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Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. La vérité sur Mickael Vendetta: une opération anti-Sarkozy? Bruno Roger-Petit - LePost Le phénomène Mickael Vendetta a fini par m'atteindre à mon tour. Alerté par mon entourage de "djeuns" qui sévit dans les couloirs d'Europe 1 sport, j'ai fini par suivre les déboires télévisuels de l'incarnation de la bogossitude. Chez Morandini, chez Cauet, à LCI, sur le net... Le visionnage attentif de ces prestations m'a intrigué au plus haut point et j'ai fini par comprendre ce qui se tramait derrière tout cela. 1/ J'ai eu un choc mémoriel grave. Le nom de Mickael Vendetta s'est subitement mis à me titiller les neurones. Où donc avais-je déjà été confronté à ce patronyme? Quelques instants de réflexion et me voilà lancé dans un petit tour de fouine sur facebook... Et là stupeur! Mickael Vendetta avait sollicité mon amitié le 16 septembre dernier, et j'avais accepté (comme Christophe Barbier, je dis oui à tout le monde désormais) cette demande dont j'ignorais parfaitement à l'époque de qui elle émanait. Ainsi avais-je été ciblé par Mickael Vendetta à l'insu de mon plein gré. Terrible... 2/ Une analyse attentive des prestations du phénomène m'amène à formuler deux hypothèses: a/ Soit nous avons affaire à un total illuminé qui a simplement compris comment fonctionnait la société du spectacle d'aujourd'hui et qui exploite à la perfection les faiblesses du système pour faire parler de lui, juste pour faire parler de lui. b/ Soit il s'agit d'un opération montée de main de maître par un Deus ex machina redoutable qui s'amuse, lui aussi, à exploiter les failles du système médiatique pour en souligner la vacuité absolue. Bien évidemment, vous allez être nombreux à vous interroger: "Mais pourquoi faire?" D'abord je note que personne, parmi celles et ceux qui l'invitent sur les plateaux de télévision, ne songe à faire de véritables enquêtes à son sujet. Qui est-il? D'où sort-il? De quoi vit-il? Comment vit-il? Personne n'en sait rien, parce que personne n'enquête. On se contente d'inviter la bête de scène supposée, on s'en moque, sans s'aperçevoir, peut-être, que c'est elle qui se moque du monde en réussissant à apparaître dans des émissions de télévision de grande audience. Ensuite, on ne peut qu'être très frappé par le fait que Vendetta se déclare Sarkozyste de choc, revendique et assume cette "filiation". Cela n'est pas sans évoquer le soutien de Steevy (en pire) à l'actuel "Chef de l'Etat". Quoi de plus drôle que de voir un garçon venu de nulle part, et qui passe sa journée à faire de la musculation et se regarder dans un miroir, expliquer qu'il faut travailler plus et que les Français sont des feignants. Quoi de plus efficace que cet apôtre de la "bogossitude" pour se gausser et tourner en ridicule les "valeurs" qu'incarne aujourd'hui celui que les Français ont élu à la tête de l'Etat? Donc, si vous me suivez, nous sommes là en présence d'une opération de déstabilisation du régime Sarkozien et des medias dominants, opération menée tambour battant . Cette opération a nécessairement été ourdie par un cerveau maîtrisant les us et coutumes des medias français (paresse journalistique, goût pour le people à deux balles, recherche de l'audience par le n'importe quoi, sarkozysation de la vie télévisuelle, domination de la télé-réalité) et qui s'emploie à retourner, via Mickael Vendetta, la force du système contre lui-même, le tout pour atteindre sa cible ultime: le maître de ce système, l'actuel "président de la république". Tout cela finira mal. Quand le régime en place comprendra que c'est lui qui est visé, Vendetta disparaitra. Au fait, "Vendetta", ça n'est pas un hasard non plus, ça non? Vengeance? Oui. contre Nicolas Sarkozy? Oui. Mais pourquoi? Quel secret de famille se cache derrière Vendetta (dont la taille est identique à celle de son modèle)? Et pourquoi insister à ce point sur la filiation qu'il établit entre eux? Hein? Pourquoi?
  2. En tout cas ça va pas faire avancer le schmilblick... quand au côté crédibilité, c'est pas gagné...
  3. Joyeux anniversaire à ma Belle Oror à la joyeuse Ermeline et à Bells, daniel26, lolodu30
  4. Quel est le référentiel qui traite de l'indemnité de départ en retraite ? Merci d'avance
  5. Gigantesque panne de courant dans le sud-est de la France Une panne inhabituelle par sa durée a privé le sud-est de la France d'électricité pendant près de trois heures lundi matin, mais la cause de l'interruption de courant donne lieu à des explications divergentes. Une partie des Bouches-du-Rhône, le Var, les Alpes-Maritimes et Monaco se sont retrouvés plongés dans le noir à partir de 09h30 jusqu'à 12h30 pour les communes ou les quartiers rétablis en dernier. Selon la préfecture des Alpes-Maritimes qui a géré la crise, cette panne est due à la météo exécrable et aux orages qui ont frappé le sud-est lundi matin, en particulier la foudre qui s'est abattue sur la seule ligne à très haute tension de 400.000 volts qui alimente la région à partir du couloir rhodanien. De source syndicale à Electricité de France (EDF), la panne est en revanche le résultat d'un gigantesque délestage sur cette unique ligne "vétuste". C'est pour éviter une surchauffe sur les autres réseaux que le sud-est aurait été sacrifié selon les syndicats d'EDF. Cette panne a complètement désorganisé la vie de la région. Très vite, les services de secours se sont retrouvés débordés par les appels de gens bloqués dans des ascenseurs ou dans des garages à portes électriques, qu'ils ont dû aller libérer. Des perturbations monstres ont aussi affecté tout le réseau ferré du sud-est et les gares du littoral. A Nice, en l'absence d'indications ou de panneau d'affichage, les passagers du tramway se sont agglutinés sur les quais dans l'attente d'une hypothétique rame. Le trafic routier a été perturbé, notamment dans les villes privées de feux tricolores. Seul l'aéroport de Nice Côte d'Azur, qui a tout de suite fonctionné sur groupe électrogène, s'en est tiré sans le moindre retard. Il n'y a eu aucune perturbation dans le trafic aérien et l'absence de courant n'a pas eu de conséquences graves dans les hôpitaux ou cliniques de la région. Pierre Thébault, édité par Yves Clarisse
  6. T'as raison... conducteur jusqu'à 70 ans au manche et jusque sur ton lit de mort pour que tu sois rentable et productif jusqu'au bout... ils te mettront une playstation et une bonne perfusion...
  7. "Le taux du Livret A est calculé selon deux indicateurs : l'inflation et les taux des prêts interbancaires. La crise entraînant un ralentissement de l'inflation et la Banque Centrale Européenne devant annoncer une baisse de ses taux directeurs, la baisse du taux du Livret A serait donc mécanique." source : 20 minutes - jeudi 30 octobre 2008 - page 10. 1997 : 3,5% 1999 : 2,25% 2000 : 3% 2004 : 2,25% 2005 : 2% 2006 : 2,75% 2007 : 3% 2008 : 4%
  8. Roger ==>> "je vous écoute...parlez"
  9. Lors d'un reportage télé, l'un des responsables caténaires parlait de "caténaire détendue"... (LCI hier)
  10. Trois problèmes sur l'axe Paris Rambouillet : - réduction de la durée des trajets en particulier des direcxt Paris Versailles Rambouillet donc impossibilité de rattraper les retards éventuels au départ de Paris ou les arrêts prolongés à Versailles Or au départ de La Verrière les omnibus circulent derrière les direct (entre La Verrière et Le Perray) : une seule voie impaire = goulot d'étranglement... idem dans l'autre sens au départ de Rambouillet : 1 voie entre Le perray et La Verrière - réduction du temps de crochet pour les terminus Rambouillet : de 22 minutes on passe à 10 minutes donc encore une fois impossible de rattraper les retards de l'ordre de 5/10 minutes au déla le train repartira systématiquement avec son retard à l'arrivée - les roulements des conducteurs sont de plus en plus blindés quasiment sans temps de pause entre deux trains... pas sûr que certains ne pètent pas un plomb puisqu'ils ne feront plus que du Paris Rambouillet à terme... Concernant les crochets on revient à la politique du début des années 90 qui s'étaient traduites par une baisse violent de la régularité... La situation actuelle n'est déjà pas saine : au moindre incident important le trafic se dégrade parfois jusqu'à l'arrêt complet des circulations. Or ce sont les gros incidents qui plombent la régularité et ceux-ci augmentent alors que dans le même temps la régularité tend à s'améliorer (matériel neuf en particulier) sur une journée ordinaire sans incident grave. Concernant le cadencement, j'ai l'impression que la direction SNCf prend les gens pour des billes car du cadencement au quart d'heure ou à la demi-heure, ça fait quand même plus de 25 ans qu'on en fait... sur toutes les lignes concernées... Par contre toujours aucune information de la direction concernant le cadencement au quart d'heure en 2010 de La Verrière La défense sur toute la journée (actuellement seulement aux heures de pointe)... parce que là : on fait comment (la Verrière La défense est l'une des missions qui a le plus mauvais taux de régularité en Ile de France en ce moment...)
  11. Droits et libertés, la CNIL torpille le projet de loi antipiratage Marc Rees AFP Le quotidien la Tribune publie une petite bombe ce matin : l’avis de la CNIL sur le projet de loi Hadopi. Cette publication tombe au plus mal pour la ministre de la Culture, si confiante en son texte. La Commission Informatique et Libertés le taille en effet en pièces dans un long avis particulièrement motivé. Fin mai 2008, nous avions révélé que la Commission Informatique et liberté avait rendu un avis critique à l’encontre du texte défendu bec et ongles par Christine Albanel (notre actualité). Le gouvernement avait saisi la Commission Informatique et Libertés sur le fondement de l’article 11.4 de la loi de 1978 qui indique que la commission est « consultée sur tout projet de loi ou de décret relatif à la protection des personnes à l’égard des traitements automatisés ». Selon nos sources internes d'alors, la critique principale visait le problème de la proportionnalité entre l’atteinte à la vie privée (collecte de masse d’adresses IP, coupure de l’accès Internet) et le respect du droit de propriété (la protection des ayants droit), via une base de données personnelle monstre. Ces critiques sont confirmées, et même surconfirmées lorsqu’on voit la teneur exacte de l’avis dans son intégralité.. Un projet qui se base sur des chiffres invérifiables Avant toute entrée en matière, la CNIL rappelle qu’elle n’est pas juge de la légitimité du texte : ce qu’on lui demande c’est d'examiner si, au regard des finalités poursuivies, le mécanisme de traitement automatisé de données personnelles est proportionné et si toutes les garanties sont présentes notamment au regard de la liberté individuelle et donc du respect de la vie privée. Immédiatement, la Commission met les pendules à l’heure : « Les seuls motifs invoqués par le gouvernement afin de justifier la création du mécanisme confié à l'HADOPI résultent de la constatation d'une baisse du chiffre d'affaires des industries culturelles. À cet égard, elle déplore que le projet de loi ne soit pas accompagné d'une étude qui démontre clairement que les échanges de fichiers via les réseaux « pair à pair » sont le facteur déterminant d'une baisse des ventes dans un secteur qui, par ailleurs, est en pleine mutation du fait notamment, du développement de nouveaux modes de distribution des œuvres de l'esprit au format numérique ». En clair ? L’industrie de la Culture fournit des chiffres anxiogènes sur les relations P2P et vente de disque, le ministère de la Culture rédige un texte au petits oignons en se basant sur ces chiffres et le soumet à la CNIL, qui doit les croire sur paroles, avant d’apposer son sceau. Un procédé que refuse de suivre la Commisison. Mais le dépeçage ne s’arrête pas là. Doutes sur les moyens de sécurisation On sait que le projet du gouvernement va contraindre dans les faits l’abonné à mettre en place un outil de sécurisation proposé par l’Hadopi. Cet outil est fondamental, car son activation permettra à l’abonné d’échapper à la riposte si son adresse IP est retrouvée sur les réseaux P2P. Pour la CNIL, si l’abonné doit prendre des précautions pour « d'empêcher que des tiers aient accès à leur poste informatique », il importe également « pour ne pas rendre cette obligation disproportionnée et excessive, de mettre à leur disposition les dispositifs appropriés pour assurer, sans contrainte excessive, la sécurisation de leur poste et de mettre en œuvre les actions d'information et d'accompagnement techniques nécessaires ». Elle demande ainsi que ces outils « fassent l'objet d'une procédure d'évaluation certifiée ». On devrait ainsi savoir si ces outils seront par exemple valables sur tous les systèmes d’exploitation et leur solidité technique… Des exonérations à la riposte graduée trop restrictives Mais au-delà, la CNIL estime que la liste des exonérations prévues par la loi est trop restrictive. L’abonné menacé de suspension parce que son adresse IP a été repérée sur les réseaux P2P n’a que 3 moyens de défense : prouver une force majeure, prouver une fraude d’un tiers, ou prouver qu’il a mis en place un outil de sécurisation. Cette liste « ne permet par d'appréhender les cas où l'internaute pourrait légitimement mettre à disposition un fichier protégé par les droits d'auteur, par exemple, parce qu'il est lui-même titulaire des droits sur l'œuvre » explique la CNIL. Même remarque sur la possibilité d'accepter une transaction, qui permet à un abonné d’éviter la suspension d’un an. « Aucune précision n'est apportée sur les critères et les modalités pratiques de mise en œuvre de cette procédure » Un risque de violation de la vie privée sur les postes de employés Sur la nature des personnes concernées par l'obligation de surveillance, la CNIL explique qu’« au-delà des conséquences économiques et sociales que pourrait engendrer la suspension de l'abonnement internet d'une entreprise ou d'une collectivité locale, le respect, par l'employeur, de l'obligation de sécurisation des postes informatiques des employés comporte un risque de surveillance individualisé de l'utilisation d'internet et appelle en conséquence des garanties particulières sur les conditions de mise en œuvre effective de cette obligation vis-à-vis des employés concernés ». Si l’on demande à l’employeur de surveiller les entrées et sorties de données de chaque poste, il y a donc un risque de scruter des données privées alors que la jurisprudence de la Cour de cassation a plusieurs fois rappelé que le salarié avait droit au respect de la vie privée sur son lieu de travail. Des agents de l'HADOPI aux pouvoirs excessifs La CNIL estime encore que les agents publics qui seront habilités à traiter les données fournies par les représentants des ayants droit sont dotés de pouvoir « excessifs ». « Le fait de mettre à disposition des agents précités les données de trafic ainsi que les données permettant d'identifier les personnes responsables de la mise en ligne d'un contenu, paraît porter une atteinte excessive à la protection des données à caractère personnel. » Christine Albanel voulait retirer le filtrage des pouvoirs du juge pour le confier à l’Hadopi Nous avons là une autre pièce hallucinante du projet Hadopi. Dans l’avis de la CNIL, on apprend ainsi que la ministre de la Culture voulait initialement donner à l’Hadopi, une haute autorité dite indépendante que ce texte institue, la possibilité d’exiger des FAI la mise en place de filtrage. Cette possibilité est actuellement dans les mains de la justice qui s’en serait retrouvée dépossédée. « La Commission relève qu'une telle disposition comporte un risque d'atteinte aux libertés individuelles, au rang desquelles figure la liberté d'expression, dans la mesure où elle donnerait la possibilité à l'HADOPI de demander à un intermédiaire technique de procéder au filtrage de contenus considérés comme portant atteinte aux droits d'auteur ». La superposition des sanctions, un risque de disproportion La CNIL constate que « sur la base de procès-verbaux constatant un même fait, la mise à disposition sur internet d'œuvres protégées par les droits d'auteur, les SPRD et les organismes de défense professionnelle pourront librement choisir de saisir l’Hadopi (…), le juge civil (…), le juge pénal ». La Commission considère ne pas être en mesure de s'assurer de la proportionnalité d'un tel dispositif dans la mesure où «il laissera aux seuls sociétés de gestion collective et aux organismes de défense professionnelle le choix de la politique répressive à appliquer sur la base d'un fondement juridique dont les contours sont mal définis ». La ministre confond piratage et manquement à l’obligation de surveillance « L'exposé des motifs indique que le projet de loi a pour objet la mise en œuvre d'un « mécanisme de prévention et de sanction du piratage », ce qui permet, là encore, de considérer que la frontière entre les notions de « piratage » et de « manquement à l'obligation de surveillance de sa connexion internet » n'est pas clairement établie » explique la CNIL. Nous avons plusieurs fois pointé ce défaut dans le champ lexical de la ministre qui n’hésite pas à confondre lutte contre la contrefaçon et sécurisation des lignes internet alors qu’il s’agit de deux obligations différentes. Mais il est vrai que la première définition passe mieux médiatiquement… Une riposte non graduée Le projet de loi, alors examiné par la CNIL, met en place « non une obligation mais une possibilité pour l'HADOPI d'adresser des messages d'avertissement puis de proposer une transaction avant d'aboutir à une sanction ». Ces critiques ont été encore adressées par les sénateurs. Sur la mise en œuvre d'un traitement de suivi des procédures engagées par l'HADOPI et de la gestion d'un fichier national mutualisé d'exclusion Le projet de loi Création et Internet prévoit la mise en place d’un répertoire national des abonnés dont l'accès à internet a été suspendu. Les FAI auront l’obligation de le consulter à l'occasion de la conclusion de tout nouveau contrat. La CNIL exige ici plusieurs garanties sur la mise en œuvre de ce fichier et des traitements qu’il incombe. « Seuls des incidents présentant une gravité certaine et prédéterminée pourront faire l'objet d'une inscription » recommande la CNIL. Sur la mission d'observation de l'offre légale et de l'utilisation illicite d'œuvres Le projet de loi prévoit la publication par l’Hadopi d’études sur les offres légales et l’utilisation illicite des œuvres. La Commission rappelle ce qui a été oublié : ces études devront faire l’objet d’une procédure devant la CNIL, afin, en clair, d’éviter que tout et n’importe quoi ne soit fait. Une atteinte à la vie privée Les agents de l’Hadopi seront dotés de super pouvoirs. Ils auront accès aux données de trafic conservées pendant un an par les opérateurs de communications électroniques, ils pourront solliciter des opérateurs l'identité du titulaire de l'abonnement utilisé à des fins illicites, et pourront aussi conserver ces données techniques pour la durée strictement nécessaire à l'exercice des compétences qui leur sont confiées et au plus tard jusqu’à un an. La CNIL rappelle que le Conseil Constitutionnel avait expliqué que les données liées aux infractions ne pouvaient avoir de caractère nominatif que dans le cadre d’une procédure judiciaire. Procédure que veut absolument éviter Christine Albanel. « le projet de loi ne comporte pas en l'état les garanties nécessaires pour assurer un juste équilibre entre le respect de la vie privée et le respect des droits d'auteur » tacle la Cnil. Dans le même sens, le projet de loi Hadopi permet de court-circuiter les garanties apportées par la loi sur la Confiance dans l’économie numérique. Le projet « attribue à des agents des compétences que jusqu'à (…)la loi précitée réservait uniquement aux autorités judiciaires agissant dans le cadre d'une procédure judiciaire ». C’est une nouvelle gifle : « la CNIL estime que le projet de loi ne comporte pas en l'état les garanties nécessaires pour assurer un juste équilibre entre le respect de la vie privée et le respect des droits d'auteur ». Cette publication sera, on s’en doute, utilisée par les députés une fois le texte transmis à l’Assemblée nationale. La CNIL n’est pas la seule institution à avoir critiqué le projet de loi. Le Conseil d’État, l’Arcep, le Parlement européen une fois, deux fois, l’ISOC, l’ASIC, l’AFA et Free (et là et là, encore) ont tous tenu des positions critiques contre le texte français. Sauf un ou deux points comme le filtrage, la plupart des critiques adressées par la CNIL ont été ignorées par la ministre qui a opté pour une mission bulldozer.
  12. Quelques éléments Fret dans ce tract qui en disent long sur la situation actuelle 2008_10_31_cgt_fede_08_10_30_Tract_Traction_action_du_06.11.08.pdf
  13. prothésiste ==>> unijambiste
  14. Ben, à Chartres les TGV prenaient la VU de Courtalain et récupérait la ligne TGVA Ah bon la VU n'est pas électrifiée... et en plus les gares sont fermées... Ouai Ouai gros travaux du côté de Courville... un nouveau passage souterrain... trafic suspendu tout le week-end... entre Chartres et Nogent le Rotrou selon un pote
  15. chirurgien (in)esthétique ==>> dentiste
  16. charcutier ==>> boucher ArgHHHHH ...TRop tard il m'a eu
  17. Y'avait pas de banquier dans le train ...
  18. Il pleut... C'est la faute aux météorologues ? Mais que fait Bussereau... Difficile retour à la normale après les intempéries en Ardèche et dans le Rhône Les fortes précipitations qui ont affecté les départements du Rhône et de l'Ardèche dans la nuit de samedi à dimanche ont entraîné de nombreuses inondations et des coupures de routes, a-t-on appris auprès des préfectures des deux départements. Dans le Rhône, l'A47 était toujours coupée dimanche à la mi-journée entre Lyon et Saint-Etienne, dans les deux sens à hauteur de Givors à la suite du débordement de la rivière le Gier. La RN6, à Limonest (Rhône) et la RN7, à l'Arbresle (Rhône), étaient également interdites à la circulation, selon le centre régional d'information et de coordination routières (CRICR) Rhône-Alpes. L'A6 qui avait été fermée dans la nuit au niveau de Saint-Georges-de-Reneins (Rhône) après une inondation, a été rouverte en début de matinée dimanche. La N102, l'un des principaux axes en Ardèche, a lui été fermé pendant une demi-heure dans la nuit suite à un éboulement de terrain. Les pompiers des deux départements restaient très mobilisés dimanche matin. Dans le Rhône, ils sont intervenus entre 200 et 300 fois dans la nuit de samedi à dimanche, pour des chutes d'arbres, de poteaux ou de tuiles. Ils ont également dû faire appel à des plongeurs pour sauver des personnes bloquées dans leur voiture. Une quarantaine de campeurs ont été évacués de différents campings inondés en Ardèche. Par mesure de précaution, les 44 résidents d'une maison de retraite à Anse (Rhône) dont la chaufferie a été inondée, ont été emmenés dans une résidence pour personnes âgées voisine. Dans les rues de Villefranche-sur-Saône (Rhône), Chatillon d'Azergue (Rhône), Brignais (Rhône), Saint-Etienne de Lugdarès (Ardèche) ou encore Laveyrune (Ardèche), les habitants déblayaient encore à la mi-journée devant leurs maisons et dans leurs garages. L'alerte orange (niveau trois sur quatre) lancée par Météo France en raison de fortes pluies a été levée dans le Rhône mais maintenue dans sept autres départements (Ardèche, Gard, Hérault, Haute-Loire, Lozère, Aveyron, Tarn) et étendue dimanche matin à la Drôme. AP
  19. Enfin... L'héritage de la dette il faut dire merci à l'Etat (et les gouvernements succéssifs même si c'est Fiterman qui avait obtenu que l'etat paie 30% du TGVA...) qui a obligé la sncf à investir dans les lignes nouvelles TGV et le matos, à moderniser ses installations en empruntant auprès des banques et des spéculateurs de tous poils pendant de longues années... Aujourd'hui une partie de cette dette est passée à RFF mais la sncf en supporte toujours un gros morceau... Les charges financières pour payer les intérêts de la dette pèsent lourd dans les comptes... Rff fait payer des péages, la sncf règle donc le voyageur casque et la sncf suppriment des personnels et réduits ses coûts d'entretien... et ses investissements en infrastructures et matériels... La boucle est bouclée... les incidents graves et conséquents augmentent et pourtant il faut transporter toujours plus de voyageurs...
  20. AFP Nouvel incident de caténaire à la SNCF, Bussereau monte au créneau Bertille OSSEY-WOISARD Un nouvel incident de caténaire samedi, probablement d'origine criminelle selon la SNCF qui a porté plainte, a très sérieusement bloqué le trafic des TGV atlantique, provoquant la colère du secrétaire d'Etat chargé des Transports Dominique Bussereau. Cette rupture de caténaire, a relevé M. Bussereau, "est l'incident de trop", survenu après toute une série de défaillances durant l'été, citant ceux d'Aubagne (Bouches-du-Rhône), de la gare Montparnasse, de la région parisienne et de Toulouse lundi. "Il faut qu'il n'y ait plus d'incidents", a-t-il insisté dimanche sur RTL. Cependant, dès dimanche matin, la SNCF a fait savoir que les incidents de la nuit étaient "certainement" dus à des tirs de fusil. La SNCF a annoncé qu'elle "dépose plainte à la suite de tirs de fusil ayant très certainement entraîné la rupture de la caténaire" samedi à hauteur de Marcoussis en région parisienne (Essonne), et qui a très sérieusement perturbé le trafic des TGV Atlantique. Une cinquantaine de trains ont connu samedi soir des retards qui ont pu atteindre jusqu'à six heures. Survenue vers 17H30, cette rupture de caténaire a provoqué l'arrêt de la totalité des circulations sur les deux voies de la ligne à grande vitesse qui dessert la façade Atlantique. La caténaire a été réparée dans la nuit de samedi à dimanche et le trafic a repris normalement dimanche matin, a indiqué une porte-parole de la SNCF. Ce dernier incident en date fait suite à une série de défaillances depuis l'été: des milliers de passagers avaient été bloqués et des dizaines de trains retardés en août et septembre, en raison de plusieurs incidents majeurs de caténaires, notamment mi-août à Aubagne (Bouches-du-Rhône). Ces incidents sont dus, sauf le cas de Marcoussis, "à une mauvais entretien ou à une mauvaise utilisation du réseau existant", a assuré le secrétaire d'Etat aux Transports. "Quand des voyageurs ont cinq ou six heures de retard, la prochaine fois, ils prennent leur voiture", a encore regretté M. Bussereau, qui a toutefois salué la "réactivité" du PDG de la SNCF Guillaume Pepy, face à ces incidents. Après les pannes cet été, la SNCF avait dû entamer une inspection des caténaires, ces câbles électriques qui alimentent les trains. Selon un rapport d'étape remis début octobre, leur rénovation nécessiterait 400 millions d'euros sur quatre ans au moins. Un audit avait déjà mis en avant en 2005 la fragilité des infrastructure ferroviaires, liée à 30 ans de sous investissement. Pour M. Bussereau "l'argent existe" tant à la SNCF que chez réseau Ferré de France (RFF), propriétaire du réseau, pour financer cette rénovation. Il a indiqué qu'il signerait lundi, en compagnie du ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo et avec RFF, un contrat de "plusieurs milliards d'euros". "Il faut que cet argent soit mis en oeuvre si nécessaire", a-t-il souhaité. Le rapport d'étape recommande de faire passer l'enveloppe de 190 millions d'euros alloués en 2008 par RFF à la SNCF pour les caténaires à 240 millions d'euros pendant au moins quatre ans, les sommes supplémentaires allant au renouvellement plutôt qu'à l'entretien courant. Il faut aussi 150 millions d'euros pour renforcer tout le système caténaire face aux hausses de trafics en de nombreux points. Mais RFF, qui croule sous une dette de près de 28 milliards d'euros héritée de la SNCF et un déficit chronique, semble n'avoir aucune marge de manoeuvre financière. Ses ressources, qui proviennent des péages ferroviaires payés par les entreprises (essentiellement la SNCF) et de subventions de l'Etat, ne suffisent pas à financer les investissements nécessaires.
  21. Ils étaient présents mais minoritaires au sein de l'Assemblée lors de cette séance...
  22. AFP : Les salariés pourront travailler jusqu'à 70 ans, critiques de l'opposition et la CGT Vincent DROUIN Les salariés, confrontés au risque de percevoir une faible retraite, pourront continuer à travailler jusqu'à 70 ans, si une mesure votée dans la nuit de vendredi à samedi par les députés, et critiquée par la CGT et l'opposition, est définitivement adoptée par le Parlement. L'Assemblée nationale a amendé, lors de l'examen en première lecture du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2009, un article qui interdisait, dans sa version initiale, aux employeurs de mettre leurs salariés à la retraite d'office après 65 ans, à partir de 2010. Suivant l'avis de sa commission des affaires sociales, l'Assemblée a estimé que "cette suppression pure et simple de la procédure de mise à la retraite" pourrait causer des "difficultés pour les entreprises", et a jugé préférable de repousser l'âge limite de départ à 70 ans. Les députés ont donc voté un amendement qui laisse "la possibilité aux salariés qui le souhaitent de prolonger leur activité au-delà de 65 ans sous réserve d'en avoir préalablement manifesté l'intention auprès de leur employeur et dans la limite de cinq années". Avant qu'un salarié n'atteigne 65 ans, l'employeur l'interrogera sur son intention de partir volontairement à la retraite. En cas de réponse négative, ou si l'entreprise a omis de l'interroger, elle n'aura pas le droit de le mettre à la retraite d'office. La procédure se répétera "les quatre années suivantes", donc jusqu'à 70 ans. La mesure ne remet pas en cause le droit de partir à la retraite à 60 ans, ni le nombre d'années de cotisations exigée pour avoir une retraite à taux plein : 40 ans actuellement, 41 ans d'ici à 2012. Selon l'auteur de l'amendement, Denais Jacquat (UMP), "il n'est plus acceptable aujourd'hui qu'un homme ou une femme âgé de 65 ans soit mis à la retraite contre son gré, du seul fait de son âge, alors même qu'il n'a pas forcément toutes ses annuités d'assurance ou qu'il souhaiterait prolonger son activité pour améliorer sa pension". "L'âge de la retraite est insidieusement repoussé à 70 ans", s'est indignée en séance Martine Billard (Verts). Mariesol Touriane (PS) a accusé le gouvernement d'utiliser "tous les moyens pour reculer l'âge des départs en retraite et amener les salariés à travailler le plus longtemps possible". Le PCF a fustigé dans un communiqué, un "scandale" et un "pseudo-volontariat", "comme si les retraités qui vivent aujourd'hui si nombreux sous le seuil de pauvreté (...) pouvaient avoir le choix". La CGT a estimé que ce texte suscitait "une légitime inquiétude" même s'il "ne modifie pas pour le moment les repères de 60 et 65 ans en matière de retraites". "Cette mesure traduit bien la réalité d'aujourd'hui : de moins en moins de salariés auront la totalité de leurs droits à 60 ans et une retraite suffisante à 65 ans. Ils devront donc chercher à poursuivre leur travail voire à cumuler emploi et retraite", a déclaré à l'AFP Jean-Christophe Le Duigou, secrétaire confédéral de la CGT. Ce vote est intervenu en même temps que l'adoption d'un amendement repoussant à 65 ans l'âge limite d'activité en vol des personnels navigants de l'aviation civile, contre 55 ans actuellement pour les hôtesses et stewards, et 60 ans pour les pilotes. Cette dernière mesure a suscité, de la part de huit syndicats de navigants d'Air France, un appel à une grève, d'abord prévue pour la semaine prochaine, puis repoussée à début décembre, pour, selon un syndicaliste, "mettre la pression" sur le Sénat. Dans les prochaines semaines, celui-ci doit examiner à son tour le PLFSS, qui sera voté dans son ensemble mardi par l'Assemblée, et donc débattre de ces dispositions sur les retraites.
  23. AP : Incident caténaire sur la ligne à grande vitesse Atlantique: la SNCF porte plainte après des "tirs de fusil" La SNCF a annoncé dimanche matin dans un communiqué qu'elle portait plainte "à la suite de tirs de fusil ayant très certainement entraîné la rupture de la caténaire" survenue samedi à Marcoussis (Essonne) en région parisienne sur la Ligne à grande vitesse Atlantique. La SNCF ne donnait pas d'autres précisions pour l'heure, un nouveau communiqué devant suivre. Cet incident caténaire a provoqué samedi en fin de journée d'importantes pertubations sur le réseau des TGV en direction ou en provenance de Paris-Montparnasse. Une cinquantaine de TGV ont été retardés ou purement et simplement annulés, plusieurs milliers de passagers se retrouvant bloqués en gare ou dans les trains. Le trafic n'a totalement repris que dimanche matin aux environs de six heures. Pour les passagers bloqués ne sachant où passer la nuit, la SNCF avait ouvert des voitures dortoir dans la gare Montparnasse et dit avoir également assuré des réservations de chambres d'hôtel. AP
  24. AFP : La SNCF porte plainte après une rupture de caténaire La SNCF annonce avoir déposé une plainte au lendemain d'une rupture de caténaire, causée selon elle par un acte de malveillance et qui a provoqué d'importants retards sur le réseau Atlantique. Lire la suite l'article "La SNCF dépose plainte à la suite de tirs de fusils ayant très certainement entraîné la rupture de la caténaire survenue hier à Marcoussis sur la LGV (ligne à grande vitesse) Atlantique", déclare la société dans un communiqué. L'ensemble du trafic a été stoppé samedi soir et une cinquantaine de TGV en direction ou en provenance de Paris-Montparnasse ont été détournés, certains accusant un retard de plusieurs heures. Clément Dossin
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