Extrait de la depeche du Midi:

Sur le quai numéro 9, tout au bout des voies ouvertes au public à la gare Matabiau de Toulouse, les voyageurs s'interrogeaient hier en début d'après-midi : « Est-ce bien le train pour Mazamet ? » Inquiétude habituelle des passagers, angoisse plus discrète des agents de la SNCF. En uniforme avec casquette ou en bleu de travail, tous savent ce qui se passe, « là-bas au fond… ». À travers les vitres du TER qui va partir pour le Tarn, le regard doit encore passer quelques voies pour découvrir des policiers qui entourent un autorail d'un bleu fatigué. Un ancien modèle qui sortait de la révision. C'est à l'intérieur de ce TER qu'hier matin vers 10 h 15, un membre de l'équipe chargée du nettoyage a fait l'horrible découverte : le corps sans vie d'une femme

Jean Cohadon.

Plus d'infos sur http://www.ladepeche.com/aff_art.asp?Ref=200706061402

Extrait de la depeche du Midi:

Sur le quai numéro 9, tout au bout des voies ouvertes au public à la gare Matabiau de Toulouse, les voyageurs s'interrogeaient hier en début d'après-midi : « Est-ce bien le train pour Mazamet ? » Inquiétude habituelle des passagers, angoisse plus discrète des agents de la SNCF. En uniforme avec casquette ou en bleu de travail, tous savent ce qui se passe, « là-bas au fond… ». À travers les vitres du TER qui va partir pour le Tarn, le regard doit encore passer quelques voies pour découvrir des policiers qui entourent un autorail d'un bleu fatigué. Un ancien modèle qui sortait de la révision. C'est à l'intérieur de ce TER qu'hier matin vers 10 h 15, un membre de l'équipe chargée du nettoyage a fait l'horrible découverte : le corps sans vie d'une femme

Jean Cohadon.

Plus d'infos sur http://www.ladepeche.com/aff_art.asp?Ref=200706061402

Mais c'est horrible des choses comme ça

Comment ça a pu arriver ? Personne ne fais le tour des rames au garage, ou à l'arrivée des trains ? Elle n'a pas pu mourrir en quelques instants... Ou alors elle a été déposé là comme ça. koiquesse

Vu l'exiguïté du site, tout se touche.

Tu traverses la derniere voie à quai, et, tu es dans le dépot.

Waouuuu, lugubre histoire ! Y'a vraiment des tarés partout....

Bon sang, on est peu de chose quand même.