Aller au contenu
Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

Membre SNCF
  • Compteur de contenus

    14 623
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. On va bientôt pouvoir voter (élections professionnels ou politiques) directement sur internet... c'est l'avenir ! Alors pourquoi pas une manif virtuelle. faudrait voir comment ça peut s'organiser... cestachier
  2. sud a déposé un préavis national mais pas d'appel à la grève de sud dans mon établissement (aucun tract). La CGT et FO appelle à participer aux manifestations dans les départements. CC72065 : je t'ai mis un mot sur ton fil. Attention le CPE pourrait très bien concerner tous les futurs jeunes embauchés comme contractuels et le risque c'est qu'il n'y ait plus aucune protection (CDD ou CDI actuel). A noter que le statut protège les jeunes recrutés au CP dans leur première année dite période d'essai à la SNCF avant le commissionnement.
  3. Salut. Sur mon établissement, la régularisation des contractuels au cadre permanent est une priorité en particulierpour les jeunes recrutés en CDD (saisonniers, remplacement salarié absent type maternité ou congé parental) ou CDI (type week-endistes) - temps complet ou temps partiel- et ce après avoir pu faire régulariser tous les contractuels emplois-jeunes (CDD de 5 ans renouvelables chaque année et régularisés au bout de 30 mois au lieu de 60). C'est une bataille de tous les jours car la direction donne plutôt priorité aux recrutements directs externes (att op et att ts). N'oublions pas également que dans le cadre des 35 heures, de nombreux ex-contractuels (anciens en âge) ont pu bénéficier d'une régularisation de même que les contractuels ex-marocains naturalisés français. Enfin les postes de travail à temps partiel doivent être inscrits au cadre d'organisation du cadre permanent si ils sont d'au moins 60% des 35h. Secoues tes délégués car ils ne s'usent que si l'ont sait s'en servir...LoL ! Contractuels ou Cadre permanent : il n'y a que des cheminots ! à ceux qui disent le contraire... Ajoutons enfin qu'un contractuel régularisé au CP peut racheter ses points de retraite et il est préférable de le faire rapidement.
  4. Tu peux faire une demande directement à la Direction de la SNCF (Ecrire au secrétariat de Louis Gallois qui fera suivre...) ou en t'adressant directement au Directeur d'un Etablissement Traction si tu en connais un en précisant le motif de ta demande (découverte scolaire, études, etc...).
  5. Et le régulateur... parfois ça vaut son pesant de et maintenant on a droit à toute la smala du CRO (Centre régional des Opérations ex Poste de Commandement ) avec GTI, Feuille, Matériel, et autre Coordo et je dois en oublier...
  6. Parceque ceux qui sont devant le "jeune" sur le tableau, ils ne sont pas jeunes peut-être ? Que ce soit en position, en niveau ou en qualification, les cheminots sont classés en terme d'ancienneté sur la dernière position acquise. Il y a en général sur un tableau de position 3 à 4 ans d'ancienneté sur la position entre le 1er et le dernier du tableau et en âge c'est quasiment dans la même génération... On avance sur chaque tableau au fur et à mesure des départs de ceux qui sont devant (nomination, retraite, démission, décès, mutations...). La question du 50/50 prioritaire/choix ne concerne que l'avancement en position. Pour les niveaux et qualifications c'est le choix total et en plus la direction pour les Tableaux d'aptitude normaux au 1er avril de chaque année met le minimum d'agents ce qui fait qu'en cours d'année elle a recours à des TAC Tableaux d'Aptitude Complémentaires et là elle fait quasiment ce qu'elle veut... et ça n'a souvent rien à voir avec le mérite ! Pour l'avancement en position : c'est quasiment la seule chose qui permet à un cheminot disons tous les 3/4 ans en moyenne d'obtenir une augmentation significative de salaire donc de pouvoir d'achat et ce quelque soit le niveau de qualification (exécution, maîtrise ou cadre). Renforcer la possibilité de "choix" sur la notation en position c'est renforcer d'abord l'injustice entre les cheminots. Imagines : sur 100 agents, il y en aurait 20 à passer chaque année. les 10 premiers en prioritaire (mais la direction peut mettre un véto...pour insuffisance de service rendus par exemple) et ensuite elle va chercher les 10 derniers dans le tableau au titre du choix... Et elle fait ça chaque année... Fais un calcul et imagines que ça tombe jamais sur toi. Comme tu étais 100ème la première année, il te faudra combien d'année pour te retrouver dans les 10 premiers... Bonjour les dégâts si en plus cela se renouvelle sur chaque position... je te souhaite du plaisir pour assurer un déroulement de carrière convenable à chaque cheminot. La direction à tout moment peut sanctionner un cheminot avec son droit de véto : c'est amplement suffisant mais il faut qu'elle ait un dossier solide. Avec le choix elle accentuerait les injustice et donc provoquerait en retour des conflits . Au nom de quoi un cheminot qui aurait dix ans d'âge de plus que toi mais tout juste 2 ans d'ancienneté de plus dans la position devrait-il faire les frais d'une politique "au mérite" et ce sans que quiconque puisse apporter des arguments sur le fond (la différence entre deux cheminots par rapport à la qualité du service) puisque dans la quasitotalité des cas il n'y aura rien dans le dossier de l'agent (7P1, avertissement, blame...)... 75 % des cheminots sont sur les qualifications A à D et certains finissent encore à C voir même à B ! "Je sais bien que c'est confortable de dérouler à l'ancienneté, mais il n'y a rien de plus frustrant pour un jeune qui veut avancer et qui doit attendre, attendre et attendre .... Elle est où la motivation là? " En fait c'est tout le système de grille et de déroulement de carrière qu'il faudrait revoir avec comme priorité : augmenter les salaires !
  7. Sous la couette tout l'après-midi... Vive les vacances ;)
  8. Et Ouai, on veillit... Faut bien s'occuper...en attendant ;)
  9. Les choix de société "se finissent" dans les urnes. Mais les débats de société (souvent politiques je te l'accorde mais aussi économiques, sociaux, juridiques, sécuritaires,...) ils sont permanents et partout (à table, au boulot, au bistrot, à la télé et même ...au lit ...LoL ...)
  10. Bien sûr Mais ce n'est pas non plus toujours les grands amours...
  11. Article de presse - 3 février 2006 La CGT cheminots fait place aux jeunes SNCF . À l’initiative de la CGT, 1 700 jeunes cheminots se sont réunis à Montreuil pour débattre de leur avenir avec l’organisation syndicale. Le froid glacial qui sévit dans le palais des congrès de Montreuil (Seine-Saint-Denis) n’a pas engourdi les esprits. Conviés par la fédération CGT des cheminots, 1 700 jeunes agents de la SNCF - dont un tiers de non-syndiqués - venus de toute la France ont débattu sans tabou avec le secrétaire général de la CGT cheminots, Didier Le Reste, et les responsables du collectif jeune de l’organisation syndicale. Au menu : les salaires, l’emploi, les conditions de travail à la SNCF et l’avenir de l’entreprise. « Nous avons décidé de donner la parole aux jeunes cheminots. Nous voulons entendre ce qu’ils ont à dire et ce qu’ils attendent de la CGT », explique Didier Le Reste. Une parole qui « n’a pas vocation à rester lettre morte mais à faire de la CGT un outil syndical toujours plus efficace ». Beaucoup de jeunes témoignent de leur parcours qui a souvent emprunté le chemin de la précarité, de leur quotidien dans l’entreprise, de la faiblesse des salaires, de la difficulté de se loger et de celle de se construire un avenir. Stéphanie, cheminote parisienne, « n’accepte pas le sort fait aux femmes dans l’entreprise. Elles sont trop souvent bloquées dans leur carrière parce que la maternité vaut comme handicap pour la direction ». Elle veut « que ça change et que la CGT s’implique encore plus qu’elle ne le fait dans la lutte pour l’égalité hommes-femmes ». Daniel n’est pas syndiqué. Confronté à la tentative de démantèlement du fret, il veut « connaître les propositions de la CGT sur l’avenir de l’entreprise ». Un peu plus loin, un jeune contrôleur dit la dégradation de ses conditions de travail et son « souhait que, dans les trains régionaux, on porte à deux le nombre de contrôleurs ». Les jeunes cheminots ont soif de changement. « Nous sommes en colère contre la direction de la SNCF et sa gestion libérale de l’entreprise, qui dégrade nos conditions de travail, nos salaires mais aussi la qualité du service à l’usager », explique Julien, de Lyon. Et d’inviter à transformer les élections professionnelles du 23 mars prochain « en référendum pour dire non à la direction avec le vote CGT ». Le gouvernement, qui, avec le CPE, tente de précariser encore un peu plus la jeunesse, n’est pas épargné. Les jeunes cheminots sont nombreux à souhaiter « que la CGT contribue au succès des manifestations unitaires et interprofessionnelles du 7 février ». La stratégie syndicale fait également débat. Quelques-uns regrettent que la CGT n’ait pas appelé à la poursuite du mouvement le 22 novembre dernier. Ils jugent « insuffisantes » les concessions obtenues de la direction. D’autres soulignent que « la grève des cheminots est la seule à avoir fait reculer le gouvernement, même s’il reste bien des choses à gagner ». « Gagner, c’est possible. Nous l’avons démontré », explique Thierry, de Marseille. « Obtenir une prime, 1 000 embauches et la dissolution d’ID TGV, ce n’est pas rien... », poursuit l’agent. « Pour gagner plus, il faut un meilleur rapport des forces. Le 22 novembre, si nous avions été 40 %, 50 % ou 60 % de grévistes au lieu de 29 %, le résultat aurait sans doute été différent », conclut-il. De construire un rapport des forces plus favorable aux salariés, il en est aussi question dans les propos du secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault. Et de lancer à ses jeunes collègues : « Occupez votre place, ne laissez pas à d’autres le soin de choisir votre avenir ». Pierre-Henri Lab
  12. "Je crois qu'il ne faut pas tout confondre et, comme j'en avais déjà parlé en novembre, savoir différencier syndicalisme local, et syndicalisme de fédération. Par exemple au niveau local, il est assez fréquent que différents délégués de différentes OS soient d'accord alors que leurs fédés respectives ne le sont pas." On peut aussi trouver le contraire : Beaucoup de communiqués communs intersyndicaux au niveau national qui démontrent une volonté d'unité et l'impossibilité de faire quoi que ce soit au niveau local - pour "X" raisons - tellement les différences sur des enjeux locaux peuvent parfois être importantes...
  13. C'est pas un 13ème mois c'est une "PFA" Prime de Fin d'Année. Ce n'est pas la même chose...
  14. Un peu susceptible, je vous trouve... La vérité c'est qu'en ce moment le mouvement contre le CPE ( et le CNE) est en train de se construire et de se développer justement parceque des syndicats de salariés, d'étudiants et de lycéens, des associations (chômeurs, attac, droit aux logements etc...), des partis politiques se mobilisent, se rencontrent et se bougent... Ce sont eux qui donnent le ton. On se trouve là dans la même configuration que pour le "projet de constitution européenne" avec un mouvement social citoyen qui développe l'opposition et la contestation contre ule CPE et met en avant des propositions alternatives pour l'emploi et contre le chômage. Pour ce qui concerne le travail de nuit chez les ADC, manifestement vous omettez de signaler que des discussions sont en cours entre TOUTES les organisations syndicales comme l'attestent plusieurs documents (compte rendus de réunions) qu'on peut trouver sur le forum... La FGAAC a décidé d'une action de grève le 1er février, c'est son droit mais ce sont les ADC qui décident de participer à l'action: combien étaient-ils ?. Ce ne sont pas des moutons, effectivement.Peut être que la majorité des ADC attendent d'autres formes d'actions comme la majorité des cheminots... Remarquons que vous donnez souvent, trop souvent l'impression de vous en prendre aux autres cheminots en faisant référence au fait que vous êtes des ADC et des adhérents FGAAC, voir des ADC/FGAAC. C'est votre choix - tout à fait respectable- mais il est de plus en plus contester puisqu'il pose un vrai problème vis à vis de l'attente d'une mobilisation unitaire pour résister face aux mauvais coups et ouvrir la voie à une autre solution économique et sociale. C'est tout l'enjeu de la période : ouvrir une autre perspective, un autre projet de société. Maintenant comment chacun y contribue ou s'y oppose ? A chacun ses responsabilités.
  15. "JE VOUS AI COMPRIS..." "Maréchal nous voilà ..." Au secours, les dynausores reviennent ! Lol
  16. Bonnes Vacances, bon voyage et n'oublies rien.... LoL Dom lotrela
  17. En fait : est-ce seulement une sémantique syndicale" ?
  18. Et connaître ceux qui se sont opposés aux avancées sociales, qui les ont remis en question et qui tentent encore et toujours de remettre en cause les acquis sociaux... L'histoire n'avance jamais dans un seul et même sens sens !
  19. "Privilèges" ou "droits sociaux" ? ce n'est pas juste une question de vocabulaire ...
  20. La division profite uniquement aux patrons (la direction ...) SNCF : allez à la louche 20% de syndiqués dans 7 OS, 80 % de non syndiqués qui regardent les trains passés... n'en pensent pas moins, mais s'expriment peu d'où le développement du management-pression-peur-autoritarisme et de la propagande-intoxication de la direction ?
  21. Mais sûrement pas en renouvellant la même opération...
  22. Je dirai même plus : de l'intoxication... Mais ça ne dure jamais longtemps exemple : l'intéressement... Au fait avez vous regardé attentivement votre bulletin de paie de janvier : gratification nette + charges sociales (part ouvrière et part entreprise) minimum : 180 euros... sur la position la plus basse mais ça fait ch..r que ce soit hiérarchisé ! Peuvent pas augmenter le nombre de points de coefficient sur chaque position comme pour les mesures bas salaires ?
  23. Mais bien sûr qu'on se réjouit des 4500 embauches mais on n'oublie pas les 7900 départs (retraites, démissions, licenciementset autres, décès malheureusement...) ça fait quand même moins 3.400 cheminots à l'effectif donc moins 3.400 postes de travail ! (c'est ça les restructurations et réorganisations...). La question essentielle est bien celle du niveau des effectifs. Le nombre de recrutements est son corrolaire. En 2005 pour maintenir les effectifs il aurait fallu 7900 recrutements ! 3.400 cheminots en moins, c'est de l'emploi en moins (du bordel en plus, une productivité qui explose...), de la masse salariale en moins (rémunération nette - ton salaire - mais aussi les cotisations sociales...). ça permet à la direction et au ministère de présenter un budget en équilibre ou légèrement excédentaire car dans le même temps les péages versés à RFF, les charges financières versées aux banques et fonds de pensions pour règler la dette, les coûts des charges telles que l'électricité (privatisations et dérèglementation européenne) continuent d'augmenter à cadence infernale... Et l'état continuent d'imposer à la SNCF et aux régions des investissements ferroviaires énormes pour répondre aux besoins tout en se désengageant financièrement ... Et pendant ce temps là le chômage et la précarité explosent ... Bienvenue aux Bienheureux que sont les 4.500 qui ont trouvé du boulot (combien en restent-ils réellement après les démissions et licenciements dans la période d'essai ?) mais il faudra prendre rapidement conscience qu'il faudra se battre, toujours et encore, pour défendre notre entreprise, son statut d'entreprise nationalisée de service public ferroviaire et notre Statut de Cheminot !
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.