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Le Web des Cheminots

levdav

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Messages publiés par levdav

  1. Ben Ali-Trabelsi : les pillages d'une famille en or

    rien là dedans qui me surprenne vraiment ,sauf que je ne peux m'empêcher de faire le rapprochement avec les entreprises du cac 40 qui font pareil finalement ,ponctionner le bénéfice du travail que l'on produit .

    la difference est dans le" dosage" du ponctionnement ,ben ali a un peu trop ponctionné ,et quand sarko et sa bande du fouquet's nous pomperont autant que les tunisiens l'ont été , ça pètera !

    + 1

    en rajoutant une blague qui circule : Ali Baba est parti mais les 40 voleurs sont toujours là.

  2. Aux origines du mouvement en Tunisie, il y a la volonté de pouvoir se nourrir. c'est cet homme qui s'immole parceque la police veut l'empécher de vendre des légumes avec sa charette.

    il s'agissait de trouver les moyens financier de nourir sa famille. c'est à dire ses frères et souer, sa mère (sauf omission).

    Face à cela de partout dans le pays les masses se sont identifier et malgré les risques, malgré la peur sont allés affronter la police et le pouvoir.

    en s'en prenant aussi aux intérèts du clan Ben Ali/Trabelsi.

    certes un pays pauvre avec une dictature spoliant les populations.

    alors cette famille tenante du pouvoir traitait aussi avec des intérêts bien français !

    ce qui explique la complicité du gouvernement, des gouvernements français : la france 1er partenaire commercial de la Tunisie !,

    en 2009 139 milliards d'euros investis, 1 er partenaires pour les investissements : la france (des patrons français).

    1250 entreprises française installéesdont des bien connus du CAC.

    Les entreprises en question ? Valeoune usine au sud de tunis, EADS avec sa filliale Aerolia, pour les banques : BNP avec sa filliale UIB, la Ste Générale avec UBCL, les assurances ? Groupama à plus du tiers de STAR premier assureur du pays, les telecom ? france telecom a 49 % d'orange Tunisie !

    l'Alsthom avec une une centrale thermique, et dans les transports dans le maintien des rames tramways et autres...

    l'essence : TOTAL à plein de station service, il y a aussi les DANONE, RENAULT, PSA, SANOFI...le CLUB MEDITERRANEE,

    et le textile avec 500 entreprises !

    les représentants en france muet sur la dictature cache les surprofits et avantages de la famille au pouvoir défendent les intérêts économiques des puissants de france !

  3. même qu'il faut en parler, même qu'autour de soi le dire, le film : "même la pluie" est à voir.

    même qu'il y a une mise ne situation pleine d'à propos, même qu'il y a des références à Christophe Colomb, de Las Casas et des inconnus.

    même qu'on voit l'Amérique du Sud d'aujourd'hui...

    sur Paris plus d'une dizaine de salles,

    un film qu'il faut booster par le bouches à oreilles

  4. c'est le problème des représentants syndicaux que je trouvent irresponsable en cette période trouble.

    Pas évident que la surenchère verbale aboutira à plus de liberté, bien au contraire.

    Le rôle de nos médias franchoullards transmis par satellite est catastrophique: on rajoute de l'huile sur le feu pas encore éteint de la rancune normale après un régime peu aimé.

    C'est complètment contre-productif et dangeureux dans cette région.

    Les médias français se trompent de pays en décrivant un régime terrible:;

    les tunisiens devaient faire attention, y compris en France.

    Ok ce n'était pas drôle et le peuple n'avait pas le sentiment d'être écouter (comme pour la réforme des retaites en 2010?);

    mais ce n'est pas le pays où a été détenu Max Göldi, otage fort connu en Europe, mais pas en France visiblement.

    la Tunisie était une dictature,

    et, il n'y a pas à s'étonner en étant touriste de ne pas voir ce genre de situation.

    Source : « le monde diplomatique »

    1963. Interdiction du Parti communiste en janvier. Régime de parti unique.

    1975. Après un amendement à la Constitution, Bourguiba est nommé président à vie le 18 mars.

    1978. « Jeudi noir » : le 26 janvier, la grève générale lancée par l’UGTT tourne à l’émeute à Tunis. La répression militaire fait près de 200 morts. L’état d’urgence est instauré.

    1983. Déclenchement d’« émeutes du pain » dans le sud du pays en décembre.

    1989. Le MTI devient le Hizb En-Nahda (« Parti de la renaissance »), en janvier, et demande sa légalisation, qui lui sera refusée quelques mois plus tard. Le 2 avril, M. Ben Ali, candidat unique, est élu président de la République avec 99,27 % des suffrages.

    1994. Le 20 mars, M. Ben Ali, seul candidat en lice, obtient 99,9 % des voix à l’élection présidentielle.

    Source parlement européen

    Le Parlement européen a voté, le 23 mai 1996, pour la première fois, une résolution où il se disait « très inquiet de la détérioration des droits humains en Tunisie ». Les députés se déclaraient « consternés par les persécutions dont sont victimes les opposants politiques et leurs familles ». Le département d’Etat américain a lui aussi condamné le gouvernement tunisien, en 1998, dans son rapport annuel, pour les atteintes aux droits de la personne humaine. Le Comité des droits de l’homme de l’ONU, le Comité contre la torture de l’ONU, composés d’experts indépendants, ont également dénoncé, en novembre 1994 et en novembre 1998, la situation dramatique des droits humains en Tunisie.

    1998. Le vice-président de la LTDH, Khemais Ksila, est condamné à trois ans de prison le 11 février. Au cours de l’été, M. Ben Ali fait adopter un amendement permettant à l’opposition de présenter des candidats aux élections présidentielles prévue pour l’année suivante.

    1999. Le 24 octobre, M. Ben Ali remporte 99,4 % des voix à l’élection présidentielle.

    2004. M. Ben Ali est réélu avec 94,5 % des suffrages le 24 octobre.

    2005. La Tunisie accueille du 16 au 18 novembre le Sommet mondial sur la société de l’information (SMSI) organisé par les Nations unies.

    Tunisie, dictature mafieuse

    | 11.01.11 | 13h47 • Mis à jour le 12.01.11 | 14h36

  5. Il semble que les représentants syndicaux n'accordent aucun crédit au gouvernement mis en place par les ben alistes restant en place.

    Pas dit, que ceux qui se sont mis en mouvement,, même en absence de force politiques organisés pour représenter leurs volontés, en reste là.

    les aspirations, et les voies pour y parvenir les obligent à poursuivre leur participation à la vie publique et politique.

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