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Le Web des Cheminots

R7V

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Messages publiés par R7V

  1. Bonjour, je me permets d'apporter la contribution de PLANONYME à ce sujet :

     

    "L’affirmation « Le Code des Transports stipule clairement qu'un passager des transports terrestres et aériens doit être en mesure de justifier de son identité. Cette mesure est aussi bien valable pour un adulte que pour un enfant de 4 à moins de 12 ans voyagent seul » est quelque peu à l’emporte-pièce !

    Pour les amateurs de sources légales, la disposition suivante du Code des transports qui fixe le cadre dans lequel le voyageur doit justifier de son identité dans les transports terrestres, ferroviaires pour la partie qui nous intéresse.

    https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000032284342#:~:text=Les%20passagers%20des%20transports%20routiers,transport%2C%20ou%20lorsqu'ils%20ne

    Article L2241-10

    Les passagers des transports routiers, ferroviaires ou guidés doivent être en mesure de justifier de leur identité lorsqu'ils ne disposent pas d'un titre de transport valable à bord des véhicules de transport ou dans les zones dont l'accès est réservé aux personnes munies d'un titre de transport, ou lorsqu'ils ne régularisent pas immédiatement leur situation. Ils doivent, pour cela, être porteurs d'un document attestant cette identité ; la liste des documents valables est établie par arrêté conjoint du ministre de l'intérieur et du ministre chargé des transports.

    Le présent article n'est pas applicable aux mineurs accompagnés par une personne de plus de dix-huit ans qui en a la charge ou la surveillance.

     

    A bien lire, c’est seulement quand le voyageur n’est pas en situation régulière !

    Au-delà de cet aspect légal général, il y a aussi les Conditions générales de la SNCF. Par nature, un titre de transport nominatif soit du fait de son support (dématérialisé), soit de la réduction associée et il en est de même des cartes justifiant le bénéfice de tel ou tel tarif spécifique, commercial, social ou autre (facilités de circulation ici) est soumis à une possible vérification de la conformité avec l’identité.

    Il s’agit en effet de s’assurer que le voyageur présent à bord est bien le titulaire légitime du titre de transport présenté. Cela ne vaut normalement qu’à titre de prévention pour la sauvegarde des recettes ou en cas de doute entre le visuel (photo) de la carte et le physique du voyageur. Ce n’est pas censé être d’application générale et systématique. D’ailleurs, tout un chacun constatera que ça ne se fait somme toute qu’assez rarement.

    Les tarifs voyageurs

    CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE SNCF VOYAGEURS

    VO0131-01022024-01V

     

    8.1. Contrôle des titres

    Selon le type de titre de transport acquis, le voyageur doit présenter son titre de transport, sa carte compatible e-billet, son e-billet imprimé ou chargé sur smartphone à tout agent de SNCF en faisant la demande, dans les trains et dans les gares. Le voyageur titulaire d’un Billet Imprimé ou d’un e-billet doit être en mesure de justifier de son identité. En effet, l’e-billet et le Billet Imprimé étant nominatifs, personnels et incessibles, le voyageur est susceptible de devoir présenter, à tout contrôleur en faisant la demande, une pièce d’identité originale en cours de validité avec photo (carte d’identité, passeport, permis de conduire ou carte de séjour) en plus de sa Confirmation e-billet ou de sa carte compatible e-billet ou son m-billet. Les copies des pièces d’identité (papier, documents numérisés,…) ne sont pas admises.

    Le titulaire d’une carte ouvrant droit à réduction ou d’une carte d’abonnement est tenu de présenter sa carte physique avec son titre de transport, sauf si cette carte est une carte compatible e-billet (dans ce cas, aucun titre de transport ne doit être présenté par le voyageur).

    Si, lors de sa commande d’un e-billet, le voyageur a utilisé sa carte compatible e[1]billet, il peut en outre être amené à présenter toute autre carte de réduction ou d’abonnement non compatible e-billet dont il serait titulaire et qui lui aurait permis de bénéficier d’une réduction spécifique. Il peut également aussi lui être demandé de justifier de son identité par une pièce d’identité officielle originale en cours de validité avec photo. Les copies des pièces d’identité (papier, documents numérisés,…) ne sont pas admises.

    Lorsque le voyageur utilise un e-billet ou que l’utilisation du tarif est assujettie à la justification de son identité et que son identification visuelle sans ambiguïté n’est pas possible, pour quel que motif que ce soit, SNCF est en droit d’exiger la régularisation au Barème contrôle majoré. A défaut d’acceptation de régularisation, le voyageur est verbalisé. Toute perception effectuée par les agents du contrôle donne lieu à l'établissement d'un reçu qui, le cas échéant, peut avoir valeur de titre de transport.

     

    A la frontière de la légitimité du contrôle d’identité pour des raisons de sauvegarde des recettes, il peut y avoir effectivement une impression de zèle. Certains contrôleurs vont à la chasse ! A bord d’un train où il peut y avoir potentiellement quelques pourcentages de fraudeurs (ou de situations irrégulières parfois involontaires), ne pas faire de contrôle au jugé avec tous les moyens c’est ne ramener personne dans ses filets. Or un ancien Président de la SNCF a dit aux contrôleurs : « boutez-moi les fraudeurs hors des trains ! » (j’étais présent dans le cadre de mes fonctions professionnelles qui elles étaient de repasser à l’occasion derrière en remboursant : injonctions contradictoires).

    Pour ce qui est du sujet spécifique des facilités de circulation, là où on en discute autour d’une table de négociation entre partenaires sociaux, l’entreprise ne manque jamais de souligner que le taux d’irrégularité ou de petits arrangements dépasse l’entendement.

    Le plus récent cas que j’ai eu à connaitre : il s’était avéré que la voyageuse n’était pas l’ayant-droit légitime (conjointe ou assimilée) de l’ouvrant droit. Le cheminot actif (Asct de son état !) faisait voyager ce jour-là à pas cher « une amie ». C’est un collègue de l’accueil embarquement qui sur le quai fut étonné de ce changement apparent de « légitime » et qui en parla à la titulaire du train, laquelle a du coup eu envie de vérifier l’identité. En vain, puisque pas de pot, pas de pièce d’identité ! Au-delà de la régularisation tarifaire, une enquête fut menée par l’agence famille sur la base du rapport dressé à bord du train et faisant état des soupçons dès l’accueil embarquement. L’ouvrant droit soutint que c’était bien son épouse à bord du train. A la demande de la SNCF, l’employeur de l’ayant-droit confirma que sa salariée était au travail et ne pouvait donc, par déduction, pas être à bord du train. Au final, 5 ans de suspension des F.C. pour l’ouvrant droit et sa famille. L’histoire ne dit rien sur les explications intrafamiliales à propos de la fausse épouse. L’Asct, représentant du personnel par ailleurs, rompu à certaines règles du droit social et disciplinaire, engagea un recours contre la suspension (administrative) de ses F.C. Il fut débouté devant le Conseil de prud’hommes. Mais la Cour d’appel saisie par l’intéressé ne l’entendit pas comme ça ! Elle releva en droit que la suspension des F.C. aurait dû s’inscrire dans une procédure disciplinaire encadrée par le Code du travail. Or la décision souveraine de l’agence famille avait été prise unilatéralement sous le vocable « sanction administrative » conformément au RH00400. Et que par ailleurs, privé ainsi d’un avantage en nature, il s’agissait indirectement pour le cheminot d’une sanction pécuniaire prohibée. Et la Cour d’appel d’ordonner la restitution des F.C. et d’indemniser forfaitairement (calcul à la louche) le préjudice. Vu les délais de procédure, les F.C. étaient déjà retirées depuis un peu plus de 4 ans et n’allaient pas tarder à être restituées. Elles l’auront été quand même, sur décision de justice, quelques mois avant le terme de la peine. La Cour d’appel laissant entendre que dans un cas comme ça, la SNCF n’avait qu’à licencier le fautif plutôt que de s’inventer des procédures en dehors des clous du droit social.

    Dans l’exposé de la présente publication, vraiment pas de pot que la CNI ait été subitement perdue le jour même du voyage ! Il aurait peut-être été plus crédible de faire valoir son oubli. Cela dit, je ne vais pas me faire procureur !"

    • J'adore 2
  2. Il y a 5 heures, gratoui a dit :

    Du coup désolée k ai du mal a comprendre 

    Un agent en arrêt de travail pendant 2ans ou 3 ans a acquis 20congrs par ans

     

    A son retour il a Conges à prendre ? C'est pas clair ou je suis nulle lol 

     

     

    Veuillez trouver ci-dessous la contribution apporté par PLANONYME à ce sujet :

    "Je ne réponds pas (en tout cas pas pour le moment) sur l’adaptation ou la transposition à la SNCF des dispositions nouvellement introduites dans le Code du travail. Le DRH du groupe (Philippe Bru) considère que l’entreprise est dans les clous comme a déjà commenté Tophe plus haut. Circulez ! Il n’a peut-être rien à voir…

    Pour mémoire, les cheminots (statutaires comme contractuels) n’ont pas de congés payés au sens du droit social commun. Ils ont des « congés réglementaires ». Lesquels sont régis par deux textes « maison »: l’un le Statut, l’autre interdépendant, le référentiel RH00143 qui rend les dispositions statutaires opposables aux contractuels aussi. Ce n’est pas le moindre des paradoxes.

    Et par rapport aux dispositions de droit commun, tout ça est déjà très dérogatoire. Au nom de l’organisation et de la continuité du service public ferroviaire, la Cour de cassation (le Conseil d’Etat aussi) a jusqu’à présent considéré que la SNCF était habilitée à faire sa petite cuisine étant de fait, dans ce domaine RH, la prolongation d’une autorité administrative.

    Par contre, à supposer qu’il y ait au bout du bout une transposition à la SNCF, ce à quoi les organisations syndicales vont sans doute s’atteler après avoir fait le tour de ce sujet complexe, on peut déjà répondre à la question de gratoui.

    Le gouvernement a introduit dans le Code du travail une période limite de report des CP non pris. Ainsi, lorsqu'un salarié s’est trouvé dans l’impossibilité de prendre tout ou partie de ses CP au cours de la période habituelle de prise de ces congés en raison d’une maladie ou d’un accident, il dispose d’une période de 15 mois pour les utiliser (L.3141-19-1, al.1 nouveau).

    Quel est le point de départ de ce report ?

    - En principe, le délai de 15 mois court à compter de la date à laquelle le salarié reçoit une information de son employeur sur son solde de congés, après avoir repris le travail.

    - Une exception est toutefois prévue dans l’hypothèse d’un d’arrêt qui se prolonge sur plusieurs années : lorsqu’à la fin de la période d’acquisition des congés, il s'avère que le salarié est encore en arrêt de travail (d’origine professionnelle ou non) depuis au moins 1 an, la période de report de 15 mois débute dès la fin de cette période d’acquisition et non au retour du salarié absent (L.3141-19-2 nouveau)

    Conséquence, si le salarié est toujours en arrêt au terme de ces 15 mois, les CP ainsi acquis sont alors définitivement et automatiquement perdus. Autrement-dit, en arrêt de longue durée, de deux ou trois ans dans l’hypothèse de gratoui, le compteur des congés acquis se remet à zéro tous les 15 mois au terme de chaque période de référence *. Et ceci de manière glissante tant qu’il n’y a pas de reprise du travail.

    * année civile à la SNCF, versus la période de référence 1er juin / 31 mai de droit commun."

    • J'aime 4
  3. Bonjour,

    Voici une réponse apportée par Planonyme que je me permets de citer :

    "Seules les fonctions d’Asct et d’agent de manutention sont ici dans la liste des emplois référencés à pénibilité avérée :

    https://www.legifrance.gouv.fr/loda/article_lc/LEGIARTI000019108345

    Mais l’emploi précédemment occupé au Sernam n’a probablement pas fait l’objet d’une prise d’attachement dans les historiques de suivi RH.

    Les critères de pénibilité ne font l’objet d’un suivi individuel que depuis 2008. La prise en compte des années antérieures avait reposé sur une procédure déclarative afin de jeter les bases de cet historique.

    Trouver aujourd’hui un acteur RH rompu à cette régularisation risque d’être difficile. Ce qui n’empêche pas de réclamer à ce sujet sur la base de l’annexe 4 du décret précité. Un éventuel rappel du paiement que de droit ne pourrait toutefois porter que sur trois ans, prescription en matière salariale oblige.

     Il est de notoriété publique que de nombreux bénéficiaires potentiels de cette modeste prime de pénibilité ne la perçoive pas, faute d’historique à jour."

    • J'aime 3
  4. Il y a 4 heures, wabbit a dit :

    C'est bien de la réforme que l'on parle, et non de la retraite.

    Nous sommes plusieurs à se poser la question, si nous sommes réformer pouvons nous travailler ensuite.

    Si oui, pouvant nous travailler normalement sans restriction de salaire ou il y a une somme à ne pas dépasser.

    C'étte sommes et cumulez avec la réforme ?

    Ex 1200€ de réforme je peux travailler totalement comme je veux ou que pour 300€ pour ne pas dépasser mon salaire 1500€.

    Pouvez vous m'expliquer mais simplement car sinon je ne comprends pas, et pour les personnes dans cette situation.

    Je vous remercie d'avance pour votre réponse et l'aide que vous apportez, c'est un vrai soutien.

    Merci.

    Alors non la pension de réforme n'empêche pas de travailler à côté et il n'y a aucune limite côté salaire, j'en avais discuté avec l'action sociale il y a quelques mois et on me disait que ça arrivait souvent que ceux-ci travail en mi-temps à côté voir plein-temps.

     

    J'en ai également discuté avec PLANONYME étant donné que je suis potentiellement concerné et histoire d'avoir un second avis donc je vais me permettre de le citer : 

    "Non, la pension de réforme n’est pas une pension de retraite du régime spécial.

    C'est une pension d’invalidité.

     Cefaisant, les règles de cumul d’un revenu d’activité avec une pension de retraite ne s’appliquent pas.

    https://www.legifrance.gouv.fr/download/pdf/circ?id=39056

     

    image001.jpg.d71b7bb7f695b1aa4d16658d58318105.jpg

     

    Donc oui le cumul est autorisé et sans limite puisque la pension de réforme du régime spécial n’est pas une pension de retraite.

    Sous toutes réserves de vérification, s’agissant d’une circulaire qui date un peu et qui est par nature évolutive au gré des modifications législatives."

  5. J'ai finalement trouvé la simulation, j'imagine que tout était déjà automatiquement inséré de base mais il indique que mes années d'activités ont démarré dès 2015 or c'était 2014 sans compter l'alternance en 2011... Y-a-t-il un moyen de faire reconnaître ces années ci ? Car il me semble que j'avais dû faire un CDD avant de signer mon CDI...

    En tout cas on ne modifiant rien sur la simulation si ce n'est la date de début de la pension cela serait de l'ordre de 300€ net. Si cela est possible je pense accepter mais si il y aurait un moyen de faire reconnaître quelques mois en plus...

  6. Merci beaucoup pour votre réponse très complète pseudo pseudo.

    Ah ce serait alors 2/3 ? Car sur la lettre que j'ai reçu c'est écrit être en situation de : "un tiers de solde". Ce serait déjà plus "vivable" si tel est le cas.

    S'il y a eu réintégration, honnêtement je ne sais pas vraiment ce que ça signifie mais je n'ai pas remis un pied dans l'entreprise physiquement parlant si ce n'est aller voir le médecin du travail. Il y a eu effectivement des démarches faites avec l'action sociale ou j'ai du mettre à jour les informations avec la cpr etc...

    À vrai dire la rupture conventionnelle était vraiment l'option principale mais j'ai reçu un courrier stipulant que ce n'était pas possible donc j'ai abandonné. Peut-être serait-ce quelque chose à envisager à nouveau maintenant ?

    Oui j'avais bien reçu un courrier me demandant des examens médicaux pour que le médecin conseil puisse donner un avis sur une potentielle situation de longue maladie. Ayant lu l'article en question je m'attendais à ne pas le recevoir cependant.

    J'ai tenté de faire trouver la simulation pour une pension de réforme mais je n'ai malheureusement pas trouvé. L'action sociale m'avait dit que je pourrais avoir 400€ environ, ce serait de cet ordre là selon vous ? 

    Merci une nouvelle fois pour votre expertise et votre temps !

  7. Bonjour à tous,

    Je suis entré à la SNCF en 2011 si je compte l'alternance ou alors 2014 en temps complet et j'y ai travaillé jusqu'en 2019 en tant qu'attaché opérateur avant de partir 4 ans à l'étranger via un congé sans soldes que j'ai pu avoir et renouveler plusieurs fois. Je suis donc revenu l'année dernière et je devais initialement reprendre mon poste en novembre 2023 sauf qu'il m'est malheureusement arrivé des complications durant mon séjour à l'étranger et notamment plusieurs crises d'épilepsies dont une lourde qui m'a cassée les vis de fixation de mes 2 épaules qui étaient luxées il y a plusieurs années auparavant.

     

    J'ai donc été déclaré inapte par le médecin du travail et ait donc été en arrêt et le suis toujours actuellement. Ayant passé le délai des 6 mois d'arrêts, je passe ce mois-ci en "tiers de solde" ce qui fait que je vais gagner très peu et cela sera bien entendu très pénalisant.

    Lors de mon premier jour d'arrêt en Novembre dernier, j'ai été appelé par la (nouvelle) hiérarchie qui se demandait où j'étais passé et ne semblait pas au courant de mon arrêt et de ma situation médicale vu que les moyens de communication et d'envoi des arrêts avaient changé en 4 ans. Au vu de ma santé, je lui ai fait également part de mon envie de départ via une rupture conventionnelle, chose qui ne se fait apparemment plus (pas?).

     

    Cependant j'ai été mis au courant d'une éventuelle pension via la mise en place d'un dossier qui permettrait un revenu fixe d'environ 30/35% de mon salaire à vie et me "libérerait" de mes obligations avec la SNCF si il se voyait accepté. J'ai été séduit par l'idée sauf que depuis, malgré mes relances par emails, je n'ai plus eu de retour concernant la faisabilité d'un tel processus. Je ne me souviens plus vraiment du terme employé, mais en me renseignant il me semble que cela semble être une pension de réforme (pour inaptitude ?) qui peut se faire sur demande de l'employer ou de l'employeur si j'ai bien compris. Lorsque j'avais pris ensuite contact avec l'assistante sociale, on m'avait également laissé entendre que cela était possible et qu'il fallait compter quelques mois après la mise en place d'un dossier mais j'ai depuis laissé le sujet traîner, étant en arrêt et ayant ma santé à gérer pour trouver un traitement adéquat à mon épilepsie qui me bloquait pour me faire retirer les vis cassées des épaules et planifier de nouvelles opérations de fixation. Bref...

     

    Mais maintenant je suis à nouveau dans le flou, étant en tiers de solde, vais-je être forcé de revenir travailler pour toucher à nouveau mon salaire malgré mon état de santé ? En tant qu'épileptique, ma neurologue m'a fortement déconseillée de travailler dans des lieux à risques, en horaires décalés et d'être isolé au cas où il arriverait quelque chose. Dans mon cas, je souhaiterais vraiment pouvoir mettre en place une pension de réforme et quitter l'entreprise, surtout au vu de ce que je touche maintenant, mais est-ce bien possible ? Auquel cas, je ne sais pas quoi faire d'autre si ce n'est être replacé quelque part par l'entreprise mais je vis actuellement plutôt loin de Paris où je travaillais (car de retour chez mes parents après mon long voyage) et la fatigue est l'ennemi numéro 1 de mon épilepsie...

    Je vais contacter l'aide sociale dès demain pour faire le point mais tout conseil est bon à prendre. En tout cas merci de m'avoir lu jusqu'ici, j'ai essayé d'être le plus clair possible mais ça semble toujours brouillon, ce qui représente bien ma situation actuelle.

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