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katamiaw

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Tout ce qui a été posté par katamiaw

  1. Pourrais-tu m'indiquer de quel forum il s'agit ?
  2. katamiaw

    Présentation des membres

    Titre Modifié et 1er post Modifié: Ce sujet permettra dorénavant aux nouveaux membres de se présenter Depuis quelques jours nous avons eu la venue de nouveaux inscrits actifs, je propose donc de leur passer un petit bonjour ici, et par la même occasion ils pourront se présenter s'ils le veulent bien Ces nouveaux membres sont: PCHA30 stephou29 plouc amelot Yannick du 90 michel13150 bigbrasil Zorbas Tecsomane thegandolfi Bienvenu à vous sur le forum, n'hésitez pas à faire des remarques si besoin... Edit : j'ai fait une erreur de manip en voulant combiner les sujets, j'ai du réecrire le titre
  3. - Bar le duc (55) => BLD - Epinal (88) => EL - Metz (57) => MZ - Sarreguemines (57) => SGS - Reims (51) => RE - Troyes (10) => TR - Chaumont (52) => CHM - Charleville-Mezieres (08000) => CA - Thionville (57) => THL Ne me demandez pas si je suis sur de ces abréviations... ce sont les officielles.
  4. "Le nombre maximum d'utilisateurs en ligne simultanément a été de 260 le Aujourd'hui, 20:40" Oula ! Y'a du bug dans l'air non ? Je vais vérifier ca...
  5. Réponse: Le différentiel Le dévers de la plate forme en courbe qui incline le train. Les profils conjugués de la roue et du rail permettent de faire varier le diamètre du cercle de contact. Le cercle de contact de la roue extérieure a un diamètre plus élevé, donc son périmètre aussi. Pourtant cette réponse ne me semble pas complète... car il y a bien des courbes sans inclinaisons....
  6. Le réseau Paris-Nord toujours perturbé La circulation des trains devait rester perturbée vendredi pour la troisième journée consécutive par un mouvement de grève chez les contrôleurs. L a circulation des trains sur le réseau Paris-Nord devait rester perturbée vendredi 8 octobre pour la troisième journée consécutive par un mouvement de grève chez les contrôleurs. Sur le réseau TER et les lignes desservant la Picardie, la SNCF prévoit un train sur deux en moyenne ( Paris/Creil/Amiens, Paris/Compiègne/Saint-Quentin, Paris/Laon, Paris/Beauvais, Creil/Beauvais, Paris/Crépy-en-Valois). Un train sur deux circulera également en moyenne sur le réseau transilien (Paris/Pontoise, Paris/Valmondois, Paris-Persan-Beaumont vis Montsoult-Maffliers, Paris/Luzarches, Pontoise/Creil). Les lignes RER B et D ainsi que les TGV ne seront pas affectés par le mouvement, selon un communiqué de la SNCF. Agression Le mouvement a été déclenché mercredi par l'agression la semaine dernière d'un contrôleur. Les syndicats ont décidé jeudi soir de reconduire de nouveau le mouvement. "Après avoir pris connaissance des maigres propositions de la direction, notamment en matière d'embauches, pour répondre à la recrudescence des agressions, les contrôleurs n'ont pas eu d'autres choix que de maintenir la pression", explique un communiqué de Sud-Rail. Publicité De son côté, la SNCF dit s'être engagée à "poursuivre et amplifier les efforts déjà réalisés" dans le domaine du renforcement de la sécurité et estime que les demandes des grévistes "portent davantage sur des questions d'effectifs et d'organisation du travail des contrôleurs qui vont au delà du motif initial du conflit". Source: Nouvel Obs
  7. Hausses de tarifs et fermetures d'installations ferroviaires profitent au camion Fret : traitement de choc à la SNCF :Bernard Broustet Il y a peu de chances pour que la croissance du trafic de camions s'interrompe ou s'infléchisse prochainement. Car, dans de nombreux secteurs, des chargeurs qui utilisaient de façon plus ou moins importante le fret ferroviaire sont en train de réduire ou de supprimer le recours à ce mode de transport alternatif. Ce report du rail vers le goudron n'est pas un phénomène totalement nouveau, puisque la SNCF n'a cessé de perdre des parts de marché au cours des dernières décennies. Il connaît aujourd'hui une accélération peut-être passagère, mais en tout cas brutale, liée au traitement de choc que la compagnie nationale a décidé l'an dernier d'imposer à sa branche fret, très lourdement déficitaire. Si la SNCF a présenté les grandes lignes de son plan fret, elle ne souhaite pas, pour le moment, s'exprimer sur ses incidences locales, qui ne seront abordées que dans quelques jours à l'occasion d'une conférence de presse du directeur régional Frédéric Zanotti. Mais, d'ores et déjà, les syndicats, comme les chargeurs et les collectivités locales, ont été informés de façon plus ou moins parcellaire des conséquences économiques et sociales de ce plan d'austérité. « Sur les 3 500 suppressions d'emplois intervenues cette année, à l'échelle nationale, 2 500 concernent le fret. Et ce n'est pas fini », explique Eric Halgand, de la Fédération des cheminots CGT, qui va lancer une campagne de sensibilisation à ce sujet. Médecine de cheval. Ne provenant pas de la SNCF elle-même, la carte que nous publions ci-dessus n'est peut-être pas d'une précision absolue. Mais elle donne une idée de l'ampleur du séisme qui frappe le transport de marchandises en Aquitaine et en Poitou-Charentes. Au surplus, ces fermetures totales ou partielles ne constituent qu'un aspect de cette médecine de cheval. Le plan Veron, du nom du responsable de la branche fret, s'est également traduit dès cette année par des hausses tarifaires atteignant pour certains trafics de 20 à 50, voire 60 %. Les conséquences ne se sont pas fait attendre dans certaines industries générant de gros flux de marchandises. Ainsi, les Papeteries de Condat (Dordogne) ont-elles renoncé à expédier leurs produits finis par le rail, alors qu'elles avaient pourtant investi, avec l'aide des collectivités locales (Région, etc.), dans la construction d'un terminal. L'industrie papetière n'est d'ailleurs pas seulement touchée par la hausse de ces tarifs d'expédition. Le plan Veron s'attaque en effet aussi au transport du bois, qui est une lourde source de déficit. En conséquence, 75 % des gares bois devraient être fermées dans l'Hexagone. Dans ce contexte, l'usine girondine Smurfit Cellulose du Pin, très grosse consommatrice de bois d'éclaircie dont elle s'approvisionnait à raison d'environ 10 % par le rail , devrait passer prochainement au tout camion, tout en réduisant la part du rail dans les envois de papier qui était encore aux alentours de 30 %. Le même phénomène devrait se produire à échelle plus réduite pour la pâte à papier de l'usine de Tartas. Au total, le transport routier devrait ainsi récupérer l'équivalent de plusieurs milliers, voire de dizaines de milliers de camions par an. D'autres branches sont concernées. Des menaces pèsent ainsi sur le trafic de céréales, qui présente, aux yeux de la SNCF, l'inconvénient d'être imprévisible et intermittent. Vers des trafics rentables. Pour la SNCF, il ne s'agit pas uniquement de réduire ainsi drastiquement la voilure à court terme. L'entreprise nationale souhaite se concentrer sur des trafics rentables et portant sur de grandes masses, au détriment des wagons isolés. D'ores et déjà, les pertes de sa branche fret ont commencé à se réduire. Mais, en attendant une éventuelle reconquête, le camion conquiert de nouveaux marchés, avec toutes les conséquences que cela peut avoir en termes d'encombrement et de consommation d'énergie. « On voudrait qu'on nous dise clairement si la SNCF est une entreprise publique ou une entreprise privée, mais on n'a pas la réponse », souligne Eric Halgand, de la CGT. Quant au Conseil régional d'Aquitaine, il a saisi le gouvernement et la direction de la SNCF. Mais le transport de marchandises ne fait pas partie de ses compétences et ses marges d'action paraissent, sur ce plan, relativement limitées. A court terme au moins, la route n'a pas fini de gagner du terrain. Conséquence du plan Veron : 75 % des gares bois devraient être fermées dans l'Hexagone Source: Sud Ouest
  8. La BEI accorde un prêt de 200 M EUR à la SNCF pour du matériel ferroviaire La Banque européenne d'investissement (BEI) va accorder un prêt de 200 M EUR à la SNCF pour l'achat de 18 rames TGV à deux niveaux (Duplex), a-t-elle annoncé jeudi dans un communiqué. "Cet investissement représente la seconde phase d'un important programme de la SNCF visant à renforcer sa flotte TGV", indique la BEI. "En 2002, la SNCF avait déjà acquis 22 rames 'Duplex' aujourd'hui en circulation", rappelle l'organisme de financement international. Ces rames supplémentaires seront affectées à la ligne à grande vitesse Paris-Méditerranée, en particulier au tronçon Paris-Marseille "qui est proche de la saturation", selon la BEI. Leur mise en circulation permettra d'augmenter le nombre de voyageurs transportés, les rames Duplex ayant une capacité "jusqu'à 40% supérieure à celle des rames classiques", ajoute la BEI. Le matériel libéré "sera affecté à d'autres lignes, notamment à celle du TGV Est", permettant ainsi un accroissement des capacités du réseau à grande vitesse "en France, et indirectement en Europe", est-il encore précisé. La BEI avait déjà contribué en 2002 à l'achat de rames par le biais d'un prêt de 200 M EUR. Elle a également contribué au financement des TGV Atlantique, Nord et Méditerranée, ainsi qu'à la construction du TGV Est, en cours. Source: AFP
  9. SNCF: Faute de crédits, les TER devront rouler moins vite Des trains à petite vitesse :Jean-Pierre Deroudille Il n'y a pas que les automobilistes qui doivent endurer un renforcement des limitations de vitesse. A l'occasion de la mise en place des horaires d'hiver, la SNCF va annoncer la semaine prochaine de nouveaux ralentissements sur le réseau des TER du Sud-Ouest, qui viendront s'ajouter à ceux déjà en vigueur entre Limoges et Angoulême, et Bergerac et Lalinde. Cette fois, ce sont quatre nouvelles sections de voies qui sont concernées, aussi bien en Poitou-Charentes qu'en Aquitaine, amenant à des allongements de trajet de une à quatre minutes selon les réductions de vitesse imposées. Pour la SNCF et son directeur régional, Frédéric Zanotti, la question est toute simple : faute de crédits, les travaux de maintenance ne peuvent être assurés complètement. La société nationale, qui mène ces travaux pour le compte du propriétaire de l'infrastructure, RFF (Réseau ferré de France), a donc choisi les voies où le trafic est le moins lourd, avec peu de trains de fret et un trafic restreint de voyageurs, pour espacer ses opérations de maintenance et différer les indispensables changements de traverses. Vieilles traverses. Il semble en effet que l'âge des traverses, plus encore que l'état du ballast ou celui des rails, soit préoccupant. Quand le bois est vieilli, il résiste moins aux différents efforts auxquels il est soumis, efforts d'autant plus grands que la vitesse du train est élevée. « Pour nous, la sécurité reste primordiale », insiste Frédéric Zanotti. Au Conseil régional d'Aquitaine, autorité organisatrice de transports pour les TER, on avoue ne pas comprendre pourquoi les crédits peuvent encore manquer. En effet, les redevances acquittées auprès de RFF par les TER d'Aquitaine sont passées de 7,39 millions d'euros en 2003 à 18,7 millions d'euros en 2004, et augmenteront encore de 8,5 % en 2005, soit 1,7 million de plus. Ces augmentations, compensées, à trafic constant, par l'Etat dans le budget régional, devaient servir à financer justement la maintenance. Du côté de RFF, on explique, à la direction régionale de Bordeaux, qu'une somme globale est allouée à la SNCF au niveau national, et que c'est elle qui est chargée de la répartir entre les différents chantiers à réaliser. Il semblerait toutefois que cela ne soit pas si simple, puisque la SNCF avertit chaque année son propriétaire des opérations qu'elle ne peut mener à bien faute de crédits, et que la décision de les affecter à telle ou telle desserte en gênant le moins possible les usagers soit prise en pleine concertation, sinon en commun. Ce serait même le gouvernement qui aurait fait retirer des délibérations du conseil d'administration de RFF, en juin dernier, toute allusion aux sections de voies à limitation de vitesse imposée. Dix minutes gagnées et perdues. Le plus étrange dans cette affaire, c'est que la Région et l'Etat viennent d'investir, grâce au contrat de Plan, 10,7 millions d'euros sur la ligne Libourne-Bergerac pour la doter d'une nouvelle signalisation et d'un dispositif moderne de croisement des trains. Celui-ci permet de gagner environ dix minutes sur cette section de voie unique. Une performance technique qui sera officiellement inaugurée en 2005 et qui servira juste à annuler l'effet négatif du retard de dix minutes imposé par de vieilles traverses entre Lalinde et Bergerac. « Pour nous, la sécurité reste primordiale » Source: Sud Ouest
  10. Envoie moi un mail et je te file ce qu'il te faut.
  11. Il faut que tu demandes le documment "TT0020" auprés de ton UP. Sinon tu peux demander ici les villes dont il te faut.
  12. Tu n'auras accés qu'à tes propres données: CV, lettre de motivation
  13. Refus définitif. Tu peux cependant refaire ta demande 1 an aprés. En envoyant un courrier auprés du DRH qui t'a envoyé la réponse.
  14. Salut, je vais commencer à répondre (rapidement) et je pense que les autres complèteront: Oui, il y a des places, mais uniquement sur certains sites (Nancy, Metz, Paris, Hourcade, Miramas). A noter une éventuelle possiblité de retourner dans ta région d'origine... mais par les temps qui courrent, ce n'est pas trés facile ! Il y a 3 tests: -1- La journée commence en général par une présentation orale du métier, ainsi que le visionnage d'une K7 vidéo (d'un autre âge) présentant la journée dite "type" d'un conducteur de trains... Ensuite tests d'ordre général comprenant les Maths (niveau 2nd), une petite rédaction de tes motivations (15 min je crois), ainsi que 2 ou 3 autres petites choses de niveau 2nd; cela sert uniquement à écarter ceux qui n'ont pas les acquis de base. Ensuite il y a un petit entretien (15 min) à la fin avec un cadre de la SNCF pour connaître tes motivations. C'est à ce niveau là que sont écartés les personnes qui n'ont pas la motivation nécessaire, ou qui sont trop "pro" chemins de fer (voir les autres messages de ce sujet à ce propos), ainsi que ceux qui n'ont pas une bonne écriture, et les acquis de base en maths (+,-,* et /) et en logique (un train part du point A vers B etc.... du type y=ax+b , donc la base). -2- Visite médicale: passage chez le cardiologue, l'olftalmologue, ainsi qu'une radio de la colonne, sans oublier les tests "classiques": pipi dans le bocal pour vérifier l'absence de sang dans les urines, ainsi que de toutes drogues, etc... Prise de sang pour divers tests "classiques". -3- Tests psychotechniques. Il s'agit de différents tests sur ordinateur, le but n'étant pas de les faires tous, mais d'avoir bons à ceux que tu fais. Pour ma part je ne connais pas la nouvelle version de ces tests, j'ai passé les miens à Lyon, maintenant c'est à Marseille. C'était principalement des tests de logique, ainsi qu'une partie tests de réactivité (entraine toi sur ta console de jeux), puis enfin une partie test manuel (2 manivelles avec 1 stylet, et il faut tracer un trait droit etc...). Pour terminer, la visite avec un Psychologue pour vérifier ton aptitude à réaliser ce métier. Donc durée: 3 journées. Les déplacements sont "offerts" par la SNCF (autorisation de circulation en train gratuite). Pour ma part j'avais passé mon 1er test en Novembre, le dernier en Janvier (dates approximatives), pour rentrer en formation en Mars. Lire les autres posts de ce sujet. Sinon c'est du niveau 2nd ou BEP-CAP. Il faut avoir les acquis de base, il faut bien les maitriser. Quand je suis entré en formation de conducteur (en 1999), j'ai rencontré le RH qui m'avait donné le nombre de dossiers étudiés pour ma promo de 12 personnes: cela faisait 1 personne acceptée sur 800 dossiers, sachant qu'il n'y avait que 8 postes en réalité pour les personnes "hors SNCF", les 4 autres étant des recrutements internes. La formation c'est terminée à 10, car il y en a 2 qui se sont fait rediriger vers d'autres services car ils n'avaient pas le niveau nécessaire. Sur les 10, il y en a eu 2 qui se sont fait sortir la formation (dont moi) avec reprise sur la formation suivante (6 mois passés au Service Intérieur...). Sur les 8 candidats qui se sont présentés à l'examens, il y en a eu 7 d'acceptés, et 1 de refusé. Pour info, le collègue a répassé l'examen avec nous (les 2 sortis de la 1ere formation) et nous avons tous les 3 eu l'examen. Donc sur les 12 du départ: 2 sont maintenant hors Traction, et 10 sont conducteurs. Tout dépend de ta vision des avantages et inconvénients... Avantages: pas de chef sur le dos toute la journée (si tu fais bien ton travail), tu voyages pas mal (tu découvres donc d'autres villes), l'ambiance au travail est en général bonne, tu n'as pas d'horaires de bureau, être en RHR (repos hors résidence) c'est parfois agréable, le métier est interressant Inconvénients: les horaires parfois difficiles (commencer à 3h du matin, c'est pas toujours facile), tu peux travailler tout les jours de l'année (y compris à Noel) et aussi bien de jour que de nuit Les évolutions classiques d'un conducteur c'est d'effectuer le parcous complet dans son établissement: service facultatif, puis roulement marchandises (s'il existe) puis roulement voyageur, puis roulement TGV (s'il existe). Les conducteurs peuvent aussi prétendre à rentrer en formation de CTT (cadre traction), ce sont les "chefs" des conducteurs. Prochainement il y aura un dossier de réaliser sur ce sujet disponible sur le forum, mais en régle générale on peut dire que le salaire de début (hors formation) est minimum de 1500€ par mois.
  15. katamiaw

    Palm-Bullit

    Bien le bonjour Blondin, Voici ce qu'il en est à l'heure d'aujourd'hui: le programme a pas mal avancé, cependant je me bute à 2 problèmes majeurs qui sont apportés par les limites de l'outil de programmation. Le premier problème est la création d'une "conduite" entre le Palm et le PC pour récupérer les données, cette étape en est encore au stade de l'expérimentation sur mon outil de travail... ce n'est donc pas l'idéal. Le second problème, si l'on prend en considération que la base de donnée peut être transférée par une conduite du Palm au PC ou via une autre méthode, c'est que la base de donnée n'est pas formatée de la même manière que dans Bullit PC. Donc pour le moment j'attend d'avoir un peu de temps pour avancer un peu plus, pour intégrer les fonctions que je n'ai pas encore programmées, ainsi qu'améliorer l'interface graphique car ça n'a pas été mon 1er soucis... et c'est donc plutôt moche pour le moment. Le logiciel est donc fonctionnel sur le PALM, sans possiblité d'exportation vers Bullit PC, et pour le moment limité à 1 seul train par journée, la prochaine étape étant l'intégration de journée avec plusieurs étapes trains. A bientot. KaTa.
  16. Nouveaux liens: RIHO été 2004 RIHO hiver 2004-2005
  17. Appel à la grève des contrôleurs de Paris-Nord après une agression Les syndicats CGT, FO, CFTC, CFDT et Sud-Rail appellent les contrôleurs de la région Paris-Nord de la SNCF à une "grève reconductible" à partir de mercredi, à la suite de l'agression d'un contrôleur la semaine dernière, ont-ils indiqué lundi dans un communiqué. La grève, qui court du mercredi 6 octobre à 3h30 au jeudi 7 octobre à 3h30, et qui est "reconductible par période de 24 heures", pourrait entraîner des perturbations sur certaines lignes desservant le Val-d'Oise et la Picardie, a précisé la direction. Les cinq syndicats appellent les contrôleurs de la zone Paris-Nord (environ à cesser le travail à la suite de l'agression d'un de leurs collègues mardi 28 septembre au soir, dans l'Oise, par "des individus cagoulés qui l'ont frappé au visage, menotté et lui ont tailladé le bras à l'aide d'un cutter", expliquent-ils dans un communiqué. Le contrôleur agressé, a précisé la direction, a été légèrement blessé à la suite de cette "agression sérieuse", et a été arrêté pendant deux jours. L'intersyndicale réclame des "patrouilles de police dans le secteur de l'agression", un "système d'alerte individuel simple", une "liste des trains sensibles en Ile-de-France réactualisée tous les deux mois", ainsi que "la présence de deux agents dans tous les trains". La situation des contrôleurs de la région Paris-Nord "n'est plus supportable, l'escalade de la violence des agressions atteint des sommets et la direction n'assure pas la sécurité de ses salariés", poursuit l'intersyndicale. Les lignes qui pourraient être perturbées sont celles où la présence d'un contrôleur est nécessaire pour faire démarrer le train, celles desservant le Val d'Oise (Pontoise, etc.) et les TER vers la Picardie. Le trafic des RER ne devrait en revanche pas être perturbé. Source: AFP
  18. Service minimum : l'Assemblée veut entendre Gilles de Robien Les parlementaires UMP continuent de mettre la pression sur le gouvernement à propos du service minimum. Et demandent des comptes. Patrick Ollier, président de la commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale, va ainsi inviter Gilles de Robien à présenter l'avancée de ses réflexions d'ici à la fin du mois, a priori devant la commission des affaires économiques, la commission des lois mais aussi celle des affaires sociales. «Il est temps que le gouvernement puisse dire à l'Assemblée où il en est dans ses réflexions, pour être sûr que le sujet n'est pas enterré», indique Patrick Ollier. Depuis début septembre, le ministre de l'Equipement a mené une vaste concertation sur la base des propositions émises par le groupe de travail présidé par Dieudonné Mandelkern. Un rapport vis-à-vis duquel Gilles de Robien a lui-même pris quelques distances, en particulier sur la proposition d'une déclaration individuelle de grève quarante-huit heures à l'avance. A l'issue de ce premier «round», il semble que l'ancien député de la Somme réfléchisse à proposer un avant-projet de loi à ses interlocuteurs portant sur la prévention des conflits. Un sujet sur lequel il avance avec prudence, compte tenu de l'extrême réserve qu'il suscite chez les partenaires sociaux. Reste à savoir si le texte porterait également sur la question du «service garanti» proprement dit. A cet égard, la piste explorée par Gilles de Robien est celle de la définition de «besoins essentiels» par les régions. Autant de points sur lesquels les parlementaires UMP souhaitent des précisions. Nombre d'entre eux se disent fermement attachés à traiter, au-delà de la prévention des conflits, du service minimum lui-même. Patrick Ollier est quant à lui favorable à la définition de tranches horaires – matin et fin d'après-midi – pendant lesquelles le service serait assuré, une piste qui avait été écartée par le rapport Mandelkern. Quoi qu'il en soit, un texte de loi soumis à l'Assemblée ouvrirait forcément la voie à des amendements sur ce thème. En attendant, ce forcing parlementaire risque de se télescoper avec le calendrier interne de la SNCF. Gilles de Robien avait en effet en février dernier demandé aux entreprises, et en particulier à celle que préside Louis Gallois, de négocier des accords internes d'alarme sociale équivalents à celui de la RATP. Or, cette piste avance, certes tardivement, mais sérieusement : après une première réunion, la direction et les syndicats de la SNCF ont prévu de se retrouver jeudi pour une nouvelle table ronde. Ces discussions interviennent alors que la situation pourrait également se détendre sur le front des salaires. Alors qu'un accord salarial a achoppé en juillet, les syndicats ont demandé l'ouverture d'une nouvelle table ronde et appelé pour aujourd'hui à une journée d'action pour la défense des salaires et du droit de grève à la SNCF. Aucun arrêt de travail n'est prévu. Pour sa part, le président de la SNCF a indiqué qu'il ouvrirait une telle table ronde s'il a des signaux positifs quant à l'obtention d'un accord, ce qui n'est pas arrivé à la SNCF depuis dix ans. Source : Le Figaro
  19. Transports : ça ne va pas s'arranger tout de suite L'ENJEU est d'importance pour Jean-Paul Huchon, président du conseil régional d'Ile-de-France. Il a été mandaté jeudi par son assemblée pour négocier avec l'Etat la décentralisation de la gestion des transports en Ile-de-France, où s'effectuent 60 % des déplacements de l'Hexagone. Le 1 e r juillet 2005 au plus tard, il deviendra patron du Syndicat des transports d'Ile-de-France (Stif), l'autorité chargée d'organiser notamment les transports collectifs (métro, bus, RER, trains, tramway). Il sera alors responsable de la qualité des 6,8 millions de déplacements effectués chaque jour en région parisienne. « Nous le souhaitions depuis longtemps, explique-t-il car nous sommes la dernière région française à ne pas exercer cette compétence transports. Nous allons maintenant négocier fermement avec l'Etat les compensations financières que ce transfert impose. » La partie s'annonce difficile. En effet, le paquet cadeau que va recevoir Jean-Paul Huchon est quelque peu empoisonné. Un réseau vieillissant. L'état du matériel SNCF est jugé « très préoccupant. Son renouvellement nécessitera un effort financier sans précédent que nous estimons à 500 millions d'euros ». Que dire de la rénovation de l'ensemble des lignes RER et SNCF, dont le coût global de remise à niveau est chiffré à 10 milliards d'euros. Les mauvaises surprises ne s'arrêtent pas là. Depuis six ans, les réalisations en matière de transports (routes et rails) en Ile-de-France stagnent. A ce jour, aucun des chantiers prévus en Essonne par le contrat de plan Etat-région 2000-2006 n'a été réalisé. Dans le Val-de-Marne, seuls 8,3 % des travaux ont été achevés, 14,3 % dans les Yvelines, 16,2 % dans le Val-d'Oise, 20 % en Seine-Saint-Denis, 30 % dans les Hauts-de-Seine, 50 % en Seine-et-Marne et 77 % à Paris. « C'est plus facile de se mettre d'accord avec un seul interlocuteur », indique M. Huchon pour expliquer le bon score de la capitale. Il y a urgence. Ce sous-investissement chronique, alors que les déplacements s'accroissent, pénalisent les usagers. Ils vont devoir s'armer de patience. Jean-Paul Huchon considère en effet qu'il faudra « deux contrats de plan, soit une douzaine d'années, pour remettre à niveau le réseau de transports en commun ». Une situation socialement et politiquement délicate. A tel point que, aujourd'hui, les élus de plusieurs départements se disent prêts à mettre la main à la poche pour accélérer les choses. Cette semaine, le conseil général de l'Essonne a proposé un pacte à la SNCF pour voler au secours des lignes C et D du RER, où les problèmes de régularités sont légion. François Scellier, président (UMP) du conseil général du Val-d'Oise, va encore plus loin : il envisage de « demander par sondage aux habitants de son département s'ils sont prêts à payer davantage d'impôts locaux pour avoir de meilleures routes ». C'est dire l'urgence. Source: Le Parisien
  20. Plus de fumeurs entre Saint-Quentin et Paris Depuis vendredi, toutes les voitures des trains Corail circulant entre Saint-Quentin et Paris sont non fumeurs. Le non-respect de l'interdiction de fumer peut entraîner l'établissement d'un procès-verbal et la perception d'une amende de 45Êeuros. Un premier bilan de l'expérimentation sera réalisé début 2005. Menée par la SNCF auprès de 3 000 clients des trains Corail de Picardie, une étude a montré que 65 % d'entre eux trouvent la cigarette insupportable. 77 % pensent, même parmi les fumeurs, qu'un train non-fumeurs améliore le confort. Source : L' Union
  21. katamiaw

    Actualités Politiques

    La chance perdue de Jacques Chirac « Enterrement » du plan climat, gouffre de la Sécu, manque d'idées sur les grands sujets d'actualité : les griefs que formule Jean Vogel, maire de Saales, à l'encontre de la politique française sont nombreux. Quel jeune Alsacien n'a pas été surpris en contemplant les images d'Epinal de la bataille de Reichoffen ou des premiers combats de 1914-18 de voir les troupes françaises porter des uniformes arborant des franges rouges repérables de loin ? Les lycéens apprirent ensuite que ce qui de toute évidence nous coûta des dizaines de milliers de morts, était le résultat d'un lobbying efficace de producteurs et d'industriels que faisait vivre une plante, la garance, dont on extrait un colorant rouge. Le poids exorbitantdu conservatisme Ce que l'on pourrait appeler le syndrome « garance », n'est-il pas en train de se reproduire aujourd'hui lorsqu'on analyse nos politiques de développement, tant le poids du conservatisme semble influencer nos politiques. Tempête de 1999, canicule de 2003, entre les deux une déclaration fracassante de Jacques Chirac au Sommet de la terre en 2002 à Johannesburg : « la maison brûle et nous regardons ailleurs ». Déclaration ô combien réaliste, qui laissait penser qu'une véritable politique suivrait. Or, le constat est amer. Dernière désillusion, l'enterrement du plan climat. Alors qu'en 2010, voitures et camions représenteront 27 % des émissions de gaz à effet de serre de la France, le plan climat ne comprend pas la moindre mesure significative susceptible de toucher le domaine des transports. Au ministère des transport, on n'hésite pas à affirmer que la société n'est pas prête. Le bonus-malus est reporté aux calendes grecques. Taxer les voitures les plus polluantes ne semble pas être compréhensible et acceptable par les Français. Rappelons juste que M. Fabius a été l'instigateur, voici peu, de la suppression de la vignette automobile qui aurait pu être le meilleur bonus-malus qui soit. Pas de subventions pour le tram-train Les points les plus significatifs de ce plan climat ne sont que des transpositions de directives européennes, comme l'accroissement de la part des bio-carburants. Par contre et c'est plus que regrettable, les subventions au plan de déplacement urbain, dont faisait parti le projet train-tram, sont définitivement supprimées. Le plus cocasse est de voir la SNCF présenter un plan fret 2004-2006 en vue de rendre le fret ferroviaire compétitif... en supprimant des centaines d'emplois et des dizaines de gares. De plus, la taxe imposée sur le fuel l'an passé pour financer le fret ferroviaire a conduit le ministère des finances à diminuer du même montant l'aide à ce mode de transport. Nous allons vers de plus en plus de catastrophes climatiques. Il est plus que probable qu'outre les pertes humaines et les dégâts matériels qu'elles entraîneront les primes d'assurance risquent de correspondre rapidement à un mois de salaire par famille. Les pessimistes affirment même, que si rien ne change, la croissance mondiale sera annulée par les effet de ces catastrophes dans 50 ans. La pression des lobbies Malheureusement tous les grands sujets d'actualité prêtent à des analyses identiques tant le concept de durabilité est esquivé. Qui dit « durable » sous-entend courage politique et c'est d'ailleurs probablement ce courage politique qui manque le plus à nos grands élus. Regardons avec quelles difficultés ont été votées les mesures prises dans la lutte contre l'obésité. Une majorité de sénateurs sous la pression du lobbying des fabriquants de soda s'est opposée à la suppression des distributeurs de boissons sucrées dans les lycées. Qui aujourd'hui peut croire que c'est en acceptant de payer un euro par consultation que le gouffre de la Sécurité Sociale sera résorbé ? Tout au plus le gouffre ne se creusera pas davantage. La réforme des impôts locaux élaborée à grands frais voici quelques années n'est toujours pas appliquée. Qui sait que le taux des impôts locaux est généralement plus bas dans une commune riche que dans une commune pauvre ? (...). Si les délocalisations nous inquiètent, c'est avant tout parce que nous n'avons pas été assez innovants. Il est probable que la dernière chance qui s'offrira à Jacques Chirac pour lancer la France sur une voie durable de développement est la prochaine loi d'orientation sur la recherche. Recherche française en plein questionnement. Le nombre de brevets déposés et de création d'entreprises innovantes ont chuté ces dernières années. Le poids du corporatisme et de la bureaucratie y sont-ils pour quelque chose ? Toujours est-il que les rapports universités-recherche-industrie sont à revoir. L'amélioration du système passe par la création de véritables agences de programmes capables de sélectionner les meilleurs projets et la mise en place de véritables réseaux fédérant tous les acteurs. Assistera-t-on une fois de plus à un effet d'annonce et à un saupoudrage des crédits satisfaisant le clientélisme ambiant ? (...). Cependant, l'exemple est à notre porte. On peut être pour ou contre Gerhard Schröder, mais on ne peut lui reprocher son courage politique. Sa politique de réforme de la sécurité sociale où celle concernant les énergies renouvelables en sont des exemples. Dans 30 ans, quand le baril de pétrole franchira la barre des 150 dollars, l'Allemagne sera l'incontesté numéro 1 au monde dans la recherche et le développement des énergies renouvelables. Peut-être se consolera-t-on en Alsace en fabriquant quelques panneaux solaires pour des sociétés allemandes. Et oui, dirons-nous alors en paraphrasant nos politiques parisiens, « nous n'étions pas mûrs il y a 30 ans ». Source: www.dna.fr
  22. Merci pour ton CR (compte rendu) trés cher ! Maintenant il faudrait pouvoir connaitre la cause de cet accident: pourquoi la voiture était en plein milieu de la voie... l'AFP n'en parle point, alors que ce serait quand même la principale info, parceque le retard... c'est normal. Non ??
  23. Le RER C arrêté dans le Val-d'Oise LE TRAFIC des trains de banlieue et du RER C entre les gares d'Ermont-Eaubonne et de Montigny-Beauchamp (Val-d'Oise) est interrompu aujourd'hui par la SNCF. Des autocars de substitution sont mis en place entre les deux stations jusqu'à la reprise de la circulation prévue dès les premières heures, demain matin. A l'origine de cette interruption momentanée, la création d'une liaison ferroviaire directe entre Ermont-Eaubonne (Val-d'Oise) et Paris-Saint-Lazare. En attendant sa mise en service, annoncée pour fin 2006, les voyageurs doivent essuyer les inconvénients des travaux réalisés le week-end, période de moindre affluence. « On ne peut pas dire que ce soit pratique, regrette un voyageur. Pour aller jusqu'à Pontoise, je vais devoir prendre le train jusqu'à Ermont, puis le car jusqu'à Montigny avant de remonter dans un train. » Soit vingt-cinq minutes de plus... Source: Le Parisien
  24. Un TGV Rennes-Paris percute une voiture à un passage à niveau: un mort Un TGV Rennes-Paris a percuté une voiture dimanche après-midi sur un passage à niveau de la commune d'Evron (Mayenne), tuant le conducteur du véhicule, a-t-on appris auprès de la SNCF et de la gendarmerie. Outre le conducteur décédé, dont l'identité n'était pas immédiatement connue, la voiture ne transportait aucun passager, a précisé la gendarmerie de la Mayenne. L'accident, survenu vers 14H00 à la sortie d'Evron, a entraîné l'immobilisation du train durant 3 heures 30, bloquant le trafic ferroviaire dans le sens Rennes-Paris, a indiqué la SNCF dans un communiqué. La SNCF a précisé avoir distribué des plateaux repas et des boissons aux 440 passagers du train. Quatre autres TGV à destination ou en provenance de Rennes ont été détournés par Nantes, occasionnant des retards de plus d'une heure. Le retour à une circulation normale s'est effectué progressivement à partir de 17H00, selon la SNCF. Source: AFP
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