nicolas80100

Tout à fait d'accord

Et c'est pour cela qu'une cours des comptes régionale doit être interpelée sur ce type de projet tout comme le sujet des chicanes. Juste pour savoir la pertinence du sujet utile où pas ? Mais attention pour un problème d'éthique celle ci devrait composée de membres indépendants de divers cabinets ( avocats fiscalistes, commissaires aux comptes, Experts comptables, d'architectes, ingénieur ) et aucuns de ses membres ne doivent être adjoint, élus, etc..., pour plus de transparence. Parce que vu nos divers échanges entre nous tous c'est que sans garde fou c'est la fête à mémé Lulu. Combien avez-vous d'aberration dans vos départements respectifs ?

En ayant une magnifique com, en misant sur des sociétaires qui se veulent avant-gardiste et étant plus où moins " naïfs" sur la faisabilité du projet, quant aux collectivités locales de même, les conseils régionaux Idem mais prêt à investir. Sans calculer les risques, pertes et profits. Je ne pense pas que les collectivités locales, conseils régionaux demandent à des cabinets d'avocats fiscalistes, d'expertise de transport ferroviaire leurs avis pour dilapidé l'argent public. Une coopérative soit elle meurt ou pour survivre se transforme en société sachant que le nom coopérative reste. Je ne pense pas que dans 6 mois que Railcoop soit encore là. Car une entreprise ferroviaire qui ne fait plus circuler ses trains pendant 6 mois perd sa licence et j'imagine que ce n'est pas le prix d'un paquet de cigarettes pour l'obtenir.

En lisant plusieurs revues économiques dont les articles traitaient le sujet Railcoop, la conclusion est la même : C'est des amateurs qui n'ont pas mesurés les risques, exemple un cabinet d'expertise de transport ferroviaire qui travaille avec plusieurs entreprises du secteur et à l'international rapporte que si on aurait fait appel à lui il aurait posé une expertise de viabilité du projet en moins de 72 heures Idem pour l'acquisition de matériel ferroviaire et ils n'auraient pas perdu 18 mois pour les X 72000.

Ce qui s'appelle vivre aux frais de la princesse. C'est à dire des sociétaires.

Et vous faites comment pour payer vos salariés, vos fournisseurs, vos créanciers sans recettes ?

Mais d'un point du vue juridique ils sont entre deux eaux c'est à dire entre coopérative et association. Et surtout ils ne dégagent aucune recette. Une coopérative doit dégager des recettes et une association non. Le problème est là. A Railcoop ils jouent sur les textes de loi. Et dans 6 mois ça sera quoi ? La même rengaine, ce sera la faute de l'état, des régions qui n'ont pas investies, des banques qui n'ont pas voulues prêter , du fameux fonds d'investissement espagnol. Et etc... Cette boîte est gérée par des amateurs. Lisez l'article sur Rail du sud.

Il y a un article sympathique et très instructif sur le site Rail du sud et sur le journal la montagne, mais l'article doit être payant.

A mon avis, toutes ces collectivités vont se faire toutes petites et passer sous les radars. Normal, comment expliquer à ces administrés que de l'argent public a été investi dans un truc bidon géré par des amateurs utopistes ou pire.

Bonjour Je vous joint un article de Ouest France "Trains :.txt"Trains :.txt

C'est un brouillard de guerre, rien de plus, les sociétaires qui ont votés pour la " je pèse mes mots" survie de leur bidule , des irréductibles 🤣 leur AG c'était quoi ? Si on réfléchit bien ce truc c'est un feu de paille? Tout ce qu'ils ont c'est quoi c'est rien. les autres sociétaires qui ont mis un stop, bravo. A un moment faut arrêter les conneries quelques soient

Rectification orthographique, croyez-vous que ce fond Serena a du temps et de l'argent à perdre dans ce bidule

Croyez-vous réellement que ce fond Serena a du temps et de l'argent dans ce bidule, de toute façon c'est la faute des dirigeants de Railcoop si ils en sont là, aucunes lignes directrices cohérentes, comment voulez vous attirer des investisseurs, que les banques croient en vous ?

Si c'est le cas, je les trouvais marrants, limite à friser le ridicule, mais le ridicule ne tue pas dieu merci . Dommage ça va me manquer.

Entre demander à l'état de rentrer dans le budget de Railcoop, les négociations avec ce fond d'investissement espagnol dont les sociétaires ne savent pas où en sont les avancées . Entre se mettre sous une protection d'un tribunal de commerce, c'est ce qui s'appelle bouffer à tous les râteliers. Bref ils sont gonflés. La suite au prochain épisode

Surdon ?

Encore un coup de passe passe, comment croire encore à une pseudo activité pour Railcoop, il crée quoi, rien ni service, ni activités, comment voulez être crédible face à un tribunal de commerce. La méchante blague.

De mieux en mieux , à ce compte là, c'est la boîte de Pandore qui s'ouvre. Je pense que le président de la République a d'autres choses à secouer que de s'occuper de Railcoop

Sur le fond je suis d'accord, mais pour les sociétaires les dés étaient pipés depuis le début, les dirigeants de railcoop ont fait faire une étude sur la viabilité et fréquentation de la ligne, le souci c'est que les chiffres ont été gonflés de 80/100, j'ai vu ces chiffres, je les recherches et je vous les mets sur le forum

Réponse le 7 octobre, quant à cet potentiel investisseur espagnol, aucun signe de vie, sauf surprise. Serait ce un feu de paille pour calmer les sociétaires ? Enfin bref, gérer cela donne l'impression que c'est bientôt la fin. Si ça se confirme, au moins on aura plus que des réponses à nos interrogations sur la viabilité d'une coopérative ferroviaire qui ne dégage aucunes recettes sur la durée

Ils ont dû réduire la voilure. Sacré ménage, si il'y avait une trentaine de salariés et on passe à 11, c'est qu'ils n'ont pas renouveler les CDD, et les démissionaires non remplacés

Railcoop espérait rassembler 500 000 € avant le mois d'octobre. Elle n'a levé que 383 500 € mais juge "toute interprétation hâtive". Railcoop avait lancé un appel à la mobilisation citoyenne mi-septembre, il n'aura pas porté ses fruits. La coopérative ferroviaire qui ambitionne de faire rouler des trains entre Lyon et Bordeaux n'a rassemblé que 383 500 € sur les 500 000 € qu'elle avait fixé en objectif, a appris l'AFP auprès de son PDG, Nicolas Debaisieux. "Toute interprétation me paraît hâtive" "Toute interprétation me paraît hâtive", a-t-il tempéré expliquant que "la situation financière fera l'objet d'une discussion lundi avec le conseil" d'administration de Railcoop. Pour rappel, une assemblée générale des sociétaires est appelée le 7 octobre à se prononcer sur un montage financier qui "permettrait à Railcoop de ne plus supporter seule le risque lié à la variabilité de l'activité", expliquait Nicolas Debaisieux il y a quelques semaines. (Crédit Railcoop) L'entreprise aux 11 salariés est récemment entrée en négociation avec Serena Industrial Partners, fonds d'investissement spécialisé dans le financement d'infrastructures, qui pourrait apporter environ un quart des financements nécessaires au lancement de la ligne Bordeaux-Lyon. L'idée serait de créer deux nouvelles entreprises, l'une dédiée au financement des rames (ROSCO), louant les infrastructures à la seconde entité (OPCO), supportant le risque commercial et se rémunérant sur les ventes de billets. Railcoop de son côté conserverait son sociétariat à l'identique et vendrait ainsi sa prestation ferroviaire à l'OPCO. Les sillons obtenus auprès de SNCF Réseau ne permettraient la commercialisation d'un aller-retour quotidien entre Lyon et Bordeaux qu'à partir du 15 décembre 2024. Un trajet Lyon-Limoges serait possible dès le 8 juin, mais "d'un point de vue commercial, ce n'est pas terrible d'avoir une première phase intermédiaire, l'offre serait illisible", explique Nicolas Debaisieux. Lire aussi : Lyon-Bordeaux en train : Railcoop a besoin de 150 000 € pour passer l'hiver Voici l'article en question.

Un article intéressant de Lyon mag, je vous le conseille vivement

Cotentin

Cela prouve qu'ils vivent aux frais des sociétaires et rien derrière.