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La SNCF se lance à toute vitesse
Lorsque ce n'est pas les signalisations (passage à niveau, feu tricolore ou encore les signaux interdisant la traversé des voies en gare) qui déconne comme ce soir sur l'axe Tergnier/Amiens. là tu ne gagne pas 3mn, mais tu perd largement plus de 25mn, mais ça c'est pas grave, c'est la SNCF qui paie des pénalités à la région à cause du retard ;-)
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La SNCF se lance à toute vitesse
Source : L'echo Touristique Date : 13/10/2008 La SNCF reprend des essais pour faire rouler ses TGV jusqu'à 360 km/h dans le but de les faire circuler dans quelques années à cette vitesse, contre 320 km/h maximum aujourd'hui. Cette nouvelle campagne d'essais - après une première en 2006 - se déroule sur la ligne Est européenne, là où avait été battu le record du monde de vitesse sur rail en avril 2007, à 574,8 km/h, a précisé la SNCF, associée au constructeur du TGV Alstom et au propriétaire des voies Réseau ferré de France (RFF). Entamés progressivement, ces essais doivent culminer en début de semaine à 360 km/h. Alors que la vitesse de pointe des TGV Est est de 320 km/h, la SNCF ne cache pas son ambition de faire rouler ses trains à 350 voire 360 km/h. Mais, comme il est trop cher d'adapter les lignes existantes, cette perspective n'est envisageable que pour les nouvelles lignes TGV, encore à construire, comme Tours-Bordeaux qui doit voir le jour vers 2016, explique la compagnie ferroviaire. Dans les cartons depuis plusieurs années, l'idée de faire rouler des trains à cette vitesse se heurte essentiellement aux coûts d'entretien des voies et des caténaires, qui augmentent avec la vitesse des convois, ce qui inquiète RFF.
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Wi-Fi dans le TGV Est : Bolloré s'associe à la SNCF
Source : silicon.fr Date : 13/10/2008 Les deux partenaires visent un chiffre d'affaires annuel de 11 millions d'euros. Ce portail contiendra des contenus issus des filiales de Bolloré comme la chaîne de TV Direct 8. Le groupe de communications fournira également son expertise dans la multimédia via Havas et dans le Wi-Fi via WiFirst. Selon les premières informations disponibles, ce réseau permettra aux usagers de surfer le Web à une vitesse de 2 Mbps en téléchargement et 512 Kbps en upload. Ce service a coûté près de 20 millions d'euros à la SNCF. Précisons que si certains contenus en ligne seront gratuits, la connexion Internet sera payante. La SNCF évoque la somme de 5 euros par heure... Enfin, rappelons que le haut débit a également fait son apparition dans les rames du Thalys. Le prix de la connexion sera compris dans les billets de première classe. Les voyageurs en seconde, eux, payeront 6,50 euros pour une heure et 13 euros pour tous le voyage. Pas donné... Le paiement est possible en ligne, ou avec une carte prépayée, disponible au bar. Et tous accéderont à Internet via le portail Thalysnet, dont l’accès est gratuit. Aujourd’hui, déjà, le quart du parc des trains est équipé. Et les réactions des clients, qui pour près de la moitié, voyagent pour affaires, ont convaincu la compagnie d’étendre le service à la totalité des voitures. Pour ce faire, Thalys a choisi de déléguer la totalité de la gestion de la prestation, dans le cadre d’un contrat pluri-annuel. Et, après appel d’offres, c’est un consortium qui a été chargé de trouver une réponse à la complexité posée par la très haute vitesse du train (jusqu’à 300 km/h) et par un parcours qui traverse quatre pays. Ce groupement d’entreprises compte Nokia Siemens Networks, fournisseur de solutions d’infrastructures de réseaux, 21Net, opérateur qui travaille déjà avec la SNCF et Telenet, fournisseur d’accès spécialisé dans le domaine des médias et des services de communications. Le consortium gère la totalité du projet, de sa conception, à la mise en place des infrastructures dans les trains, et à son exploitation commerciale et technique, maintenance comprise. Le satellite : un must « Internet est déjà une réalité dans les trains à vitesse classique, au Canada, en Suède et au Japon. Mais, à 300 km/h, il n’existe pas d’autres solutions que le satellite. C’est d’ailleurs ce qui a été mis en place pour le TGV Est » note Jean Michel Dancoisne DG de Thalys, filiale de la SNCF, qui exploite ces lignes,. Et c’est effectivement la solution qu’a retenue le consortium. Il s’agit d’une connexion bidirectionnelle qui fonctionne grâce à une antenne parabolique installée sur le toit des trains, qui suit le satellite Hispasat 1D, situé à 36.000 Km au dessus de l’océan. Lorsque la liaison est indisponible, par exemple sous un tunnel, le système bascule vers le Wi-Fi et l’UMTS, via un mobile acess routeur du serveur central placé dans chaque train. Objectif : assurer une connexion continue.
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Infos sur la 231 E 41 qui n'est plus en pot de fleur à St Pierre des Corps
Thierry80 a répondu à nikolas s situé dans Chemins de fer touristiques, Musées, préservation du patrimoine ferroviaireSource : La Nouvelle République Date : 10/10/2008 En invitant à une réunion sur le monument local, la locomotive Pacific 231-E-41, la bibliothèque municipale ne s'attendait peut-être pas à un public aussi nombreux et surtout à un débat aussi complet sur son avenir. Astrid Chabin a présenté la locomotive la replaçant dans le contexte historique des locomotives françaises, évoquant la Flèche d'Or, le train Paris-Londres, qu'elles tractaient. Mais ce fut aussi l'occasion de rappeler la mémoire d'un ingénieur (qui a sa rue à Saint-Pierre des corps) André Chapelon : c'est lui qui dans les ateliers du Paris-Orléans (là où est l'EIMM du Centre technique SNCF) fut à la base des transformations de la machine pour la rendre performante. Avec Marie-France Beaufils, témoin de cette époque comme beaucoup des personnes présentes, Astrid évoqua les conditions dans lesquelles la locomotive vint à Saint-Pierre (et non pas à Mulhouse) en 1974 après avoir été radiée en 1963. Avec 2 millions de kilométres parcourus. La question fut abordée de son avenir avec deux intervenants très motivés. M. Gauchet président de l'AAATV de Saint-Pierre (Amicale des anciens de la traction vapeur) et M. Lalle, affirment que la Pacific peut reprendre du service dans un contexte touristique à deux conditions que sa chaudière soit en bon état et passe l'épreuve du banc d'essai et que les Mines donnent ensuite leur autorisation. Et le débat rebondit très vite avec partisans et sceptiques, dont le conducteur qui fut le dernier à conduire la locomotive sur le boulevard des Déportés. L'opération est engagée, mais sera longue et les mécaniciens lancent un appel à tous ceux qui auraient des documents surtout techniques sur la Pacific, à les communiquer par le canal de la bibliothèque.
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Bretagne : TER la rançon du succès
Source ; Le Télégramme Date : 10/10/2008 Signe des temps, la fréquentation du TER explose. Plus de 26.000 Bretons l'empruntent chaque jour. Un succès qui n'est pas sans poser problème. Sur certaines lignes et à certaines heures, les rames sont pleines à craquer. La scène se passe un lundi matin de février dernier sur le quai de la gare de Rosporden : faute de place dans le train, huit lycéennes restent à quai. Une mésaventure exceptionnelle, certes, mais qui témoigne d'une réalité : le TER attire de plus en plus de monde. Les Bretons n'hésitent plus à laisser leur voiture au garage pour prendre le train. Certaines lignes comme Brest-Landerneau, Brest-Morlaix, Lorient-Vannes ou celles autour de Rennes sont, à certaines heures, saturées. Nombreux sont les passagers qui n'ont d'autre choix que de voyager debout. 50 % en cinq ans Même si, évidemment, Gérard Lahellec, chargé des transports à la Région, se félicite de cet engouement, il est aussi le premier à reconnaître « que cette situation pose problème ». Le TER est victime de son succès. Pas une région française n'a vu son trafic ferroviaire autant augmenter. En cinq ans, le trafic inter-villes a progressé de 50 %. Sur l'axe Brest-Landerneau, la progression a été de 17 % sur les quatre premiers mois de 2008. L'augmentation du prix du carburant explique en grande partie ce phénomène mais pas seulement. La Région, qui a désormais compétence sur le transport ferroviaire, a mis le paquet pour moderniser et développer le réseau. Depuis 2002, plus de 250 millions d'euros ont été dépensés pour acheter de nouvelles rames, les fameuses ZTER et les automotrices Bombardier AGC. Les 14 dernières de ce programme sont attendues en 2009. Un nouveau matériel confortable et performant, qui séduit les Bretons. 74 millions à la SNCF Les tarifs, très attractifs, ne sont pas non plus pour rien dans ce succès. La mise en place d'une nouvelle gamme, « plus sociale et plus solidaire », a attiré une nouvelle clientèle. « 5.500 travailleurs précaires ont pris une carte d'abonnement », se félicite Gérard Lahellec. Une politique qui a un coût. Pour chaque voyage, la Région verse un peu plus de 9 euros à la SNCF, soit 74 millions d'euros chaque année. Un voyageur, qui prend le TER, ne paie que 30 % du prix réel du billet. Tout le pari d'une telle politique est de faire en sorte que le potentiel de développement du TER soit dans le même temps préservé. « Cela passe par une contractualisation très exigeante avec la SNCF. Elle est obligée de trouver de nouvelles recettes », souligne l'élu. Outre les 250 millions dépensés pour renouveler le matériel roulant, 34 millions ont été prévus pour rénover les 116 gares et haltes TER. Trois millions sont par ailleurs prévus en fonctionnement pour permettre, dès 2009, d'augmenter la fréquence des trains sur les lignes les plus fréquentées. Le trafic multiplié par trois d'ici à 2020 Ces investissements suffiront-ils pour répondre à l'explosion du trafic ? Très probablement pas. « On ne pourra sans doute pas attendre 2014 pour acheter d'autres rames », observe l'élu. D'autant que toutes les prévisions indiquent que le trafic TER devrait être multiplié par trois d'ici à 2020. La Région devra répondre à cette demande tout en n'oubliant aucune partie du territoire. « On ne peut pas se contenter de se positionner en transporteur en allant là où sont les flux. Tous les Bretons doivent bénéficier de l'effet TGV. »
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La SNCF française envisage de créer une ligne de chemin de fer directe entre la France et la Chine
Source : French China Date : 10/10/2008 La SNCF française envisage de créer, d'ici trois ans, une ligne de chemin de fer directe d'une longueur de 12 000km reliant la France et la Chine. Guillaume Pepy, président de la SNCF, se rendra à Moscou avant la fin septembre. A cette occasion, il s'entretiendra avec les responsables de l'Administration ferroviaire russe sur les modalités d'accès du chemin de fer au territoire russe. La future ligne traversera l'Allemagne, la Pologne, la Russie et la Mongolie avant d'atteindre la Chine. Le fret aérien des marchandises présente un coût trop élevé. Le fret maritime, pratiqué le plus couramment, nécessite, quant-à-lui, un délai de 6 semaines. Grâce à la mise en service du chemin de fer, les marchandises transiteront entre Pékin et Paris en seulement 10 jours. Selon M. Pepy, la SNCF est en train d'établir de manière active des coopérations avec les autorités des pays traversés par la ligne de chemin de fer. La future ligne devrait faciliter considérablement le transport des produits ''made in China'' en Europe. Ce projet sera rentable à condition que les trains circulent remplis. Selon des initiés, Geodis, filiale de la SNCF française présente depuis longtemps en Chine, possède déjà une clientèle de plus de 30 000 entreprises.
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+15% de trains sur la ligne Paris-Rouen
Source : Le Figaro/AFP Date : 10/10/2008 La région Haute-Normandie et la SNCF ont annoncé aujourd'hui une augmentation à partir de la mi-décembre de 15% de l'offre de trains sur la ligne Paris-Rouen-Le Havre, souvent critiquée par les usagers pour la dégradation de sa qualité de service. Cette augmentation de l'offre permettra à la SNCF de proposer une desserte cadencée, c'est à dire toutes les demi-heures, toutes les heures ou toutes les deux heures, selon les gares. Pour le segment Paris-Rouen, cette refonte se traduira par la mise en oeuvre de 62 trains supplémentaires par semaine. Le président PS de la région Haute-Normandie Alain Le Vern qui finance une grande partie du matériel roulant a souligné que cette amélioration sera mise en oeuvre en exploitant "au mieux" les infrastructures existantes. "Mais certaines dessertes pourraient bénéficier de conditions plus favorables si les chantiers réclamés de longue date étaient menés à terme comme le doublement de la ligne entre Paris-Saint-Lazare et Mantes-la-Jolie", a-t-il déclaré. Depuis de nombreuses années, cette ligne fait l'objet de vives critiques de ses usagers qui se plaignent de la dégradation de la qualité de service et de l'augmentation des temps de trajet. Contrairement aux autres grandes lignes françaises, elle n'a pu être adaptée à la grande vitesse en raison de la trop faible distance (220 km) entre Le Havre et Paris.
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Le Cevenol
Source : Zoom43 Date : 10/10/2008 La lettre qui suit a été expédiée à 21 personnes (ministre, députés, sénateurs, élus et acteurs sociaux par la CGT cheminots de la Haute-Loire
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Un exercice Orsec à Alençon
Source : Ouest France Date : 10/10/2008 Un exercice de grande ampleur, avec simulation du plan Orsec, a été déclenché dans la soirée à Alençon. Pompiers, policiers, médecins urgentistes, infirmières, magistrats et services de la préfecture participent à un exercice de sauvetage après une simulation d'accident survenue au niveau de la gare SNCF impliquant une voiture et un train de voyageurs. Premier bilan: un mort et 21 blessés.
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Les salariés du gardiennage ferroviaire en grève ce week end
Source : bellaciao Date : 10/10/2008 VIGIMARK, SECURITAS, SECURANCE, MAIN-SECURITE… : de très nombreuses sociétés se partagent aujourd’hui le marché du gardiennage ferroviaire à la SNCF. En privatisant cette activité, et en passant des appels d’offres, la SNCF a trouvé le moyen de réduire le coût du travail, en clair de payer moins cher les salariés ! Le développement des sociétés de gardiennage ferroviaire nous ferait presque oublier que les tâches qui sont confiées à ces salariés (relations avec les voyageurs, surveillance des installations ferroviaires, aptitude au risque ferroviaire…) devraient logiquement leur donner le statut de cheminot… mais nous en sommes loin ! Les salariés de l’entreprise Sécurance qui travaillent dans de nombreuses gares d’Ile de France (Magenta, Austerlitz, Lyon, Bercy) , et notamment celles de Paris gare de Lyon, Bercy et Villeneuve font face à une direction qui refuse d’entendre leurs revendications. Les salariés de Sécurance demandent Des locaux décents et l’aménagement de vestiaires Des tenues adaptées aux conditions climatiques La reconnaissance de la formation des agents La réévaluation des coefficients La mise en place de délégués du personnel sur l’ensemble des sites L’arrêt des sanctions disciplinaires abusives Le versement du salaire le 10 de chaque mois au lieu du 15 pour l’ensemble des personnels Le paiement de la prime des encadrants Devant le refus de la direction, les salariés de Sécurance seront en grève le samedi 11 octobre à partir de 6h00… La Fédération SUD-Rail, qui organise l’ensemble des travailleurs du rail (cheminots, salariés du gardiennage, du nettoyage, des filiales, de la restauration ferroviaire, etc) soutient l’action de ces collègues, et demande à la direction de la SNCF, donneuse d’ordre, d’intervenir auprès de l’entreprise Sécurance pour que des négociations s’engagent au plus vite.
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La SNCF sort de ses frontières en s'alliant à l'italien NTV
source : Les Echos Date : 9/10/2008 La compagnie ferroviaire française sera le partenaire industriel de l'opérateur privé transalpin, dont elle devrait prendre 20 % du capital pour 80 millions d'euros. Cette opération constitue une première étape de la consolidation du secteur. Guillaume Pepy, le président de la SNCF, l'a promis : le groupe public « jouera pleinement son rôle dans la consolidation à venir du secteur ferroviaire ». Une première illustration va en être donnée. Depuis plusieurs semaines, la SNCF et la Deutsche Bahn font la cour à NTV, le premier opérateur privé transalpin. Selon nos informations, le groupe italien aurait choisi son homologue français comme partenaire industriel. Les deux entreprises ont chacune tenu hier soir un conseil d'administration pour avaliser l'opération, avant de l'officialiser sans doute aujourd'hui. Ce partenariat se traduirait par une prise de participation d'environ 20 % de la SNCF dans le capital du groupe italien, pour un montant proche de 80 millions d'euros. Ce mouvement d'envergure - qui ouvre les hostilités pour la consolidation du transport ferroviaire de passagers en Europe - traduit les ambitions de Guillaume Pepy, qui entend assurer un tiers de la croissance de la SNCF à l'horizon 2012 à travers des acquisitions. « Nous en avons les moyens, avec une situation financière très saine : notre taux d'endettement représente 0,5 fois nos fonds propres, contre 1 à 1,5 fois pour la Deutsche Bahn », a expliqué récemment le dirigeant. La SNCF n'entend pas jouer les actionnaires dormants dans ces opérations. « Nous avons une expérience de vingt-cinq ans dans le TGV. Ce savoir-faire est unique, mais il n'est pas à vendre. Il faut donc nous laisser de la place », soulignait-il alors. En clair, la SNCF vient pour être exploitant, même quand elle ne détient pas 100 % du capital des sociétés. Avec NTV, le groupe trouve un partenaire de choix pour ces théories. L'opérateur italien - détenu à 54,5 % par un trio d'hommes d'affaires locaux, dont Luca Di Montezemolo, le président de Fiat - a été créé pour profiter de la libéralisation du marché ferroviaire de passagers. Une licence de transport a déjà été demandée, et NTV entend chasser sur les terres de l'opérateur historique Trenitalia dès 2011. Le groupe privé vise 20 % du marché en 2015, soit 10 millions de passagers par an. Pour les transporter, NTV a choisi une solution française, là encore. Ce nouveau venu est en effet le premier client de l'AGV, le nouveau train à grande vitesse d'Alstom : 25 rames AGV ont ainsi été achetées, pour 600 millions d'euros. Luca Di Montezemolo étant également patron de Ferrari, ces nouveaux trains seront rouges. Bonne pioche : cela se marie parfaitement avec le logo SNCF, lui même mauve et rouge.
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La SNCF lance un nouveau TER en Bretagne
source : info35 Date : 9/10/2008 MooviTER : TER innovant et communicant Expérimentation unique en Bretagne pendant un an MoovitTER est un prototype de TER proposant un bouquet de services innovants et communicants sur une rame test. La SNCF, maître d'ouvrage du projet, a choisi la Région Bretagne* pour l'accompagner sur ce projet. C'est donc exclusivement sur le réseau ferroviaire breton que ce nouveau train sera expérimenté pendant 12 mois. L'exploitation de MooviTER sur le réseau Bretagne débutera le 6 décembre sur les liaisons Rennes/St-Malo, Rennes/Brest, Rennes/Quimper et Rennes/Nantes. Les nouveaux services de MooviTER : convertir le temps de voyage en temps utile - accès gratuit à Internet grâce à une borne wi-fi tout au long du voyage ; - borne interactive multimédia permettant l'accès à des sites liés aux transports, au tourisme ; - 10 afficheurs d'information en temps réel pour connaître la desserte, les gares d'arrêt, l'évolution du trajet, les correspondances proposées, les retards et incidents éventuels ; - 16 écrans d'animation et d'informations sur la Bretagne, les événements culturels et touristiques... Priorité à la communication et au confort Au-delà des innovations technologiques, MooviTER a la volonté de favoriser le lien et la convivialité en combinant différents espaces, utilisables par tous : des zones studieuses (espace solo-travail avec prise et liseuse) mais aussi un «Ludospace» avec jeu d'échecs tactile, poufs, jeux aux murs…, un espace «découverte» dont certains sièges sont orientés vers les baies vitrées, sans oublier des éléments de confort pour les personnes à mobilité réduite.
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Le rapport Haenel veut revoir en douceur les relations SNCF-RFF
source : Les Echos Date 9/10/2008 C'est un rapport guetté depuis plusieurs semaines par la SNCF et Réseau Ferré de France (RFF). Hubert Haenel, le sénateur UMP du Haut-Rhin, doit dévoiler aujourd'hui les conclusions de l'étude menée sur le système ferroviaire français. Le parlementaire, missionné par Dominique Bussereau, le secrétaire d'Etat aux Transports, devait faire le bilan de la réforme de 1997, qui avait entraîné la naissance de RFF, propriétaire du réseau, aux côtés de la SNCF. Selon plusieurs sources, Hubert Haenel ne préconiserait pas de big bang du système ; ses recommandations viseraient plutôt à clarifier les conditions d'exploitation du réseau et l'attribution des sillons aux différents opérateurs. Cela passerait notamment par la création d'une filiale indépendante au sein de la SNCF, où seraient logés les 14.400 agents d'exploitation de la SNCF (horairistes, régulateurs, aiguilleurs) et leurs homologues à RFF. L'idée rejoint une proposition déjà faite par les deux sociétés publiques.
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Encore un passage à niveau franchi
Ce mardi matin vers 9 h 15, une Renault Clio a été percutée de plein fouet par un TGV, alors qu'elle se trouvait sur un passage à niveau sur la D 42, à Roeux, près d'Arras. L'occupant de la voiture est mort sur le coup. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie. Selon les premiers témoignages recueillis sur place, il semblerait qu'il s'agisse d'un accident. Le conducteur se serait engagé sur le passage à niveau malgré la descente des barrières. La circulation des TER et des trains de marchandise a été complètement coupée, provoquant de très grosses perturbations. La circulation n'a été rouverte que vers 13 h 45. Quelque 230 passagers, installés dans les deux rames du TGV 5214, ont été acheminés à Arras en bus. Six autocars ont été réquisitionnés. Peu avant 13 heures, la circulation des TER a repris dans le sens Arras - Douai. Vers 14 heures, le trafic reprenait ses droits dans les deux sens. Au total, 14 TER ont été détournés par Lens, ainsi que 5 TGV, également détournés par Lens ou acheminés vers Arras par la ligne à grande vitesse directe entre Lille et Arras. Des bus ont par ailleurs été mobilisés entre Douai et Arras pour permettre aux usagers bloqués à Douai de se rendre à Arras. « Nos installations ont été vérifiées, il n'y a eu aucun dysfonctionnement », nous assuré en début d'après-midi la SNCF. Il aura fallu près d'une heure pour désincarcérer la victime et une heure de plus pour extraire la voiture, coincée sous le museau du TGV.
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TER Picardie
Mon cher Boss02400 Je me porte à faux avec tes propos. Vue le prix des nouvelles rames et vue ce que représente le budget transport (la 1ère marche, soit 1/3 du budget) du Conseil Régional de Picardie. Mais comme tous les Conseil Régionaux, tous les TER ne sont pas remplacé d'un seul coup, Ou alors, faudrai autorisé les Conseil Régionaux à joué à Euromillion pour acheter des rames plus rapidement. Dans ce budget, tu as aussi la modernisation des quais, la mise en place des billetiques électronique, l'accessibilité aux handicapés, sans oublier les aides aux voyageurs (Picardie Pass'Etudes, Picardie Pass'Actifs, Picardie Pass'Emploi et Picardie Pass'Evasion) et pour finir, les opérations spéciale comme le Train à la Mer. Mais au fur et à mesure, les baleines bleues sont mise en service sur les lignes régionale. Faut savoir prendre son mal en patience. Mais dans le Sud de L'Aisne, il faut aussi le bon vouloir des Conseil Régionaux Ile de France et Champagne-Ardennes pour mettre des nouvelles rames, à l'heure actuelle, la région n'est pas aidé par ses voisins. Pour terminer, il ne faut pas oublier que l'ensemble du réseau picard à bien souffert depuis la mise en service du TGV Nord et du Tunnel sous la Manche, puisque par exemple, je prend le cas de Amiens, on a perdu beaucoup de train venant et allant de Paris en provenance de Lille (via Longueau) mais également depuis Calais et Boulogne. Avec la modernisation des voies et des gares sur certaines lignes (les dernières sont Amiens/Compiègne et Amiens/St Quentin), La Région à tout de même mis en place des rames TER supplémentaires et de nouveaux créneaux horaires. Bref! il ne faut pas tirer des conclusions trop hatives et surtout pour dire n'importe quoi sur la région qui fait son maximum avec un budget qui diminue.
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TER Picardie
Rame "Le Pays de Bray" Prise en gare de Laon D'ici peu (certainement ce week-end), je vais prendre ma camera pour filmer l'activité des trains en gare d'Amiens
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Forum Indisponible
Content de revoir ce forum :-) Je te rassure Katamiaw, tout est bien excusé pour cette absence, surtout si c'est pour amélioré l'accessibilité du site/forum A+ Thierry
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Bousculade à Paris : un mort sur la ligne 4
RATP : Rentre Avec Tes Pieds Oui, je le sais, c'est connu!
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Bousculade à Paris : un mort sur la ligne 4
Salut ! Ca ne change pas de l'habitude sur cette ligne, à cela tu peux ajouté la chaleur constante dans les stations et dans les rames.
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Règlement Sncf: Autorisations De Prises De Vues
De mon côté, il y a 2 ans, voir même, il y a quelques mois dans le cadre d'une activité associative, on nous avais prévenu qu'on avait pas le droit de filmer dans la gare d'Amiens, hors le jour J, j'ai était voir le chef de gare qui lui m'a autorisé à filmé sans aucun souci (Donc à Amiens, je pense que c'est au bon vouloir du chef de gare du moment). En ce moment, j'ai repris mon appareil et je prend des photos en gare d'Amiens (sans pied, sans flashes) et l'ensemble du personnel de quai me laisse faire en générale. Je joue évidemment la sécurité, puisque je reste dans l'espace public ou suivant les cas, du côté des locaux du chef de gare qui offre une bonne prise de vue vers le tunnel du Gaumont. (merci aux mécanos pour les coup de sifflets). Bref! Amiens on peux prendre des photos, mais en restant dans les parties publics (même sans gilets de playmobil). Quant à Vigipirate, faut cesser la psychose, on ai tout de même pas en rouge écarlatte surtout en province et depuis 2001, ce n'est pas dans les gares provinciales que les risques est gros, La France ne se limite pas à Paris tout de même, faut pas exagéré quand même.
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Direction dépot d'Amiens
Une brochette de machine en provenance de Boulogne/Calais ou Rouen RD de passage en gare d'Amiens pour un des dépots (Lens, Amiens, Longueau ou Achères) je n'ai pas pu me renseigner puisque le convoi ne s'est pas arreter. (désolé pour la qualité, mais faut pas trop en demander à un appareil de bas de gamme ) A propos de la gare d'Amiens, elle est actuellement en refection intégrale, espéront que les quais seront refait également, car c'est actuellement dans un pitieux état, on se demande bien si la SNCF ou RFF n'ont pas honte de laisser des quais comme ça, surtout pour un chef lieu de département et capitale régionale.
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Bravo aux photographes
Bonjour à tous ! Plus que je visite ce forum, plus je l'adore ;-) On peux lire ici et là de vrai passionné des trains, des personnes qui aime leur travail, mais je remarque que bien que cela ne soit pas leur métiers, ce sont aussi d'excellent photographe. Ce forum regorge de belle et magnifique photos, beaucoup de diversités, de l'humour. Il y a un très bon esprit ici, que même un gamin de 4 ou 5 ans peu s'amuser à visiter le forum, regarder les photos sans aucunes craintes (peut-être hormis celle sur les casses de loco comme celle de Culoz). Bravo les administrateurs et modérateurs du forum Pour terminer, un message à l'intention de tous les photographes, FELICITATIONS COLLECTIFS pour la qualité de toutes vos photos. A+ Thierry PS : Je pense à pas être le seul à pensé la même chose ici, mais je tenai à faire ce message collectif.
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TER Picardie
Boss! Je vais te faire plaisirs Il n'y a pas que Chateau-Thierry qu'il y a de vieux coucou, même à Amiens il y en a. En plus, on les renvoient à chaques fois à Paris, mais il nous les renvoient comme un boomerang Et même dans le Nord-Pas de Calais ils ont des Inox Mais à mon avis, d'ici que les rames changent, tu reprendra le train, car c'est tout de même plus économique surtout avec un abonnement de travail financé par la Région :-)
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TER Picardie
Tout à fait ! En ce qui concerne la prochaine réunion sur la l'axe Amiens/Laon (St Quentin/Tergnier) aura lieu à Nesle à la mi-novembre Pour Boss02400, il y a actuellement une action du Conseil Régional qui se nomme "Objectif Picardie 2030, comment aménager la Picardie du XXIème siècle avec les Picards", la première à eu lieu pas loin de Chateau-Thierry, à Soissons exactement (2h30 de train à partir d'Amiens tout de même). plus d'infos : http://www.cr-picardie.fr/spip.php?article2502 Néanmoins, tu aura plus d'infos également sur le site de la Région concernant le TER et je pense que tu trouvera toutes les infos que tu veux. http://www.cr-picardie.fr/spip.php?rubrique84 Le compte rendu du dernier comité de ligne (7/04/2008), on peu voir que c'est complexe sur Chateau Thierry, ou la Picardie, la Champagne-Ardenne, la Lorraine et le Transilien interviennent, donc, les renouvellements du parc matériel est au bon vouloir de 4 Conseil Régionaux. (http://www.cr-picardie.fr/IMG/pdf/CR_Comit...vril_2008-2.pdf ) Si je m'abuse, en matière de rame sur les lignes, cela ne dépend pas tellement du C.R. mais plus de la SNCF (dans ton secteur, soit de Reims ou Paris Est, car je ne pense pas que Chateau Thierry dépend de la Direction SNCF d'Amiens ou de Paris-Nord, à vérifié) Cependant, le matériel "inox" ou encore les caravelle sont tellement vieillissant, je te l'accorde, qu'il faut cesser de faire tourner les vieux coucou obsolète, que certaines lignes comme Paris/Beauvais, Paris/Creil/Amiens et sud de l'Aisne devront encore souffrir des quelques pannes matériels. Mais leurs avenirs sur les lignes picardes serait terminé d'ici 2ans pour laisser place à des rames Bombardier ou Alsthom (info C.R).
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Faire comme une grande
Du modèle réduit au modèle normal, il n'y a qu'un pas ! Mais il ne faut pas être pressé d'arrivé à Paris :-)