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Actualités Politiques


katamiaw

Messages recommandés

« Il y a beaucoup de Français, y compris en longue maladie, qui ont besoin du travail pour guérir. »

(Frédéric LEFEBVRE UMP 24/06 sur LCI un mois après avoir retiré son amendement visant à rendre possible le travail pendant les arrêts maladie)

Allez hop...au boulot !

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Les anglais dramatisent le sujet dans un article du Times ; la maladie de Pompidou et le cancer de F. Miterrand sont évoqués

http://www.timesonline.co.uk/tol/news/worl...icle6727653.ece

Word of his collapse came as a surprise to French media unused to such transparency from Heads of State.

When Georges Pompidou fell ill with Waldenström's macroglobulinemia, for instance, news outlets said he was suffering from flu. It was only when he died in 1974 that the French discovered the truth.

Francois Mitterrand hid his prostate cancer for 11 years after his election in 1981.

President Sarkozy promised a new policy of openness during his election campaign in 2007. But later that year, he underwent an operation on a throat abscess at Val-de-Grace hospital which was kept secret for months.

Visiblement Sarko n'a pas la côte chez les Britanniques okok

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L'histoire serait-elle un recommencement ?

Paul Deschanel Président en 1920 a arrêté sa fonction parce que lui aussi avait subi un malaise :

http://trefaucube.free.fr/index.php?id=104

Paul Deschanel, un président tombé du train »

Depuis le 18 février de cette année 1920, le président de la république française se nomme Paul Deschanel. Elu à l'âge de 65 ans et prenant la succession du très populaire héros de guerre Raymond Poincaré, cet homme a déjà derrière lui un long passé de sous-préfet, député de l'Eure-et-Loir ou encore président de la Chambre des députés. Il est en outre reconnu comme un homme de lettres intelligent et cultivé, et est d'ailleurs membre de l'Académie Française depuis 1899 : ses discours sont toujours remarquables, et son éloquence est fameuse ! Mais la charge et les responsabilités qui pèsent sur ses épaules semblent affecter l'homme de façon assez inquiétante : le président Deschanel est sujet a des crises d'angoisse, des insomnies, et consomme beaucoup de médicaments...

Le 23 mai, Paul Deschanel se trouve dans un train à destination de Montbrison (département de la Loire), ville où il doit prononcer un discours et inaugurer un buste à la mémoire d'Emile Reymond, sénateur et pionnier de l'aviation, mort dans les tous premiers mois de la guerre 14-18. Peu après 23 heures, le train se trouve non loin de Mignerette, un petit village du Loiret. La chaleur est étouffante, et le président Deschanel est pris de malaise, il se sent oppressé et anxieux : il ouvre la fenêtre de son compartiment pour respirer un peu d'air frais, mais, perturbé par sa sensibilité aux médicaments et entraîné par le système d'ouverture de la fenêtre, il bascule hors du train et tombe !

Fort heureusement pour lui, le train roulait lentement à cet endroit précis : vêtu d'un simple pyjama, le corps couvert d'égratignures, Paul Deschanel ne tarde pas à croiser André Rateau, un ouvrier qui surveille un chantier situé non loin du lieu de la chute. Le président lui dit alors : « Mon ami, cela va vous étonner, mais je suis le président de la République ». André Rateau, incrédule et persuadé d'avoir affaire à un ivrogne, le conduit cependant chez le garde-barrière le plus proche, Gustave Dariot. Ce dernier soigne comme il peut le président Deschanel, et, constatant sa relative lucidité et la dignité de son maintien, il court prévenir la gendarmerie[1].

A 7 heures du matin, à Montargis, le ministre de l'intérieur et toute la délégation qui devait recevoir Paul Deschanel en sont pour leurs frais, et sont informés de l'infortune du président de la République... La mésaventure ne tarde pas à se savoir, et les journaux s'en donnent à coeur joie : des dizaines de caricatures cruelles tournent le président en ridicule, et les chansons satiriques fleurissent un peu partout.

Finalement, après d'autres déboires parfois embarrassants (somnambulisme, surmenage, fatigue extrême), Paul Deschanel fait preuve de lucidité et démissionne de sa fonction de président de la République, le 21 septembre 1920, quelques mois seulement après son accession au pouvoir.

Amis conducteurs, si vous rencontrez un individu en pyjama, pensez qu'il peut s'agir du président de la République.

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Amis conducteurs, si vous rencontrez un individu en pyjama, pensez qu'il peut s'agir du président de la République.

tu sais bien qu'il déteste le train comme tous les soi-disants hyperactifs, qui sont en fait des gens incapables de rester en place.

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Au fait hier c'était dimanche...

Ah le travail dominical...

c'est dangereux pour la santé...

Pas forcément ....regarde les curés .Ils ne bossent que le Dimanche (de 9h à 12h ) et ils se protent grassement ! !

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L'histoire serait-elle un recommencement ?

Paul Deschanel Président en 1920 a arrêté sa fonction parce que lui aussi avait subi un malaise :

http://trefaucube.free.fr/index.php?id=104

Paul Deschanel, un président tombé du train »

Depuis le 18 février de cette année 1920, le président de la république française se nomme Paul Deschanel. Elu à l'âge de 65 ans et prenant la succession du très populaire héros de guerre Raymond Poincaré, cet homme a déjà derrière lui un long passé de sous-préfet, député de l'Eure-et-Loir ou encore président de la Chambre des députés. Il est en outre reconnu comme un homme de lettres intelligent et cultivé, et est d'ailleurs membre de l'Académie Française depuis 1899 : ses discours sont toujours remarquables, et son éloquence est fameuse ! Mais la charge et les responsabilités qui pèsent sur ses épaules semblent affecter l'homme de façon assez inquiétante : le président Deschanel est sujet a des crises d'angoisse, des insomnies, et consomme beaucoup de médicaments...

Le 23 mai, Paul Deschanel se trouve dans un train à destination de Montbrison (département de la Loire), ville où il doit prononcer un discours et inaugurer un buste à la mémoire d'Emile Reymond, sénateur et pionnier de l'aviation, mort dans les tous premiers mois de la guerre 14-18. Peu après 23 heures, le train se trouve non loin de Mignerette, un petit village du Loiret. La chaleur est étouffante, et le président Deschanel est pris de malaise, il se sent oppressé et anxieux : il ouvre la fenêtre de son compartiment pour respirer un peu d'air frais, mais, perturbé par sa sensibilité aux médicaments et entraîné par le système d'ouverture de la fenêtre, il bascule hors du train et tombe !

Fort heureusement pour lui, le train roulait lentement à cet endroit précis : vêtu d'un simple pyjama, le corps couvert d'égratignures, Paul Deschanel ne tarde pas à croiser André Rateau, un ouvrier qui surveille un chantier situé non loin du lieu de la chute. Le président lui dit alors : « Mon ami, cela va vous étonner, mais je suis le président de la République ». André Rateau, incrédule et persuadé d'avoir affaire à un ivrogne, le conduit cependant chez le garde-barrière le plus proche, Gustave Dariot. Ce dernier soigne comme il peut le président Deschanel, et, constatant sa relative lucidité et la dignité de son maintien, il court prévenir la gendarmerie[1].

A 7 heures du matin, à Montargis, le ministre de l'intérieur et toute la délégation qui devait recevoir Paul Deschanel en sont pour leurs frais, et sont informés de l'infortune du président de la République... La mésaventure ne tarde pas à se savoir, et les journaux s'en donnent à coeur joie : des dizaines de caricatures cruelles tournent le président en ridicule, et les chansons satiriques fleurissent un peu partout.

Finalement, après d'autres déboires parfois embarrassants (somnambulisme, surmenage, fatigue extrême), Paul Deschanel fait preuve de lucidité et démissionne de sa fonction de président de la République, le 21 septembre 1920, quelques mois seulement après son accession au pouvoir.

Amis conducteurs, si vous rencontrez un individu en pyjama, pensez qu'il peut s'agir du président de la République.

De nos jours, les présidents de la république se déplacent en hélico ou en jet.......................... PLOUF!

Quelle chute. cartonrouge

Puis pour le pyjama, le notre, speed comme il est, je le vois bien faire " DODO " en gigoteuse. !!!!!

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De nos jours, les présidents de la république se déplacent en hélico ou en jet.......................... PLOUF!

Quelle chute. helpsoso

Puis pour le pyjama, le notre, speed comme il est, je le vois bien faire " DODO " en gigoteuse. !!!!!

c'est Karla qui le surmène?... chatchat.... mdrmdr

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Oh les fayots sur Facebook mdrmdrhelpsoso

http://www.20minutes.fr/article/340235/Fra...ur-Facebook.php

INTERNET - Il assure qu'il va «très bien» et qu'il se reposera cet été...

Le message dans son intégralité, publié mardi soir:

«Je vais très bien après le petit incident de dimanche, qui m’incite à prendre du repos cet été.

Merci pour vos encouragements et témoignages, qui me touchent beaucoup.

Parmi tous les messages que j’ai pu recevoir – de tous mes collègues chefs d’Etat et de gouvernement étrangers notamment – les vôtres me tiennent particulièrement à cœur.

Votre sympathie et votre spontanéité sur Facebook font vivre un lien précieux entre nous.

Je vous souhaite à tous un très bon été.

Nicolas Sarkozy»

800 «com's» en 3 heures :blush:

La plupart des 800 commentaires laissés (à minuit) souhaite un «bon rétablissement» :blink: au chef de l'Etat, même si quelques-uns «s'en tapent». helpsosolotrela

Le «lien précieux», c'est entre Nicolas Sarkozy et ses 130.000 «fans» (et quelques journalistes souhaitant se tenir au courant de l'actualité facebookienne du président). 130.000, c'est dix fois plus qu'Angela Merkel, mais 50 fois moins que les six millions de Barack Obama.

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Sous le sable chaud de la Plage...

Le Pavé de Philo du jour...

"La gauche au sens où l'est Carla Bruni": mais qu'est-ce donc?

LePost

Voilà ce qu'il y a de génial pendant les vacances.

Il se trouve toujours un ami pour vous mettre dans les mains un livre, un journal ou un magazine

que vous n'auriez jamais lu autrement.

Pour ma part, j'ai hérité du dernier numéro du NouvelObs, qui titre sur les «Philosophies de l'Amour».

Mais il faut sans doute un esprit vicié sinon vicieux, comme le mien,

pour passer à côté de ces «Philosophies de l'Amour» et m'intéresser tout spécialement au portrait d'un obscur fonctionnaire.

Un dénommé Olivier Poivre d'Arvor.

Olivier, dit OPA n'est seulement le frère de Patrick, dit PPDA.

C'est aussi un brillant diplomate, ambassadeur de la Culture française à l'étranger (patron de Culturesfrance) et surtout un très fin observateur de la politique française.

Si fin observateur qu'il a su déceler dans l'évolution récente de la scène politique française, la naissance d'une nouvelle famille de la gauche française. La gauche «au sens où l'est Carla Bruni» !

Au journaliste taquin de l'Obs qui lui demande si, pour son métier d'ambassadeur culturel et pour ses ambitions, être «à gauche» est un handicap, Olivier Poivre d'Arvor répond :

«Non, pas au sens où l'est Carla Bruni. Les vrais clivages sont entre immobilisme et mouvement.

Ceux qui ont diabolisé Sarkozy en sont pour leur frais : entre la célébration de la victoire avec Didier Barbelivien et le ralliement de Frédéric Mitterrand (un « enchanteur »),

il y a un chemin incroyable. Il n'a pas tort de se vanter d'avoir piqué à la gauche le mouvement et la culture.»

Un morceau d'anthologie, n'est-ce pas?

En tout cas, il entre sérieusement en compétition avec ce numéro du Le Point où l'on vante une N-ième fois

le puissant intérêt de Nicolas Sarkozy les œuvres difficiles et où l'on retrouve le NouvelObs par la voix de son fondateur, Jean Daniel :

«L'être présidentiel est celluloïde et ne répond à aucune formule mathématique.

UMP, majorité, droite : tous ces mots qui le renvoient à sa famille politique sont devenus obsolètes, hors compétition électorale.

Est-il encore de droite culturellement ? (...) Où est donc le Sarkozy qui voulait liquider l'héritage de Mai 68 ?

Où est celui qui s'affichait entre Mireille Mathieu et Steevie durant la campagne présidentielle ?

Jean Daniel, fondateur du NouvelObs, voit dans cette nouvelle tendance sarkozyenne, outre la main d'orfèvre de Carla, l'influence de Barack Obama. (...)

S'élever par l'ouverture, par la culture. S'élever par la lecture.

Il n'a pas lu tout Maupassant, comme le prétendent certains de ces proches, mais il est vrai qu'il s'intéresse d'avantage à la littérature classique.

A Borges, paraît-il. « J'aimerais qu'il me dise comment il lit Borges, c'est une lecture très compliquée », relève Jean Daniel.»

La gauche «au sens où l'est Carla Bruni» ! Qu'est-ce que c'est donc ? Osons une définition.

Ce sont ces gens de droite, faussement de gauche, qui s'accommodent bien du fait qu'il y ait des très riches et des très pauvres.

Tout comme il y a des artistes à succès et des «loosers». Ce sont ces gens soit disant de gauche qui préfèrent le «mouvement».

Un voile pudiquement posé pour ne pas dire qu'ils préfèrent le «pouvoir» à la lutte ingrate pour les valeurs de Justice. Comme les papillons préfèrent la lumière...

Pas étonnant qu'ils vantent ce «mouvement» qui à défaut d'être «brownien» est «sarkozien».

Si le mouvement «brownien» se caractérise par l'agitation rapide, désordonnée et aléatoire des particules,

le mouvement «sarkozien» est lui caractérisé par un mouvement pseudo-aléatoire

qui consiste à prendre plus à ceux qui ont moins pour favoriser les amis qui ont toujours plus.

Dans ce mouvement d'agitation pseudo-aléatoire, il est plus facile de fondre dans la masse et de se dire de gauche.

La devise de cette gauche «au sens où l'est Carla Bruni», pourrait être la suivante «qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'HADOPI, le bouclier fiscal et les Ors de la République...».

PS: Olivier Poivre d'Arvor est sans aucun doute un excellent serviteur et ambassadeur de la culture française. Quoi qu'en pensent les esprits chagrins.

On ne peut penser du mal de quelqu'un qui aurait permis de cette découverte scientifique de premier ordre :

la gauche «au sens où l'est Carla Bruni».

OPA publiera d'ailleurs un livre co-écrit avec Aurélie Filippétti qui sera publié à la rentrée.

L'ocassion de nouvelles découvertes ?

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Encore un sondage d'Opinionway payé avec le budget des l'Elysée lotrela

http://www.lefigaro.fr/politique/2009/08/0...popularite-.php

Le malaise de Sarkozy dope sa popularité

Le chef de l'Etat gagne 12 points par rapport au mois de mai, avec 53% d'opinions favorables dans un sondage CSA pour VSD, dévoilé mardi. Les sondés lui recommandent toutefois de déléguer davantage à ses ministres, à la rentrée.

Son malaise, en plein jogging fin juillet, aura peut-être forcé Nicolas Sarkozy à lever le pied mais il semble lui avoir également attiré un regain d'affection de la part des Français. Un sondage CSA pour VSD, le premier à paraître depuis l'accident, montre que le chef de l'Etat a gagné 12 points de popularité. 53% des personnes interrogées pensent qu'il «fait un bon président», contre 41% en mai. 38% sont d'un avis contraire alors qu'ils étaient 55% il y a trois mois, soit une baisse de 17 points.

Pour autant, ils sont 55% à recommander au président de déléguer «davantage à la rentrée la gestion concrète des dossiers au gouvernement». Une requête qu'on a souvent faite au chef de l'Etat, critiqué par l'opposition pour son hyperdynamisme et son omniprésence. 37% seulement des personnes interrogées souhaitent qu'il continue «à s'occuper à la fois des grandes orientations» et de la «gestion concrète». Pour 51% des sondés, le chef de l'Etat devrait se «reposer complètement» pendant ses vacances, comme lui ont demandé ses médecins. Mais 49% n'ont aucune objection à ce qu'il poursuive ses activités sportives.

Emballement médiatique

Son accident de santé semble également avoir accentué les qualités personnelles de Nicolas Sarkozy. Le chef de l'Etat a ainsi engrangé 14 points de « proximité » : 50% jugent que le qualificatif «'proche' s'applique bien à lui», contre 36% en mai. 46% pensent le contraire (61% dans la précédente enquête). 63% le trouvent «sympathique» et 80% «courageux», un score en hausse de 5%. Le président a même gagné cinq points en «dynamisme» : 90% lui appliquent désormais ce qualificatif. Une avalanche de bons points qui ne devrait pas surprendre à l'Elysée. Interrogé par le Figaro, un communiquant proche du président a d'ailleurs avait confié fin juillet: « Ce malaise humanise son dynamisme», de même que son divorce avec Cécilia avait montré «qu'il était un homme comme les autres».

L'enquête d'opinion du CSA révèle un autre avertissement, cette fois-ci en direction des médias dont l'emballement autour de l'accident du 26 juillet a agacé. 60% des personnes interrogées par le CSA jugent en effet que l'on a «trop» parlé du malaise présidentiel.

Sondage réalisé par téléphone les 29 et 30 juillet auprès de 1.011 personnes de 18 ans et plus (méthode des quotas). Notice détaillée disponible auprès de la Commission nationale des sondages.

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Moi je vous dis que s'il se représente demain, il est ré-élu largement.

Les boursicoteurs n'ont pas encore perdu assez de pognons et il y a pas assez d'ouvriers au chomage, pourvu que ça dure

Modifié par cohiba
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Invité loupblanc59

Pas forcément ....regarde les curés .Ils ne bossent que le Dimanche (de 9h à 12h ) et ils se protent grassement ! !

salut et encore ils font moins de chappelle,maintenant ils conduisent et sa le pape la pas prévu,soite une messe 1heures,trois messes trois verres de vin de messe,il peux conduire le curé ,il a mangé trois austis ? lotrela

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Invité loupblanc59

ce qui aurait èté marrant pour sarko c'est de faire gréve pendant ses congés.

il a dit à la population francaises,j'espéres que rien ne gachera ou abrévera mon repos pendant mes congés.

au debut lorsqu'il était ministre il avait déjà fait des promesses.

alors moi je dis laissont lui ses congé,et voyont pour la rentrée en septembre ou à noél comme en 95.

lotrela

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La moitié des Français satisfaits de Nicolas Sarkozy, selon un sondage

Le président Nicolas Sarkozy est "un bon président" pour 53% des Français, soit 12 points de plus qu'en mai dernier, selon un sondage CSA publié mercredi dans "VSD".

Après son malaise, 43% des Français pensent que le président de la République doit "continuer à gérer les principaux dossiers du pays" durant ses vacances, mais 51% jugent qu'il doit "se reposer complètement".

A la rentrée, plus de cinq Français sur dix (55%) souhaitent que Nicolas Sarkozy "délègue davantage la gestion concrète des dossiers au gouvernement", alors que 37% estiment qu'il doit "continuer de s'occuper à la fois des grandes orientations de son action politique et de la gestion concrète des dossiers".

Enfin, Nicolas Sarkozy voit son image générale remontée dans l'opinion des Français avec 90% qui le trouvent dynamique (contre 85% lors du précédent sondage), courageux (80% contre 75%), sympathique (63% contre 48%). Par contre, seuls 50% le voient proche des gens (36% en mai dernier).

- sondage réalisé par téléphone les 29 et 30 juillet auprès d'un échantillon national représentatif de 1.011 personnes, âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. AP

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Un article de Mariane du 10 août

http://www.marianne2.fr/Vacances-de-Sarkozy-bienvenue-aux-paparazzi!_a181743.html

Vacances de Sarkozy: bienvenue aux paparazzi!

Reposez-vous! «Si l'actualité nous laisse tranquille...» Mais ne serait-ce pas l'inverse? L'hyperactif de l'Elysee part en vacances, mais il faut que ce soit sous les feux de la rampe, tous les paparazzi conviés au Cap Nègre pour des photos soi-disant volées, et les journaux abreuvés de leur communiqué sarkozien quotidien. Sarkozy, même en congé, ne laissera pas l'actualité tranquille...

Ceux qui croyaient que la convalescence présidentielle serait discrète en seront pour leurs frais. Nicolas Sarkozy se repose, mais reste présent. « On va s'y tenir tranquille, si l'actualité veut bien nous laisser tranquille ! » avait pourtant promis Sarkozy. Côté face, il met en scène ses congés comme ceux d'un Monarque cool et zen. Côté pile, il mitraille les médias de communiqués tous azimuts.

La fausse intimité au Cap Nègre

On a pu être surpris de la multitude de clichés montrant Nicolas Sarkozy et son épouse sur les plages du Cap Nègre. On finira par connaître toute la garde-robe de baignade du Président... Certaines photos en plan large permettent de comprendre l'imposture. Les paparazzis sont largement tolérés. Des bateaux proches des berges permettent aux chasseurs de scoops de devenir les photographes officiels de la Sarkofrance en vacances. Nicolas Sarkozy n'a pas évité non plus le « bain de foule », histoire de se montrer « cool », « souriant » et surtout « mal rasé ».

Absent mais omni-présent

Depuis mercredi, on entend Sarkozy s'exprimer chaque jour. A croire que ses vacances sont terminées. Pour le Figaro, il « reprend en main le dossier des bonus » bancaires. Il écrit aussi à Netanyahu pour qu'il fasse preuve de clémence en faveur d'un franco-palestinien. Il fait savoir à Marie-George Buffet qu'il « aidera » la journaliste qui risque le fouet au Soudan. Et quand ce ne sont pas ses attachés de presse parisiens qui s'en chargent, ses proches ministres (Le Maire, Estrosi) prennent le relais et complètent le dispositif de comm' de l'Elysée .

Comble de la mise en scène médiatico-monarchique, le service de communication de l'Elysée a publié vendredi un communiqué bien officiel, d'une quarantaine de lignes, pour informer les sujets du Royaume que la Reine Carla a fait un « don personnel » à l'hôpital de l'Aquila... Ouf ! Son généreux don de 50 000 euros permettra de financer un incubateur pour bébé à l'Aquila.

« Le 10 juillet dernier, à l’occasion de la tenue du Sommet du G8 à L’Aquila (Italie), Madame Carla Bruni-Sarkozy s’est rendue dans le centre-ville, gravement touché par le tremblement de terre du 6 avril 2009. Les autorités locales et les responsables de la Protection Civile italienne lui ont montré l’étendue des très importants dégâts causés par la catastrophe, qui a fait plus de 300 morts et 1 500 blessés.

Mme Bruni-Sarkozy s’est également rendue à l’hôpital San Salvatore de L’Aquila, en-dehors du périmètre réservé au sommet du G8, afin de manifester sa solidarité à la population de la région et sa gratitude à l’égard des équipes médicales pour leur extraordinaire dévouement depuis le 6 avril. A la faveur de cette visite, elle a annoncé le don d’une contribution personnelle de 50 000 euros à l’hôpital de L’Aquila.

Grâce au travail de la Protection Civile italienne, des autorités sanitaires des Abruzzes et des responsables de l’hôpital, un besoin prioritaire a depuis pu être identifié : la donation de Mme Bruni-Sarkozy servira à l’achat d’un incubateur de dernière génération. Ce matériel médical permettra d’apporter tous les soins nécessaires aux nouveau-nés les plus fragiles.

La gestion et le contrôle de l’utilisation de cette donation seront réalisés par la Protection Civile italienne.

Le versement des fonds a été effectué le vendredi 7 août 2009. »

Que les Français se rassurent. Nicolas Sarkozy ne travaille pas. Il lit la presse, passe quelques coups de fils, et demande aux soutiers de permanence à l'Elysée de lui pondre un communiqué par jour... a minima.

Le cirque médiatique continue en août. lapleunicheuse cartonrouge

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Bah... Lefebre avait annoncé la couleur quand il parlait de repos "relatif". Rien d'étonnant. Au moins Poutine revendique clairement la mise en scène de ses vacances. ça nous fait de belles photos bien nettes qui n'ont pas besoin de passer par un gommage photoshop.

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http://www.lefigaro.fr/politique/2009/08/1...-imbroglio-.php

Si même Le Figaro s'y met ...

Une visite de Chatel dans un supermarché vire à l'imbroglio ...

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Intermarché fait étalage de sa mise en scène UMP

Bidonnage .

Le magasin avoue avoir orchestré la visite de Chatel.

MARWAN CHAHINE

La direction d’Intermarché a reconnu hier dans un communiqué avoir «pris l’initiative d’inviter» un certain nombre de ses salariés lors de la visite de Luc Chatel, ministre de l’Education nationale, lundi, dans un supermarché de Villeneuve-le-Roi (Val-de-Marne). Les journalistes présents s’étaient étonnés de l’attitude de certaines clientes et y avaient vu une mise en scène (Libé d’hier). «Cette initiative est le seul fait d’Intermarché et en aucun cas ni le ministre ni ses collaborateurs n’y ont été associés ni même informés», précise le groupe qui présente ses excuses «aux ministres et aux journalistes présents».

Fausse cliente. Dans un courrier adressé à Laurent Joffrin, directeur de Libération , Luc Chatel «condamne fermement […] une initiative à l’opposé de ses convictions et de ses pratiques». Le ministre assure par ailleurs que Virginie Meyniel, la fausse cliente soupçonnée d’être sympathisante UMP, est «collaboratrice d’Intermarché» - comptable au siège - et «n’est pas adhérente à l’UMP».

Philippe Gustin, directeur de cabinet de Luc Chatel a raconté à Libération le déroulement de la visite : «Nous avions contacté le supermarché préalablement à notre venue et nous nous attendions à ce qu’il y ait peu de monde. […] Luc Chatel a d’ailleurs été surpris de voir autant de véhicules stationnés sur le parking du magasin. Son étonnement n’a fait que croître lorsqu’il s’est aperçu que les clientes connaissaient toutes "les essentiels de la rentrée".»

Devant les proportions prises par l’affaire, le ministère a enquêté. Ce qui a conduit Intermarché à avouer être à l’origine du projet sans préciser la nature de «l’invitation» faite aux salariés, ni son origine ; la direction générale ou celle du magasin de Villeneuve-le-Roi.

Scénarisation. Joint par Libération, Intermarché assure qu’«un communiqué de la direction annonçant la venue de Luc Chatel a circulé dans les magasins», mais qu’«il n’y a pas eu de sélection parmi les salariées présentes et qu’aucun ordre de faire de la figuration n’a été donné». Des propos surprenants dans la mesure où Virginie Meyniel avait nié, lundi, travailler pour le groupe et s’était présentée comme une mère de famille. Par ailleurs, les dix femmes présentes ont fait mine d’acheter des fournitures, ce qui accrédite l’hypothèse d’une scénarisation. Il s’avère enfin qu’il n’y a pas de responsable marketing du magasin à Villeneuve-le-Roi. C’est pourtant sous ce titre qu’un interlocuteur avait assuré à Libération que les fausses clientes étaient des habituées de l’Intermarché.

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