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Thierry80

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Tout ce qui a été posté par Thierry80

  1. Et encore, le controleur à était plutôt cool envers la victime, il lui a accorder d'acheter un titre dans une gare afin d'être dans les règles. Or, la victime aurait pu le signaler au chef de bord avant le départ, vue visiblement que l'agent est cool ça aurait certainement pris une autre tournure, or la victime a attendu le moment du controle. Le chef de bord aura cherché une solution commercial pour que la victime s'en sorte sans majoration et sans PV. Le controleur à certainement attendu que son voyageur revienne du guichet, or, la victime affolé à certainement oublié les règles de base dans une gare (regard à gauche et à droite pour traversé les voies, manque de vigilance aux appels des agents en gare et certainement les signaux sonore et lumineux) pour revenir vers son train pour eviter de trop le retarder. Malheureusement, cela nous fait démontrer que quelques soit la situation, que l'on soit cheminot ou pas, il faut toujours resté vigilents, un accident est toujours possible et qu'un choc avec un train ne pardonne patiquement jamais. Voilà mon propre avis, on n'a pas non plus tous les éléments de ce malheureux accident. Dommage pour la victime, et malheureusement, de nombreuses personnes dont le chef de bord vont être très marqué par cet accident. Je n'emploi pas le mot de "fraudeur", car dans ce cas, le mot "victime" me parait beaucoup plus adéquat. Car malgré sa situation à ce monsieur, personne ne s'attend à ce genre d'accident qui aurait pu arrivé à un autre voyageur ou un agent SNCF.
  2. Un incident à un passage à niveau d'Ostricourt a fortement perturbé le trafic SNCF ce jeudi matin sur l'axe Lille-Douai, un noeud ferroviaire de la région. Un conducteur a perdu le contrôle de sa camionnette qui s'est retrouvée coincée sur les rails, vers 6h30. Il n'y avait heureusement pas de train qui circulait dans le secteur à ce moment-là. Le temps de dégager les voies, la circulation des TER a été détournée sur Valenciennes, ce qui a causé des retards allant de 12 à 65 minutes pour 12 trains. La camionnette a été retirée des voies peu avant 8h. Le trafic reprend progressivement sur l'axe Lille-Douai : retour à la normale prévu vers 10h. Constaté ce matin à Amiens, le Lille/Rouen Rive-Droite de 7h52 était annoncé avec 1h05 ensuite 1h de retard pour finir avec 55 mn.
  3. Source ; Sud Ouest Date : 30/10/2008 ARTIX 64. Un accident mortel s'est produit hier soir vers 19 h 30 en gare d'Artix, entre Pau et Orthez. Un Espagnol âgé de 63 ans a été percuté par un TGV Un homme est mort hier soir en gare d'Artix, percuté par un TGV. Il était environ 19 h 30 quand un Espagnol de 63 ans, dont l'identité n'a pas été rendue publique, a été percuté par un train à grande vitesse circulant vers Tarbes (65), sans arrêt à Artix. D'après le parquet de Pau, ce décès serait accidentel. Le passager aurait été happé par la rame alors qu'il se baissait afin de rattraper quelque chose, peut être un billet de 10 euros, que le vent aurait fait s'envoler. Et cela alors qu'un agent de circulation lui aurait intimé de ne pas traverser la voie à ce moment, indique la SNCF. Enquête. L'homme en question serait descendu du TER parti à 19 h 18 de Pau, d'après des passagers de ce train express régional. Le dramatique accident serait survenu après que cette personne, que les passagers décrivent justement comme un Espagnol d'une soixantaine d'années, se serait avérée ne pas être en mesure de présenter de titre de transport. Alors que le TER était arrêté en gare d'Artix - entre Pau et Orthez - un contrôleur aurait invité le passager à aller acheter un billet au guichet afin de ne pas avoir à payer une amende, dont il n'avait pas les moyens de s'acquitter. Le ton serait alors monté, malgré les tentatives du contrôleur de calmer les choses. Et c'est lorsque l'Espagnol s'éloignait du TER qu'il aurait été percuté par le TGV, sous le regard horrifié des autres passagers. L'enquête ouverte hier soir devra établir avec certitude les circonstances du drame. Retards. Outre la mort d'un homme, la collision a provoqué d'importantes perturbations sur le réseau ferré. Le TGV, avec 270 personnes à bord, est resté immobilisé en gare. Son conducteur a été relevé afin de bénéficier d'un suivi psychologique et médical, comme le veut la procédure de la SNCF en pareilles circonstances. Un Corail intercités circulant vers Toulouse et un train de nuit roulant vers Nice ont également été immobilisés, ainsi qu'un train de marchandises. En revanche, le TER dont serait descendue la victime est reparti normalement en direction de Bordeaux avec, à son bord, plusieurs dizaines d'usagers sous le choc du terrible drame auquel ils avaient été contraints d'assister, impuissants.
  4. Idem que tous les autres membres : - Internet Explorer 7 - Windows XP Pro - SP3 Autant sur le PC Portable que sur le second PC (fixe) Après avoir vidé les caches et les cookies de mon côté, le problème reste. Mais je n'avais pas vue qu'un post était ouvert, désolé Kata pour le MP, merci de m'avoir orienté vers ce fil qui me rassure, car je ne suis pas le seul. A+ Thierry Le FAI c'est FREE
  5. Petite info ! La SNCF se serait fait rappeler à l'ordre par le Conseil Régional de Picardie, car certaines rames acheté par la région serait actuellement d'autres régions (hormis celle déservi comme le Nord-Pas de Calais, Normandie et Champagne-Ardennes). La SNCF aurait décidé de "donner" des rames picardes sans accord de la Région (qui à acheté les rames) à d'autres régions et qui n'est pas du gout du président de la région, de ses amis politiques ainsi que l'opposition régional. La SNCF à quelques jours pour rapatrier toutes les rames en Picardie. C'est sûr qu'on comprend mieux pourquoi certains picard peuvent raler d'avoir des rames "pourri" (genre rame RIO) alors que d'autres régions ont un meilleur confort avec des Bombardier acheté avec les impots des picards.
  6. Rame "L'Abbevillois" Prise en gare d'Amiens Rame en partance pour St Quentin
  7. Manquerai plus que ça! chez moi c'est chez moi et comme à chacun, c'est notre vie privée. Que je fume ou pas chez moi, on a pas à m'interdire quoi que ce soit c'est une atteinte à la vie privée là. Mais j'ose bien imaginé que beaucoup d'anglais ne respecte pas cette loi.
  8. Comparé l'avion est le train, il y a un sacrée fossé ! Le train tu peux l'immobilisé en pleine campagne et sans danger, un avion c'est largement plus délicat à géré. Moi aussi je vais parler cru! Sans compter les crétins de non fumeurs qui traverse les voitures fumeurs et qui se font remarqué, alors que les voitures avait le logo "fumeur" affiché. A cause des crétins comme ça qu'on réduit la liberté des uns. Je dit aussi simplement que cette loi est plutôt mauvaise n'est pas dans le bon sens, car pour moi, c'est les non-fumeurs qui ne respecte pas les libertés de chacun.
  9. Necro ! Je te respecte, ce n'est pas une raison de me balancé une insulte !
  10. Source : Ouest France Date : 24/10/2008 Il n'y aura plus de TGV direct entre Saumur et Paris à partir du 1er janvier prochain. Un TER reliera Bressuire, dans les Deux-Sèvres, à Saumur, puis Saint-Pierre-des-Corps où les passagers pourront prendre un TGV. Le coût de la ligne était devenu trop élevé pour les collectivités locales. Mais finalement, le trajet devrait être plus court.
  11. Source : Le Progrès Date : 26/10/2008 Les vacances de la Toussaint ne sont pas comparables aux grands départs d’hiver ou estivaux, mais l’activité de la gare est plus soutenue ce week-end. Un dispositif spécifique est en place pour les voyageurs. Pour les équipes de la gare de la Part-Dieu, l’hyper-pointe de fréquentation annuelle est enregistrée lors des vacances de février, avec les départs et les retours des stations de ski qui provoquent de retentissants chassés-croisés. Au cours de chaque journée composant ces week-ends, on dénombre jusqu’à 150 000 voyageurs transitant par la gare, son affluence habituelle étant de 100 000 personnes. Ces pics peuvent être aussi atteints pour les départs estivaux, mais la gestion est moins compliquée en raison des flux de trafic, et des bagages moins encombrants. Les vacances de la Toussaint n’atteignent pas ces niveaux records, mais elles entraînent néanmoins une plus forte affluence justifiant la mise en place de mesures particulières. Responsable Escale à la gare de la Part-Dieu, c’est-à-dire de tout l’aspect service en gare, Xavier Depecker, nous précisait hier que vendredi comme samedi, ce sont 120 000 personnes qui ont été accueillies : « Nous modifions la tâche des agents d’accueil qui vérifient essentiellement toute la problématique des TGV en temps normal. Nous les plaçons sur certains quais, pour mieux pouvoir orienter les clients afin qu’ils puissent se placer le plus tôt possible au niveau de leur voiture. Ce sont souvent des personnes moins habituées à prendre le train qu’en semaine. Ces agents veillent aussi à la sécurité des escaliers mécaniques. Ils peuvent être surchargés. Il faut donc gérer là aussi les flux des voyageurs, et éventuellement être prêt à arrêter le fonctionnement si la situation devient dangereuse. » Certains postes clefs de l’Escale ont été doublés avec un chef au PC opérationnel, et un autre sur les quais, en relation permanente. Signe de départs en vacances également : la présence de « gilets rouges » d’Effia, la filiale de la SNCF, qui renforcent l’information des voyageurs. Activité marquée aussi pour le service affecté à la prise en charge de groupes, notamment d’enfants, bien que ceux-ci aient leurs propres structures d’encadrement. « Cela pose un problème d’installation, de rangement de bagages. Nous avons, par exemple ce matin à 6h13, 21 groupes qui prenaient le TGV pour Marne-la-Vallée. Cela nécessite un dispositif particulier », explique un chef d’escale, satisfait par ailleurs bon déroulement de la journée.
  12. Source : La Voix du Nord Date : 26/10/2008 Et si SeaFrance revenait à Boulogne ? Ce serait une erreur stratégique de continuer à bouder Boulogne. LD Lines l'a bien compris qui va démarrer une liaison en juillet prochain. Les relations entre Eudes Riblier, ancien patron de SeaFrance et Daniel Percheron, président de la Région, n'étaient pas au beau fixe. Interrogé mercredi sur le départ d'Eudes Riblier et un éventuel retour de SeaFrance à Boulogne, Daniel Percheron n'a pas mâché ses mots : « J'étais en désaccord intellectuel total avec lui puisqu'il m'avait reproché une fois de mettre Calais en danger avec la nouvelle passerelle à Boulogne ! Or, lorsqu'on est patron de SeaFrance, qu'on a pris acte que le trafic à Dunkerque est passé de zéro en 1999 à 12 millions de tonnes en 2006, on ne peut pas pointer du doigt Boulogne qui a connu 4,6 millions de passagers en 1991 et qui a vu son trafic s'effondrer avec le tunnel. Il y a là intellectuellement une démarche inacceptable ! M. Riblier est parti et je m'en réjouis. Car son raisonnement était faux, de cette fausseté qui fait des petits drames... » En désertant brutalement le port de Boulogne pour concentrer leur trafic sur Calais - Douvres, les compagnies maritimes traditionnelles P &O et SeaFrance ont-elles commis une erreur stratégique ? Car Boulogne, quoiqu'en disent les Calaisiens, est par nature un port transmanche : l'arrivée de LD Lines prochainement le prouve, sans oublier que ce retrait massif a permis à une petite compagnie low-cost, SpeedFerries, de se faire une place au soleil. L'incendie du tunnel sous la Manche récemment (« Il y avait une chance sur un million nous avait dit la SNCF pour un second incendie , a précisé Daniel Percheron. C'est pourtant ce qui s'est passé ») montre également que le transmanche est loin d'être saturé. Et qu'au contraire, il faut le développer pour éviter à la Grande-Bretagne une nouvelle paralysie. SeaFrance, le retour ? Toujours dans la même veine, Daniel Percheron esquisse un autre scénario : « La SNCF gagne aujourd'hui de l'argent, tant mieux ! La SNCF distribue des dividendes à l'État, parfait ! La SNCF achète un nouveau bateau pour Boulogne. Ce nouveau bateau sera ainsi au rendez-vous des investissements que la Région consent pour Boulogne. Si nous mettons 600 millions d'euros dans nos ports, je ne vois pas pourquoi la SNCF ne mettrait pas 30 à 40 millions d'euros dans un nouveau bateau pour SeaFrance à Boulogne ! » En jetant ainsi un pavé dans la mare, Daniel Percheron ne veut pas fragiliser SeaFrance, ce que craignent ses salariés, mais au contraire la pérenniser. Le retrait d'Eudes Riblier ouvre en tout cas de nouvelles perspectives pour le transmanche à Boulogne.
  13. Tu parle ! Les loi les plus conne qui ne respecte pas même pas la devise de la France, qui est "Liberté, Egalité, Fraternité", donc comment parlé de fraternité, alors qu'il n'y a plus d'égalité entre les voyageurs et que le gouvernement ne respecte même plus la liberté de chacun. Donc, rien à foutre des amendes, mais par souci d'égalité, que cela plaisent ou pas, je fume dans les trains.
  14. Franchement ! La SNCF aurait du laisser un ou 2 wagons fumeurs, ça éviterai bien des tracas comme ça. Franchement, lorsque tu doit te taper 2 voir 5 heures dans des boites à sardine, je comprend aisement qu'on outrepasse les interdictions et les toilettes c'est la bonne planque. Perso, je le fait sans honte, mais je passe mon mégot sous l'eau avant de le jeter dans la cuvette. Puis pour tes caméras, t'inquiète point, avec moi, elle seront pas efficace surtout si je met un morceau de gaffeur au niveau de l'objectif, elle fimera au mieux que du noir Et le pire, c'est pas le premier cas et ce n'est pas le dernier non plus.
  15. tu finira peut être avec une draisine :)
  16. Source : LCI Date : 25/10/2008 Suite à un incendie dû à un mégot de cigarette mal éteint, qui s'est déclaré dans les toilettes, un Eurostar parti de Londres est arrivé à Paris avec 4h de retard. Voir la vidéo depuis le site de LCI
  17. Source : La Dépeche Date : 25/10/2008 Le Conseil Général du Lot participera à hauteur de 11,5 millions d'euros aux travaux de la ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse. On dit bien garder le meilleur pour la fin. Le président Gérard Miquel a voulu conclure la séance d'hier du conseil général par le rapport sur le développement ferroviaire et le projet de ligne à grande vitesse Sud-Europe-Atlantique. Un dossier majeur pour le désenclavement du département mais qui arrive à un moment particulier, alors, que des « résistants » se démènent à Gourdon et Souillac pour le rétablissement des arrêts en gare. « Ne liez pas les deux choses » avait prévenu le président du conseil général. Le Lot embarque sur la LGV. Danielle Deviers, vice-présidente en charge de l'économie a décrit l'enjeu qui se chiffre en millions d'euros : « Une participation aux travaux de construction de la liaison à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse intégrant l'aménagement de la future gare LGV sur la ligne Cahors-Toulouse dans le secteur de Bressols près de Montauban ». Le projet permettra de relier Toulouse à Paris en un peu plus de 3 heures contre 5 heures actuellement. Le tronçon Poitiers-Limoges dont dépendra le désenclavement du Nord du Lot, mettra le Limousin à 120 minutes de la capitale. Les conseillers généraux ont donné leur feu vert à une participation du Lot à ce chantier de 11,5 millions d'euros. Seuls, Yves Périé, Etienne Bonnefond et André Bargues se sont abstenus. Certains élus signent sans réserve pour monter dans le TGV. « Le TGV nous permettra de préserver nos voies » dit Christian Delrieu. « Dans le Nord, lance Jean-Claude Requier, on est très favorable au TGV Bernadette (le tronçon Limoges-Poitiers-Paris). Marc Baldy l'affirme : « On ne doit pas louper le train à grande vitesse ! » D'autres conseillers généraux sont plus nuancés. Dominique Orliac sans être hostile au progrés note une incohérence : « Pourquoi gêner aujourd'hui les populations en supprimant des arrêts en gare pour aller soi-disant plus vite alors que s'ébauche une LGV entre Bordeaux et Toulouse ? ». A fond pour le rail, Serge Despeyroux craint « une vision un peu trop cadurcienne ». Certains sont franchement réservés, Etienne Bonnefond est revenu sur les arrêts supprimés, l'absence de véritable débat avec la SNCF s'indignant de l'envoi des gendarmes pour interdire l'accès au quai de la gare lors de la dernière manifestation Gourdonnaise. Tous plaident pour le retour des arrêts du vendredi avec cependant des variantes. Gérard Miquel, solidaire avec l'action des associations se refuse à médiatiser le dossier « en l'absence de réponse ferme des autorités ». La députée Dominique Orliac assurait après avoir rencontré le préfet de Région que ce dernier « était prêt à recevoir un argumentaire sur les arrêts en gare afin de renégocier avec la SNCF ».
  18. Source : Sud-Ouest Date : 25/10/2008 BAYONNE. Des collégiennes, âgées de 12 ans, s’amusaient à frôler la mort à un passage à niveau en se couchant sur la voie ferrée juste avant l’arrivée du TGV. Six collégiennes d’une classe de cinquième se sont adonnées à un jeu qui entre, sans nul doute, dans la catégorie des jeux dangereux. Chacune à leur tour, les adolescentes s’allongeaient sur la voie ferrée à l’approche du train, se prenant en photo pour immortaliser leur « acte de bravoure». Le conducteur du TGV (qui, à l’endroit où les faits se sont produits, roule à une vitesse modérée) a signalé avoir vu, le 16 octobre, vers 8 heures, une jeune fille se coucher sur la voie, à hauteur d’un passage à niveau dont les barrières étaient baissées puisque le train arrivait. L’avertissement par sifflet a fini par faire relever l’adolescente, qui s’est écartée des rails. Les photos circulaient. La plainte déposée quelques jours plus tard par la SNCF a été confiée à la brigade de sûreté urbaine du commissariat de Bayonne. Les policiers ont découvert que des photos circulaient sur des téléphones portables d’adolescents. Elles montraient une scène, chaque fois identique, d’une jeune fille allongée sur une voie ferrée. Six adolescentes ont ainsi posé, chacune à leur tour. Ces clichés ont permis d’identifier le groupe de collégiennes, scolarisées dans la même classe de cinquième du collège Marracq. Elles ont été entendues par la brigade des mineurs en compagnie de leurs parents. Il semble qu’il n’y ait pas eu de comportement suicidaire de la part des adolescentes, qui ont en substance expliqué qu’elles « jouaient à se faire peur ». Les faits se sont déroulés à un passage à niveau proche du collège et ne se seraient produits qu’une seule fois. Afin d’éviter leur réitération, l’établissement et la SNCF ont prévu d’organiser une réunion avec les parents. L’interrogation en matière de jeux dangereux réside dans les questions de prévention : comment diffuser l’information sur ces pratiques sans déclencher l’incitation ? La pratique du jeu du foulard (qui consiste à atteindre, par strangulation, un état second) dans les cours de récréation et aux abords des établissements scolaires est longtemps restée taboue, malgré son issue parfois fatale. L’Éducation nationale a attiré l’attention des responsables éducatifs sur ces pratiques, demandant que ces conduites à risques fassent l’objet de prévention, sans surexposition, sans moralisation. Le but est d’appréhender les motivations des adolescents tout en ouvrant les yeux des parents.
  19. Encore une machine qui fini sa carrière avant l'heure ! Je ne pense pas que la SNCF répare la 72000 après un feu, cette machine va donc finir sous les chalumeau d'un ferrailleur "agréé SNCF" Mais bon! si elle fini chez un ferrailleur, les pompiers aurai pu laisser le feu avancé le travail des ferrailleurs, mais les pompiers n'avait pas prévu les grillades avec ce méga barbecue offert par la SNCF. Pour une fois qu'ils avait un vrai feu de train, c'était une belle ocassion de faire un exercice ORSEC. Bref! l'essentiel c'est que le personnel SNCF et les voyageurs sont sain et sauf, le reste ce n'est que de la ferraille ce qui est moins important qu'une vie.
  20. Source : L'Union Date : 23/10/2008 Mardi vers 20 heures, un train express régional assurant une liaison Dijon-Reims a dû stopper en rase campagne, entre Sept-Saulx et Val-de-Vesle, à cause d'un incendie sous les roues de la motrice diesel (l'union d'hier [voir en dessous de la photo]). La voie a été dégagée au cours de la nuit, à 0 h 45, mais selon la SNCF, l'incident n'a eu aucune répercussion sur le trafic (il n'y avait plus de train prévu sur la ligne à ces heures-là). Les 38 passagers ont été acheminés en car jusqu'à la gare de Reims. Quelques-uns d'entre eux, qui ont loupé une correspondance vers Charleville-Mézières ou Mourmelon-le-Grand, ont fait le reste du voyage dans un taxi affrété par la SNCF. Le Ter (composé de la motrice et de quatre voitures) a été tracté jusqu'à Reims par une autre locomotive. L'origine de l'incendie, qui a pris au niveau des roues arrière avant de se communiquer au moteur, reste indéterminée. Une enquête technique est en cours. Source : L'Union Date : 22/10/2008 La loco prend feu : 38 passagers débarqués en rase campagne Parti de Dijon à 15 h 53, le train express régional attendu hier soir en gare de Reims à 19 h 51 n'est jamais arrivé à destination. Alors qu'il filait dans la campagne entre Sept-Saulx et Val-de-Vesle, de la fumée est apparue sous la locomotive : un incendie d'origine indéterminée venait de se déclarer au niveau des roues de la motrice.Le conducteur a aussitôt engagé l'arrêt du train pendant que les contrôleurs procédaient au déplacement des 38 passagers en queue de convoi, dans la quatrième et dernière voiture. A l'arrivée des secours, « les flammes s'élevaient à mi-hauteur de la locomotive », indique un pompier. Deux lances - dont une à mousse - ont été mises en batterie pour éteindre le sinistre. Aucun blessé n'a été déploré parmi les voyageurs. Légèrement incommodé par la fumée, le conducteur du train a été transporté au CHU de Reims par les sapeurs-pompiers de Verzenay. Informée des faits, la gendarmerie a demandé à la mairie de Val-de-Vesle d'ouvrir la salle des fêtes pour accueillir si besoin était les naufragés du rail. Le personnel municipal a fait le nécessaire mais la salle n'a finalement pas servi. La SNCF a affrété un autocar pour venir récupérer les voyageurs, restés au chaud à bord du train en attendant son arrivée. Le top départ fut donné vers 21 h 30. Bagages en main, les voyageurs ont parcouru à pied les quelque 300 mètres qui les séparaient du passage à niveau de Val-de-Vesle où stationnait l'autocar. « Il ne pouvait pas approcher plus près. Le chemin longeant la voie ferrée est impraticable », explique le capitaine Jean-Christophe Philippe, commandant de la compagnie de gendarmerie de Reims. « Les personnes qui avaient des difficultés à marcher ont été transportées dans un véhicule des pompiers. » L'incident a provoqué l'arrêt complet de la circulation ferroviaire sur l'axe Châlons/Reims, dans les deux sens. A l'heure où nous écrivions ces lignes (23 heures), il n'avait toujours pas été possible de joindre un responsable de la SNCF. On ignorait donc les répercussions sur le trafic. La locomotive se trouvait toujours sur les rails. Seul le panache de fumée commençait à s'estomper dans la nuit.
  21. lol ! c'est vrai ! j'ch't'ai point reconnu sur ch'cou ;)
  22. Source : Ouest France Date : 23/10/2008 Un Train express régional, reliant Rennes à Lorient, a percuté ce jeudi une camionnette sur un passage à niveau protégé à Questembert. Légèrement blessé, le conducteur du véhicule est un véritable miraculé. Un véritable miraculé. Aussi incroyable que cela paraisse, le conducteur de la camionnette percuté ce jeudi après-midi par un TER ne souffre, selon les médecins de l'hôpital de Vannes, où il a été pris en charge, que de quelques contusions et d'une fracture à l'omoplate. Le train expresse régional, qui circulait entre Lorient et Rennes, qui transportait 51 passagers, est entré en collision avec la camionnette vers 14h30. Barrières baissées Selon le parquet de Vannes, des témoins "ont vu les barrières de sécurité se baisser de part et d'autre du passage à niveau mais le fourgon s'est tout de même engagé". Le trafic ferroviaire a été légèrement perturbé, un seul TER à destination de Redon ayant été supprimé et ses passagers reportés sur un TGV. La SNCF a indiqué un retour à la normale de la circulation sur la ligne depuis 16h15.
  23. Source : NeoRestauration Date : 23/10/2008 Alors que le personnel des Wagons-lits était en grève, la SNCF annonçait qu’elle attribuait le contrat de restauration à bord des TGV à l’entreprise italienne Cremonini pour la période 2009-2012. Une concession qui prendra effet le 1er mars 2009. Il s’agit du service de restauration à bord des TGV, excepté le TGV Est. Quant au contrat d’approvisionnement des trains, il n’a pas encore été attribué. Du côté de Cremonini, Jean-Philippe Molinari, administrateur délégué et responsable du marché français se réjouit de cette victoire. « Elle constitue une nouvelle étape dans le développement du groupe en France qui y réalise un CA de 40 M€ avec 650 personnes", confie-t-il à Néorestauration. Le CA prévisionnel sur la période approche les 280 M€. Le personnel de Wagons-Lits, filiale d’Accor avait déjà débrayé le 16 octobre, craignant de perdre ce contrat. L’intersyndicale qui avait d’ailleurs annoncé l’attribution probable du contrat au groupe italien jugeait « l’offre de Cremonini, certes moins chère, mais pas crédible économiquement et basée sur une gestion sociale dégradée ». Côté Wagons-Lits, la direction s’est dite « très déçue. Seuls les critères financiers prévalent au détriment de la qualité du service rendu ». Ce à quoi Jean-Philippe Molinari répond que Cremonini est une entreprise sérieuse très attachée aux résultats et qui n’a pas l’habitude de casser le marché. Elle qui est déjà présente sur Thalys et Eurostar.
  24. Ben figure toi qu'actuellement la Gare du Nord d'Amiens est en pleine mutation, la voie 1 (sens Paris/Boulogne) va être fermé au public (autant par la gare que l'accès par la rue Riolan) à compter du 6/11 pour refection totale. Je présume que les voie 2/3 et 4/5 vont subir une refection totale par la suite. De plus, un parking de 800 places ouvrira prochainement rue Paul Tellier. Une gare TGV, je ne voit pas ou il peuvent la mettre actuellement, car à l'Est d'Amiens (Longueau/Amiens), outre la gare de triage et les marais, l'emplacement me parait improbable. Je pense que la ligne GV arrivera au niveau de Boves, la ligne peut très bien être en parallèle de la ligne actuelle Paris // Boulogne, là ou de nombreuses voies ont était démonté, ensuite, je ne sais pas trop surtout au niveau de la bifurcation Amiens/Paris - Amiens/Lille/St Quentin/Laon (au niveau du Pont du Bois de Boulogne) ou je pense que le TGV emprunterai la ligne classique pour arrivée en gare d'Amiens. De l'autre côté, ligne classique jusqu'au environ d'Ailly Sur Somme, là ou le TGV pourrait reprendre la ligne nouvelle. Voilà ce que j'imagine, mais hélàs, je ne suis pas un ingénieur de la SNCF
  25. il y a 4 ans, on parlait déjà de cette ligne sur ce forum http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=260

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