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Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Bon Anniversaire à toutes et tous 10 MARS 2012 Célébration(s) du jour (38) Bon Anniversaire à mon Amie Nekro (32) Emy (23) tomy62 (48) Bon Anniversaire à Technicentre (26) simsvtec (17) diesel52 (24) nikko88 (??) zoreil41 (20) uda-la-pub-de-fr-3 (27) fanfan89
  2. Les Grandes manoeuvres Le PS et Hollande pencheront-ils au centre droit ou vers la Gauche de Gauche... Une majorité pour un gouvernement Hollande avec Verts et Modem http://fr.news.yahoo.com/une-majorité-pour-un-gouvernement-hollande-avec-verts-082002388.html;_ylt=Are3S0bLqDtLZHhtKJByaLj.fcl_;_ylu=X3oDMTNycTRhczdmBG1pdANKdW1ib3Ryb24gRlAEcGtnAzM4NmY3MTEwLWYxMGEtM2I5MC05YTgzLTI3ZjgwMDY3MzhjZQRwb3MDMwRzZWMDanVtYm90cm9uX2Nva2UEdmVyA2Y5MTdkY2UwLTZhODktMTFlMS05OWVlLWY2MTVlZDNhYTQ1OA--;_ylg=X3oDMTFyaHV1cGw5BGludGwDZnIEbGFuZwNmci1mcgRwc3RhaWQDBHBzdGNhdANhY2N1ZWlsBHB0A3NlY3Rpb25zBHRlc3QD;_ylv=3 PARIS (Reuters) - Près de deux tiers des Français souhaitent que François Hollande gouverne avec les écologistes et des représentants du MoDem de François Bayrou s'il est élu président de la République le 6 mai, indique un sondage réalisé par l'Ifop pour Sud-Ouest Dimanche. En revanche, seulement 48% des sondés souhaitent voir arriver dans un gouvernement Hollande des représentants du Parti communiste et du Front de gauche de Jean-Luc Mélenchon. Ils sont 51% à rejeter cette perspective. Soixante-cinq pour cent des personnes interrogées souhaitent que le candidat du Parti socialiste intègre dans son gouvernement des membres d'Europe Ecologie Les Verts, contre 35% qui sont d'avis contraire. Ils sont 63% à souhaiter la même chose pour des membres de la formation centriste de François Bayrou contre 36% qui se disent opposés à cette option. L'enquête a été réalisée les 8 et 9 mars auprès d'un échantillon de 995 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Pierre Sérisier
  3. Au sujet du Halal, du casher et tout compte fait des consommateurs de viande... Des infos intéressantes dans le corps de cet article... si on évacue les références à La Peine... http://fr.news.yahoo.com/blogs/bondy-blog-presidentielle/halal-merci-marine-le-pen-003500326.html
  4. Je suis déjà une réincarnation vivante... Heureusement j'ai évité le corps et l'esprit de Maître Gnafron dit Gnafron 1er... :tongue:
  5. Sur le blog de Daniel Goldberg député PS RER : le rapport de la Commission d’enquête et ses 30 propositions sont publiés RER : le rapport de la Commission d’enquête et ses 30 propositions sont publiés Le rapport de la Commission d’enquête sur le RER, que j’ai présidée, a été remis et rendu public hier. Vous pouvez le télécharger ici. Après plusieurs auditions des associations d’usagers, des syndicats, des opérateurs, des élus, mais aussi des déplacements dans les centres de commandement du RER B et avoir emprunté la ligne du RER A, voici les trente propositions formulées par la Commission d’enquête : Réformer la gouvernance du système 1. Unifier le commandement : a. Réaliser la mise en œuvre opérationnelle, avant le terme de l’année 2012, du centre unique de commandement (CUB) de la ligne B à Denfert-Rochereau. Sous l’autorité du STIF, RFF, la RATP et la SNCF devront travailler de façon conjointe, dans un même lieu, et constituer ainsi une structure unifiée de gestion opérationnelle de la ligne. Il conviendra également d’envisager une réglementation unifiée des règles de circulation ; b. Lancer dans les plus brefs délais un groupe de travail visant la création, d’ici à la fin de l’année 2012, d’un CUA - centre unique de commandement de la ligne placé sous l’autorité du STIF, sur le modèle de celui portant sur le RER B mis en place le 9 février 2012 par la RATP et la SNCF. Il conviendra également d’envisager une réglementation unifiée des règles de circulation ; c. Supprimer la relève de Nanterre Préfecture sur la ligne A entre conducteurs RATP et SNCF afin d’améliorer la fluidité du trafic. 2. Transmettre au Parlement avant le 31 décembre 2012 un rapport d’étude technique et réglementaire par les services du ministère des transports et l’Établissement public de sécurité ferroviaire (EPSF) sur les conditions et les délais d’une attribution opérationnelle des lignes A et B à un opérateur unique. 3. Mettre en œuvre sans tarder un regroupement de toutes les compétences et moyens dédiés : la formule d’un « GIP RER », un groupement d’intérêt public rassemblant sous la présidence du STIF, la RATP, la SNCF, dans sa fonction d’opérateur mais aussi avec ses parties DCF et Infra, RFF, et l’Établissement public de sécurité ferroviaire (EPSF) constituera un cadre mobilisateur d’identification et d’action favorable à la coordination des moyens, des procédures et de la gestion des situations de crise et permettra de réaliser une gestion unifiée du RER articulée avec le Transilien. Les comités de lignes y seront régulièrement associés. 4. Demander au ministère chargé des transports de transmettre au Parlement, dans un délai de six mois, une étude sur l’intégration des lignes H, K, J, L, N, P, T, R, U duTransilien dans la logique d’exploitation RER. 5. Intégrer à l’Établissement public de sécurité ferroviaire (EPSF), les missions de contrôle sur l’infrastructure des métros relevant actuellement du Service technique des remontées mécaniques et des transports guidés (STRMTG) : cette unification des contrôles sur la totalité des infrastructures conditionne l’harmonisation éminemment souhaitable des projets d’investissements. Cette mesure s’appliquera également aux futures liaisons automatiques du Grand Paris. Faire évoluer l’exploitation du RER dans le sens d’une modernisation des matériels et des infrastructures 6. Augmenter le nombre de rames à double étage : a. Dégager les financements nécessaires à l’accélération du rythme des livraisons et des mises en service des rames à double étage sur la ligne A afin que trente de ces nouveaux trains circulent au terme de l’année 2013 et confirmer au plus tôt la commande prévue de trains supplémentaires pour atteindre un total d’au moins 65 rames à double étage sur la ligne au 31 décembre 2015 puis ultérieurement une généralisation de ces matériels ; b. Lancer une étude RATP de faisabilité sur les possibilités de faire circuler des rames à double étage sur la partie Sud de la ligne B, en évaluant les coûts des éventuelles rectifications d’ouvrages ; c. Augmenter, quand cela est techniquement possible, le nombre de rames à double étage circulant sur le réseau. 7. Réaliser une étude, sous l’autorité du STIF sur la mise en œuvre de modes d’exploitation alternatifs : a. Liaisons partielles avec des ruptures de charge au niveau des branches et une desserte par navette sur les tronçons centraux ; b. Modalités et calendrier de mise en œuvre du nouveau mode d’exploitation proposé par la SNCF (omnibus en Petite couronne et direct en Grande couronne). 8. Arrêter une décision, avant le terme de l’année 2014, concernant le doublement du tunnel Châtelet - Gare du Nord. Cet objectif suppose qu’au-delà de l’étude exploratoire de faisabilité qui vient d’être lancée par le STIF et RFF, d’autres solutions de substitution soient également étudiées. Afin de remédier à la cause majeure d’engorgement des lignes B et D, l’étude la plus complète possible des différentes options devra s’accompagner d’un chiffrage et d’un calendrier de réalisation particuliers à chacune d’entre elles. 9. Augmenter le nombre des trains de réserve sur chaque ligne (si besoin par l’acquisition de nouveaux matériels) et de conducteurs immédiatement disponibles sur le réseau et mettre en place des systèmes d’aiguillages et des plateformes de retournement, afin de limiter les blocages de ligne en cas d’incident par la reprise rapide de la circulation. 10. Revoir le schéma d’exploitation du RER C. Il n’est pas logique qu’alors que vingt-quatre trains circulent sur le tronçon central en heure de pointe, ils ne soient plus que vingt à l’horizon 2025, cela en dépit d’une importante augmentation de fréquentation. 11. Renforcer le schéma directeur de la ligne D qui demeure trop imprécis. Il faut notamment améliorer la coordination des aiguillages dont le plus ancien date de 1932 (Paris Gare de Lyon) et optimiser le débit de certaines zones où subsistent de nombreux conflits de circulation. La situation des usagers de la Grande couronne reste insuffisamment prise en compte dans la conception même d’un schéma qui doit donc être revu. 12. Demander à la SNCF, dans un délai de six mois, une étude précise sur la conception, les modalités, le coût et le calendrier de mise en œuvre du futur système d’exploitation NExTet fournir une étude présentant des systèmes alternatifs en service sur des réseaux périurbains comparables en Europe ou dans d’autres grandes agglomérations mondiales. 13. Assurer la création de deux nouvelles voies pour le RER C entre Juvisy et Paris (« sextuplement » des voies) afin de garantir une meilleure séparation des trafics au bénéfice de la ligne C du RER, notamment dans le cadre de l’étude sur la réalisation de la LGV Paris – Orléans – Clermont-Ferrand – Lyon (POCL). 14. Confier au Parquet général de Paris et à la Préfecture de police une mission concernant les procédures et les interventions qui en résultent dans les situations d’accident grave de voyageur afin d’éviter que ces événements dramatiques n’affectent trop longtemps le réseau. Cette mission devra débuter au cours du premier semestre 2012. Place des usagers 15. Renforcer la place des usagers d’Île-de-France au sein des conseils d’administration ou de surveillance de la SNCF, de la RATP mais aussi de RFF et de la Société du Grand Paris (SGP). 16. Renforcer le système d’information des usagers afin de le rendre plus fiable et transparent. 17. Revoir le fonctionnement et le rôle du Comité des partenaires du transport public (CPTP). Cette réforme conditionne notamment la participation des représentants des usagers à la définition des critères de régularité, notamment en heure de pointe, et de qualité de service opposables aux opérateurs par le STIF. 18. Réunir les représentants des usagers, d’une part, et les constructeurs et les ateliers de maintenance, d’autre part, pour échanger des informations sur la conception, l’entretien, l’accessibilité, le confort général et la sécurité des rames et des gares. La commission insiste sur la nécessité de mieux prendre en compte les retours d’expérience des usagers. 19. Demander au STIF la réalisation d’un guide annuel des gares et des trajets accessibles aux personnes à mobilité réduite. 20. Réserver aux associations d’usagers du RER un espace d’affichage dans les gares. 21. S’assurer de la diffusion d’un message d’information en plusieurs langues en cas d’incident, tout particulièrement sur la ligne B qui dessert deux aéroports internationaux. 22. Mieux anticiper les modifications de configuration et de capacité d’accueil des gares notamment lorsqu’il est décidé la création d’une nouvelle correspondance ou lorsqu’une commune ayant développé son parc d’activités voit son trafic augmenter par des allers et retours quotidiens de salariés-usagers. 23. Apporter aux usagers du RER D une information plus complète à la station de Châtelet les Halles. La sécurisation des financements 24. Exiger, au terme de leur exercice 2012, de la RATP et de la SNCF, la présentation d’une comptabilité par ligne du réseau du RER. 25. Sécuriser des ressources budgétaires au bénéfice des opérations de régénération des lignes du RER en y consacrant une partie prédéterminée dans un cadre pluriannuel du budget de l’Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFITF). 26. Avancer d’une année, au 31 décembre 2012, la date de la clause de rendez-vous prévue par le Protocole d’accord Etat-Région du 26 janvier 2011 s’agissant de la possibilité pour la Société du Grand Paris de consentir des avances remboursables destinées au financement du Plan de mobilisation régional. 27. Rendre plus fiables les processus de sélection et d’évaluation de l’État et du STIF pour leurs projets d’investissement d’infrastructures et de matériels. Il convient également de poursuivre le renforcement de la place des expertises indépendantes au cours des procédures de marchés et de systématiser les évaluations à 5 et 10 ans après mise en service pour tous les investissements supérieurs à 50 millions d’euros. 28. Rompre définitivement avec la pratique consistant à faire dériver une partie du produit des péages acquittés par le STIF à RFF vers des investissements sur des infrastructures du réseau ferré et extérieures à l’Île-de-France. Il convient de compenser les insuffisances d’investissement qui ont de ce fait durablement pénalisé l’infrastructure ferroviaire de l’Île-de-France par un effort de rattrapage financier à effet immédiat que la commission d’enquête évalue au moins à 400 millions d’euros à consentir en large part au RER. Une réflexion stratégique sur l’aménagement et le développement régional 29. Définir une nouvelle politique tarifaire, cohérente avec le prochain schéma directeur régional (SDRIF) dont la révision doit favoriser une évolution polycentrique des territoires dans le cadre d’un maillage cohérent. En tout état de cause, il résultera aussi de la réforme de la comptabilité des opérateurs une réelle connaissance du coût kilomètre par voyageur, un outil de réflexion indispensable, comme le sont également de véritables études « origine-destination » actualisées qui restent à entreprendre avant la mise en place de toute nouvelle formule de tarification. 30. Favoriser la diffusion et l’exploitation des études d’économistes et de sociologues sur la mobilité dans les transports collectifs en Île-de-France. Des études actualisées et ciblées par ligne sur les conséquences sociales et économiques des moyens et des fréquences de déplacement (plus particulièrement des études « origine-destination ») contribueraient à mieux éclairer la prise de décision publique. Des questions aussi essentielles que le rééquilibrage entre l’est et l’ouest de la région Île-de-France ou encore la réflexion sur les horaires de travail, déterminants sur les flux aux heures de pointe, devront être débattues dans ce cadre.
  6. Me suis planté, je voulais mettre le message dans le sous-forum communiqué J'ai demandé le transfert au modo de service... Désolé...
  7. Une pensée pour ce jeune cheminot décédé, pour sa famille, ses proches et ses amis et tous les collègues. Communiqué de la Fédération des Cheminots CGT 9 mars 2012
  8. Accident Mortel de TOURY Communiqué Fédération CGT des Cheminots 9 mars 2012 2012.03.09-CGT-CDP-FD-AccidentTOURY.pdf
  9. -----------cheyenne44-------->charles aznavour -----------zoom45-------------->l'UMP -----------gnafron 1er--------->rina ketty -----------nipou-----------------> cheyenne44 -----------Dom Le Trappeur -> Dom Le Trappeur Je ne suis que de passage sur Terre... Poussières d'Etoiles je suis...
  10. Un an après, les joueurs de flûte de Fukushima http://www.liberation.fr/monde/01012394771-un-an-apres-les-joueurs-de-flute-de-fukushima Par NADINE RIBAULT écrivaine et THIERRY RIBAULT chercheur au CNRS (Maison franco-japonaise de Tokyo) Aujourd’hui, un tiers de la surface totale du département de Fukushima est contaminé à un taux supérieur à 37 kilobecquerels par m2, alors que, dans le cas de Tchernobyl, 0,3 % de la Russie, 6 % de l’Ukraine et 14 % de la Biélorussie étaient contaminés au même niveau. Ceci sans prendre en compte le fait que la densité de population du département de Fukushima est trois fois plus élevée qu’en Biélorussie. Ceci sans tenir compte du fait que les données du ministère japonais de l’Education et de la Science sont fournies pour un rayon de 100 km autour de la centrale pour le département de Fukushima, alors que les cartes disponibles font apparaître de nombreuses poches à plus de 30 kilobecquerels par m2 au-delà des 100 km de la centrale, soit une zone contaminée supplémentaire de 20 à 30 % pour le seul département de Fukushima. D’autre part, si l’on intègre la contamination à partir de 10 kilobecquerels par m2, c’est la quasi-totalité du département qui doit être considérée comme contaminée. Par ailleurs, ne sont pris ici en compte que les dépôts de césium 137, excluant le césium 134, mais surtout tout autre type de radionucléides (plutonium, strontium) dont des «traces» sont régulièrement découvertes au gré des contrôles menés localement. Enfin, ces données ne prennent pas en considération la situation dans les départements limitrophes : d’après les estimations du ministère, rendues publiques à l’automne, au moins treize départements, représentant 8 à 10 % du territoire japonais, sont contaminés. A titre de comparaison, imaginons ce que signifierait la contamination, pour une période d’au moins un demi-siècle, des régions Provence-Alpes-Côte-d’Azur et Bretagne réunies. Pour ce qui est du coût de la décontamination, les autorités japonaises ont déjà investi 800 milliards de yens (près de 8 milliards d’euros) depuis 1977 pour traiter 1 500 hectares pollués par le cadmium dans le département de Toyama, suite à une intoxication massive liée à l’exploitation minière, principalement durant la première moitié du XXesiècle, et il reste encore autant à faire. Pour une surface quarante fois plus étendue, combien coûtera la décontamination liée aux fuites radioactives de la centrale de Fukushima Daichi, et combien de temps sera-t-elle nécessaire ? Les spécialistes japonais estiment que «la décontamination dans des zones résidentielles fortement touchées doit être effectuée dans un rayon de 100 mètres autour de chaque habitation, ce qui en pratique est presque impossible» (1). Qu’adviendra-t-il par ailleurs des 7 800 travailleurs qui sont intervenus sur le site de Fukushima Daichi, rien qu’entre le 11 mars et le 31 mai 2011, sachant qu’il en faudra des centaines de milliers d’autres pour continuer à «sécuriser» le site à l’avenir ? C’est dans cette réalité que continuent d’œuvrer les lutteurs éternels. Notre ami, le compositeur Wataru Iwata (2), a quitté Tokyo lors de la catastrophe nucléaire pour se rendre, dans un premier temps, dans le Tohoku où il a fondé Projet 47, association qui est venue en aide à la population, avant de s’installer dans la ville de Fukushima pour y créer la première station de mesure autonome de la radioactivité (CRMS). Témoins des bouleversements que subissaient sa vie et son pays, nous lui avions alors adressé des lettres rendues publiques, puis nous avons écrit une chronique (3). Depuis un an, avec d’autres, souvent découragé, révolté, fatigué, il lutte. Aujourd’hui, nous dit-il, 62 000 personnes, soit seulement 3 % de la population de Fukushima (moins de 10 % des enfants) ont quitté le département pour se réfugier dans la métropole de Tokyo, dans la région d’Osaka-Kyoto, à Hokkaido ou encore à Okinawa. La question, pour lui, est de savoir ce qui va se passer d’ici à avril, date de la rentrée scolaire et de la nouvelle année fiscale. Comment aider ceux qui sont décidés à partir (pour la plupart, envers et contre leurs proches qui ne les y «autorisent» pas) ? Comment éviter que ne reviennent ceux qui veulent «rentrer» ? Comment inciter les autorités à changer la loi relative aux suites de catastrophes naturelles en loi relative aux suites de catastrophes nucléaires afin que les «réfugiés» ne soient pas mis à la porte de leurs logements provisoires en mars 2013 ? Comment aider les paysans, les démunis qui, eux, ne peuvent pas partir ? Wataru Iwata a perçu un changement après la nouvelle année. La panique et le désespoir qui ont suivi la catastrophe, prenant les gens aussi bien que l’Etat dans leur train fou, ont évolué vers un calme froid propice à la pensée et à l’action. Là où la radiation circule, dangereuse, où l’Etat que l’on voulait «providentiel» est accusé de ne pas protéger et ne protégera pas, les membres des associations et les individus font ce qu’il est censé faire et, pour y parvenir, trichent et usent de ses failles, proposant par exemple aux mères qui ont fui pour mettre à l’abri leurs enfants, leur mari travaillant toujours dans la région de Fukushima, de divorcer afin de percevoir l’aide publique réservée aux femmes seules avec enfants. Les gens dépendent désormais de ces associations. Le président de l’une d’entre elles pense organiser des voyages scolaires apparemment anodins pour les collégiens et lycéens de la région de Fukushima et leur transmettre, à cette occasion, des messages précis destinés à convaincre leurs parents de partir. Il pense aussi à ouvrir à Fukushima un bar où il recevra les gens et organisera leur départ en toute clandestinité. Les lutteurs éternels œuvrent, certes, en une lutte étrange et souterraine. Ils taillent, disent-ils, la flûte du joueur de Hamelin pour attirer hors du danger ceux qu’ils s’entêtent à vouloir protéger. (1) «Mainichi», du 17 octobre 2011. (2) Wataru Iwata sera à Paris les 28 et 29 mars. Renseignements : http://fr.crms-jpn.com (3) «Les sanctuaires de l’abîme : chronique du désastre de Fukushima», éditions de L’Encyclopédie des Nuisances, Paris, mars 2012.
  11. Et la liste est longue depuis 5 ans...10 ans...
  12. La Poste. Un directeur agresse verbalement un agent briochin http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/cotesarmor/la-poste-un-directeur-agresse-verbalement-un-agent-briochin-09-03-2012-1626791.php
  13. L'info tourne également en boucle par e-mail... Signé avant hier déjà...
  14. Ce qui est sur, c'est que la situation de l'emploi est catastrophique... et empire depuis 2007 Désaccord entre Sarkozy et Fabius sur le nombre de chômeurs : qui dit vrai ? http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2012/03/08/desaccord-entre-sarkozy-et-fabius-sur-le-nombre-de-chomeurs-qui-dit-vrai_1653745_1471069.html#xtor=AL-32280515
  15. En fait c'était juste une histoire de bière... :Smiley_63:
  16. Tout à fait d'accord avec toi... mais les affaires de ce type se succèdent et ça n'a pas l'air de faire peur plus que ça aux.. (ir)responsables qui les commandent... Sur l'affaire d'Ikéa, les journaux en parlent pas mal surtout que l'Ikéa de Brest est directement touché... mais bon ici on est sur le même plan que l'ADMR malheureusement peu de gens en parlent... Le zapping s'amplifie dur dur...
  17. On pourrait pondre une loi pour interdire les licenciements dans les 5 années précédents les élections présidentielles... L'UMP DEMANDE AUX PATRONS DE LICENCIER APRÈS MAI 2012 !!! Le cynisme du gentil Xavier Bertrand n'a pas de limite... ce papier de Challenges nous explique que "Mr Bertrand se démène pour que les entreprises décalent leurs plans sociaux après les élections"... Cool. En effet, cela ferait mauvais genre, des licenciements juste avant le premier tour, lisez ça: "Alexandre Bompard (Fnac) ou encore Luc Oursel (Areva) ont reçu des instructions pour repousser de quelques mois leurs projets de licenciement. La Fnac, qui a fait part de son intention de supprimer 500 postes (dont 300 en France) en janvier dernier, a été priée de ne pas aller au-delà pour le moment. Idem pour le groupe Areva qui projetait de se délester de 3.000 emplois dans l'Hexagone"... Rendez vous sur le site ci après. Et si l'UMP votait une loi pour interdire de licencier dans l'année présidentielle? http://www.challenges.fr/elections-2012/20120215.CHA3306/bertrand-se-demene-pour-que-les-entreprises-decalent-leurs-plans-sociaux-apres-les-elections.html
  18. Bobaromètre de Libération... Sarkozy en tête dans les hauteurs se détache nettement marqué à la culotte par La Pen... http://desintox.blog...romètre-n4.html A noter qu'il n'y a quasiment rien à retenir contre Eva Joly et Jean-Luc mélenchon ... pas de bobards... C'est Libération qui le dit... "Une fois de plus, Jean-Luc Mélenchon et Eva Joly échappent à notre radar..."
  19. Comme Poutine, quoi....! tiens je me rappelle même plus le nom de l'autre petit tsar de Russie...
  20. Il fut un temps pas si lointain, où les forces de l'ordre saluaient le convoi et le défunt Un cortège funèbre arrêté pour souffler dans le ballon http://www.lindependant.fr/2012/03/08/tout-un-cortege-funebre-arrete-pour-souffler-dans-le-ballon,122289.php#reagirArticle Limoux. Quand le zèle franchit les limites du respect, la loi des hommes est bien loin du coeur... Limoux, une commune de l'Aude, a en récemment vécu une malheureuse illustration. la Dépêche s'en fait l'écho ce jeudi, relatant une scène ahurissante. Il est 15 heures environ, lorsque les gendarmes interviennent lors d'une cérémonie d'obsèques. Ils interceptent un cortège funèbre sur le Chemin de Ronde reliant l'Eglise Saint-Martin au cimetière Saint-Antoine du village. Corbillard en tête, proches, parents et amis endeuillés accompagnent en voiture une des leurs, une limouxine âgée de 70 ans, jusqu'à sa dernière demeure. Les pandores opèrent un contrôle d'alcoolémie. Premier à souffler dans le ballon, le chauffeur de l'auto qui suit le cercueil et conduit le veuf éploré. La stupéfaction ambiante frise la colère. Les forces de l'ordre ne désarment pas pour autant et utilisent l'éthylotest pour chaque conducteur, conductrice des funérailles. Même l'employé des pompes funèbres, au volant du corbillard, n'y échappe pas. Sans résultat pour une patrouille de gendarmerie qui a seulement réussi à créer un gros embouteillage dans Limoux. Et a rajouté épreuve et émoi à des personnes en peine.
  21. En termes poétiques, ces choses là peuvent être dites...
  22. Scalp... (Photo choisie... j'ai préféré vous éviter les horreurs que j'ai vu en tapant "scalp" sur gloogoo puis en affichant images... Amis aux âmes sensibles abstenez-vous... )
  23. je me suis auto-limité Il y avait plus chaud... :Smiley_63:
  24. Mélenchon est passé de 9,99 % à 10 % ! :tongue:
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