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Le Web des Cheminots

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Tout ce qui a été posté par IGS4

  1. A la une - Jeudi 02 juillet 2009 http://www.ouest-france.fr AF 447 : l'avion ne s'est pas disloqué en vol Le Bureau d'Enquêtes et d'Analyses (BEA), chargé de l'enquête technique sur l'accident du vol AF447 d'Air France a exclu ce jeudi l'hypothèse d'une dislocation en vol de l'avion. L'examen des pièces récupérées "amène à faire le constat suivant: l'avion n'a pas été détruit en vol", a dit le responsable de l'enquête Alain Bouillard, lors d'une conférence de presse. Depuis le 6 juin, 640 éléments de l'avion, un Airbus A330, ont été retrouvés, dont la dérive, le 7 juin. Aucun gilet de sauvetage gonflé n'a été retrouvé. "L'absence de gilets de sauvetage gonflés montre que visiblement les passagers n'étaient pas préparés à un amerrissage", a dit M. Bouillard. Recherche des boîtes noires jusqu'au 10 juillet "Les balises ont une durée réglementaire d'émission de 30 jours. La recherche se prolonge de dix jours supplémentaires pour essayer de les retrouver", a expliqué devant la presse Alain Bouillard, responsable de l'enquête sur l'AF447. "Une deuxième phase de recherche démarrera après le 14 juillet avec d'autres moyens et suivant une autre méthode", a-t-il ajouté. Les sondes Pitot ne sont pas la cause du crash Les enquêteurs ont aussi estimé jeudi que les sondes Pitot sont "un élément, mais pas la cause" de l'accident. Les sondes Pitot ont été mises en cause par deux syndicats de pilotes peu après l'accident, ce qui a conduit Air France à accélérer le remplacement d'un ancien modèle de sondes par un modèle plus récent. Communication défaillante entre contrôleurs du Brésil et Sénégal une défaillance de communication entre les centres de contrôle aériens brésilien et senégalais en charge de l'avion a été rélevée ce jeudi. Lorsque l'A330 d'Air France a quitté la zone aérienne contrôlée par les Brésiliens, ces derniers auraient dû appeler par téléphone les Sénégalais pour leur confier l'appareil qui entrait dans leur zone, mais cela n'a pas été fait, selon le BEA
  2. Un incident sur un caténaire a provoqué ce long arrêt Benoît Roques travaille à Toulouse et chaque soir il rentre à Montauban en train. Mardi soir, comme à son habitude, il a pris le train de 20 h 05 mais le voyage s'est transformé en randonnée pédestre, en pleine nuit dans la nature. Il raconte sa mésaventure: « Peu après le départ de Toulouse, le train a commencé à ralentir puis il s'est immobilisé quelque part, entre Montbartier et Verlhaguet. On est resté là, à attendre pendant plus d'une heure, sans savoir ce qui se passait. Vers 22 heures, le contrôleur nous a informés qu'il y avait une panne de caténaire sur la voie, en nous conseillant de rester dans les wagons par mesure de sécurité. Mais il faisait tellement chaud que les gens ont commencé à descendre du train pour rentrer chez eux. Comme j'avais un GPS j'ai pu situer ma position et j'ai appelé mes parents pour qu'ils viennent me chercher. Mais on était en rase campagne et il a fallu marcher pendant au moins 4 km, dans le noir, pour rejoindre la route. » Éric Paulet, responsable TER Midi-Pyrénées confirme : « Vers 20 heures, une panne d'alimentation électrique due à la rupture d'un câble qui alimente des systèmes de sécurité, à savoir la signalisation des voies et des passages à niveau nous a obligé à interrompre le trafic pendant 3 heures. À cause de la configuration des abords, difficiles d'accès, un acheminement par autocars n'a pas été possible. Une vingtaine de trains a été retardée. Les voyageurs ont attendu que les réparations soient terminées. Le trafic a repris normalement vers 23 h 30. » http://www.ladepeche.fr
  3. Bonjour, Tout d'abord bienvenue parmi nous La réglementation est pourtant claire à ce sujet . . . Les abonnements Forfait et Fréquence permettent de voyager à prix réduit dans tous les trains du service régulier circulant: • soit sur une relation déterminée • soit sur l'ensemble des lignes à tarification SNCF Dispositions Générales (Documentation publique)
  4. Décret n° 730 du 22 mars 1942 (J.O du 23 août 1942) Il est interdit à toute personne . . . De mettre obstacle à la fermeture des portières immédiatement avant le départ, de les ouvrir après le signal de départ pendant la marche et avant l'arrêt complet du train D'entrer dans les voitures ou d'en sortir autrement que par les accès ménagés à cet effet et placés du côté où se fait le service du train De monter ou de descendre ailleurs que dans les gares, stations, haltes ou arrêts à ce destinés et lorsque le train n'est pas complètement arrêté
  5. Déficit abyssal pour Fret SNCF Le transport ferroviaire de marchandises subit de plein fouet la crise actuelle. Structurellement déficitaire, il risque cette fois d'atteindre le point de non retour si rien n'est entrepris rapidement. Lors d'un colloque organisé par le COE (cercle pour l'optimodalité en Europe), le patron de la branche marchandises de la SNCF, Pierre Blayau, a évoqué un déficit encore plus inquiétant que ne laissaient entrevoir les dernières estimations. « Nous perdons des sommes considérables ». La chute des trafics de 30 % contribue à rendre encore plus délicate la situation de Fret SNCF. « Les pertes de trésorerie varient entre 300 millions d'euros les bonnes années et 800 millions d'euros les mauvaises, ce qui sera sans doute le cas en 2009 ». La réforme de cette branche de la SNCF est plus qu'urgente. La première solution est de faire payer le juste prix aux chargeurs. « Est-ce normal que la SNCF paye les coûts logistiques des grands industriels ? » s'interroge Pierre Blayau, qui rappelle : le wagon isolé (messagerie ferroviaire) est « une activité qui facture 650 millions d'euros de chiffre d'affaires et qui en perd 350 à 400 millions d'euros ». Il est donc nécessaire de redéfinir les plans de transport et de massifier les flux. Plus globalement, Fret SNCF consomme 2 millions d'euros par jour. Mieux vaudrait utiliser cet argent pour développer le fret à grande vitesse, les infrastructures au niveau des ports ou la multimodalité (combiné et autoroutes ferroviaires). Pour réduire les pertes, la réforme attendue à la rentrée devra sans doute passer par la création de filiales, le transfert d'une partie du personnel, le développement des trafics rentables comme les trains complets ou le combiné (prise de contrôle de Novatrans) et l'abandon du trafic de proximité à des opérateurs privés. Olivier Cognasse http://www.usinenouvelle.com
  6. Perturbations sur la ligne entre Genève et Bellegarde ce soir Les voyageurs empruntant la ligne Genève - Bellegarde ont dû compter jusqu'à une heure et demie de retard. En raison d'un début d'incendie dans un tunnel, la voie entre Genève et La Plaine n'était ouverte au trafic ferroviaire que de façon restreinte. L'incident s'est produit peu avant 19h00 dans le tunnel de la Chatelaine tout près de Genève, sur la voie en direction de la France, a précisé un porte-parole des CFF. Aucun train ne se trouvait dans le tunnel et personne n'a été blessé. Les pompiers CFF sont intervenus. Durant la vérification des voies, le trafic international a été perturbé. Les trains TGV et RE entre Bellegarde et Genève n'ont pas circulé. Les passagers ont dû patienter jusqu'à une heure trente Ils ont été pris en charge par des agents d'accueil en gare de Genève et toutes les correspondances ont été assurées. Le trafic a été rétabli vers 20h40. Une enquête a été ouverte pour déterminer la cause du début d'incendie, a ajouté le porte-parole. http://www.lematin.ch
  7. Grièvement blessé en sautant du train à Lannemezan La victime a chuté sur le ballast juste aprés la fin du quai Hier matin, à 7h30 à la gare SNCF de Lannemezan, au départ du train en provenance de Toulouse, un jeune homme âgé de 20 ans a sauté du train alors qu'il redémarrait en direction de Tarbes. Malheureusement le jeune homme s'est très grièvement blessé en se réceptionnant sur le ballast. En effet, dans sa précipitation la victime ne s'est pas aperçue que le quai de la gare était déjà dépassé au moment ou elle sautait du train. Pour l'heure, on ne connaît pas les raisons qui ont poussé le jeune homme, originaire de Galan, à 10 km de Lannemezan, à sauter du convoi dans ces conditions. On s'interroge également sur les circonstances qui lui ont permis d'ouvrir la porte du wagon, alors que le train avait déjà redémarré et que les portes étaient censées être bloquées. Selon certains avis, il semble cependant qu'en pareil cas, il soit encore possible de les ouvrir, car le convoi ne circulant pas à grande vitesse, la pression pneumatique qui permet de verrouiller les issues n'est pas encore à son maximum. Le jeune homme s'est-il endormi, ou ne s'est-il pas rendu compte qu'il manquait sa gare de destination ? Toujours est-il qu'il a d'abord jeté ses bagages sur le quai avant de sauter. Dans un premier temps, la victime a été évacuée sur le centre hospitalier de Lannemezan par les sapeurs pompiers. Devant la gravité des blessures, hier dans la matinée l'évacuation du jeune homme vers un centre hospitalier de Toulouse était sérieusement envisagée. C'est la communauté de brigades de gendarmerie de Lannemezan qui est en charge de l'enquête, afin de déterminer pourquoi, et dans quelles circonstances exactes, un tel accident s'est produit. http://www.ladepeche.fr Cela concerne le NZ 4778 Genève (20.44) - Irun (11.13)
  8. Le syndicat CFDT-Fgaac a indiqué aujourd'hui avoir déposé un préavis de grève pour les conducteurs pour 24 heures à partir de jeudi 20H00 pour protester contre la réorganisation "sans dialogue" des plans de travail des cheminots, notamment du fret vers le trafic voyageurs. La direction a confirmé le dépôt du préavis mais a indiqué ne pas prévoir de perturbations. Le syndicat CFDT-Fgaac, qui a enregistré 11,6% des suffrages aux dernières élections professionnelles à la SNCF, représente environ 25% chez les conducteurs. Selon Philippe Beaumont, secrétaire général adjoint de la CFDT-Fgaac, "les conducteurs, essentiellement du fret qui subit une forte baisse de la charge de travail, se retrouvent affectés à un autre secteur géographique, ce qui pose des problèmes en terme d'organisation personnelle (horaires, temps en déplacement, etc.)". "Nous avons un accord national sur la mobilité dans ce genre de situation, mais il n'est pas appliqué, et les conducteurs reçoivent des propositions localement; à quoi sert de signer des accords s'ils ne sont pas appliqués", a demandé M. Beaumont. http://www.lefigaro.fr
  9. C'est la future Magistrale pour l'Europe La liaison Paris - Strasbourg - Stuttgart - Vienne - Bratislava a été désignée par l'Union européenne comme l'un des projets prioritaires du réseau transeuropéen de transport http://www.lgv-est.com/medias/pdf/medias1363.pdf
  10. Vénissieux : André Gerin passe la main aujourd'hui Au terme de 24 années de mandat de maire de Vénissieux, André Gerin (PCF) a passer la main ce matin, lors d'un conseil municipal extraordinaire. A moins d'un coup de théâtre, c'est Michèle Picard (PCF) 42 ans, cinquième adjointe, qui devrait succéder à celui dont elle est la suppléante à l'Assemblée nationale depuis 2002. André Gerin gardera bien son mandat de député de la 14e circonscription du Rhône, et continuera à suivre la question de l'islam et les dossiers du CFAL (Contournement ferroviaire de l'agglomération lyonnaise) en tant que « simple » conseiller municipal. http://www.leprogres.fr
  11. Téléphoner dans un TGV nuit gravement à la santé Une étude publiée jeudi démontre que les ondes sont trois fois plus intenses lors d'un coup de téléphone passé depuis un TGV à pleine vitesse. Téléphoner ou prendre le TGV, il faut choisir. Le magazine Capital, en kiosque ce jeudi, publie une enquête sur les ondes émanant des téléphones portables dans le TGV. Verdict: à 300 km/h, les instruments mesurent des ondes 3 fois plus intenses que dans la rue. Et ce, dès que la première sonnerie du téléphone retentit. Eric et Olivier, experts du centre de recherche et d'informations indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques (Crirem), ont pris le TGV, accompagnés par l'envoyée spéciale d'Europe 1, Astrid Bard. Boîtier à main, ils passent un coup de fil: A l'issue de l'expérience, les experts ont observé deux raisons à l'importance des ondes émises dans un TGV : le mouvement, qui oblige le téléphone à forcer pour trouver une antenne relais ; la structure métallique du TGV, qui emprisonne les ondes, comme en voiture. Que l'on téléphone soi-même, ou que ce soit son voisin, les ondes sont tout aussi nocives. Même si l'on ne connait pas encore précisément l'ampleur des dégâts que cela provoque sur le cerveau, les spécialistes donnent deux conseils : utiliser une oreillette pour éloigner au maximum l'appareil, et passer un coup de fil le plus court possible. Le mieux est encore d'attendre d'être arrivé pour téléphoner. http://www.europe1.fr
  12. Un automobiliste a hier matin forcé le franchissement d'un passage à niveau près de la gare de Pavilly, entraînant de sérieuses perturbations sur la ligne Paris-Le Havre. « Les barrières devaient être en train de descendre », détaille la SNCF, « quand l'automobiliste a franchi le passage, tordant une barrière Celle-ci s'est retrouvée au-dessus de la voie ». Il était alors 7h20. Le TGV touché par des retards Le conducteur n'aurait pas encore été identifié. La SNCF va déposer plainte. L'incident a hier entraîné de très fortes perturbations car, pour assurer une « totale sécurité » à ses convois, la SNCF a dû retenir les trains en amont du passage dans les deux sens de circulation. Vingt-six trains ont ainsi été touchés, notamment le TGV Le Havre-Marseille pour des retards allant jusqu'à près de 40 minutes, sans compter les difficultés logistiques pour assurer les correspondances. « Au minimum, cet automobiliste a entraîné des retards pour 1 500 à 2000 voyageurs, voire 4 000. Il s'agit d'un incident rare et exceptionnel », détaillait la SNCF. Sur place, la SNCF a dépêché sur place des équipes, tant pour gardienner le site que pour réparer la barrière endommagée. Et de rappeler qu'à l'approche d'un feu rouge fixe ou clignotant à proximité d'un passage à niveau, l'arrêt total des véhicules s'impose. Avec l'incident constaté près de la gare d'Auffay, ainsi que la divagation de veaux sur les voies du Paris-Caen mercredi, ce sont une quarantaine de trains qui ont été retardés en Normandie en l'espace de 48 heures. http://www.paris-normandie.fr
  13. Surtout sur une voie unique de 84.300 km où l'on croise seulement à Dirinon, Pont de Buis, Hanvec et Châteaulin En plus c'est le cas de le dire, c'est une belle vacherie ! Ces bêtes n'ont même pas laisser le temps aux cheminots bretons d'appliquer les procédures prévues pour le "Cas particulier des divagations de bestiaux" ;)
  14. La future LGV Tours - Bordeaux a rasé la gare Après plus d'un siècle d'existence, la gare d'Aubie - Saint-Antoine, située à la limite des deux communes, a disparu du paysage local pour laisser la place au futur tracé de la Ligne à grande vitesse (LGV). Cette section de ligne, qui fait partie de la « ligne océane » qui relie Nantes à Bordeaux, a été ouverte par étape au XIXe siècle par la Compagnie des Charentes qui en avait la concession. Les ouvertures des sections étaient assez échelonnées en raison des impératifs financiers de l'époque, de la lenteur administrative et de diverses difficultés rencontrées sur les chantiers. La Compagnie de l'État réussit à racheter la ligne en 1878, ligne qui deviendra officiellement ligne Nantes-Bordeaux dans les indicateurs horaires de l'État en 1883. En service en juin 1886 Pour sa part, la section Cavignac - Cubzac-les-Ponts a été réalisée par l'État et mise en service le 14 juin 1886. Et depuis, cette ligne à deux voies est le passage de nombreux trains aussi bien de voyageurs que de marchandises, en attendant donc la ligne LGV prévue. Pour ce qui est de la gare, il existe très peu de documents concernant son histoire. Construite apparemment à la fin du XIXe siècle, elle a connu plusieurs gardes-barrières jusque dans les années 1960 - 1970. Mais jusqu'à quand exactement ? Mystère ! Car même les personnes âgées d'Aubie ne se souviennent pas de la fin d'activités de la dernière garde-barrières. Le bâtiment a donc été rasé mais l'arrêt demeure pour les voyageurs qui empruntent cette section de ligne et l'arrêt devrait même être maintenu après la construction de la ligne LGV. Auteur : Philippe Charbonneau http://www.sudouest.com
  15. Paris et Bratislava reliés par une ligne TGV en 2016, selon le ministre slovaque Paris et Bratislava, la capitale slovaque, seront reliés par une ligne ferroviaire à grande vitesse à partir de 2016, a annoncé vendredi le ministre slovaque des Affaires étrangères, Miroslav Lajcak. Selon lui, le TGV mettra environ six heures pour parcourir la distance séparant les deux capitales (environ 1.200 km par la route). La réalisation du projet de construction de la ligne TGV entre les deux capitales débutera en 2010. Cette liaison ferroviaire sera achevée en 2016, a précisé M. Lajcak, cité par l'agence SITA. Le coût du projet est évalué à 475 millions d'euros, a ajouté le chef de la diplomatie slovaque. http://www.ouest-france.fr
  16. Vendredi 26 juin Vers 18h00, un autorail assurant la liaison Brest - Quimper a percuté trois vaches qui se trouvaient sur la voie à Pont-de-Buis. Le train n'a pas déraillé. Aucun des soixante passagers n'a été blessé. Mais il a fallu vérifier que le train pouvait reprendre sa route et dégager une des vaches coincées sous la machine. Les liaisons entre Brest et Quimper ont été perturbées jusqu'à 20 h. Les passagers du train accidenté ont été transférés dans un car. La SNCF a mis en place des navettes entre Brest et Quimper, le temps que la voie soit dégagée. http://www.ouest-france.fr Cela concerne le TER 854838
  17. Vendredi 26 juin Une épaisse fumée s'est dégagée du train 4314 lors de son arrivée en gare de Besançon Viotte. Il était aux alentours de 16h00 quand le train corail en provenance de Lyon et à destination de Strasbourg est entré en gare de Besançon Viotte. Les personnes sur le quai ont vu arrivé un train duquel s'échappait une fumée. Le train s'immobilisa normalement sur le quai C et plusieurs agents SNCF se sont précipités vers l'avant du train avec des extincteurs. L'incendie a été maîtrisé assez rapidement sans que l'intervention des pompiers ne fut nécessaire. Le train qui accusait déja un retard de 50 minutes devait repartir quelques dizaines de minutes après, le temps pour les agents de la SNCF d'enlever la voiture où l'incendie s'était déclenché. http://www.macommune.info Le train 4314 devait desservir Besançon-Viotte à 15.05/15.06
  18. Comme précisé dans l'article du Progrès "Le jugement a été mis en délibéré" (aucune date de fixée à ce jour)
  19. Cette ligne d'intérêt général de 46 km à écartement normal fut ouverte le 15 juillet 1910 par la compagnie d'Orléans Elle possède deux viaducs, celui du Moulin Robin et celui de la Sonnette sur la commune du Grand-Madieu, le plus long et plus haut http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Grand-Madieu Les motivations avancées pour la réalisation de cette ligne furent qu'elle permettrait de relier plus directement Limoges au grand port de La Pallice. A l'époque Roumazières-Loubert disposait d'un dépôt de machines. Fermeture au trafic voyageurs en septembre 1938 La ligne desservait Champagne-Mouton http://www.cfpa.asso.fr/Previsu_GARE.html?...&Order=Gare Cette gare était en contact avec l'ancienne ligne Angoulême - Confolens
  20. Les premiers projets datent de 1853 mais il fallut attendre 1885 pour la mise en service C'est la compagnie des Charentes qui s'est vue confier le soin de réaliser cette la ligne Cette compagnie a été racheté en 1878 par les chemins de fer de l'Etat qui a repris le projet de la ligne Après de nombreuses années d'exploitation, le service voyageur n'avait plus le même intérêt Avec l'arrivée des voitures automobiles, et la concurrence pressante des premiers services d'autocars, le service des voyageurs dut être interrompu en septembre 1938 Remplacé provisoirement par un service des autocars Brivin, ce service reprit toutefois partiellement pendant la guerre. Puis, en 1949, après de nombreuses démarches des élus locaux, un service d'autorail fut projeté. Il fonctionna jusqu'en 1954. Le conducteur de l'autorail s'appelait André Tessier En 1954, Jacques Chaban Delmas, alors ministre des Travaux Publics, des Transports et du Tourisme, se prononçait pour la suppression du trafic marchandises en gares de Villefagnan et Paizay-Naudouin en le remplaçant par une desserte routière La section de Paizay-Naudouin à Chef-Boutonne fut déclassé par décret du 12 novembre 1954 Celle de Ruffec à Paizay-Naudouin fut déclassée par décret du 24 mai 1960 Source http://pagesperso-orange.fr/pascal.baudouin/train.htm Ligne 131 de Ruffec à Aiffres (Niort) - Voie normale 77 km De la bifur d'Aiffres (km 420.500) à Niort (km 414.800) la ligne en provenance de Ruffec et de Chef-Boutonne était commune avec la ligne actuelle à voie unique 213 de Saintes à Niort par Saint-Jean d'Angély Dans les années 50 l'ancienne gare d'Aiffres disposait d'un quai militaire comportant une voie de chaque côté
  21. Le 4 novembre dernier à Ambérieu, un garçon de 18 ans qui revenait du lycée avait été menotté dans le dos, mis à genoux, et frappé, selon lui, par un agent de la police ferroviaire Quand le 4 novembre, vers 18 heures, les gendarmes d'Ambérieu-en-Bugey interviennent à la gare, ils découvrent un garçon « soulagé » de les voir arriver. Ce lycéen, âgé de 18 ans, était dans une cuisine plongée dans le noir, à genoux, face au mur, les mains menottées dans le dos. Ils constatent des traces de coups au visage et des griffures aux poignets. Le médecin constatera à son tour des traces aux lombaires et au torse. Le résultat d'une « interpellation » plutôt musclée d'un agent de la surveillance générale de la SNCF, plus connue sous le nom de Suge. Ces hommes, chargés de la sécurité des transports, peuvent en cas de délit ou crime flagrant retenir quelqu'un pour le présenter à la police ou gendarmerie. En l'occurrence, l'agent a expliqué qu'un de ses collègues en civil, présent dans le train venant de Bourg-en-Bresse, l'avait averti qu'une jeune fille avait été insultée et menacée par un groupe de jeunes, avant de lui désigner le lycéen qui sera emmené manu militari dans un local de la gare. C'est là qu'un agent SNCF, en ouvrant la porte, l'avait surpris la main levée sur le garçon qui avait gémi : « Sauvez-moi. » Pour le parquet de Belley, il s'agissait de violences volontaires et Sébastien C., 35 ans, a été jugé hier par le tribunal correctionnel. Dans une instruction minutieuse, le président Manteaux a cherché à comprendre comment il y avait pu y avoir une telle disproportion entre le comportement du lycéen et ce qu'on appelle communément une « bavure ». Il a cité les témoignages des agents et contrôleurs décrivant des jeunes provoqués par une jeune femme virée de la première classe, et qui auraient répondu par des quolibets. Et même une proximité de la jeune femme avec l'agent de la Suge en civil qui avait alerté Sébastien C. de troubles dans le train. Pour Me Pacaud, le défenseur du lycéen, « c'était un règlement de comptes » avec un groupe que les agents de la Suge avaient dans le nez : « Entre le chahut de potaches qui ricanent et les violences, il y a un détournement de l'autorité. » « Il y a un devoir de modèle, de respect des règles pour un chargé de mission de service public », a rappelé la procureure Marie-Gabrielle Ratel en requérant six mois de prison avec sursis contre le prévenu. Des réquisitions qui ont fait bondir Me Forrest, son défenseur, qui a plaidé la relaxe pure et simple. Selon, l'avocat bressan, ce n'est pas lui qui aurait été manipulé par son collègue en civil, mais les jeunes qui seraient responsables de tout en ayant gravement injurié et menacé la jeune femme. Et les gendarmes qui à leur tour auraient « enfoncé » celui qui aurait eu le tort de dire qu'ils venaient « parasiter » son travail. Lui qui a dix ans d'ancienneté et qui est décrit comme « exemplaire » par son supérieur. Le jugement a été mis en délibéré. Frédéric Boudouresque http://www.leprogres.fr
  22. Au départ de Ruffec . . . Soit c'est l'ancienne ligne vers Chef-Boutonne et Niort Soit c'est l'ancienne ligne charentaise vers Roumazières-Loubert
  23. Le nouveau régime de retraites des cheminots coûtera 38 millions d'euros à la Région Un contentieux oppose la Région à l'Etat sur le surcoût engendré par la réformes des retraites des cheminots sur l'exploitation du TER Côté pile, les leaders du conseil régional reconnaissent que les syndicats de cheminots ont bien joué dans la réforme de leur régime de retraites. Côté face, ils réclament compensation à l'Etat. La réforme du régime de retraites des cheminots, conduite par les syndicats et le ministre des Affaires sociales de l'époque, Xavier Bertrand, aura un impact financier sur la convention qui lie le conseil régional à la SNCF pour l'exploitation du réseau TER, soit un surcoût de 38,7 millions d'euros pour la période 2008-2014. La collectivité a adressé un courrier au ministère de l'Intérieur, chargé du suivi des dotations de décentralisation aux collectivités, pour que l'Etat compense intégralement cette charge nouvelle. Sans réponse positive, le conseil régional déposera un recours auprès du tribunal administratif. Lundi, le conseil économique et social régional (CESR) a voté un avis dans lequelle cette assemblée consultative dit soutenir « le conseil régional dans sa démarche ». « Le CESR s'interroge sur le fait que la SNCF sollicite la Région pour augmenter sa participation financière suite à des décisions prises par décret du gouvernement ». « Je n'imagine pas un instant que nous n'obtenions pas une réponse positive, indique Bernard Roman, vice-président (PS) en charge du Budget. C'est l'application la plus stricte de la loi ». http://www.nordeclair.fr
  24. Appel de 8 membres du CA pour une autre politique des transports Huit des 18 membres du conseil d'administration de la SNCF ont appelé, mercredi dans une déclaration commune, à une autre politique des transports, plus favorable au fret ferroviaire, dans le cadre de la réflexion en cours sur la situation de Fret SNCF, lourdement déficitaire. Lors d'une réunion du CA mercredi, ces huit administrateurs, dont les six représentants des salariés, ont lu une déclaration que s'est procurée l'AFP et dans laquelle ils affirment: "le périmètre de pertinence du fret ferroviaire est dépendant des choix faits en matière de politique des transports". Cette remarque fait écho au titre d'un audit commandé par la direction SNCF intitulé "De la pertinence du fret ferroviaire à la pérennité de Fret SNCF", selon lequel seuls 50% des flux opérés en 2008 auraient eu un pertinence économique. Ce rapport précise même que "l'augmentation du prix des péages (ferroviaires) prévue à l'horizon 2010 ferait basculer 20% de flux supplémentaires hors du domaine de pertinence". Sur la base de ce lien entre fret ferroviaire et politique des transports, les huit administrateurs estiment "impossible une comparaison exhaustive entre la Deutsche Bahn et la SNCF et encore moins un +copié-collé+ du modèle allemand dans notre pays où les choix politiques ont priorisé la route depuis des décennies". http://www.romandie.com
  25. La reprise du Mastrou en bonne voie - Décision du CG 07 le 29 juin Les négociations peuvent parfois se dérouler dans des lieux impromptus. Exemple ce samedi 20 juin sur la ligne du départ de l'Ardéchoise, à Saint-Félicien. Le président du conseil général de l'Ardèche, Pascal Terrasse et le vice-président de Région, Bernard Soulage, sont, chacun, sur un vélo. Parlant du Mastrou, Pascal Terrasse se félicite que le dossier est en bonne voie. « La Région doit nous aider à hauteur d'1,5 million d'euros », précise-t-il, en regardant Bernard Soulage. « Cela dépendra qui arrivera le premier à vélo », répond ce dernier, tout sourire. Le public et le privé impliqués Il y a quelques mois, cette boutade aurait été plutôt mal venue tant le Département avait du mal à digérer un dossier complexe et un financièrement très lourd à gérer. Avec Jean-Pierre Frachisse, nommé "médiateur", les services du Département et les élus sont restés tout de même mobilisés pour construire le projet le plus sérieux possible. Il sera présenté ce lundi 29 juin à Privas lors de l'assemblée plénière du conseil général. Trois principaux acteurs seront parties prenantes dans cette reprise. Spécialiste en la matière, le Département s'occupera des voies et des ouvrages d'art qu'il rachètera (autour de 5 millions d'euros hors taxes). Les communautés de communes auront la charge des gares et des entrepôts. Et l'exploitation commerciale de la ligne ainsi que la gestion du matériel roulant seront confiées à une société privée. Ce sont d'ailleurs quatre entreprises qui ont proposé au Département des scénarios de reprise (lire ci-contre). Ils ont été étudiés de près par le comité de pilotage http://www.ledauphine.com
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