Nipou

Ok, donc ton manque à gagner est (si le schéma était le même chaque année) de 6 euros brut par mois. Donc environ 4 euros par mois. Si pour 4 euros par mois, tu penses que tu peux donner ton accord à la politique d'entreprise, soit, c'est ton choix. Mais semble t'il, ça n'a pas été celui de tes instances représentatives. Sauf que moi je serai patron, si mes gars acceptent de baisser leur froc pour 4 euros, l'année d'après je vais tenter le coup à 2 euros, y'a pas de raison. Et ainsi de suite. Et après tout, 50 cents par mois c'est mieux que rien donc n'hésitons pas. Et au bout de tes 40 ans, ressort ta calculette ... un salaire de gagner en 40 ans, ba merde alors, voilà qui change une vie ...

50 euros 1 fois dans l'année (prime vacances) donc : 50/12 = 4.1 euros brut par mois. Merci de revoir tes calculs.

@ mandrakor : Et alors, JE N'AI PAS ECRIT AUTRE CHOSE (moi aussi je peux crier, sauf que ça donne pas plus raison ^^) : tu as perdu 0.1% et une fois 50 euros dans l'année. Alors oui, au bout de 10 ans, ça te fais un mega pactole de 1% + 500 euros. Et regarde combien tu as perdu en regard de l'inflation au bout de 10 ans avec tes augmentations non négociables et signées car trop heureux de ne pas perdre 0.1 par ci par an. @ Gom : on ne refera pas l'histoire mais qui nous dis que la direction ne proposerai pas déjà 0% si tu avais tout signé ... ?

Donc tu as perdu 0.1%, 50 euros une fois dans l'année et une augmentation des EVS (qui doivent pas tellement te toucher dans un bureau). Si avec ça ton service est remonté comme une pendule, c'est qu'il y a comme un problème. (et me fait pas la complainte des petits salaires car 0.1% d'un petit salaire, je ne pense pas que ça t'aide à sauver ton mois). @Gom : ne pas signer peut par exemple permettre d'être cohérent avec le reste. Si demain tu n'es pas d'accord avec des choix d'entreprise, on ne pourra aps te dire "ah mais tu étais bien d'accord pour les augmentations alors silence". Et accessoirement de se regarder dans un miroir sans que ça piquotte.

Dommage de gâcher un post qui se respecte par une phrase aussi bateau ... et surtout aussi fausse. Car moi, je ne vois personne ici se réjouir de ce "non accord". Par contre je vois des gens qui sont navrés d'être manipulés pour une bouchée de pain et préfèrent se serrer la ceinture que dire "oh merci patron, vous êtes bien bon" devant l'obole proposée.

Et avec certains syndicats, on peut même se permettre d'être pas du tout d'accord sur un point avec sa centrale et réfléchir par sois même, dingue non ? Pour moi, un discours cohérent n'a de sens et de portée que s'il sait être parfois critique. Aussi toujours flinguer la direction ou toujours la soutenir, ça n'a pas de sens. Etre toujours d'accord ou toujours pas d'accord, c'est la négation de l'humain, autant être un mouton. Pour en revenir au sujet, ils doivent bien rire là haut à nous voir débattre de savoir s'il fallait signer pour 1.5 euros par mois, pendant qu'eux s'en mettent plein les fouilles ^^

"Bon je signe mais attention, je ne suis pas d'accord !" Crédibilité = 0. Tu signes si tu es pour. Tu signes pas si tu es contre. Mais si tu signes, ne te plains pas après, assume ta position. Le jeu de dupe (car s'en est un) c'est : on vous donne un poil plus contre votre signature. Mais on pourra du même coup s'appuyer sur cette signature pour dire que les OS avalisent globalement la politique menée. Certains syndicats sont toujours contre, d'autres pour, et je peux comprendre l'ensemble des positions. Sauf que cette année, c'est : "on vous donne encore moins et contre ça, vous donnez toujours votre signature (et avalisez du même coup ...). Alors soit notre voix ne vaut plus rien (auquel cas ils s'en passerons), soit on se fout de nous (auquel cas, ça ne passe pas non plus).

Donc on peut proposer de faire un accord tacite : quoiqu'ils proposent, on accepte du moment que c'est différent de 0. Je pense pourtant que cette méthode a ses limites car à avaliser continuellement ce avec quoi tu n'es pas d'accord, je vois pas bien à quoi sert ton avis. Alors autant s'en passer. (le "tu" ne te désignes pas particulièrement, c'est l'ensemble que je veux imager). Partant de ce principe, on peut aller loin dans le recul social. @Capelanbrest : ma remarque sur "l'entreprise comme les autres" se voulait être un second degré satire dans le sens où très là haut, ils passent leur temps à nous expliquer qu'on est une entreprise normale et qu'il faut donc se taire et avancer comme les autres. Par contre, pour les salaires, on est plus une entreprise normale ... c'est con ça ^^. C'est comme la pudeur d'assouan : pudeur par rapport à ceux qui ont moins mais surtout pas d'envie d'avoir plus, l'envie c'est un péché, la pudeur une vertu lol

1) C'est nouveau ça, on est alignés sur les fonctionnaires maintenant ? Pourtant j'avais cru comprendre qu'on est une entreprise comme les autres, avec chiffre d'affaire et tout et tout. 2) La pudeur, en voilà un argument étrange. Donc il nous faut avoir de la pudeur car certains ont rien, et donc nous prendre pas grand chose. Mais ceux qui décident, ils en ont eu de la pudeur ? Le peuple doit donc avoir de la pudeur devant la misère et s'estimer heureux d'avoir presque rien car c'est presque rien. Par contre, le peuple ne doit surtout pas regarder ce qui se passe au dessus de lui, ça pourrait lui donner de mauvaises idées. Pour finir, ce qu'on nous proposait, ce qu'on finit par avoir et globalement ce qu'on a chaque année depuis des lustres est déjà un serrage de ceinture mais peut être trouve tu que ton pouvoir d'achat a augmenté ces dernières années ... moi pas.

Ce n'est malheureusement pas un problème franco-francais, c'est vérifié un peu partout où les riches (crise ou pas) deviennent plus riches et les pauvres plus pauvres. Ceux qui étaient à la limite sont passés sous cette limite. Salaires en berne, hausses des prix des logements, chômage ... vive le capitalisme !

En même temps le deal proposé ressemblait à un chantage minable : acceptez les miettes proposées ou vous aurez encore moins. Je peux comprendre que certains syndicats n'acceptent pas. Car même en partant du principe "c'est toujours ça de pris", y'a des limites à la médiocrité.

On continu à décliner le thème "Bretagne" :

Tu n'as qu'a moins cancaner ...

Un peu ça oui : pour tester, faut avoir été dans une ferme étant gosse et s'amuser dans la paille, là on se souviens très bien que ça glisse à mort, même sec.

Le problème là, c'est surtout qu'au moindre coup de frein, c'est patinoire assurée : l'herbe se couche sur la voie et vient faire un parfait tapis qui supprime toute adhérence (déjà 2 tamponnement dans ma région suite à ce problème). A force de respecter l'environnement, on met des désherbants qui ne font effet que très peu de temps, et le résultat est ce qu'on voit sur la photo.

De ce côté là non. Mais sur l'autre côté, c'était plausible : suite à des difficultés d'aération des échangeurs, les technicentre "cassent" des ailettes aux capots de protection. On cassent officiellement quoi.

La pointe bretonne est totalement à part : entourée de mer à proximité immédiate, elle est un climat à elle seule. Rien de ce qui s'applique ailleurs ne fonctionne là bas. C'est un micro climat très marqué (et humide ^^). Sinon, on a tous remarqué que depuis le début d'année, il faisait globalement moche (mais c'est terminé ^^). Si la France à eu un mois de mai anormalement frais et humide, nous sommes une exception à l'échelle mondiale car sur la planète, ce fut le troisième mois de mai le plus chaud jamais enregistré.

Un résumé d'audience : c'est comme de regarder le 26ème épisode d'une série sans avoir regarder les 25 premiers, donc rien compris. Un tract : on mélange un peu tout, on dit que c'est le patron qui veut casser du salarié (alors que le SNCF n'est pas même partie civile dans cette affaire) et on appel au soutient. Bilan : rien compris non plus. Pour résumer : y'a une affaire en cours à propos du CER de Lyon. Qui quoi comment, ça semble être trop de l'expliquer clairement (et objectivement surtout).

C'est arrivé voilà quelques mois sur une ligne double voie en BM. Train en panne, demande de secours. On coupe la machine d'un autre train et il va porter le secours. Arrivé sur les lieux, ils font tout bien et au moment de repartir, machine de secours en panne. Pas d'histoire de nombre de circulations là dedans, une simple demande de secours de la machine qui portait le secours. Elle donne l'assurance qu'elle ne se remettra pas en mouvement d'elle même donc c'est réglé. Pour la petite histoire, dans le cas qui est arrivé, la machine de secours en panne à réussi à se dépanner, et donc à tirer l'ensemble jusqu'au point désigné, après annulation de la demande de secours (la deuxième ^^).

Par contre il y avait de l'argent pour offrir des iPad à certains cadres.

500 euros le truc mais autant au moins pour le développement et la maintenance associée. Il est clair que c'est plus symbolique qu'autre chose mais je vois mal tous les services se serrer la ceinture et la traction déployer un outil qui vient en remplacement d'un autre qui n'est toujours pas déployé dans certaines UP.

Les mauvais chiffres sont à mon avis réels mais qu'ils soient en plus utilisés pour faire passer d'autres trucs ne seraient pas non plus étonnant. Enfin pour en revenir à sirius, les versions 1 vont devoir tenir encore un petit moment.

Pas rentable car même en saison, y'a de la place sur Nantes-Le Croisic en TGV. Les locaux prennent les TER, en 1 heure ils sont à Pornichet et la gare est à 800 m de la plage de la baie de la Baule (8 km de plage). Donc ils descendent tous là ou presque.

Sirius NG ça sera pour : Février 2013 Octobre 2013 Début 2014 car les chiffres 2013 s'annoncent tellement mauvais qu'il faut mieux faire ça en 2014 ... triste et révélateur d'une situation financière plus qu'inquiétante.

Très bon ça ! Et vu que le plombier arrive, on peut en effet annoncer que l'été se met petit à petit en place. Cependant c'est un été particulier car les masses d'air sont toujours orientées de la même manière que cet hiver : descente d'air océanique frais sur l'ouest et remonté d'air chaud depuis l’Afrique sur l'est. C'est le conflit entre les deux qui donne les orages. Les semaines passées c'était sur la France, actuellement sur sur l’Europe centrale. L'anticyclone des acores pousse gentiment à l'ouest, si bien qu'aujourd'hui, il a fait beau depuis le nord Bretagne jusqu’à Biarritz, mais sur un bande de 200 km. Le reste de la France était sou les nuages (excepté la cote d'azur). Pendant ce temps, l'air très chaud chemine comme sur un tapis roulant depuis l’Afrique jusqu'au confins de l’Europe du nord, si bien qu'en ce moment, il fait souvent plus chaud au cercle polaire qu'en France.