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Actualités Politiques


katamiaw

Messages recommandés

Mais je te rejoins Gnafron, j'ai de grandes craintes concernant la réelection du l'actuel président !!

Comme j'ai pu entendre dans un extrait de son discours (rediffusé en boucle sur chaine ""d'infos"" - pour bien nous bourrer le mou- ) , il va faire toute sa campagne en "jouant" sur la peur !

Donc , effectivement , rien n'est fait ....siiiiick

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Invité necroshine

Allez voir sur les murs FessBouc de Sarkon & Fion,

Quand on voit le nombre de personnes qui les soutiennent et les pousse a continuer.... dans la débacle actuelle !!!!

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Invité Gnafron 1er

A 4h18, je n'etais pas tres étanche !!!! :tongue:

Vois avec ton pharmacien ...Il en existe des "pour adultes " ...###### !

Mais je te rejoins Gnafron, j'ai de grandes craintes concernant la réelection du l'actuel président !!

On veut nous pousser à l'alliance PS-Modem ....et on dira = c'est moins pire !

Avec Borloo aux finances et le tour est joué ....wouharf !

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Invité Gnafron 1er

Bor.... qui ???

Le gars qui a siroté du Sarko du matin au soir.

C'est pour cela qu'il a tjrs l'air fatigué ? :jesuisdehors:

.. Et qui, du jour au lendemain etait en guerre contre son mentor menteur?

Ce n'est pas une croisade non plus ....wouharf !

J'ai rectifié ta faute d'orthographe

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Invité necroshine

http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2011/12/02/la-niche-cope-n-existe-pas-selon-valerie-pecresse-qui-scandalise-l-opposition_1612920_1471069.html#xtor=RSS-3208

"La niche Copé n'existe pas", selon Valérie Pécresse qui scandalise l'opposition

La ministre du budget, Valérie Pécresse, a affirmé, vendredi 2 décembre, à l'Assemblée que "la niche Copé n'existe pas" lors de l'examen du budget rectificatif de fin d'année, déclenchant des protestations des députés de gauche pour lesquels cette affirmation est "grotesque" car ce "privilège existe".

"Il s'agit d'un fantasme récurrent de la gauche, mais la niche Copé n'existe pas", a déclaré Mme Pécresse lors de la discussion d'un amendement de Jean-Pierre Brard (app. PCF) proposant de "démanteler" cette disposition fiscale.

Votée en 2004, la niche Copé vise à exonérer d'impôt sur les sociétés (en principe de 19 % dans ce cas) la revente, par une société-mère, de ses titres de participation dans une filiale. Si les titres sont détenus depuis plus de deux ans, leur vente est progressivement de moins en moins taxée, jusqu'à être totalement défiscalisée.

>> Lire "Niche Copé, retour sur un objet fiscal de tous les fantasmes"

Le député lui a rétorqué que "ce privilège existe et a été chiffré à 6 milliards par le conseil des prélèvements obligatoires. Il y a des chiens qui se régalent : qu'ils mangent en plein air ou dans la niche, peu importe. Ce n'est pas une hallucination ou un mirage mais plutôt un miracle pour les bénéficiaires".

La ministre a fait valoir que "quand 17 pays ne fiscalisent pas les cessions de titres, si nous les fiscalisons nous n'aurons plus de cessions de titres, plus d'assiette et plus de recettes".

"Vous commencez à faire fort. Nous dire que la niche Copé n'existe pas (...), c'est un peu grotesque et pourrait figurer au Canard enchaîné ou au 'Zapping' [de Canal+]", lui a alors lancé le socialiste Christian Eckert.

"LA POLITIQUE DES RICHES REND AMNÉSIQUE"

Les députés PS ont ensuite dénoncé, dans un communiqué, "ce stupéfiant cri du cœur" de Mme Pécresse, jugeant que "la politique des riches rend amnésique" sur un "privilège exorbitant".

"La Cour des comptes a estimé que ce splendide cadeau fiscal avait coûté 10 milliards d'euros aux caisses de l'Etat sans apporter la moindre retombée en matière d'emplois ou d'investissements. Il est un de ces mécanismes inventés par la droite qui permettent aux entreprises du CAC 40 et à leurs actionnaires de payer beaucoup moins d'impôts qu'une PME", ont ajouté les socialistes.

A leurs yeux, "en pleine austérité, la décence serait de le supprimer pour alléger le fardeau des Français. A court d'argument, la ministre préfère nier son existence. Les niches des fortunés ont de bons chiens de garde au sommet de l'Etat. Et ce n'est pas un fantasme de la gauche".

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Bombe sociale et financière à retardement...

Il y a en France 500.000 décès chaque année environ...

Mais.....

Face aux dettes de leurs parents, de plus en plus de Français renoncent à hériter

http://www.lemonde.f...#ens_id=1613101

C'est une démarche qui se fait par un simple formulaire administratif. Un acte enregistré dans les tribunaux de grande instance (TGI) qui raconte la France en crise, les fins de mois difficiles, et les petites retraites. En guise de bas de laine, les héritiers découvrent de plus en plus souvent, au moment du décès d'un proche, des dettes, arriérés de loyer ou de charges, factures impayées, remboursements de prêts à la consommation, frais hospitaliers... Faute de biens à vendre, et tenus d'honorer les ardoises de leurs parents, ils n'ont pas d'autre solution que derenoncer à la succession.

Selon les chiffres du ministère de la justice, arrêtés au 31 décembre 2010, le nombre de refus d'héritage est passé, entre 2004 et 2010, de 50 031 à 67 249, soit une augmentation de 33,5 %. Cette tendance à la hausse s'accélère en 2011, année qui pourrait bien être record en la matière.

A Nancy, Romaric Pierre, greffier en chef, a fait ses comptes. "Mi-novembre, j'en suis déjà à 801 dossiers. Je vais au moins égaler et plus probablement explosermon année record de 2009 (894 actes). J'ai déjà une avance de près d'une vingtaine de dossiers !", calcule-t-il.

Dans le Jura, les deux TGI de Lons-le-Saunier et de Dole vont dépasser les 500 demandes de 2010. Au 15 novembre, le compteur comptabilisait déjà 607 actes. Même tendance à Marseille, où les 1 140 dossiers de 2010 devraient êtrelargement dépassés. A Lyon, Limoges, Bobigny, Toulouse ou Laon... même constat. "Dans 90 % des cas, les raisons du renoncement sont dues à des dettes",poursuit Romaric Pierre, greffier à Nancy. Des considérations personnelles ou familiales peuvent aussi pousser à refuser un héritage, mais elles sont marginales."Même si l'héritier n'est pas obligé de motiver son refus, nous percevons bien, en discutant avec les familles, que derrière tout ça, il y a la misère du monde", analyse M. Pierre, qui voit chaque jour des proches pousser la porte de son tribunal, dont le ressort couvre 450 communes.

La cherté de la vie, le poids grandissant des charges fixes (logement, énergie...) grèvent de plus en plus les budgets familiaux. Pour boucler leurs fins de mois, les actifs mais aussi les retraités contractent des emprunts.

Selon la dernière enquête de la Banque de France, parue en mars, les plus de 55 ans représentaient en 2010 23 % des surendettés, contre 13 % en 2001. Ils pourraient atteindre 32 % en 2012. "Près de la moitié des seniors criblés de dettes sont propriétaires et perdront leurs biens d'ici à 2013", précise Jean-Louis Kiehl, président de la fédération Cresus (chambre régionale du surendettement social), un réseau associatif qui aide les ménages surendettés.

Les plus âgés sont aussi les plus exposés aux crédits renouvelables, ces crédits à la consommation accordés facilement par des organismes financiers. 84 % des endettés de plus de 65 ans et plus y auraient eu recours, contre 72 % en moyenne, selon une étude de Crésus d'octobre 2011. "Pour faire des économies, les gens ne prennent pas toujours les assurances décès ou invalidité, qui sont facultatives sur les crédits à la consommation, explique Laurent Périllaud, notaire à Ruffec, en Charente. A leur mort, les crédits courent toujours et les héritiers doiventrembourser."

ENTRE 20 000 ET 60 000 EUROS DE DETTES EN MOYENNE

Le passif d'une succession peut être important. "Jusqu'à 300 000 euros, mais c'est exceptionnel", convient Joël Fauré, adjoint administratif au tribunal de grande instance de Toulouse. "L'ardoise moyenne tourne entre 20 000 et 60 000 euros",précise-t-il. Lui aussi s'attend en 2011 à une année record. En 2010, il avait enregistré 1 086 dossiers. Fin novembre, il en était déjà à 1 200. "A ce rythme, je vais atteindre 1 500 dossiers à la fin de l'année", estime M. Fauré.

La fonte des patrimoines est aussi liée au vieillissement de la population. En Picardie, Dominique Pierre, greffier en chef au TGI de Laon (Aisne), parle de"phénomène structurel". "Notre juridiction, qui recouvre un territoire de 210 000 habitants, est implantée dans un département rural, pauvre et à la démographie vieillissante, explique M. Pierre. Le retraité type, ici, c'est un ouvrier agricole, qui au mieux possède un bien immobilier qui dépasse rarement les 120 000 euros."

"Pour faire face aux frais liés au placement dans une maison de retraite ou médicalisée, les familles sont obligées de vendre leur maison. Quand la personne décède, soit il n'y a plus d'héritage, soit il y a des dettes", précise le greffier qui, depuis 2007, voit régulièrement augmenter la courbe des renonciations : 442 en 2010 et déjà 413 fin novembre 2011.

Beaucoup d'héritiers n'attendent pas l'inventaire de la succession pour prendre leur décision. "Si le défunt n'est pas propriétaire, a un compte en banque très peu garni, pas de mobilier de valeur, une petite retraite ou un salaire faible, il y a des chances pour que le passif soit supérieur à l'actif", explique Jérôme Schreiber, notaire à Dettwiller, une petite commune du Bas-Rhin.

En cas de doute, mieux vaut être vigilant, car des dettes insoupçonnées peuventapparaître. Les cautions, une aide sociale comme l'aide à l'hébergement des personnes âgées, versée par le département et récupérable au décès de l'allocataire, peuvent être des bombes financières à retardement. En droit, l'héritier dispose de quatre mois pour établir un état des lieux de la succession et letransmettre au greffe. Il a par ailleurs un délai de prescription de dix ans pouraccepter ou refuser l'héritage.

En cas de renonciation, la succession est alors dite vacante. A charge pour les services fiscaux d'essayer de récupérer quelques maigres actifs pour payer les créanciers. Mais, finalement, ceux-ci en sont en général pour leurs frais.

Catherine Rollot

Modifié par Dom Le Trappeur
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Cool...

Les riches français aiment les Petits Suisses

Les 300 plus riches de Suisse : l’édition 2011 en kiosque

http://www.bilan.ch/articles/economie/les-300-plus-riches-de-suisse-l’edition-2011-en-kiosque

Découvrez la liste des 44 plus grandes fortunes françaises exilées en Suisse

http://www.latribune.fr/vos-finances/impots/fiscalite/20111201trib000668201/decouvrez-la-liste-des-44-plus-grandes-fortunes-francaises-exilees-en-suisse.html

44 Français parmi les 300 plus riches Suisses

http://www.humanite.fr/social-eco/44-francais-parmi-les-300-plus-riches-suisses-485110

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Faut dire que les cantons de genève et de vaud! sont de véritables paradis où l' exilé french riche y est très bien acceuilli.

Dans ton tableau, il n'y en n'a qu'un seul qui crêche dans le canton du valais! ça doit être un montagnard! w o u a r f!

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Invité Gnafron 1er

Les banques françaises ont perdu près de 100 milliards de dépôts

Selon des données Banque de France, les investisseurs étrangers ont retiré plus de 98 milliards de dépôts à court terme des banques françaises en septembre.

Les clients et investisseurs étrangers ont retiré plus de 98 milliards d'euros de dépôts à court terme des banques françaises en septembre. Des fuites de liquidité, qui pour la première fois depuis le début de l'année n'ont pas été compensées par d'autres entrées, indique dans une note Eric Dor, le directeur de recherche de l'IESEG, d'après les données statistiques de la Banque de France, relevées sur le système de paiement Target 2.

« Au bilan des banques, une baisse de dépôts étrangers va surtout être compensée par des emprunts plus élevés à la Banque de France », explique ce dernier. Ainsi, en octobre selon les mêmes statistiques de la Banque de France, 100 milliards d'euros ont été empruntés par les établissements de l'Hexagone à la Banque centrale.

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En mars et en juin, les banques de l'Hexagone avaient dû faire face à 74 milliards et 94 milliards de fuites de dépôts. Cependant, dans le même temps, quelque 55 et 87 milliards d'investissements dits de portefeuille avaient été injectés dans le système financier français (du type investissement dans des obligations d'entreprises par des étrangers). Les banques étrangères avaient en outre elles aussi été affectées par des sorties de liquidités. Les clients français avaient retiré respectivement sur ces deux mois 24 et 43 milliards d'euros.

Mais désormais depuis juillet, c'est un flux inverse qui prévaut, les clients français semblant se réfugier auprès des banques étrangères. Ils y ont déposé près de 60 milliards d'euros, dont 21 milliards en septembre, quand les banques françaises enregistraient des sorties de capitaux. Une tendance qui n'a pas dû s'infléchir avec le maintien en octobre de la relative défiance des marchés vis-à-vis du système bancaire français.

ANNE DRIF

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La carte interactive des partis politiques en Egypte... (de gauche à droite, des Laïques aux religieux...)

http://www.lemonde.fr/proche-orient/visuel/2011/12/02/la-carte-des-partis-politiques-egyptiens_1612944_3218.html#ens_id=1538049

Si quelqu'un trouve une carte sur le même principe des partis politique en France...

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Aucun dans mon carnet d'adresses...

Bon j'ai bien la Mère Lili mais c'est pas la Bête en Cour...

Modifié par Dom Le Trappeur
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Invité Gnafron 1er

Militaires non payés .....

Ni le ministre de la défense, ni le chef d’état-major de l’armée n’ont jugé utile de communiquer sur le non paiement pour des centaines de militaires, depuis 2 mois, de leur solde, primes ou indemnités. Il semble même que des pressions aient été exercées par la hiérarchie pour que cette affaire ne sorte pas du cadre restreint du ministère de la défense. L’on ne peut que s’insurger devant cette situation inadmissible qui touche, à la veille des fêtes de fin d’année, nos militaires tant en Opex que sur le territoire national.

David Saforcada, candidat de France Bonapartiste aux élections présidentielles de 2012, demande au ministre de la Défense, Monsieur Longuet, de bien vouloir apporter une réponse rapide à ces dysfonctionnements qui mettent en danger notre appareil militaire. Si le premier devoir du militaire est de servir, le premier devoir d’un gouvernement à son égard est de le respecter !

En aparté , un candidat de plus .... wouharf !

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triste, très triste de ne pas avoir entendu cela de Mélanchon ou Hollande

http://www.marianne2.fr/Marine-Le-Pen-attaque-Nicolas-Sarkozy-pour-relancer-sa-campagne_a213102.html?com#comments

« Je pèse mes mots, mais je dois le dire sans détour parce que personne n’osera le dire : le chef de l’Etat aujourd’hui installé à l’Elysée n’aime pas la France, ne la respecte pas. »

« Il n’aime pas la France et il est en train de tenter de la liquider. Il n’aime pas la France et il entre chaque jour un peu plus dans la collaboration avec ses maîtres : les marchés et les banques. »

« Il la trouve trop petite, il la voit faible, en creux de ses discours on comprend qu’il pense le peuple français paresseux, égoïste, figé, peureux. »

Au profit de qui et de quoi la délaisse-t-il ?

« Il est toujours prompts à aligner notre pays, un jour sur les Etats-Unis, un jour sur l’Allemagne. »

Et pour ceux qui n’aurait pas encore bien compris que Nicolas Sarkozy est en train de remettre les clés de l’Elysée à Angela Merkel, elle conclut : « Quand on dit que l’Europe n’est plus un choix et qu’on est prêt à accepter le diktat allemand pour maintenir ce carcan, en quoi est-on encore patriote ? »

Pis, ce Président qui brade la Nation se laisse entrainer dans des aventures « souvent hasardeuses et dans lesquelles l’intérêt national est tout sauf évident » par « sa muse BHL »

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Invité Gnafron 1er

triste, très triste de ne pas avoir entendu cela de Mélanchon ou Hollande

http://www.marianne2...ml?com#comments

Pas sûr qu'elle aime la France comme elle le dit si bien ....wouharf !Hormi qlq saloperies ici ou là habituelles , se rappeller ce qu'elle a dit dernièrement

" sortir de l'euro pour revenir aux Francs afin de le dévaluer d'où regain de compétitivé économique ...."

Sans avoir fait d'études poussées , on a vite compris que notre monnaie ne vaudra plus rien ....

Remarque , elle est sûr que les prolos ne seront pas tentés de fuir "sa patrie militarisée...."Leur pognon ne vaudra plus rien .Par contre , le GRAND CAPITAL aura tjrs sa monnaie plaçée sur les cours internationnaux ! re wouharf !

Modifié par Gnafron 1er
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Pas sûr qu'elle aime la France comme elle le dit si bien ....wouharf !Hormi qlq saloperies ici ou là habituelles , se rappeller ce qu'elle a dit dernièrement

" sortir de l'euro pour revenir aux Francs afin de le dévaluer d'où regain de compétitivé économique ...."

Sans avoir fait d'études poussées , on a vite compris que notre monnaie ne vaudra plus rien ....

Remarque , elle est sûr que les prolos ne seront pas tentés de fuir "sa patrie militarisée...."Leur pognon ne vaudra plus rien .Par contre , le GRAND CAPITAL aura tjrs sa monnaie plaçée sur les cours internationnaux ! re wouharf !

tu as raté un train de média: elle s'est fait fusillée médiatiquement en mars, lorsqu'elle annonce la couleur "anti-euro".

C'est la première à avoir oser contre l'euro.

Maintenant je te laisse lire tous les médias, où les experts d'hier s'accordent à une sortie de l'euro, à un risque de voir l'Allemagne quitter l'euro, à un euro à plusieurs vitesses...

Tous ces experts médiatiques lui ont donné raison, hélas...

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Invité Gnafron 1er

tu as raté un train de média: elle s'est fait fusillée médiatiquement en mars, lorsqu'elle annonce la couleur "anti-euro".

C'est la première à avoir oser contre l'euro.

Maintenant je te laisse lire tous les médias, où les experts d'hier s'accordent à une sortie de l'euro, à un risque de voir l'Allemagne quitter l'euro, à un euro à plusieurs vitesses...

Tous ces experts médiatiques lui ont donné raison, hélas...

Certe, effectivement car j'ai quand même tendance " à zapper " quand j'attends certains noms ! désolé

J'ose espérer que c'est N.S que j'aurai à combattre en Mai 2012........

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Certe, effectivement car j'ai quand même tendance " à zapper " quand j'attends certains noms ! désolé

J'ose espérer que c'est N.S que j'aurai à combattre en Mai 2012........

j'espère pour toi que Mélenchon sera au 2e tour sinon tu risques d'aller à la pèche !

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Pas sûr qu'elle aime la France comme elle le dit si bien ....wouharf !Hormi qlq saloperies ici ou là habituelles , se rappeller ce qu'elle a dit dernièrement

" sortir de l'euro pour revenir aux Francs afin de le dévaluer d'où regain de compétitivé économique ...."

Sans avoir fait d'études poussées , on a vite compris que notre monnaie ne vaudra plus rien ....

Remarque , elle est sûr que les prolos ne seront pas tentés de fuir "sa patrie militarisée...."Leur pognon ne vaudra plus rien .Par contre , le GRAND CAPITAL aura tjrs sa monnaie placée sur les cours internationaux ! re wouharf !

comme on importe plus que l'on exporte et que la monnaie serait dévaluée , tu parles d'un bon que vont faire les prix.. il va falloir se rabattre sur le rouge du Languedoc et manger liquide!ça permet d'oublier ... :sad:

le probléme n'est pas l'€ mais la gestion de l'€ par la banque centrale, la politique de gestion des finances et les baques qui font ce qu'elles veulent soutenues par les agences de notation, en résumé la spéculation et les banques centrales.Sans oublier l’Europe qui n'agit pas contre cet état de fait. Pour finir bien sur l’Europe qui n'est pas dirigées par des politiques élus et les incohérences budgétaires sociales et fiscales entre états.

Modifié par jackv
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Droit de vote des étrangers :

« On peut dissocier citoyenneté et nationalité »

http://www.humanite....nalite-»-485467

Auteur d’une thèse

http://hal.archives-ouvertes.fr/docs/00/13/04/45/PDF/0612_THESE_ANDRES.pdf

sur le droit de vote des étrangers, Hervé Andrès, ingénieur d’études au CNRS, rappelle que le rattachement des citoyens à un État est une construction récente. Et que les étrangers ont déjà pu voter en France...

Pour les opposants au droit de vote des étrangers, la citoyenneté ne serait pas dissociable de la nationalité, qu’en pensez-vous ?

Hervé Andrès. Depuis 1998, il existe une dissociation de facto de la citoyenneté et de la nationalité puisque les ressortissants européens peuvent voter aux élections locales et européennes. Cela crée une double discrimination : entre Français et étrangers et entre les Européens et les non Européens. Sur le fond, je pense que vouloir enfermer la citoyenneté dans la nationalité, c’est nier la démocratie. La démocratie part du peuple, pas d’un État qui trace une frontière entre nationaux et étrangers.

Pour les opposants à ce droit, les étrangers qui veulent voter n’ont qu’à devenir Français...

Hervé Andrès. C’est facile de dire « ils n’ont qu’à » alors que les lois d’accès à la nationalité ont été considérablement durci ces dix derniers années ! On assigne l’étranger aux marges de la communauté politique. Est-il légitime que des gens soient privés de tout consentement aux règles qu’ils doivent suivre ?

Quel pays ont mis en place le droit de vote des étrangers ?

Hervé Andrès. Dans un pays sur trois dans le monde, les étrangers peuvent participer aux élections, pas forcément tous les étrangers, ni toutes les élections. Parfois, la situation n'est pas la même d’un état ou d’un canton à l’autre, comme en Argentine, en Australie et en Suisse. Il y a une tendance mondiale à l’octroi du droit de vote des étrangers. Beaucoup l’ont fait récemment, à la fin du XXe siècle. En fait l’idée que les nationaux aient le droit de vote mais pas les étrangers est une idée relativement moderne. Le doit de vote a mis très longtemps à se construire comme une base de la démocratie moderne. Par exemple dans un pays comme les États-Unis, pendant très longtemps, de nombreux « citizens » ont été exclus du droit de vote, notamment les esclaves, les noirs et les pauvres. Par contre des étrangers avaient le droit de vote parce qu’ils étaient des propriétaires blancs et chrétiens, des WASP. Il reste des traces de ce droit de vote des étrangers dans certains villages des États-Unis. Il y a eu de façon parallèle l'émergence du suffrage universel pour les nationaux et des processus d’inclusion ou d’exclusion des étrangers.

En Amérique du sud, ce droit est beaucoup plus anciens, le Chili l'instaure dans les années 1920. Le royaume uni accorde le droit de vote aux citoyens du Commonwealth en 1948.

En France, quand est-ce que le débat émerge ?

Hervé Andrès. La notion de nationalité (en tant que statut juridique liant une personne à un État) ne date que dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Dans le projet de Constitution de 1793, est citoyen tout étranger qui s’implique dans la vie politique du pays. Pendant la Commune, les étrangers ont le droit de vote, il y en a même un qui devient ministre. Dans le cadre colonial, il y aussi rupture entre citoyenneté et nationalité, les indigènes ont la nationalité mais pas la citoyenneté, ils ont les devoirs mais pas les droits. Par contre, certains étrangers européens deviennent citoyens français. Cela devient une revendication clairement exprimée dans les années 1970. En 1972, le programme commun de la gauche prévoit l’égalité des droits politiques entre travailleurs français et étrangers.

Les immigrés se battent peu pour obtenir ce droit, comment l’expliquez-vous ?

Hervé Andrès. Dans les années 1970 et 80, les immigrés ont d’abord milité pour les droits politiques dans le pays d’origine. Dans les années 90, il y a eu des appels d’associations d’immigrés pour le droit de vote des étrangers. Leur relatif silence actuel est aussi symptomatique de l’assignation de l’étranger hors de la politique française. Quand on vous dit sans cesse que vous n’existez pas politiquement, on ne se sent pas le droit de réclamer une voix.

Combien de personnes sont concernées ?

Hervé Andrès. Une pétition lancée par la droite populaire mentionne quatre millions d'étrangers, ces chiffres sont en contradiction avec les statistiques de l'Etat. D'après le dernier recensement, il y a 3,7 millions d'étrangers en France, dont 1,3 de citoyens européens. On retire les 500 000 mineurs nés en France qui deviendront Français à leur majorité. Donc, on arrive à 1,9 millions. Ensuite tout dépend de la durée de résidence exigée. Avec une durée de présence très courte on arrive à 1,5 million d'électeurs potentiels de plus. Avec un corps électoral à 44 millions, ça représente 3 à 4 % d'électeurs en plus.

Claude Guéant assure que les étrangers voteraient islamiste ou communautaire en France. Peut-on faire de telles projections ?

Hervé Andrès. Au niveau européen, les déterminants sociaux (âge, classe sociale, patrimoine, etc.) nous indiquent au contraire que l’électorat étranger, plus jeune et plus ouvrier, aurait tendance à voter à gauche.

Voyez-vous un héritage colonial au refus de la France d’accorder le droit de vote aux étrangers ?

Hervé Andrès. Je dirais un héritage colonial paradoxal. Ceux qui s’opposent au droit de vote des étrangers fusionne nationalité et citoyenneté alors qu’ils sont les héritiers de ceux qui ont défendu le contraire dans les colonies. Certains discours reprennent l’héritage colonial. « Ils n’ont qu’à demander la naturalisation » : c’est ce qu’on disait aux indigènes coloniaux pour qu’ils passent de nationaux à citoyens, comme si c’était facile et naturel...

Modifié par Dom Le Trappeur
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Invité Gnafron 1er

Les étrangers votent déjà en France ...........pour les élections politiques !

Vu une carte d'électeurs , hier soir , d'un de ceux ci .

Donc , déjà le terme " vote des étrangers" est très imprécis ................wouharf

Car qlq part , on trompe l'opinion ....en "jonglant " avec les mots!

Modifié par Gnafron 1er
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