Tout ce qui a été posté par antoine
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Ews
Merde,je suis allergique au Paic!!
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Ews
alors ne dit pas que les syndicats ne s'occupent pas des EF privées. c'est ces mémes syndicats que tu décrient autant qui sont en train de négocier ta future convention collective.
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La Comparution Immédiate
MANIFESTATION L'IGS saisie d'une bavure présumée à Paris Un ingénieur, interpellé à l'issue d'une manifestation mercredi soir, dit avoir été blessé à coups de matraque à la sortie du centre de rétention du XVIIIe arrondissement. Il porte plainte. (Reuters) Un ingénieur interpellé à l'issue d'une manifestation place Saint-Michel à Paris mercredi soir a porté plainte jeudi 10 mai contre des policiers pour l'avoir blessé à coups de matraque, dans la rue, dans la nuit de mercredi à jeudi après avoir été libéré du commissariat, a-t-il déclaré à l'AFP. Philippe Roset, a déposé une plainte pour "violences illégitimes", dont le procès-verbal a pu être consulté par l'AFP, auprès de l'Inspection générale des services (IGS, police des polices). Interpellé à proximité de la place Saint Michel où il était venu chercher une amie, Philippe Roset, 31 ans, qui affirme n'avoir pas participé à la manifestation, a déclaré à l'AFP avoir été retenu pendant environ trois heures dans un car de police avec une quarantaine de personnes puis au centre de rétention de la rue de Clignancourt (XVIIIème arrondissement) jusqu'à environ 03h30 jeudi. "On charge !" Lorsqu'il est sorti, avec une petite dizaine de personnes libérées en même temps, l'ingénieur et le reste du groupe ont voulu attendre que l'ensemble des interpellés sorte, à proximité du commissariat. Selon Philippe Roset et un enregistrement vidéo réalisé par un des présents que l'AFP a pu visionner, le groupe a été invité à partir et à se disperser, puis une altercation semble s'être produite avec un de ses membres, qui circulait à rollers. Une dizaine de policiers étaient présents, selon ces images. Puis la caméra est éteinte. Les policiers "ont dit on charge! N'ayant rien à me reprocher j'ai continué à marcher normalement dans la direction indiquée par les policiers, mais j'ai été frappé immédiatement", affirme Philippe Roset. "Je ne sais pas qui m'a frappé, ni combien ils étaient. Ils ont chargé. Quand j'étais à terre ils m'ont encore frappé, ils m'ont frappé à la tête alors que j'étais à terre", a-t-il déclaré à l'AFP en expliquant avoir essuyé des coups de matraque sur les jambes, la tête, les épaules, le dos et la mâchoire. Deux témoins, Saïda 26 ans, assistante d'éducation venue chercher son mari également interpellé, et Lamine Laloui, un étudiant de 18 ans, ont confirmé ces propos à l'AFP. Trois jours d'ITT La police, contactée, ne pouvait dans l'immédiat confirmer ou infirmer les faits allégués. Selon un certificat initial établi à l'hôpital Lariboisière que l'AFP a pu consulter, Philippe Roset souffre d'une plaie à la tête et dix points de suture lui ont été posés. Le médecin qui l'a examiné lui a prescrit trois jours d'ITT (Incapacité totale de travail). Philippe Roset a ensuite été examiné à l'Hôtel-Dieu, saisi à la demande de l'IGS, où l'on a conclu jeudi que ses lésions étaient "compatibles avec les violences alléguées". On lui a prescrit 6 jours d'ITT pénale, a-t-il déclaré à l'AFP. Philippe Roset, Lamine Laloui et un troisième interpellé qui n'a pas souhaité être identifié, ont en outre affirmé à l'AFP que pendant leur attente de près de 3 heures dans le car à proximité du commissariat, du gaz lacrymogène a été diffusé pendant quelques minutes. (AFP)
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Que Faut Il Comprendre Page 9?
oui je viens de vérifier c'est sur le site de TF1, le 7 mai dernier, ils ont fait remonter une dépéche du 27 octobre 2004!!! bravo au "rédacteur" de cette revue de presse!!
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Ews
Et en plus tu es un menteur!!!et j'assume mes propos!! Je t'ai envoyé par mp, le tract CGT concernant le compte-rendu de la négociation de la convention collective des EF. Tu l'as bien reçu car le 16 avril à 17h48 tu me répondais en me remerciant de te l'avoir envoyé. Bouh!!!!!!!!!!!!!!!!!!C'est pas beau de mentir.
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Ews
je suis anti-sarko! pas anti-nekro! lapleunicheuse
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Service Minimum
Pourquoi relancer le débat sur la paye des roulants. Tous les cheminots devraient etre mieux rémunérés!
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Ews
Si au début du siécle dernier,puis au fil des ans les salariés avaient tenu le meme discours que toi, nous serions toujours soumis aux 70 heures hebdomadaires, nous n'aurions pas de congés payés, pas de retraites, pas de sécurité sociale,pas d'allocations familiales.......etc. Je sais , je suis un vieux ringard utopiste. Ce qui me désole le plus, ce ne sont pas les patrons qui depuis la nuit des temps essaient de faire travailler au maximum et à moindre cout les salariés, mais les employés qui croient à des slogans aussi grotesques que "travailler plus pour gagner plus".
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Ews
Parfois on arrive à étre d'accord tous les deux.
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Service Minimum
défenseur de la sncf pro sarko,nous sommes dans la 5éme dimension. cartonrouge
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Airbus Toujours En Gréve
Airbus: grève dans la confusion à Nantes et Saint-Nazaire © AFP André Durand Les salariés d'Airbus ont reconduit leur grève mercredi sur les sites de Nantes et Saint-Nazaire dans la confusion et la division, a constaté un journaliste de l'AFP. Sur le site nantais, qui emploie 2.000 personnes, une assemblée générale des syndiqués FO avait voté à bulletin secret dans la matinée la reprise du travail et la poursuite de négociations avec la direction, notamment sur les primes et le plan de restructuration Power 8. Mais, simultanément, devant les grilles de l'entreprise, une autre assemblée générale des salariés, soutenue par des syndicalistes FO et CGT, a voté la poursuite de la grève. La direction ne recensait officiellement que 147 salariés en grève. Mais un responsable FO a affirmé à l'AFP que la grève était suivie par 700 à 800 personnes. A Saint-Nazaire mercredi en début d'après midi, de 400 à 500 salariés selon les syndicats, 250 à 300 selon la police, ont voté à une large majorité la poursuite du mouvement pour la journée de jeudi. "Si on ne suspend pas cette grève, il n'y a plus de négociation possible", avait averti Yvonnick Guiheneuf, porte parole de la coordination des salariés qui, soutenue par la seule CGT, s'est finalement pliée à la volonté de la base. Lors d'une réunion avec les syndicats, la direction nazairienne a refusé de fixer une date pour des négociations avant la levée du mouvement de grève à Nantes et Saint-Nazaire. La direction a indiqué avoir transmis à la direction générale d'Airbus une demande des syndicats pour le paiement des heures de grève. De nouvelles AG du personnel sont prévues jeudi matin à Nantes et Saint-Nazaire pour décider de la suite du mouvement. Jeudi dernier, la direction avait proposé aux syndicats 500 euros de prime et 3,5% d'augmentation des salaires mais soumis la poursuite des négociations à la suspension de la grève. Les syndicats majoritaires FO, CFE-CGC et CFTC d'Airbus avaient appelé à la suspension de la grève. Les salariés Airbus de Loire-Atlantique s'étaient spontanément arrêtés de travailler le 27 avril après l'annonce de primes de deux à 10 euros par salarié en 2007, contre 1.200 à 1.800 euros en 2006. Les grévistes réclamaient des primes "au moins identiques à celles de l'an dernier" et 5% d'augmentation. "Si nous ne reprenons pas le travail dans les jours qui viennent, on mettra en péril les chaînes de Hambourg", a averti Gérald Lignon, directeur du site de Nantes (2.000 salariés) où les ateliers sont vides en raison des piquets de grève. Le site de Nantes fabrique notamment le caisson central des Airbus, tandis que ceux de Saint-Nazaire sont dédiés à l'intégration d'éléments de fuselages et à la production de pièces de haute précision ou en matériaux composites.
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Actualités Politiques
C'est beau d'avoir des convictions ,aprés Besson, Allégre. Fillon débauche Allègre,selon Le Canard enchaîné L'ancien ministre de l'Education nationale de Lionel Jospin avait été surpris vendredi par une équipe de France 2, à la sortie du QG de campagne de Nicolas Sarkozy Selon Le Canard enchaîné daté de mercredi 9 mai, François Fillon, conseiller politique de Nicolas Sarkozy durant la campagne présidentielle, aurait proposé à l'ancien ministre de l'Education nationale sous Lionel Jospin, Claude Allègre, de "présider une commission qui s'attaquerait à une réforme de l'Enseignement et de la Recherche". Claude Allègre, avait été filmé vendredi par une équipe de France 2 à la sortie du QG de campagne de Nicolas Sarkozy, selon des images diffusées dans le journal de 20 heures. Sorti par une porte dérobée de l'immeuble parisien, selon France 2, Claude Allègre s'est retourné en direction de la caméra pour dire: "je suis venu voir François Fillon, avec qui on fait une interview". Demande de "conseils" "Pourquoi ne pas l'avoir rencontré ailleurs qu'au QG?", interroge le journaliste de France 2. "Parce qu'il (ne) pouvait pas", a-t-il répondu. Selon le commentaire de France 2, il ne s'agissait pas d'un ralliement et l'ancien ministre socialiste avait demandé la discrétion à l'UMP. Un peu plus tard dans la journée, l'ancien ministre de l'Education, interrogé par RTL, avait déclaré que l'entretien portait sur une demande de "conseils" sur une loi universitaire.
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Actualités Politiques
Le prix des vacances de Nicolas Sarkozy Voici une évaluation des principales dépenses effectuées pour l'escapade de Nicolas Sarkozy, au large de Malte. - Le vol a été effectué à bord d'un jet privé, un Falcon 900EX de la société Unijet, qui se dit simple prestataire de service pour le groupe de Vincent Bolloré. Néanmoins, selon le registre de la Direction générale de l'aviation civile, l'appareil, immatriculé F-HBOL, a comme propriétaire "Bolloré SA", indique Libération dans son édition de mercredi 9 mai. Le quotidien précise qu' "un tel vol aller-retour coûte au total environ 50.000 euros. Il faut compter 6.000 euros de l'heure de vol, plus les frais d'immobilisation de l'appareil". - Le "Paloma", le yacht de luxe sur lequel Nicolas Sarkozy passe ses quelques jours de repos est un navire de 60 mètres disponible à la location pour 173.000 euros par semaine -en basse saison, selon deux sites de location de yachts de luxe. Selon le site en ligne du magazine Capital, ce yacht construit en 1965 par un chantier naval japonais appartient à l'homme d'affaires Vincent Bolloré, qui l'a racheté et rénové en 2003. Le bateau comprend sept cabines, et peut accueillir 12 personnes, en plus des 16 hommes d'équipage. Son pont supérieur possède un jacuzzi et le grand salon est équipé d'écrans plasma géants. Selon Libération, au total, une virée de deux jours coûterait environ 100 000 euros pour le millionnaire moyen qui voudrait se l'offrir, sans les repas. - Par ailleurs, Le Canard enchaîné rapporte que le prix d'une chambre au Fouquet's, où ont dormi Nicolas Sarkozy, sa femme Cécilia et leur fils Louis dimanche soir, se situe entre 2.500 et 8.500 euros. (8.500 euros étant le prix de la suite présidentielle).
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Le Nouveau Président : Une Formidable Raison De Lutter
Site de Tolbiac : 800 étudiants votent la grève et le blocage Les étudiants protestent contre les réformes universitaires annoncées par Nicolas Sarkozy, avant son élection. Nicolas Sarkozy, lors d'une conférence à la Sorbonne (AP) Quelque 800 étudiants réunis mercredi 9 mai en assemblée générale à Paris I Panthéon-Sorbonne ont voté la grève et le blocage du site de Tolbiac pour protester contre les réformes universitaires annoncées par Nicolas Sarkozy, avant son élection. A l'issue d'une assemblée générale qui s'est étirée sur plus de trois heures, les étudiants présents se sont prononcés pour la grève et le blocage immédiat du site, une tour dont les salles sont accessibles par des ascenseurs qu'il suffit de bloquer pour interdire tout accès. Appel aux travailleurs Durant l'AG, de nombreux étudiants du principal syndicat, l'Unef, ont fait part de leurs réserves face à l'hypothèse d'une grève et d'un blocage, estimant que "c'est trop tôt" alors que Nicolas Sarkozy n'a pas commencé la mise en oeuvre de son programme. Avant de procéder au vote, l'assemblée générale a lancé un "appel" à "tous les travailleurs: rejoignez-nous dans la grève, unissons nos forces pour combattre la politique libérale, autoritaire, raciste de Sarkozy". Lors du mouvement contre le CPE, les ascenseurs de Tolbiac avaient été bloqués plusieurs semaines dans une université traditionnellement très ancrée à l'extrême gauche et très mobilisée. Distance des principaux syndicats étudiants Les principaux syndicats étudiants et lycéens, l'Unef et l'UNL ont très vite pris leur distance avec ces actions. "Il n'y a aucune raison de contester cette victoire ou d'appeler à des assemblées générales dans les universités ou des manifestations qui n'auraient que pour seul but de contester la victoire de Sarkozy", a ainsi déclaré le président de l'Unef Bruno Julliard, qui avait appelé à battre Nicolas Sarkozy avant le second tour. Il a qualifié ces mouvements de "contre-productifs", et risquant de faire apparaître les jeunes comme anti-républicains. La présidente du syndicat lycéen UNL, Floréale Mangin, a, de son côté, déclaré que l'"UNL n'appelle pas à ces mouvements" et qu'elle "attend de voir comment vont se passer les concertations" tout en rappelant que l'UNL "reste très vigilante". "Les universités ne sont pas des entreprises !" Nicolas Sarkozy a promis d'engager pour l'enseignement supérieur "un effort cumulé de 15 milliards d'euros sur cinq ans" et d'accorder "une autonomie réelle aux universités volontaires". Il a affirmé qu'il engagerait "dès après son élection la rénovation de la gouvernance de nos universités" et proposé entre autres : "un conseil d'administration resserré et plus ouvert sur le monde extérieur", un président élu pour "quatre ans" et doté de prérogatives renforcées". Dès février, l'Unsa-Education, deuxième fédération du monde éducatif, avait qualifié d'"inquiétantes" les réponses du candidat UMP sur l'avenir du système universitaire. "Non, Monsieur Sarkozy, les universités ne sont pas des entreprises !", avait répondu l'Unsa-Education dans un communiqué.
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Service Minimum
Quelle fierté ? toi tu en tiens vraiment une couche!!!!!!!!! tire toi de la sncf, crée ton entreprise, et arrete de cracher sur le statut et les acquis sociaux alors que tu en profites largement.
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Le Président Est ......
le cadidat de la France qui souffre............ il est pire que Berlusconi, je pense qu'on a pas fini d'en voir dans les cinq prochaines années. J'espére que les médias relaieront l'actualité sans censure et de maniére impartiale( là je réve.........!!)
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Le Président Est ......
Manifestations : Hollande appelle à la fin "immédiate" des violences "Une élection a eu lieu, une autre vient et la seule façon d'agir dans une démocratie, c'est de venir voter", a déclaré le dirigeant PS au lendemain de nouvelles manifestations à Paris, Nantes, Lyon ou Caen, marquées par des incidents avec les forces de l'ordre et de nombreuses arrestations. Au lendemain de nouveaux incidents place de la Bastille à Paris, François Hollande a demandé mardi 8 mai "immédiatement" aux personnes impliquées depuis dimanche soir dans les violences consécutives à l'élection de Nicolas Sarkozy "de cesser tous ces comportements". "Je demande immédiatement à tous ceux qui pourraient éventuellement m'entendre de cesser tous ces comportements", a déclaré le premier secrétaire du PS sur RTL. "J'avais lancé dès dimanche soir un appel à la responsabilité et au calme. Nous sommes dans une République, le suffrage universel est la seule loi que nous connaissons", a-t-il expliqué. "Il peut y avoir de la déception, il peut y avoir de la colère, il peut y avoir de la frustration. Mais le seul moyen de réagir c'est de prendre des bulletins de vote, pas d'autres instruments". "Une élection a eu lieu, une autre vient et la seule façon d'agir dans une démocratie, c'est de venir voter", a-t-il dit, en saluant la forte mobilisation des électeurs à la présidentielle dans "certains quartiers qui avaient été montrés du doigt, stigmatisés", a-t-il ajouté. "Paris debout" Cet appel du premier secrétaire du PS intervient alors qu'entre 300 et 400 personnes, pour la plupart des jeunes, ont, à nouveau manifesté, lundi soir à Paris contre l'élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République, rapportent des témoins. Les manifestants, qui s'étaient rassemblés place de la Bastille, se sont dirigés peu après 21h00 (19h00 GMT) vers la place Voltaire, dans le XIe arrondissement, aux cris de "Sarko facho, le peuple aura ta peau" ou "Paris debout, réveille-toi !" Sur leur passage, certains ont incendié un scooter, brisé une dizaine de vitrines, trois cabines téléphoniques et endommagé quelques voitures. Des CRS ont tenté d'empêcher leur progression qui s'est transformée en course-poursuite entre Bastille et République, à travers des ruelles menant vers Belleville. Vers 22h00 (20h00 GMT), les manifestants se sont apparemment dispersés par petits groupes afin d'échapper aux forces de l'ordre, qui ont procédé à 35 interpellations, a dit un policier sur place. Mais vers 23h00, 200 à 300 jeunes se sont à nouveau rassemblés place de la Bastille et ont tenté de bloquer la circulation. Certains se sont installés au pied de la colonne de la Bastille, où un important dispositif de police a été déployé. Manifestations à Nantes, Lyon, Caen A Nantes, environ 400 manifestants d'extrême gauche, selon la police, se sont rassemblés dans la soirée dans le centre-ville. Ils s'en sont pris à des véhicules et ont brisé des vitres du tribunal administratif de la ville. Les forces de l'ordre, qui ont fait usage de gaz lacrymogène pour tenter de les disperser, ont procédé à une interpellation. A Lyon, quelque 500 militants ont manifesté lundi soir dans le centre-ville à l'appel de mouvements libertaires. La manifestation a démarré place des Terreaux avant de gagner la place Bellecour, encadrée par un important dispositif de CRS. A Caen, environ 800 personnes ont également manifesté dans la soirée dans les rues de la ville avant de se disperser. Dans l'après-midi, environ 300 lycéens avaient déjà manifesté à Paris place de la Bastille contre l'élection du candidat de l'UMP. La préfecture de police a fait état pour sa part d'une centaine de manifestants. Venus de Paris et d'Ile-de-France, ils avaient interrompu un moment la circulation, sans cependant provoquer d'incidents. "Résistance" Plusieurs mouvements d'extrême gauche, dont la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), ont appelé à la "résistance" après l'élection de Nicolas Sarkozy, sans toutefois donner de consignes spécifiques pour les jours à venir. "Certains militants au niveau local participent à un 'troisième tour social' dans la rue, mais il n'y a pas de consignes au niveau national", a souligné un porte-parole de la Confédération nationale du travail (CNT). Des incidents avaient éclaté un peu partout en France dans la nuit de dimanche à lundi après l'annonce de la victoire du candidat UMP à l'élection présidentielle. Ils se sont soldés par 730 voitures incendiées, 78 policiers et gendarmes blessés et 592 arrestations, selon un bilan de la Direction générale de la police nationale (DGPN). (AP et Reuters)
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On Sème Ce Qu'on Récolte
et Doc Gynéco il est passé où ?
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Le Président Est ......
[quote name='Moos' post='102787' date='08/05/2007 00:08']Merci de ton bon sens qui relève un peu le niveau Le seul qui a dû s'endormir en te lisant doit être antoine modérez moi s'il vous plait toi t'es vraiment ******* Je modère...
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On Sème Ce Qu'on Récolte
Son programme n'est pas un programme fasciste et tu as raison. C'est son attitude et ses propos en tant que Minitre de l'Intérieur et au cours des meetings de campagne qui ont parfois une conotation fasciste. Concernant les régimes dictatoriaux, je ne te permets pas de laisser croire ,comme ton ami Vinces d'ailleurs, que je les défendent. Analyse pas trop mes pensées s'il te plait.
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Le Président Est ......
surtout avec 3500euros par mois
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Le Nouveau Président : Une Formidable Raison De Lutter
je donnais une information en direct. je ne commentais pas les incidents de la nuit. idem sur le post de cet aprés-midi qui était issu d'une dépéche et qui relatait les incidents de la nuit( sans aucun commentaire de ma part) Encore une fois arréte de me prendre pour un imbécile,lache moi les baskets s'il te plait.
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Documents De Sécutité Pour La Formation Des Adc
ça me génerait sur le fait que tu te serves de documents SNCF pour aller alimenter la concurence. Et que les retraités SNCF aillent bosser dans les EF privés me géne ègalement énormément.
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Documents De Sécutité Pour La Formation Des Adc
C'est pour aller bosser dans le privé :Smiley_19:
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Le Président Est ......
730 voitures brûlées,592 interpellations La police a revu à la hausse le bilan des affrontements entre manifestants anti-Sarkozy et forces de l'ordre dans la nuit de dimanche à lundi pendant laquelle 35 voitures ont notamment brûlé dans la capitale. Sept cent trente voitures ont été brûlées en France métropolitaine au cours de la nuit du second tour de l'élection présidentielle, et 592 personnes ont été interpellées, selon un bilan définitif obtenu lundi 7 mai auprès de la direction générale de la police nationale (DGPN). Selon la même source, ce bilan précise que sur 730 voitures brûlées, 35 l'ont été à Paris, et que parmi les 592 interpellations, 79 sont également intervenues dans la capitale. Par ailleurs, 78 policiers et gendarmes ont été blessés au cours des incidents qui ont émaillé le second tour de la présidentielle. Dans un premier temps, la DGPN avait fait état de 367 voitures brûlées et 270 interpellations, ajoutant que 28 policiers et gendarmes avaient été blessés. Ce bilan, arrêté à 6h00 du matin, ne semblait pas faire état de la totalité des dégâts enregistrés dans le pays si l'on tient compte de chiffres obtenus auprès de préfectures et d'institutions régionales. La préfecture de police de Paris fait ainsi état à elle seule de 33 policiers blessés. La DGPN n'en recense que trois dans la capitale. D'autres bilans régionaux font état de dégâts matériels supérieurs. Magasins pillés à Lyon Le bilan de la DGPN ne fait ainsi pas mention d'attaques de bus au cocktail Molotov en région parisienne, ni de l'incendie criminel de l'école de la Lanterne à Evry (Essonne), ni d'une tentative d'incendie contre un centre d'action sociale dans la même ville, attestés de source policière. Il ne fait pas état non plus de magasins ravagés et pillés, comme à Lyon, où selon un décompte réalisé par Reuters, une vingtaine de devantures de magasins de la Presqu'Ile ont été brisées, ainsi que des abribus et des cabines téléphoniques. Dans la ville, la préfecture de police fait état de 13 blessés, dont 10 dans les rangs de la police, et 54 voitures incendiées. Dans le département du Nord, une centaine de voitures ont été incendiées, en particulier dans les villes de Lille et de Roubaix, rapportent les pompiers. Des dizaines d'abribus ont été brisés, des feux de poubelles observés. Environ 70 personnes ont été interpellées à Lille, selon la police. 10.000 manifestants Dans un document interne, dont Reuters a eu connaissance, la DGPN estime que "le second tour des élections présidentielles n'a pas généré de grandes manifestations de violences urbaines dans les quartiers sensibles". Elle estime le niveau des violences de la nuit "au-dessus de celle d'un 14 juillet, mais inférieures à celles d'un Réveillon de la Saint-Sylvestre". Selon elle, environ 10.000 personnes ont manifesté dans toute la France contre le résultat de l'élection présidentielle qui a vu Nicolas Sarkozy accéder à l'Elysée. La police estime que les violences ont été provoquées par deux milieux distincts, des jeunes des banlieues pauvres, notamment autour de Paris, et des militants d'extrême gauche, anarchistes ou "autonomes" dans les centres des grandes villes. Les seconds ont par exemple affronté les forces de l'ordre durant plusieurs heures place de la Bastille à Paris, lieu traditionnel de rassemblement de la gauche lors des soirées électorales. Les manifestants, qui jetaient feux d'artifice et bouteilles, n'ont pu être dispersés que par un véhicule anti-émeute blindé équipé de canons à eau, a constaté un journaliste de Reuters sur place. En province, outre Lyon et Lille, des échauffourées similaires se sont déroulées à Bordeaux, Nantes, Rennes et Toulouse notamment. A Nantes, où une manifestation contre Nicolas Sarkozy a rassemblé un millier de personnes dans la nuit de dimanche à lundi, 26 personnes ont été placées en garde à vue, selon Yves Monard, directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) de Loire-Atlantique. Parmi elles figurent trois mineurs accusés d'avoir cassé un abri de bus. Six policiers ont été légèrement blessés et du côté des manifestants, une personne a été touchée par un tir de Flash Ball, mais ses jours ne semblent pas en danger. Dans des quartiers sensibles de la ville, 33 véhicules ont été incendiés ainsi que de nombreuses poubelles. Par ailleurs, plusieurs vitrines de commerçants ont été endommagées. "Il ne s'agissait pas d'une manifestation spontanée, mais d'un mouvement préparé par un noyau dur de militants anarchistes et d'extrême gauche", a estimé Yves Monard. En Normandie, la police a procédé à vingt interpellations à Rouen et à Caen, lors d'incidents survenus en marge de manifestations dans la nuit de dimanche à lundi. Quatre policiers ont été légèrement blessés à Caen où d'importants dégâts matériels - dégradations, bris de vitrines, voitures endommagées, tentative d'incendie de la permanence UMP - ont été commis, en marge d'une manifestation. Dans l'agglomération de Rouen, une dizaine de voitures ont été incendiées. (avec Reuters)