Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Collision d'un TGV avec un poids lourd dans l'Ain: au moins un mort
[mode super provoc] Les barrières se baissent et la tête de Sarko apparait... Si avec ça les automobilistes ne respectent pas l'arrêt obligatoire... il n'y a plus aucun espoir... [mode super provoc]
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Petit tour de carte de Notre Président
revoltages Joli coup... Encore une belle astuce utilisée par Sarko le Tricheur... Quand on vous dit que tout réside dans l'art de brasser du vent... HiHiHi cestachier
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Parution des décrets sur la réforme des régimes spéciaux de retraite ?
REGIMES SPECIAUX La CGT Communiqué commun Confédération, Fédérations des Cheminots, Mines-Energie et des Transports 26 décembre 2007 Dans un communiqué publié vendredi 21 décembre 2007, Xavier BERTRAND, Ministre du Travail, confirme que les négociations ouvertes depuis la mi-novembre sur l’évolution des régimes spéciaux de retraite se prolongeront au début de l’année prochaine avec participation des représentants de l’Etat. Le Ministre annonce en même temps le processus de consultation sur la première vague de décrets incorporant les principes de la réforme ainsi que les premiers acquis de la négociation. Ces projets de textes ont été communiqués aux administrateurs des caisses de retraites. Ils le seront ensuite au Conseil d’Etat. Dans le projet de décret, la référence à l’article 5 de la loi du 21 août 2003 sur la durée de cotisation rend solidaire l’évolution de la durée de cotisation dans le secteur public et dans le secteur privé. Cette durée de cotisation doit faire l’objet, avant décision, des rendez-vous de 2008 sur les retraites. Ce renvoi fait aussi référence au principe des bonifications puisque le texte complet de l’article 5 de la loi de 2003 stipule : « la durée des services et bonifications nécessaires pour obtenir le pourcentage maximum d’une pension… » La Cgt demeure clairement opposée au principe d’allongement de la durée de cotisation à la décote et à la désindexation par rapport aux salaires. Ses représentants exprimeront cette position dans les Conseils d’administration des régimes qui seront consultés en janvier. Pour autant, le dossier des régimes spéciaux n’est pas clos. Le rapport de force a permis d’arracher soit des adaptations, soit des compensations qui réduisent les conséquences des mesures pour les agents. Le principe de l’existence des régimes spéciaux est aussi garanti. Deux questions majeures restent à négocier en 2008 : les dispositifs de reconnaissance de la pénibilité et de prise en compte des contraintes de Service public d’une part, l’application des règles d’indexation des pensions d’autre part. La réponse à ces deux questions est essentielle tant pour l’avenir des régimes spéciaux que pour l’amélioration des dispositions appliquées aujourd’hui au régime général et aux régimes des fonctionnaires. C’est avec cet objectif que les Fédérations des Cheminots, des Transports et des Mines et de l’Energie, avec le soutien de la Confédération appellent à une nouvelle mobilisation des salariés de ces trois secteurs le 22 janvier 2008 en organisant une manifestation nationale unitaire à Paris ce jour là.
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Sarko en Egypte!
bigbisous Si encore ça nous faisait des vacances... Même pas vu qu'on en cause encore et toujours... mdrmdr
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Retraite dorée
Il me semble que Paris Nord poste de manière régulière sur ce forum les informations et documents de la fédération des cheminots FO... Ce monde est effectivement sans pitié... Ceci dit Le Duigou est maintenant en retraite ou non ? A-t-il bénéficié de la promotion annoncée ?
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Parution des décrets sur la réforme des régimes spéciaux de retraite ?
Le projet de décret sur la modification de la réglementation du travail (voir plus haut) s'apparente aujourd'hui à la mise en place d'un système de réquisition des non-grévistes (déclarés 48h auparavant) les jours de grève ...
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Mon histoire
Dom Le Trappeur a répondu à kamilou59 situé dans Recrutement SNCF et formations internes aux métiersTu portes des lunettes. Tu les laisses sur ton nez et ta vue fera 10/10 non ... Allez on y va confiant et on est avec toi... :blush:
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Mon histoire
Dom Le Trappeur a répondu à kamilou59 situé dans Recrutement SNCF et formations internes aux métiers.
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Ques qui ta amené le papa noel?
C'est ça de coucher pieds nus... Pour moi le CD d'Amélie Les Crayons... le pied !
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Bonnes Fêtes
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Bon Anniversaire !
Bon Anniversaire à ceux du jour et Bonnes Fêtes de Noël à Toutes et à Tous
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Bordel , sarko les a hypnotisé ou quoi?
Pour l'instant seule la procédure disciplinaire sncf est ouverte. La direction vient de procéder à la consultation obligatoire du CER puisque J Allenou est élu CHSCT et nous sommes dans l'attente de la décision de la Directrice de Région puisqu'il y a eu égalité de voix au Conseil de discipline. Il n'y a donc pas de procédure prud'homme en cours puisque la décision finale sncf n'est pas intervenue ni la décision de l'inspecteur du travail. Ce que j'ai également du mal à comprendre c'est qu'un tel sujet ne fasse pas l'objet d'une information plus importante. J'en ai parlé à un syndiqué : il n'a rien vu dans son journal syndical depuis septembre à ce sujet... Comme je reçois pas mal d'infos (que je classe...) qu'un militant me fait suivre régulièrement, il devrait donc être possible de mieux utiliser internet et les e-mails pour informer largement.
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Bordel , sarko les a hypnotisé ou quoi?
La lettre des Fédérations nationales des cheminots CGT – FO – CFTC – SUD.Rail – UNSA – CFE/CGC –FGAAC du 02 Octobre 2007 adressées à Mme Idrac. 2007_10_02_ALLENOU__Lettre__Mme_Idrac_dossier_ALLENOU.doc
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Bordel , sarko les a hypnotisé ou quoi?
A ma connaissance depuis debut septembre il y a eu au moins 3 actions pour défendre Jacques Allenou (manif conseil de discipline, manifs CER). J'ai lu également il y a quelques mois un communiqué interfédéral à ce sujet. Il y a eu une séance du conseil de discipline (les 3 représentants de la direction ont voté la radiation, les 3 représentants du personnel (2cgt et 1 unsa) ont demandé à ma connaissance l'extinction de la procédure. Le CER est consulté sur la procédure de licenciement (radiation). On peut supposer que l'ensemble des représentants du personnel ont voté contre. Aujourd'hui la procédure est entre les mains de la Directrice de région avant un éventuel passage devant l'inspection du travail. A ma connaissance, la direction accuse J Allenou d'avoir insulté et agressé verbalement une Dpx ce que celui-ci conteste formellement. Des cheminots ayant participé à l'évènement ont témoigné par écrit qu'il n'y avait eu ni insulte ni agression or leurs témoignages ont été écartés du dossier disciplinaire monté uniquement à charge. Une fois de plus ça renvoit à la question de fond qui est celle des garanties disciplinaires où l'intégralité du dossier est entre les mains de la direction et est systématiquement instruit à charge en écartant les éléments à décharge.
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Petit Jeu Sérieux
Il parait donc que la réponse qui vient le plus naturellement à l'oral soit Le Marteau Rouge Selon les éléments scientifiques qui pourraient expliquer ce phénomène : - la sensation d'agressivité ressenti par le cerveau à la suite de la série d'additions, le cerveau n'aimant pas trop les mathématiques comme chacun le sait... - pour répondre à cette agressivité on prend un marteau et on tape... celà renvoie à sa jeunesse, chacun a pris un jour un marteau pour planter des clous quelque part... " Si j'avais un marteau, ..." - rouge car agressivité, le cerveau là encore faisant des amalgames automatiques culturels... Si vous voyez d'autres éléments plus ou moins farfelus n'hésitez pas... perso cette semaine j'ai fait le test oralement à 23 personnes. 21 m'ont répondu Marteau Rouge rien qu'avec un peu de pression...
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Actualités Politiques
Je vous en fais profiter...pour la postérité Lâcher de salopes au Vatican Par Lilian Massoulier Agoravox - Vendredi 21 décembre, 15h30 Cet article a été rédigé par un reporter d'AgoraVox, le journal média citoyen qui vous donne la parole. L'année 2007 conclue en fanfare par Nicolas 1er : gros raout au Vatican, avec le prêtre des « loubards » Guy Gilbert, l'historien du troisième âge Max Gallo et le très sévèrement membré comique de chez Patrick Sébastien Jean-Marie Bigard, bigot de la biroute, venu sans doute dérider le Saint Père. Le nouveau chanoine honoraire ne s'est pas déplacé en terre vaticane en tenue d'apparat, comme Chirac l'avait fait à l'époque, et n'a peu droit à la messe, parce que divorcé, alors que Chirac, lui, avait glissé dans ses bagages une Bernadette plus enflammée et envoilée que jamais, ce qui lui avait valu les honneurs des textes sacrés. Sarkozy, un chanoine honoraire presque au rabais, en quelque sorte, vu que Cécilia s'est enfui depuis quelques temps déjà et que Carla, trop fraîche et très peu épousée, n'avait apparemment pas daigné mener ses longues jambes jusqu'à Saint-Pierre de Rome. Qu'importe : Bigard, lui, en était, de quoi combler les objectifs des caméras, des appareils photos. Jean-Marie Bigard, immense auteur, immense comique, à côté duquel Frank Dubosc semblerait bien être une sorte d'obscur théologiste abscons (surtout con), Jean-Marie Bigard, humoriste anal, qui a fait l'essentiel de sa carrière autour du kangourou, le slip, pas l'animal. Bigard, jaune devant, marron derrière, génie devant l'absolu capable de « bourrer » le Stade de France avec ses histoires de bites, de salopes et de gland. Mais derrière tout cela, nous jure-t-on, se cache un homme, le côté triste du clown, si l'on peut dire, narré récemment dans un livre déballage comme en réservent les stars graveleuses, pour rappeler aux mauvaises critiques que derrière tout ce tralala poilu se cache un homme, avec un cœur, des souffrances et des malheurs censés forcer les respect et l'admiration. Jean-Marie Bigard est de cette espèce de comiques coluchisés à mort : ces faiseurs de vannes, raconteurs de blagues potaches qui rêvent d'un Tchao Pantin, ou d'un Resto du Cœur, pour exister auprès des méchants intellectuels de la rive gauche, ou droite, qui les détesteraient « a priori ». Saltimbanques, oui, mais aussi capables de parrainer des associations « épatantes », on connaît la chanson. Jean-Marie Bigard serait donc beaucoup moins couillon qu'on ne le croit. En même temps, on s'en moque un peu. Jean-Marie Bigard, combien de divisions ? Pas des tonnes, mais l'homme a depuis le mois de mai dernier une qualité flagrante : il est l'ami (lui aussi) de Nicolas Sarkozy, maître du monde hexagonal. Notons, il a pire comme ami, Nicolas, il a aussi Didier Barbelivien. Pourquoi ce Didier-là, bon cabot, n'était pas du voyage chez Benoît XVI ? Sans doute allait-il moins à la messe que Bigard. Quoi qu'il en soit, la poignée de mains Bigard-XVI restera comme l'image symbole de la première partie frénétique de règne de notre président adoré. Parce qu'entre l'humoriste poilu et le pape germanique, Sarkozy apparaît comme un chaînon manquant évident. Tout Sarkozy est dans cet espace-là, entre ces deux destins-là, il se situe quelque part entre un comique de corps de garde et un pape conservateur et sombre. On ne saurait trouver mieux pour résumer le sarkozysme. Ce lâcher de salopes au Vatican aura au moins servi à cela. Alors que l'année, la première année sarkozienne, touche à sa fin, et que tout un chacun suppute sur la forme forcément atypique que prendront les vœux du 31 décembre (Carla Bruni chantera-t-elle un texte de Max Gallo ? Ingrid Betancourt sera-t-elle invitée surprise aux bras de Bernard Kouchner ? Christian Clavier se déguisera-t-il en François Fillon ? Jean-Louis Borloo plongera-t-il sous la banquise qui fond ?), ce voyage à Rome, entre traditionalisme et show-bizisme illustre avec précision, sans trait forcé ni caricature ce qu'auront été ces six derniers mois. Et préjuge de ce que seront les quatre années à suivre. On devrait se régaler, s'enthousiasmer ou se fâcher comme jamais, ne pas en croire ses yeux, ne pas en revenir ou rester sans voix face aux surprises à venir en Sarkoland. Le chanoine honoraire de l'Elysée n'a dévoilé qu'une petite partie de son jeu, trop peu pour savoir s'il faut suivre, déjà assez pour comprendre que la partie sera longue, et difficile. Qu'il sera compliqué de savoir si l'homme bluffe ou pas. Sarkozy ou l'art de brouiller les cartes et, non, cher Jean-Marie Bigard, ce n'est pas une contrepétrie. Chez Mickey avant-hier, en papauté hier, avec une mannequin miauleuse au bras, ou un comique beauf devant l'autel, Nicolas Sarkozy poursuit son show, sans effroi, sans honte, sans retenue. Et cette comédie-là, comme l'a si bien dit Chabrol dans Libération, fait rire dans les chaumières. On ne se lasse pas. C'est du Boulevard, pas du Shakespeare, et si les caisses de l'Etat sont vides, la salle, elle, est toujours pleine.
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Actualités Politiques
Yannick Noah: "Tout me choque" dans l'action de Nicolas Sarkozy PARIS (AFP) - Yannick Noah, qui avait soutenu Ségolène Royal lors de l'élection présidentielle, a déclaré que "tout (le) choque" dans l'action de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République, dans un entretien à paraître dans le Journal du Dimanche. "L'attitude, le ton, l'arrogance me choquent. Le déballage de richesse, le cynisme me choquent. La désinformation me choque", estime l'ancien joueur de tennis devenu chanteur, qui dit toujours soutenir Ségolène Royal. "Je n'ai pas encore rencontré quelqu'un qui m'a dit ce qu'il avait vraiment fait", ajoute-t-il. "Qu'est-ce qu'il y a eu à part un brouhaha et de la godille? Quels problèmes ont été réglés?" "Je ne veux même pas parler du côté diversion avec la mise en scène de sa vie privée, et tous les médias qui suivent. C'est le roi avec sa cour, et les courtisans se mettent à genoux", poursuit Noah, qui avait tenu des propos comparables dans le journal Le Parisien de samedi. Il indique en outre avoir reçu une proposition de l'entourage de Nicolas Sarkozy pour participer au concert du Champ de Mars le 14 juillet dernier. "J'ai dit OK mais pour quatre fois le prix proposé, en rigolant", affirme-t-il. "J'étais au golf quand ils ont accepté ma fausse proposition, le lendemain (...) Je ne suis pas un courtisan, même à ce prix-là". Noah a repris à Zinédine Zidane le titre de personnalité préférée des Français, que l'ancien footballeur lui avait ravi en juillet 2006, selon le classement réalisé par l'institut de sondages Ifop pour le même numéro du JDD. A quand un duo Yannick Noah - Carla Bruni ?
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Collision d'un TGV avec un poids lourd dans l'Ain: au moins un mort
Effectivement. Désolé.
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Collision d'un TGV avec un poids lourd dans l'Ain: au moins un mort
Un TGV heurte une voiture sur un passage à niveau en Moselle STRASBOURG (Reuters) - Un TGV effectuant la liaison Strasbourg-Bordeaux a heurté une voiture arrêtée sur un passage à niveau près de Morhange en Moselle, sans faire de blessé, a-t-on appris auprès de la SNCF. L'accident s'est produit à 08H43, quand la conductrice d'une Peugeot 106 s'est engagée à travers les chicanes formées par les demi-barrières fermées puis s'est immobilisée sur les voies, sans doute prise de panique en voyant le train arriver. "C'est une faute humaine à 100%", a-t-on précisé à la gendarmerie. La conductrice, qui aurait eu le temps de sortir du véhicule, est indemne mais l'avant de sa voiture a été pulvérisé, selon la même source. La motrice TGV n'a été que légèrement endommagée au point d'impact. Par précaution, les voyageurs ont toutefois été transbordés, en gare de Morhange, dans une autre rame, ce qui a occasionné un retard d'environ deux heures et demie. L'accident s'est produit sur une portion de voie classique où le TGV circule à vitesse réduite, tous les passages à niveaux étant supprimés sur les lignes à grande vitesse. Mercredi dernier dans l'Ain, un TGV reliant Paris à Genève est entré en collision avec un convoi exceptionnel à un passage à niveau, faisant un mort et 35 blessés légers. Gilbert Reilhac
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Quel modalité chez vous pour les retenues pour jour de grève?
Retenues de salaire pour grève Cessation Concertée de Travail Jours de grève et PFA RH 131 (ex PS2) Rémunération : Article 195 - Absences non rémunérées du type E (cessation concertée de travail). 195.1. Personnel sédentaire et personnel non soumis à un tableau de service. a) Décompte. L’absence est décomptée depuis l’heure où l’agent n’a pas assuré son service jusqu’à l’heure de la fin de la cessation concertée de travail (ou de la reprise de service si elle est antérieure). Elle comprend les jours de repos périodique, de repos hebdomadaire, de repos supplémentaire, de repos pour jour férié chômé, les journées chômées visées à l’article 32 I §1 de la directive RH0077 et les journées chômées supplémentaires attribuées aux agents travaillant à temps partiel inclus dans cette période d’absence. Les congés, les repos supplémentaires et les jours de repos compensateurs de toute nature sont déduits de la durée de l’absence et sont considérés comme pris, si leurs dates étaient prévues avant le commencement de la cessation concertée de travail et connues des agents intéressés. (1) Ces dispositions ne sont pas applicables aux agents placés en congé sans solde pour effectuer volontairement une période de préparation militaire. b) Répercussions. Pour chaque journée de service le temps de travail non effectué résultant d’une cessation concertée de travail donne lieu à une retenue calculée sur le traitement et l’indemnité de résidence à raison de : - 1/160e, lorsque sa durée n’excède pas une heure, - 1/50e, lorsque sa durée dépasse une heure sans excéder la moitié de la durée journalière moyenne de travail effectif prévue aux articles 25-I et 46 de la directive RH0077(1), - 1/30e, lorsque sa durée dépasse la moitié de la durée journalière de travail effectif précitée(1). La retenue étant effectuée sur le principe d’une base journalière de 1/30e, elle doit donc être appliquée pour tous les jours de repos, ou journées chômées visés au 1er alinéa du § a ci-dessus entièrement inclus dans l’absence. Toutefois, lorsque la durée de l’absence est inférieure ou égale à 7 jours, la retenue au titre des jours de repos ou journées chômées visées à l’article 32-I §1 de la directive RH0077 est appliquée dans les conditions suivantes(2) : - aucune retenue, si le nombre de journées de service non effectuées est au plus égal à 2, - 1/30e si le nombre de journées de service non effectuées est supérieur à 2 sans excéder 4, - 2/30e au maximum, si le nombre de journées de service non effectuées est supérieur à 195.2. Personnel roulant. a) Décompte. L’absence est décomptée depuis l’heure où l’agent n’a pas assuré son service jusqu’à l’heure de la fin de la cessation concertée de travail (ou de la reprise de service si elle est antérieure) et comprend les jours de repos périodique, de repos complémentaire ou de repos pour jour férié chômé et les journées chômées supplémentaires attribuées aux agents à temps partiel inclus dans cette période d’absence. Si la fin de la cessation concertée de travail intervient pendant un jour de repos périodique, de repos pour jour férié chômé, de repos compensateur de toute nature ou de congé - jour de calendrier compté de 0 heure à 24 heures - l’absence sera décomptée jusqu’à 0 heure ledit jour (ou à 0 heure le jour suivant si la cessation prend fin à 24 heures). Par ailleurs, on déduit 24 heures pour chaque jour de congé, de repos complémentaire, repos compensateur de toute nature compris dans cette absence, si leurs dates étaient prévues avant le commencement de la cessation concertée de travail et connues des agents intéressés. En outre, lorsque la durée de l’absence ainsi décomptée est inférieure ou égale à 168 heures (soit 7 périodes de 24 heures) et comprend N jours de repos périodique ou de repos pour jour férié chômé, on déduit de l’absence : - N x 24h, lorsque cette durée n’excède pas (N+2) x 24h, - (N-1) x 24h, lorsque cette durée dépasse la limite ci-dessus sans excéder (N+4) x 24h, - Rien, lorsque cette durée excède (N+4) x 24h. (1) Pour les agents à temps partiel, la durée journalière de travail à prendre en compte est celle correspondant à la durée journalière moyenne de travail de l’intéressé. (2) Pour l’application de ces dispositions, les journées chômées supplémentaires attribuées aux agents à temps partiel sont à considérer comme des journées de service. b) Répercussions. Lorsque la durée de l’absence ainsi déterminée n’excède pas 24 heures, la retenue est effectuée comme pour le personnel sédentaire, en se référant dans ce cas à la durée journalière moyenne de travail effectif prévue à l’article 7 de la directive RH0077, sans pouvoir excéder 1/30e. Si la durée de l’absence ainsi déterminée excède 24 heures, la retenue est égale à 1/30e du traitement et de l’indemnité de résidence, pour chaque période entière de 24 heures comprise dans l’absence. Le temps résiduel donne lieu à une retenue supplémentaire calculée sur les mêmes éléments à raison de : - 1/160e, lorsque ce temps n’excède pas 3 heures, - 1/50e, lorsqu’il dépasse 3 heures sans excéder 12 heures, - 1/30e, lorsqu’il dépasse 12 heures. 195.3. Répercussions sur les indemnités fixes mensuelles et le supplément de rémunération mensuelle. Les absences du type E entraînent une retenue sur toutes les indemnités fixes mensuelles et le supplément de rémunération mensuelle, dans une proportion identique à celle qui est appliquée au traitement et à l’indemnité de résidence. 195.4. Répercussions sur la prime de fin d’année et le supplément de rémunération y afférent. Les absences du type E, survenues entre le 1er janvier et le 31 décembre inclus entraînent une réduction de la prime de fin d’année et, le cas échéant, du supplément de rémunération y afférent à raison de : - 1/360e pour chacune de ces absences ayant donné lieu à retenue de 1/30, - 1/600e pour chacune de ces absences ayant donné lieu à retenue de 1/50, - 1/1920e pour chacune de ces absences ayant donné lieu à retenue de 1/160.
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Avis d'obsèques en grande pompe...
Un militant SUD m'a affirmé jeudi 20/12 vers 10h que la veille une réunion aurait réuni CGT, SUD et FO ? okok
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Avis d'obsèques en grande pompe...
Au fait les 160.000 cheminots, ils en pensent quoi vraiment de tout ça ? Parceque tout compte fait ce sont bien eux les premiers concernés ! - Se sentent-ils concernés par les négociations en cours sur le dossier des retraites ? - Sont-ils informés de l'etat actuels des négociations ? - Ont-ils un sentiment positif ou négatif par rapport à ces négociations ? - Estiment-ils nécessaire de peser sur les négociations et de quelles manières ? : * grève de 24h * grève reconductible * manifestion nationale * autre - Quel est leur sentiment sur l'attitude de chaque organisation syndicale prise individuellement en l'état des négociations : CGT - SUD - UNSA - CFDT - FO - CFTC - CGC - FGAAC ? etc... etc... tiens encore une : - comment conserver et renforcer l'unité des CHEMINOTS ?
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"Victoire pour la SNCF sur le dossier de la déportation"
Le titre est celui de la dépêche de l'agence de presse Reuters.
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"Victoire pour la SNCF sur le dossier de la déportation"
Victoire pour la SNCF sur le dossier de la déportation PARIS (Reuters) - La SNCF, attaquée en justice pour son rôle supposé dans la déportation de Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, a obtenu une victoire importante devant le Conseil d'Etat, plus haute juridiction administrative française. Après plusieurs années de procédure, cette juridiction a débouté le député européen des Verts Alain Lipietz et trois membres de sa famille, qui estimaient que la société nationale avait un rôle spécifique dans l'affaire, complémentaire de celui des Nazis et du régime de Vichy. Ils demandaient réparation de la déportation de deux personnes. L'arrêt, qui confirme définitivement une décision du 27 mars de la cour administrative d'appel de Bordeaux, conclut que les juridictions administratives ne sont pas compétentes pour traiter l'affaire, puisque la SNCF était pendant la guerre une société d'économie mixte, personne morale de droit privé. Surtout, le Conseil d'Etat valide une appréciation sur le fond du problème, qui conclut que la SNCF n'a pas de comptes à rendre dans cette affaire car elle a agi pour les trains de déportés sous les ordres de l'Etat de Vichy et des autorités allemandes d'occupation. Les plaignants entendent maintenant se tourner vers les tribunaux civils français, peut-être la Cour européenne des droits de l'homme et vers les Etats-Unis, où une procédure similaire est en cours. Hélène Lipietz, soeur du député européen, a qualifié l'arrêt du Conseil d'Etat "d'erreur historique". "Je pense que nous allons poursuivre la SNCF devant le tribunal de grande instance, puisqu'elle est reconnue dans cette affaire comme étant une entreprise privée", a-t-elle dit à Reuters. 75.000 DEPORTES JUIFS Est visée dans ce dossier la déportation les 10 et 11 mai 1944 de Georges Lipietz, son père et d'une autre personne de la gare de Toulouse à Paris, en vue de l'internement au camp de transit de Drancy, antichambre des camps de la mort nazis, en région parisienne. Aux Etats-Unis et en France, des milliers d'autres déportés ou familles de déportés français ou étrangers demandent réparation à la SNCF. Environ 75.000 Juifs de France ont été déportés pendant l'Occupation et seuls 2.500 sont revenus vivants des camps de la mort nazis. Le dossier a pris une ampleur internationale depuis un jugement de première instance rendu dans ce dossier le 6 juin 2006 par le tribunal administratif de Toulouse, qui avait dans un premier temps retenu la responsabilité de la SNCF et l'avait contrainte à payer 20.000 euros de réparations. Dans son arrêté, le Conseil d'Etat déclare "au regard des pièces soumises à son examen" n'avoir rien à redire aux conclusions rendues en appel à Bordeaux dédouanant la SNCF. Cette dernière estimait que la compagnie, "placée à la disposition des autorités allemandes entre 1940 et 1944, avait assuré le transport des victimes de la déportation à la demande et sous l'autorité des forces d'occupation et sans disposer d'aucune autonomie". Les convois de déportés partaient sous le régime de la réquisition ou de la mise à disposition. Leur composition, le type de wagons utilisés, les aménagements et les fermetures des wagons, le nombre de victimes transportées et leur traitement étaient fixées par l'occupant nazi et Vichy, qui assuraient conjointement le commandement et la surveillance armée, rappelle le Conseil d'Etat. La co-responsabilité de l'Etat français dans l'Holocauste a déjà été reconnue par d'autres décisions de la justice pénale et administrative, notamment dans ce dossier Lipietz, où l'Etat n'a pas fait appel de sa condamnation. Dans l'affaire, la SNCF a reçu le renfort de personnalités de poids, historiens et représentants d'associations de déportés. Son avocat aux Etats-Unis est Arno Klarsfeld, fils du "chasseur de nazis" Serge Klarsfeld. La compagnie nationale juge injuste le procès qui lui est fait, et rappelle que de très nombreux cheminots ont été fusillés pour leur participation à la résistance.
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Actualités Politiques
Quelques 2.500 radars supplémentaires vont être installés PARIS (Reuters) - Quelques 2.500 radars supplémentaires vont être installés en France pour remplir l'objectif fixé par Nicolas Sarkozy de faire passer d'ici 2012 de plus de 4.500 aujourd'hui à moins de 3.000 le nombre de tués chaque année, annonce l'Elysée. Une réforme du permis de conduire est également prévue, ainsi que des mesures contre l'alcool au volant et pour la sécurité des conducteurs de deux-roues motorisés. "Si depuis, cinq ans, on constate une diminution des personnes tuées sur les routes d'environ 40%, il n'est pas possible de se résoudre à une fatalité de plus de 4.500 morts sur les routes de France", peut-on lire dans un communiqué du porte-parole de l'Elysée. "Le président de la République a donc, en accord avec le Premier ministre, fixé l'objectif de moins de 3.000 personnes tuées en 2012", ajoute David Martinon dans ce texte publié à l'issue d'un conseil des ministres restreint sur le thème de la sécurité routière, organisé à la mi-journée à l'Elysée. Selon les chiffres définitifs du ministère du Transports, 4.709 personnes sont mortes dans des accidents de la route en France en 2006. Entre janvier et novembre 2007, 4.144 autres ont été tuées, soit 85 de moins que l'an dernier durant la même période. Environ 1.600 radars (1.000 fixes et 600 mobiles) sont actuellement en service. Elaborée par le ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo, la réforme du permis de conduire devra notamment "faciliter l'accès des jeunes à la conduite", précise le communiqué de l'Elysée. Le Premier ministre, François Fillon, doit tenir en janvier un comité interministériel de la sécurité routière. Elizabeth Pineau