Aller au contenu
Le Web des Cheminots

IGS4

Membre
  • Compteur de contenus

    4 850
  • Inscription

Tout ce qui a été posté par IGS4

  1. La ligne de Saint-Rambert-d'Albon à Grenoble via Rives fut effectivement la première ligne de chemin de fer a arriver à Grenoble. Section Saint-Rambert-d'Albon - Beaurepaire - La Côte-Saint-André-Le-Rival - Beaucroissant (Bifur) mise en service par la Compagnie du chemin de fer de Saint-Rambert à Grenoble : le 5 novembre 1856. Section Rives - Moirans - Pique-Pierre (commune de Saint-Martin-le-Vinoux) : mise en service par la Compagnie du chemin de fer de Saint-Rambert à Grenoble (1) le 10 juillet 1857. Section Pique-Pierre - Grenoble : mise en service par la Compagnie des chemins de fer du Dauphiné le 1er juillet 1858 (après achèvement du pont sur l'Isère). (1) Le 5 décembre 1857, la Compagnie du chemin de fer de Saint-Rambert à Grenoble change de dénomination pour prendre celle de Compagnie des chemins de fer du Dauphiné.
  2. Gare de Beaurepaire (PK 20 + 300) Elle était située à 20,300 km de Saint-Rambert-d'Albon et à 32,800 km de Beaucroissant. La gare à l'époque de la Compagnie du PLM (en 1915). Dans le fond la direction de Beaucroissant (Rives) et Grenoble. L'ancienne ligne de Saint-Rambert-d'Albon à Beaucroissant (Rives) sur notre forum.
  3. Saint-Rambert-d'Albon - Beaurepaire (Beaucroissant) La VUTR : Saint-Rambert-d'Albon - Beaurepaire sur notre forum.
  4. Nevers - Le Creusot - Montchanin - Chagny Rappel des faits (Mardi 31 mai 2011) . . . Collision entre un TER et un convoi exceptionnel chargé d’une pale d’éolienne. Mercredi 8 octobre.
  5. Carte ferroviaire du département de la Drôme Carte ferroviaire du département de l'Isère Saint-Rambert-d'Albon - Beaurepaire - La Côte-Saint-André-Le-Rival - Beaucroissant (Bifur) Longueur : 51,800 km (Bifur de Beaucroissant). Longueur : 53,100 km (Ex. gare de Beaucroissant). Mise en service par la Compagnie du chemin de fer de Saint-Rambert à Grenoble : le 5 novembre 1856. Reprise de l'exploitation par la Compagnie des Chemins de fer du Dauphiné : le 5 décembre 1857. Reprise de l'exploitation par la Compagnie du PLM : en 1863. Fermeture au service voyageurs : le 1er juillet 1939. Fermeture au service marchandises : - section Beaurepaire - Izeaux (29,200 km) : vers 1990. - section Izeaux - Ex. gare de Beaucroissant (3,600 km) : le 28 mai 1967. Gare de Beaurepaire (PK 20 + 300) Elle était située à 20,300 km de Saint-Rambert-d'Albon et à 32,800 km de Beaucroissant. La gare à l'époque de la Compagnie du PLM (en 1915). Dans le fond la direction de Beaucroissant (Rives) et Grenoble.
  6. Le Puy-en-Velay - Retournac - Firminy Longueur : 71 km, dont environ 64,300 km dans la Haute-Loire et 6,700 km dans la Loire. Carte ferroviaire du département de la Haute-Loire Carte ferroviaire du département de la Loire
  7. (Roanne et Dijon) Saint-Germain-au-Mont-d'Or - Lyon (Perrache et Part-Dieu) Dimanche 5 octobre.
  8. A tout hasard . . . Gare de Saint-Pierre-des-Corps.
  9. Ce qui m'avait mis sur la voie, c'est le cas de le dire, c'est la présence sur ta photo de bandes d'éveil podotactiles blanches encastrables dans le corps du quai.
  10. A tout hasard . . . Une gare de jonction double voie - Voie unique (banalisée). Ca ressemble étrangement à Saint-Nazaire.
  11. (Rennes) Bifur de Port-Cahours - Dol-de-Bretagne - Saint-Malo Gare de La Gouesnière-Cancale.
  12. Jean-François Soulard Premier vice-président, délégué aux Transports publics (transport en commun de l'agglomération, relations avec les autorités organisatrices de transports), Conseiller municipal du Mans et Président de la SETRAM, est aussi un ancien ADC du dépôt du Mans.
  13. Le 4 janvier 1966 - La catastrophe de Feyzin (suite) Les conséquences L'explosion a fait 18 morts et une centaine de blessés, 12 d'entre eux étant grièvement brûlés. Des morceaux de la paroi métallique de la sphère, dont certains avaient une masse de plusieurs dizaines de tonnes ont été projetés sur plusieurs centaines de mètres. Le feu s'est étendu aux autres sphères de gaz liquéfiés et aux bacs de stockage de produits pétroliers de la zone. Une seconde sphère éclata à 9h40, alors que le personnel d'intervention avait eu le temps d'évacuer les blessés et de se replier. Trois autres sphères se sont "ouvertes" sans exploser et l'incendie qui suivit a duré plusieurs jours. Une fois agrandie, l'image de gauche (photo ci-dessous) montre l'ampleur de la tragédie. Les premières rangées de maisons (leurs portes et fenêtres ont été arrachées, leurs cloisons abattues et leurs murs fissurés) donnent l'échelle. Environ 1500 maisons et bâtiments ont été affectés par les ondes de choc. Source (texte et photo) Le vécu de la catastrophe A l'époque je travaillais là-bas, en qualité de stagiaire. J'avais choisi de vivre en caravane et m'étais installé dans le sud, du côté de Vienne. Ce matin-là, j'avais quitté mon "campement" à l'heure et je venais d'emprunter l'autoroute pour me rendre au travail, lorsqu'un grand coup de sifflet, venu de l'arrière, m'ordonna de faire demi-tour: "Monsieur, l'autoroute est fermée, vous devez prendre la nationale". J'étais le premier à qui l'accès à l'autoroute venait d'être refusé. La nationale dominant la vallée, il était facile de comprendre pourquoi l'autoroute avait été coupée. Je me suis arrêté à la hauteur de l'usine. Source (et suite du texte)
  14. Le 4 janvier 1966 - La catastrophe de Feyzin Feyzin est l'un des premiers sinistres industriels majeurs, aussi célèbre à son époque que Seveso 10 ans plus tard, ou Tchernobyl 20 ans plus tard. L'accident C'était le 4 janvier 1966, à 6h40 du matin, dans un site pétrochimique du sud de Lyon. Des employés qui effectuaient une prise d'échantillon à la base d'une sphère contenant 700 m3 de propane liquide ne purent refermer la vanne d'échantillonnage, le propane se répandit partout, y compris vers la route départementale et l'autoroute qui longeaient l'usine. Le trafic sur l'autoroute fut vite stoppé, mais une voiture enflamma la nappe de gaz sur la départementale à 7h15. La flamme remonta jusqu'à la prise d'échantillonnage, établissant un feu continu sous la sphère. La pression régnant dans celle-ci se mit alors à augmenter jusqu'à l'ouverture à 7h45 de sa soupape de sécurité : les gaz qui s'en échappaient, s'enflammèrent à leur tour au sommet de la sphère. Pendant ce temps de nombreuses personnes, pompiers venus de toute la région et personnel de l'usine, s'affairaient à éteindre l'incendie et à refroidir les sphères voisines avec des lances à eau. Malgré les efforts déployés, l'enveloppe de la sphère se fragilisa sous l'effet de la température et à 8h45 la sphère éclata : une mer de flammes engloutit les personnes présentes dans un rayon de 150 mètres, un champignon de feu et de fumée s'éleva à 500 mètres d'altitude, une onde de choc extrêmement puissante se propagea sur plus d'une dizaine de kilomètres à la ronde. Source (texte et photo) La première sphère avant son éclatement.
  15. C'était le 4 janvier 1966, je m'en souviens comme si c'était hier ! Dans la vallée du Gier, à RGR (Rive-de-Gier) située à environ 30 km de Feyzin, on voyait les flammes et la fumée. Il suffisait de monter sur la route de Longes, située au-dessus de l'usine des Etaings, propriété à une certaine époque des frères Marrel (Antoine et Léon), puis de Creusot-Loire, puis d'ArcelorMittal. Petit hors-sujet : l'usine des Etaings et sa célèbre cheminée. La cheminée haute de 108 mètres, a été pendant de longues années, la plus élevée d'Europe. Elle comporte un fût octogonal en brique cerclé de fer, inséré dans une embase carrée de 8 mètres de côté et 16 mètres de haut. Les parois du fût font 1,50 mètre d'épaisseur. Elle a été classée monument historique en 1992. L'usine des Etaings en 1916.
  16. Au départ de la gare du Mans-Local (Voyageurs) située au PK 210 + 980, la desserte de Laval s'effectue de la façon suivante : 1) Ligne classique vers Rennes jusqu'au raccordement voyageurs de La Milesse. Bifur de La Milesse située au PK 219 + 900 (ligne classique). 2) Puis emprunt de la LGV jusqu'au raccordement de Laval-Est. Bifur de Bonchamp-lès-Laval située au PK 105 (PK de la LGV). 3) Desserte de Laval par la ligne classique Le Mans - Sillé-le-Guillaume - Vitré - Rennes. 4) Puis retour sur la LGV au niveau du raccordement de Laval-Ouest. Bifur de Loiron située au PK 122 (PK de la LGV). Très certainement l'accès vers la base-travaux et de maintenance de Sablé-sur-Sarthe.
  17. En effet beaucoup de confusion dans la tête des gens ! La virgule de Sablé-sur-Sarthe, n'a rien à voir avec le barreau de Sablé-sur-Sarthe.
  18. Le Mans-Local - Bifur de la Petite Croix (Alençon et Laval) Projet d'une halte ferroviaire au Centre Hospitalier du Mans. Le Centre Hospitalier du Mans étant situé entre la gare du Mans-Local (Voyageurs) et la bifur de la Petite Croix ce projet concerne les lignes TER : Le Mans - Alençon et Le Mans - Laval. La présence d'une station de tramways (Ligne T1) favorisera la desserte du Centre Hospitalier et de l'Université.
  19. Effectivement !
  20. A l'occasion de mon séjour en Alsace, de retour de Fribourg-en-Brisgau Mulhouse-ville - Île Napoléon - Chalampé - Müllheim (RFA) Nous sommes bien à Chalampé (Haut-Rhin) à proximité des anciennes douanes. L'entrée du pont du grand canal d'Alsace. Toujours sur la RD 39 le pont sur le Rhin, avec au milieu la limite territoriale des deux réseaux.
  21. Tout à fait ! Par contre nous ne sommes pas en république fédérale d'Allemagne. Changement de page, je remets la photo. Nous ne sommes pas à Grigny (Rhône) dans le triage de Badan. Encore moins en gare de La Flèche (Sarthe).
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.