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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Manif de droite http://www.dailymotion.com/video/x1tl2l_manif-de-droite
  2. Tiens l'Ami Zoreglube s'est reclassé en archéologue de service C'est le Thread du week-end... lotrela
  3. Alors pourquoi la pension d'un cheminot est en moyenne 10% inférieure à celle d'un retraité du régime général...?
  4. C'est vrai que même en changeant de pseudo... lotrela
  5. et les 4 qui bossaient sont en grève Dur dur... nonmaislotrela
  6. Ouai bon c'est juste des définitions... pas de quoi fouetter un chat De toute façon moi j'suis pour l'alignement vers le haut.
  7. Au fait Titisse ton profil : tu ne l'as toujours pas remis à jour t'as perdu ta fierté de travailler dans une belle et grande, économiquement et socialement, entreprise ferroviaire privée... T'as pas été licencié j'espère ? sinon on pourrait organiser une p'tite manif tiens au fait y'a deux semaines, j'ai un train du privé qui m'a fait une p'tite demande de secours (pas grave j'ai l'habitude avec la sncf...) c'était pas toi des fois ? le mec il a pas voulu dire pour qui il travaillait...
  8. Ouai mais comme on dit en Bretagne, la pluie ne mouille que les cons
  9. Comme la statistique de régularité mon Cher Zoreglube : ça camoufle les extrèmes... Quand j'ai dit à mon DET qui est venu me rendre visite* en gare que ce n'était que de la rentabilité sytémique il a fait une tronche... Si si il est venu rien que pour moi... Mignaw aussi d'ailleurs , en fait mon DET accompagnait Mimi... quand il a vu que c'était moi au poste, hou la tronche... Mais l'autre était sympa, pour un peu il m'invitait au resto mais bon j'étais de service quand même... mdrmdr
  10. C'est vrai que c'est pas aujourd'hui qu'il va être productif et rentable pour son patron à moins que ce soit lui le patron... Sinon ça doit être lui qui fait les études de rentabilité systémique... mdrmdr
  11. Alors il faut aligner vers le bas ou vers le haut ? Faut voir Balladur et Fillon pour les mauvais coups portés au régime général. Tu étais où en 1993 et 2003 pour défendre ton régime de retraite...? Ah au fait tu retiens bien que ce qui t'arrange et qui n'est pas comparable d'ailleurs...
  12. Un mois après la sncf a récupéré l'argent... avec les retenues salariales pour jours de grève Suffit de regarder les comptes de l'entreprise... Et un troll, un ?
  13. Bonjour Monsieur(?) ou Madame (?) l'Usager en colère L'usager c'est le terme que notre chère direction et nos aimables ministres redécourent les jours de grève en temps ordinaire ils utilisent le terme client autrement dire celui qu'on peut racketter, ratiboiser comme dans un supermarché ou à la pompe à essence quoi... Juste une question : elle est ou sera calculée comment votre retraite de salarié du privé... Avez vous entendu parler de la réforme Balladur de 1993, de la loi Fillon 2003 ? j'espère obtenir une réponse argumentée sinon je ne pourrais qu'émettre comme hypothèse que vous êtes un troll de l'UMP... Au fait Ingrid BETTANCOURT est une OTAGE, elle ne peut en aucune manière se déplacer librement elle est privée de liberté, prisonnière, menacée physiquement sa vie est tous les jours en danger de mort.
  14. ça fait quand même deux mois que ça dure depuis la mi septembre...
  15. 9 minutes par heure de nuit travaillées entre oh et 4 h du matin... soit 36 minutes par nuit... prime de nuit 8h à 2 euros... Pas plus de repos qu'un autre Aucun congés sur journée de grève désolé... et retenue de salaire pour chaque journée de grève (normal j'assume) Pour le gars D'EDF : combien fait-il d'heures d'affilée ? est-il à plein temps ou temps partiel ? demande lui...
  16. ça peut très bien être ça selon le nombre de jours (normalement travaillés ) en grève. Il y a un règlement à ce sujet donc rien de nouveau par rapport au passé.
  17. Action reconductible ne veut effectivement pas dire grève générale illimitée. Sur ce coup là je te rejoins Vinces car je pense que beaucoup de cheminots réfléchissent en terme de journées d'action temps fort de mobilisation s'inscrivant dans une période de pression et de mobilisation. De plus l'affaire des retraites peut durer encore plusieurs semaines (ou mois).
  18. De toute façon c'est le nombre de journées de grève (sur journées de service)cumulées qui influe sur le nombre de repos considéré(s) en grève.
  19. Troisième jour de grève dans les transports, les négociations au point mort 12h00 Par Par Mathieu FOULKES AFP - PARIS (AFP) - Les perturbations à la SNCF et la RATP sont encore importantes vendredi, au troisième jour de la grève contre la réforme des régimes spéciaux , alors que gouvernement et syndicats se livrent à un dialogue de sourd et que se profile un mouvement des fonctionnaires. Evénement De premières tensions sont apparues vendredi matin autour de certains piquets de grève. Des grévistes de la SNCF ont ainsi empêché des trains qui devaient desservir la gare Saint Lazare de quitter leur dépôt, en se mettant sur la voie avec des pétards et des fumigènes, une attitude "inacceptable", selon la direction. Le ministre du Travail Xavier Bertrand a condamné pour sa part le principe de piquets de grève et les "exactions". Le trafic SNCF s'améliore un peu mais est toujours perturbé au plan national, avec 250 TGV prévus, contre 700 en temps normal, et une soixantaine de trains Corail. 60 Thalys sur 67 devaient circuler, tandis que le trafic Eurostar est normal. En province, le trafic des TER est réduit, avec environ un train sur deux, contre un sur trois la veille, et 2.500 bus de substitution sont prévus sur certaines lignes. En région parisienne, se profile une nouvelle journée de galère pour les usagers. A la SNCF (Transilien et plusieurs lignes de RER), de 2 à 4 trains devraient circuler par heure, sur certaines lignes et aux heures de pointe, avec 1.000 bus en complément de la desserte ferroviaire, un trafic en légère amélioration par rapport à la veille. La SNCF précise que la desserte du Stade de France sera assurée vendredi soir pour le match amical de football entre la France et le Maroc. La lassitude était palpable Gare de Lyon, vendredi matin, même si les voyageurs montraient une certaine résignation. Du côté de la RATP, le trafic restait très perturbé, équivalent en moyenne à celui de jeudi, vers 09H15 vendredi matin, avec une légère amélioration sur la ligne de RER A (1 rame sur 6), tandis que la ligne B restait complètement bloquée. Sur les lignes du métro, les temps d'attente étaient compris entre 10 et 50 minutes. On compte environ 30% à 40% de bus, selon la direction. Le trafic routier autour de Paris, très difficile vendredi en début de matinée, s'améliorait toutefois à 9H10, avec 115 km de bouchons, et quelques ralentissements sur le périphérique, mais guère plus qu'un jour habituel. Après avoir laissé entrevoir une sortie de crise rapide mercredi avec un accord sur le principe de négociations tripartites par entreprise, le dialogue semble au point mort entre syndicats et gouvernement. Xavier Bertrand a souligné vendredi matin sur RTL que l'ouverture "immédiate" de négociations restait conditionnée à "un appel à la reprise du travail" de la part des organisations dans les entreprises. Au même moment, Didier Le Reste (CGT Cheminots) demandait sur France Info "d'autres réponses qu'on n'a pas eu jusqu'à présent". "Personne n'a à gagner à ce que le mouvement dérape, s'enlise", a-t-il dit. Sept fédérations syndicales de cheminots ont demandé aux AG de reconduire vendredi le mouvement de grève "pour 24 heures", soit jusqu'à samedi, alors que se rapproche la grève des fonctionnaires organisée mardi pour leur pouvoir d'achat et contre les suppressions d'effectifs.
  20. Grèves: Xavier Bertrand répète son appel à la reprise du travail pour la reprise des négociations AP - 12h PARIS - "Il faut un appel à la reprise du travail de la part des organisations (syndicales, NDLR) pour qu'immédiatement s'ouvrent des négociations tripartites", a répété vendredi le ministre du Travail Xavier Bertrand, en appelant à "l'esprit de responsabilité". "Vous ne pouvez pas avoir en même temps et la grève et les négociations d'entreprise parce que, qu'est-ce que je dis aux usagers dans ce cas-là? Les négociations d'entreprise, elles peuvent durer un mois, vous n'allez pas avoir un mois de conflit?!", s'est-il exclamé sur RTL. Le ministre du Travail a rappelé que, mardi soir, "les délégations syndicales qui sont venues (lui) dire 'on demande des réunions tripartites', moins de 24 heures après nous avons répondu 'oui'". "Nous avons fait exactement ce qui nous était demandé sur la méthode. Maintenant, j'attends qu'on tienne les engagements et qu'on appelle à la reprise du travail". "Il faut un appel à la reprise du travail de la part des organisations pour qu'immédiatement s'ouvrent des négociations tripartites qu'ont demandé les mêmes organisations syndicales", a-t-il martelé. M. Bertrand a jugé que "si les organisations, dans les entreprises, appellent à la reprise du travail, ce sera une preuve d'un véritable esprit de responsabilité et faire un pas en avant, parce qu'il faut débloquer la situation". "Je n'ai pas envie que les choses se fassent à l'usure, j'ai envie qu'on trouve une solution le plus vite possible (...) Il faut qu'on ne perde plus de temps et qu'on se mette autour d'une table de négociations", a conclu Xavier Bertrand. AP
  21. Lettre de 6 fédérations de Cheminots au ministre du Travail LES FEDERATIONS SYNDICALES DES CHEMINOTS CGT – CFDT – FO – CFTC– UNSA – CGC Paris, le 15 novembre 2007 Monsieur Xavier BERTRAND Ministre du Travail, des Relations Sociales et de la Solidarité 127, rue de Grenelle 75700 PARIS Monsieur Le Ministre, Par courrier du 14 novembre 2007 adressé aux organisations syndicales, vous concédez, dans le cadre du conflit contre la réforme des régimes spéciaux initiée par le gouvernement, la tenue de négociations d’entreprises et de branches tripartites entre l’Etat, les directions d’entreprises et les organisations syndicales de ces mêmes entreprises. Vous indiquez souhaiter que « ces négociations se déroulent rapidement et progressent à un rythme soutenu ». Les fédérations syndicales de cheminots se sont réunies ce jour, 15 novembre 2007, pour analyser la situation sociale dans le pays et l’entreprise SNCF et échanger leur point de vue. Les cheminots, réunis ce jour dans leurs assemblées générales, ont reconduit massivement, à l’appel de nos fédérations, la grève pour une période de 24 heures. Le refus du cadrage de la réforme gouvernementale, l’avenir du fret, l’emploi, le pouvoir d’achat sont les motivations du conflit en cours. C’est dans ce contexte que nos fédérations ont examiné avec la plus grande attention le contenu de votre courrier et les suites qu’il convient de lui donner. Les cheminot(e)s ont exprimé sur ce point, dans les assemblées générales, de connaître plus précisément les points sur lesquels vont porter ces réunions tripartites. Aussi nous vous demandons, pour que la transparence indispensable soit totale, que soit organisée dès demain la première réunion qui aura pour objectif de préciser les points qui seront négociés tout au long du processus ainsi que le calendrier précis. D’autre part, nos fédérations exigent que soit également apportées des réponses concrètes de la part de la direction SNCF aux propositions et revendications exprimées par les cheminots sur l’activité fret. Dans l’attente de vos nouvelles et en espérant avoir été entendus, veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de nos sentiments respectueux. Pour la CGT D. LE RESTE Pour la CFDT A. MORVAN Pour FO E. FALEMPIN Pour la CFTC A. POTIER Pour l’UNSA J.D. BIGARNE Pour la CFE CGC G. BLANC
  22. SNCF: Guillaume Pépy appelle les syndicats à rejoindre la table des négociations AP - Jeudi 15 novembre, 19h00 PARIS - Le directeur général exécutif de la SNCF Guillaume Pépy a de nouveau appelé jeudi soir les syndicats à venir à la table des négociations et assuré que l'entreprise était prête à mettre des moyens financiers pour accompagner la réforme des régimes spéciaux de retraite. "Aujourd'hui, il y a un seul impératif, c'est de sortir de la grève et pour ça, il y a un seul moyen: c'est que tout le monde réponde à notre demande de venir à la table des négociations", a-t-il déclaré sur i>télé. Il a affirmé que l'entreprise était "prête à mettre sur la table des moyens financiers pour accompagner la réforme". "On n'a pas besoin de rallonge budgétaire. La SNCF fait des bénéfices, la SNCF n'a pas de subventions et par conséquent elle est prête à mettre sur la table des moyens financiers pour accompagner la réforme, c'est parfaitement normal". Guillaume Pépy a par ailleurs estimé que le service ne "sera(it) pas normal ce week end" et assuré que les usagers seraient dédommagés pour les inconvénients dus aux mouvements sociaux. Sept fédérations syndicales de cheminots ont annoncé jeudi soir qu'elles appelaient les cheminots à reconduire une nouvelle fois leur grève à la SNCF pour une période de 24 heures supplémentaires lors de leurs assemblées générales de vendredi. Les syndicats exigent par ailleurs que le ministre du Travail Xavier Bertrand "crée les conditions d'organisation, dès vendredi, d'une réunion de travail tripartite pour fixer le cadre, la méthode et le calendrier" des négociations sur la réforme des régimes spéciaux. La grève à la SNCF a débuté mardi à 20h en protestation contre la réforme des régimes spéciaux de retraite des cheminots. AP
  23. La grève reconduite vendredi à la RATP et à la SNCF, les négociations dans l'impasse LEMONDE.FR avec AFP et Reuters Le deuxième jour de la grève contre la réforme des régimes spéciaux de retraite, jeudi 15 novembre, a de nouveau fortement perturbé le trafic sur les réseaux de la RATP et la SNCF, alors même que les négociations entre syndicats et gouvernement semblent être dans l'impasse. Le mouvement a été reconduit dans les deux entreprises publiques de transports jusqu'à vendredi. Les fédérations de cheminots tentent, pour leur part, de maintenir une marge de négociation avec l'Etat, tout en donnant des gages à leur bases. Pour preuve, les deux appels lancés jeudi soir par les fédérations de cheminots de la SNCF. Le premier, signé par sept d'entre elles (CGT, SUD-Rail, CFDT, CFTC, FO, UNSA, CFE-CGC) s'adresse aux assemblées générales qui se tiendront vendredi à la SNCF, et demande la reconduction "du mouvement de grève pour 24 heures" , soit jusqu'à samedi, selon la CGT. Le second, signé par les mêmes fédérations, hormis SUD-Rail, demande au ministre du travail, Xavier Bertrand, d'organiser "dès vendredi" une réunion tripartite "pour fixer le cadre" des négociations. "PAS UNE RÉUNION DE NÉGOCIATION" "La réunion que nous demandons n'est pas une réunion de négociation, c'est une réunion de mise au point pour préciser le cap, le contenu du futur processus", a précisé Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT cheminots. Après avoir pris acte de la décision des assemblées générale de jeudi de reconduire la grève, M. Le Reste avait déjà demandé "des précisions de la part du gouvernement (...) car la lettre [de Xavier Bertrand] était imprécise, notamment sur le calendrier". "Quand on porte un mouvement social aussi fort que celui-ci, c'est notre responsabilité de syndicalistes d'obtenir des résultats bénéfiques pour tout le monde", avait-t-il ajouté. Pour Jean-Philippe Catanzaro, responsable des régimes spéciaux à la CFTC, "si l'on n'ouvrait pas les négociations, on ne pourra pas sortir du conflit". SUD-Rail n'a pas modifié sa position. Comme l'expliquait son secrétaire fédéral, Christian Mahieux, dans un chat au Monde.fr, "nos revendications, c'est d'une part la suppression du projet (...) et dans un second temps, l'ouverture de négociations sur l'ensemble des régimes de retraite du pays. Nous ne pensons pas qu'aller négocier entreprise par entreprise soit la bonne réponse au problème global posé". "Il n'est pas question d'aller négocier l'application de la réforme des régimes spéciaux pendant le conflit, c'est la raison pour laquelle nous n'avons pas signé le courrier au ministre", a-t-il ajouté jeudi soir. M. BERTRAND VEUT QUE LES SYNDICATS APPELLENT "À LA REPRISE DU TRAVAIL" Le gouvernement assure de son côté suivre "en permanence l'évolution de la situation", selon le porte-parole de l'Elysée, David Martinon. Sur France 3, Xavier Bertrand a demandé aux syndicats, jeudi soir, "d'appeler à la reprise du travail" afin de pouvoir entamer des négociations. "On ne peut pas avoir et la grève et les négociations d'entreprise en même temps", a fait valoir M. Bertrand, qui estime qu'il y a actuellement "davantage d'agents qui souhaitent reprendre le travail". Une feuille de route confirmée par des membres de son entourage, qui ont expliqué, sous couvert d'anonymat, que des négociations ne seront possibles qu'une fois la grève terminée. "Les négociations d'entreprises avec les représentants de l'Etat ne pourront s'engager que lorsque les organisations syndicales auront mis fin à la grève. La balle est dans le camp des organisations syndicales". M. Fillon, qui s'est réunit, jeudi, avec M. Bertrand, Nicolas Sarkozy, la ministre de l'intérieur, Michèle Alliot-Marie, et le secrétaire d'Etat aux transports Dominique Bussereau, a une nouvelle fois appelé à la fin d'une grève "qui pénalise les usagers et qui ne permettra pas d'aboutir à des avancées sociales" et a demandé l'ouverture "des négociations dans les entreprises". Le taux de grévistes à la SNCF, jeudi, était de 46 % selon la CGT et de 42,8 % selon la direction. Un niveau de mobilisation qualifié par M. Le Reste de "fort dans le cadre d'un mouvement de grève reconductible". Le trafic SNCF est resté perturbé, malgré des améliorations, notamment sur les TGV et les Corail. A la RATP, la direction comptait jeudi 27,2 % de grévistes, contre 44 % mercredi. Vers 18 heures, huit lignes de métro et les RER A et B ne fonctionnaient pas ou quasiment pas. La direction de la RATP prévoit un trafic encore "perturbé" vendredi. Même son de cloche à la SNCF, qui annonce néanmoins une "nouvelle amélioration" mais un trafic "pas normal" durant le week-end.
  24. RETRAITES Les INFOS du JOUR Vendredi 16 Novembre 2007 Dépêches et articles de presse communiqués... ************************************************ SNCF et RATP: la base rechigne et la grève se poursuit AFP - Vendredi 16 novembre, 0h00 PARIS (AFP) - La grève dans les transports, qui a entraîné de fortes perturbations jeudi, malgré une baisse du taux de grévistes, va se poursuivre vendredi, et jusqu'à samedi à la SNCF, la base rechignant à se contenter d'annonces de négociations tripartites (Etat, syndicats, directions). Evénement Le mouvement contre la réforme des régimes spéciaux de retraite a été suivi par 42,8% des salariés de la SNCF jeudi, contre 61,5% mercredi, selon la direction, qui a été devancée par l'Elysée dans son annonce du taux de grévistes. Si la participation semblait refluer, la plupart des assemblées générales (AG) à la SNCF et RATP ont reconduit la grève jusqu'à vendredi, Sud-Rail notant une "très forte implication des cheminots dans le mouvement". Sept fédérations syndicales de cheminots ont demandé aux AG de reconduire vendredi le mouvement de grève "pour 24 heures", soit jusqu'à samedi. Plus tôt dans la journée, Didier Le Reste (CGT-cheminots) avait pourtant laissé entrevoir un possible apaisement, expliquant que le gouvernement avait proposé "des éléments nouveaux", et que les salariés devaient "en débattre et décider" de poursuivre ou suspendre la grève. Mais la lettre du ministre du Travail Xavier Bertrand, envoyée mercredi soir aux syndicats, "a été analysée par les AG, qui ont conclu que les cheminots ne pouvaient s'en contenter", voulant savoir ce qu'il y aura "dans le panier des négociations", selon FO. Dans sa missive, M. Bertrand a accordé "un mois" aux syndicats pour trouver une issue avec les entreprises, et accepté la participation de l'Etat aux négociations, réclamée par la CGT, tout en exigeant "le respect des principes d'harmonisation". Six syndicats de cheminots, mais pas Sud-Rail, ont demandé à M. Bertrand d'organiser vendredi une réunion tripartite "pour fixer le cadre" des négociations à la SNCF. Mais le ministre a redit jeudi soir que les discussions ne pourraient commencer qu'après la fin de la grève. "Je demande aux organisations syndicales dans les entreprises d'appeler à la reprise du travail", a-t-il déclaré sur France 3, ajoutant: "on ne peut pas avoir et la grève et les négociations d'entreprise en même temps". Peu avant l'intervention de M. Bertrand, la CFTC-cheminots avait rappelé que "ce sont les cheminots qui font la loi sur le terrain" et Sud-Rail appelé à rejeter le "cinéma" du ministre. Plusieurs confédérations syndicales penchaient pourtant pour la reprise du travail, comme la CFDT de François Chérèque. Côté trafic, M. Bertrand a dénombré jeudi "deux fois plus" de bus, de trains et plus de rames de métro que la veille, mais a souligné que la "galère" continuait pour les usagers. Le trafic SNCF est resté perturbé, malgré des améliorations, notamment sur les TGV et les Corail. A la RATP, où quatre syndicats sur huit poursuivent le mouvement, la direction comptait jeudi 27,2% de grévistes, contre 44% mercredi. Vers 18H00, huit lignes de métro et les RER A et B ne fonctionnaient pas ou quasiment pas. A EDF et GDF, où FO et CGT disaient poursuivre le mouvement, le taux de grévistes a chuté à 2,1% et 3,6%). Vendredi, la RATP prévoit un trafic encore "perturbé" avec un métro sur cinq en moyenne, des RER A et B "très perturbés" et 40% des bus et tramways. La SNCF a annoncé une "nouvelle amélioration", mais le trafic restera perturbé vendredi (avec 250 TGV sur 700 en circulation, 60 trains Corail et entre un et quatre Transiliens par heure) et "pas normal" durant le week-end.
  25. Ouai c'est un peu ça voir le fil sur les infos de la journée du 15/11 il y a une dépêche d e presse
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