Thierry80

J'ai enfin mon nouvel APN, il est temps de le testé ;-) Un merci aux cheminots qui m'ont laissé prendre des photos (agent de conduite, controleur, chef de gare) un merci spéciale à Stéphane (il se reconnaitra). Une après-midi de 14h00 à 16h30, dans un froid de canard et surtout dans les courants d'air. Une UM de 67400 (67451-67604) en préparation pour le Paris/Boulogne Le Paris-Boulogne arrive en gare d'Amiens, avec en tête la 15055 UM de 67400 sont prête pour le départ du Paris-Boulogne A noter, que l'ensemble des quais de la gare d'Amiens sont en cours de refection (réhaussement, modification des marquises, electricité....) (à suivre)

Massive Attack - Angel (1998)

Etant donné que ce jeudi 29 janvier, je n'avait pas de train pour aller bosser, j'ai déposé une journée de récupération. Mais que faire en attendant ? Ben, voilà, je me suis amusé à faire un petit clip vidéo que j'ai nommé simplement "d'hier à aujourd'hui", un titre inspiré par mon petit site Internet. Bon, comme chacun le sait, on peu pas mettre de vidéo sur le forum des cheminots, donc, elle est naturellement et exclusivement sur mon site (ne chercher pas cette vidéo sur Dailymotion ou Youtube, vous ne la trouverez pas Je tiens à précisé, que j'ai souhaitai faire un clip "dynamique". Je vous donne rendez-vous : ICI J'attend vos avis Thierry

Le NPDC à une densité plus forte qu'en Picardie, les seules grandes villes en Picardie sont Amiens, Beauvais, Creil, St Quentin et Laon or dans le nord, autour de Lille, les villes sont nettement plus peuplé. Après tout, en Picardie (comme d'autres régions) les 1ères classes sont nettement sollicité. Ensuite pour en revenir au contexte, il est certains qu'il y a des conflits entre les régions et la SNCF, la SNCF à pendant des années fait la politique du TGV et à oublier les autres lignes (meme les ex-grandes lignes), le tout se dégradant à vitesse grand V et la dégradation provoquant des problèmes sur les lignes, La SNCF a ses responsabilités sur les dégradations, notamment par la diminution des agents et la fermeture des nombreux services et dépot. La SNCF va nettement intervenir illico sur les lignes TGV et prend tout son temps sur les autres lignes. Aujourd'hui on comprend la réaction du Conseil Régional de ne plus payer la SNCF.

Voici la machine ! Locomotives diesel électriques BOMBARDIER TRAXX F140 DE pour la SNCF c'est Alsthom qui doivent faire la gueule !

Cette info conporte une vidéo Je me permet de vous redirectionné vers l'article sur mon site. http://www.passiondutrain.fr/component/con...is--deja-30-ans Les étapes du train expo : lundi 8 décembre à Lille Flandres de 12h30 à 19h mardi 9 décembre à Dunkerque de 10h à 19h mercredi 10 décembre à Boulogne Ville de 10h à 19h jeudi 11 décembre à Béthune de 10h à 15h vendredi 12 décembre à Lens de 10h à 19h samedi 13 décembre à Calais de 10h à 19h lundi 15 décembre à Arras de 10h à 19h mardi 16 décembre à Douai de 10h à 19h mercredi 17 décembre à Cambrai de 10h à 19h jeudi 18 décembre à Valenciennes de 10h à 19h vendredi 19 décembre à Aulnoye-Aymeries de 10h à 19h

Selon "Les Echos" du 27/11/2008 (édition papier) L'ISIEE d'Amiens accueillera le nouveau banc d'essai Grande Vitesse dans Amiens dès 2010. Il servira à tester l'alimentation électrique des TGV et plus particulièrement l'interaction caténaires//pantographes, ce projet est baptisé "Cademce" (CAracterisations Dynamique Et Moyens de Captage Electriques) et devrait figurer en 2009 dans le cadre du pôle de compétitivité I-Trans, labellisé pour les régions Nord-Pas de Calais et Picardie. Les tests serait examiné sur des vitesses supérieur à 200 km/h (le centre de Milan ne dépasse pas les 200 km/h) et les conditions atmosphériques pour les trains français, européen et asiatique. Parmi les partenaires, Carbone Lorraine, Alsthom, Eurotunnel et les collectivités territoriaux.

Ce site est une vrai usine à gaz, parfois très lent Il y aurait déjà beaucoup moins de pubs sur ce site, ça irait certainement mieux.

Voilà ce qu'on trouve sur Wikipédia http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Cévenol La dernière modif sur cette fiche date du 11 novembre.

Vue qui gère les instituts de sondage, je ne m'étonnerai pas qu'ils ai questionné les adhérents de l'UMP. :)

Hier, à 18h00 sur Europe1, c'etait presque que c'était des cheminots qui aurait commis les actes, ce qui était rassurant, beaucoup de voyageurs ont condamné les sabotages et ils était nombreux à soutenir la SNCF qui cette fois n'était pas responsables des sabotages. Un agent de la SNCF qui etait interviewer avait lui aussi du mal à croire que c'etait un ou plusieurs cheminots qui était responsable "Je ne pense pas qu'un cheminot puisse saboté son outil de travail" Bref! les journalistes à sensation, notamment sur Europe1, enquete je ne sais pas comment, mais vont vite aux accusations, c'est certe une habitude à Europe (ça m'a fait rappeler l'anticipation du décès de Pascal Sevran). Avec les arrestations de ces dernières heures, certaines presses perdent de plus en plus leurs crédibilités. En tous les cas, ça me rassure que les cheminots ne sont aucunement impliqué dans l'histoire, malgré les doutes. Un bravo aux caténéristes de la SNCF qui ont eu du pain sur la planche, alors qu'ils aurait souhaité avoir leur dimanche en famille et qui ont fait de leur maximum pour rétablir la circulation. Un carton rouge aux voyageurs "raleur" (doivent-être de Droite ceux là), ils n'ont jamais rien compris.

Les chaines infos trop fort ! comment voulez-vous que cela ne se multiplie pas ? Rien que les sujets qui passent sur LCI, BFM, I-Télé font montrer comment il font pour saboter.

Puisqu'on évoque certaines pistes. J'ai était en train de pensé à ceux qui volent les cuivres, qui mettent parfois hors services les signaux sur nos ligne en volant notamment les câbles qui sont souvent sur les côtés des lignes, notamment le câble de communication. Je pense qu'ils veulent des câbles plus gros qui peuvent se revendre très cher, puis, il ne sont plus à ça près pour mettre un bordel comme sur le réseau ferré. J'espère que cette piste sera exploré par les autorités judiciaires

Comment on fesait il y a quelques années lorsqu'il n'y avait pas de numéro surtaxé, on téléphoné bien en facturation "locale". Pourquoi à l'aube de 2009 cela ne reviendrai pas comme avant ? Lorsque tu voit que même l'ANPE et les ASSEDIC sont sur des numéros sutaxés, alors qu'on sait qu'un demandeur d'emploi à un budget très limité et l'ANPE et l'ASSEDIC taxe encore plus les chomeurs, ça visiblement, ça ne choque personne. Pour moi, la SNCF à une mission de service public et non pas une machine à taxer les voyageurs de tous les côtés.

Encore une autre, avec une photo hyper connu Mr. Big To be with you (1992)

Sur France3 Picardie, à 19h03 ! Un appel à témoins à était lancé, les témoins doivent contacter la gendarmerie de Senlis. (j'ai pas noté le numéro) Notamment pour les des personnes ayant aperçu quelques choses depuis la départemental à proximité de la ligne TGV. (heureusement qu'il ne demande pas aux automobilistes qui était sur l'autoroute A1.)

Faudra peut-être qu'on m'explique une chose, comment peut-on prler de vieillissement des lignes TGV, alors que celle-ci sont largement plus récentes que les lignes dite "classique", les ligne classique (une 50taine d'années) serait-elle plus costaud que des lignes d'une 10zaine d'années ? La qualité du caténaire serait-elle moins fiable (à faible cout pour faire des économies). Lors des incidents, la SNCF ne peut-elle pas faire déviée les TGV, Thalys et Eurostar sur des lignes classiques afin de diminuer les retards. (cas du Nord, par Longueau ou St Quentin).

A la SNCF de trouver un compromis sur les longs trajets, avec notamment la restauration de la voiture fumeur, cela eviterai les dérapages des voyageurs... Aux non-fumeurs d'être tolérants et de jouer le jeu (ou qu'ils apprennent à lire un pictogramme). Windson, ce n'est pas la peine de nous faire des leçons, on voit bien des contrôleurs fumé leur clope dans les trains, notamment dans les rames TER, qui peux les verbalisés ? (ils pensent qu'on ne les voient pas dans les cabines de conduite en queue de rame)

Source : Le Parisien Date : 5/11/2008 ARMANCOURT. 450 naufragés du rail après un suicide Hier matin, une femme de 47 ans s’est jetée sous le train Saint-Quentin - Paris. Cet acte de désespoir a entraîné d’importantes perturbations. «DÉCIDÉMENT, en ce moment, rien ne va plus à la SNCF. Mais, là, il faut bien reconnaître qu’ils n’y sont pour rien. » Ce voyageur de la ligne Saint-Quentin-Paris est fataliste. Il figure parmi les 450 passagers qui, hier matin, peu après 11 heures, ont dû être évacués de leur train, qui venait de partir de Compiègne, pour arriver à Paris-Nord peu avant midi. A l’origine de l’incident, le suicide d’une femme de 47 ans, demeurant à Compiègne. « On a retrouvé, près de son cadavre, un tube d’anxiolytiques vide et une bouteille d’eau. La femme s’est littéralement jetée sous le train, en plaçant ses bras en croix », témoigne un technicien de la SNCF. Le train est alors immobilisé entre les communes de Jaux et d’Armancourt. Le corps de la malheureuse gît sur la voie. Et, à l’autre bout de la rame, moment de panique : une femme serait en train d’accoucher ! En fait, apeurée par l’arrêt du train, cette femme enceinte a été prise de douleurs. Elle a été transportée vers l’hôpital de Compiègne. Des bus affrétés par la SNCF Puis, lentement, un à un, les 450 passagers du train sont évacués. « Je dois rejoindre mon mari en Lozère. Ça me semble compromis », confie une femme. « Mon amie et moi, nous devons être ce soir à Toulouse. Là, franchement, je n’y crois plus », ajoute cette autre, un bébé de quatre mois dans les bras. « J’habite Compiègne et je pars bosser à Paris. J’ai peur de me faire engueuler par mon patron », dit un homme. Puis vient le moment où le premier des bus affrétés par la SNCF arrive près des quais. Moment de panique : « Il n’y aura jamais assez de place pour tout le monde », peut-on entendre. « Je veux passer en priorité, j’ai une correspondance à prendre », hurle un passager. Finalement, la situation est gérée dans le calme. La salle des fêtes est ouverte pour les derniers partants. Mais à 13 h 20, le train peut quitter les lieux et, peu après, la circulation ferroviaire est rétablie. Elle a été sérieusement perturbée, notamment à Compiègne.

Pas de CB, pas d'espèce sur moi depuis que je me suis fait agressé dans un train de banlieue ! comment on fait ? Rassure toi, je m'entend relativement bien avec les ASCT, ils sont certainement plus sympa que l'image que tu essaye de véhiculé. Il ne faut pas prendre ton cas pour une généralité, il y a des regardant comme toi, mais aussi des "je n'ai rien vue".

Mais qu'est ce qu'il peuvent ce faire "chier" chez Veolia Transport. Ils ont le quasi-monopole des transports urbains dans les grandes villes de France, les transports par bus TER et bien d'autres choses que ce soit voyageurs et Fret, le ferroviaire FRET ne devrait qu'être une goutte d'eau. Il suffit de lire ceci : http://fr.wikipedia.org/wiki/Veolia_Transport Bon bref, dans mon secteur c'est plus Euro Cargo qui est présent avec leurs Class 66

Surtout dans des gares ou les passages pour voyageurs se passe par la voie ferré, les accidents sont tout de même pls rare dans les gares ou le passages est souterrain ou par une passerelle. A l'heure actuelle, les autorités cherche à supprimé les passages à niveau, elle pourra également investir dans les gare pour construire des passerelles ou souterrain dans les gares. Parfois on se demande même pourquoi il y a des passerelles ou des souterrains, on peux voir dans certaines gares des irresponsables traversé les voies, certainement des candidats trop pressé de rejoindre un cimetiere et que le pire, la famille irait jusqu'à mettre la SNCF en justice car leur gosse s'est fait happé par un train, des parents qui ben sûr ne reflechissent pas.

Source : Le Progrès Date : 31/10/2008 Une femme de 25 ans comparaît aujourd’hui devant le tribunal de Roanne pour complicité de violences aggravées commises en février 2006 sur un agent SNCF dans la résidence hôtelière réservée au personnel roulant, dans l’enceinte de la gare. Il est un peu plus de 22 heures, ce soir-là, lorsque quatre individus masqués entrent dans la salle commune. L’agent est pris à partie, frappé, et reçoit un coup de cutter à la gorge. Cette blessure nécessitera la pose d’une dizaine de points de suture. Alertés par les cris, d’autres agents SNCF interviennent, les agresseurs s’enfuient. Ils ne seront jamais identifiés. L’agression avait déclenché deux jours de grève en Rhône Alpes. Soupçonnée d’avoir ouvert la porte sécurisée de l’établissement, la jeune femme, à l’époque hôtesse d’accueil d’Orfea, filiale de la SNCF et d’Accor gérant ces résidences, comparaît seule. Elle a toujours nié les faits

Source : La Tribune Date : 31/10/2008 Le financement du fret ferroviaire en Europe et le problème du manque d'intégration des réseaux ont été au cœur des débats lors du premier Forum du rail européen "Fret sans frontières», organisé à Paris le 29 octobre. «Il faut développer les transports durables, moins polluants et moins gourmands en énergie.» Lors du discours d'ouverture du premier Forum du Rail européen «Fret sans frontières» le 29 octobre, le Secrétaire d'Etat aux transports, Dominique Bussereau, a rappelé l'importance du fret ferroviaire par rapport aux exigences de réduction des émissions carbones. «Le fret ferroviaire a des atouts majeurs devant lui et les pouvoirs publics français ne souhaitent pas mettre la pédale douce sur les investissements en la matière», a-t-il ajouté. Une précision utile. Les coûts élevés de la modernisation des réseaux font qu'il est difficile pour les opérateurs de se passer d'un fort soutien public. Le matin du Forum du rail européen, le quotidien Libération a révélé que le prochain contrat de performance 2008 - 2012 signé entre l'Etat et RFF prévoyait d'allouer plus de 13 milliards d'euros à la rénovation et à la modernisation du réseau ferroviaire français. L'engagement de l'Etat français à moderniser un réseau en mauvais état répond donc aux attentes de RFF. Et c'est compréhensible, car cette entreprise publique supporte une dette de près de 28 milliards d'euros, liée pour partie de sa scission avec la SNCF en 1997. Or, comme l'a rappelé Hubert du Mesnil, le président de RFF, « le fret doit augmenter sa part de marché de 25% d'ici 2012», notamment pour faire face à la crise écologique. A terme, les acteurs du fret ferroviaire doivent affronter un marché européen intégré et concurrentiel. Actuellement, à l'exception de l'Allemagne, les marchés nationaux du fret restent pour l'instant fortement dominés par les opérateurs historiques - en France, la SNCF détient 93% du marché. Si les opérateurs des pays qui ont anticipé la libéralisation sont les plus armés pour faire face à un marché européen, celui-ci reste encore largement virtuel et de nombreux blocages perdurent. Faute d'un réseau véritablement intégré, les gestionnaires de réseau s'en remettent pour l'instant à un système de «corridors» transfrontaliers, qui constituent une réponse opérationnelle sur certaines lignes. Au sein de l'UE, six corridors sont actuellement en exploitation. Et la Commission européenne propose la création d'au moins un corridor international orienté fret dans chaque Etat membre d'ici 2012. Selon Laurens Jan Brinkhorst, coordonnateur à la Commission européenne, «la priorité pour améliorer la performance des corridors est d'améliorer la coopération entre les Etats membres sur l'infrastructure. Cela passe par une meilleure culture d'opération, des autorités nationales moins exclusives et une plus grande écoute des acteurs économiques.» Au final, la plupart des participants au Forum «Fret sans frontières» a estimé que l'émergence d'un marché européen du fret passait par de fortes améliorations en terme d'interopérabilité (signalisation, reconnaissance mutuelle...), une meilleure concertation entre les acteurs nationaux et l'harmonisation de la réglementation. A ce titre, la France établira d'ici la fin de l'année un régulateur pour son secteur ferroviaire, conformément à la directive européenne de 2007. POSITIONS : Johannes Ludewig, le directeur exécutif de la Communauté européenne du rail (CER), groupement européen d'entreprises ferroviaires et de gestionnaires de réseaux, a quant à lui insisté sur les besoins de financement du secteur. Estimant à plus de 150 milliards d'euros les besoins européens d'investissements d'ici à 2020, M. Ludewig a martelé que «les gouvernements devaient assumer la charge des développements du secteur ferroviaire» et dénoncé par la même occasion «les problèmes de financement et les distorsions des prix : le grand public pense que les coûts du transport ferroviaire sont faibles mais ils sont élevés.» Michael Cramer, député européen (Verts/ALE), a souligné pour sa part que le fret ferroviaire européen souffrait de concurrence déloyale face aux autres moyens de transports, en particulier le transport routier. Selon l'eurodéputé, «le fret ferroviaire est favorable à l'environnement mais il reste cher par rapport à la route. Il faut réviser la directive européenne sur l'eurovignette pour que le cadre réglementaire des transports soit plus équitable» Gilles Savary, député européen français (PSE), regrette de son côté «une adaptation timide à la libéralisation du fret ferroviaire» en Europe et plaide pour «le développement d'une culture européenne du rail afin de favoriser les modes de transports alternatifs à la route.»

Source : C.R. Picardie Date : 31/10/2008 Suite aux importants problèmes de régularité subis sur la ligne «Paris-Beauvais» depuis avril dernier, Claude Gewerc, président du Conseil régional, et Daniel Beurdeley, vice-président en charge des Transports, ont demandé à la SNCF d'effectuer un geste commercial en faveur des abonnés de travail de cet axe. Ces abonnés bénéficieront donc d'une réduction de 50% du prix de leur abonnement de travail pour le mois de décembre prochain. La Région et la SNCF invitent les usagers à venir s'informer des modalités de cette indemnisation dans leurs gares habituelles.