812_01_cadres_CGT_Fret.pdf
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Retraités - Caisses de Prévoyance et de Retraite
Site de la FGRCF (rien au sujet du résultats des élections ce matin 1er décembre 2008.) http://www.fgrcf.org/
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DCI 24/11/2008
Compte rendu de la DCI déposée le 24 novembre 2008 Réunion de conciliation 27 novembre 2008 2008_12_01_cgt_fede_Compte_rendu_de_la_DCI_deposee_le_24_novembre_2008.doc
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Retraités - Caisses de Prévoyance et de Retraite
Compte-rendu Fédération des cheminots CGT 2008_12_01_cgt_fede_comresultatcprp2008.pdf
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Charte instituant la création du SLIP sur le forum.
Tu parles pour moi...? toujours en forme le vieux Dom...
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Grand Jeu
évolution ==>> Révolution
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Retraités - Caisses de Prévoyance et de Retraite
Les résultats officiels de l’élection des Cheminots Retraités au Conseil d'Administration de la Caisse de Prévoyance et des Retraites Inscrits : 184360 Votants : 131921 (72%) Exprimés : 130127 Résultats : CGT : 38,5% FGRCF : 29,17% CFTC : 5, 3% FO : 3,2% FGAAC : 3,3% UNSA (ExFMC) : 5,8% CFDT : 7,5% SUD : 4,6% CGC : 2,5% La CGT est première organisation chez les retraités et obtient 1 siège au CA. LA FGRCF (Fédération Générale des Retraités des Chemins de Fer) obtient le second siège au CA.
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la catastrophe de Zoufftgen (11/10/2006)
La catastrophe ferroviaire de Zoufftgen devant le tribunal correctionnel de Luxembourg MarieFrance Bezzina AP A compter de lundi, le tribunal correctionnel de Luxembourg-Ville se penche sur la catastrophe ferroviaire qui a coûté la vie à six personnes dont quatre Français, et fait 16 blessés le 11 octobre 2006 en Moselle. Quatre prévenus, qui font partie des Chemins de fer luxembourgeois, doivent comparaître pour homicides et lésions corporelles involontaires. Le procès doit durer jusqu'au 12 décembre. Parmi les prévenus, on compte le chef de circulation du matin, celui de l'après-midi, un aiguilleur et un annonceur. La collision frontale entre un TER des CFL, reliant Luxembourg-Ville à Nancy (Meurthe-et-Moselle) et un train de fret de la SNCF, joignant Bâle (Suisse) à Thionville (Moselle) puis Bettembourg, un important centre d'aiguillage du Grand-Duché, s'est produite vers 11h45 dans une courbe sans visibilité à Zoufftgen, en Moselle. Mais au moment de l'accident, la queue du TER se trouvait en territoire luxembourgeois, peut-être à cause du choc. Deux informations judiciaires ont été ouvertes, l'une à Luxembourg, l'autre à Thionville. Pour des "raisons de logique, de droit, de diplomatie", les parquets respectifs ont décidé que les poursuites seraient jugées à Luxembourg. Cinquante-trois parties civiles seront représentées lors du procès, qui se tiendra en luxembourgeois et en français. La direction des CFL avait reconnu dès le lendemain de l'accident l'erreur humaine et sa responsabilité entière. La plupart des familles des personnes décédées -dont les conducteurs des deux trains et un ouvrier de chantier des voies- et des blessés ont été indemnisés. Une "priorité absolue" pour les CFL. Au moment de la catastrophe, il n'y avait qu'une voie disponible en raison du renouvellement du ballast. Le convoi de la SNCF a suivi le feu vert. De l'autre côté de la frontière, le TER s'est arrêté au niveau de Bettembourg au feu rouge. Dès lors, des erreurs ou des maladresses se seraient enchaînées. L'un des prévenus, le chef de circulation de l'après-midi, a donné l'autorisation au TER de reprendre sa route. Mais il s'est aperçu très vite de son erreur; le tableau de contrôle indiquait que la voie n'était pas libre; deux minutes plus tard, c'était la terrible collision, selon les enquêteurs. Le chef d'équipe du matin est parti vers 11h30, celui de l'après-midi avait un retard de 5 minutes sur la relève. Dans cet intervalle, c'est l'annonceur de trains qui a pris le relais. Il y aurait eu dysfonctionnement dans les consignes, qui n'auraient pas toutes été répercutées correctement. L'aiguilleur aurait de son côté "mal tracé" le parcours du TER, alors que le contrôle optique était au rouge sur la voie. Le système d'alerte sonore RST (Radio-Sol-Train) n'a pas permis d'avertir le conducteur du TER qu'il fallait freiner. Le préposé au bouton-poussoir ne l'aurait pas actionné suffisamment. Enfin, il a été procédé en urgence à une coupure de courant pour mettre hors tension tout le trajet Bettembourg-Thionville. Mais l'opération a été mal effectuée. Seul, le réseau secondaire a été neutralisé. En annexe, l'un des prévenus pourrait avoir été distrait quelques instants par le choix d'une pizza pour son déjeuner. Les CFL seront les premiers, dès 2010, en Europe à être équipés en totalité du nouveau European Train Control System (ETCS) qui régit la sécurité des liaisons ferroviaires. Depuis l'accident de 2006, les chefs de circulation ont une nouvelle "checklist" (liste de vérification) à respecter et 200 millions d'euros sont engagés par les CFL pendant 10 ans pour la sécurité. AP
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Grand Jeu
confession ==>> confucius
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Grand Jeu
Les Tas de Pois (finis terrae)==>> Camaret
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Grand Jeu
calvaire de pleyben ==>> Roc Trévezel http://www.terresceltes.net/Roc-Trevezel.html On reste dans le Finistère... :)
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Grand Jeu
kerguelen ==>> Quemenes en Mer D'Iroise... Attention erreur d'itinéraire un peu plus haut ...On reprend donc aujourd'hui, 12:30 Message #8033 CITATION(Christophe @ 30/11/2008 12:28) peur -> bleue bleue =======> barbe barbe ==>> naufragé de l'ïle de Quemenes en Mer d'Iroise...