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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Messages publiés par Dom Le Trappeur

  1. Déjà je suis assez étonné que la direction sncf passe par une agence d'Intérim pour tenir un poste de travail qui semble être stable (4 ans...)...

    Quel type d'emploi tiens-tu ? (commercial vendeur gare etc...)

    Quel type de contrat as-tu : un contrat avec l'agence d'Intérim ou avec la SNCF ?

    Es-tu payé par l'agence d'Intérim ou la SNCF ?

    Je suppose que tu es rattachée à un agent de maîtrise localement ? lui en as-tu parlé ?

    Le poste que tu occupes devrait figurer à l'organigramme ou au cadre d'organisation de l'Etablissement sur lequel tu travailles soit à titre permanent soit à titre temporaire.

    Un poste = un agent

    Selon ce poste l'agent doit être du cadre permanent ou contractuel (CDD ou CDI).

    Facile à savoir : sur ton lieu de travail doit être affiché le tableau de service et le roulement d'utilisation et de repos de l'agent (avec grade, filière, horaires de travail etc...)

    Essaies de voir ce tableau.

    Sinon as-tu déposé une demande de recrutement ?

    Eventuellement tu pourrais demander un rendez-vous au Responsable du personnel (DRH...) de ton établissement.

    Tu devrais modifier le titre de ton message pour le rendre plus explicite...

  2. Bonjour à tous,

    J'ai appris récemment que la SNCF avait 88 filiales. Ne pouvent en citer de mémoire que 24, je recherche la liste des susdites filiales, pour savoir un peu ce qu'elles font bigbisous

    Plus dur : la société SNCF-Participations comprend 659 (ou 648) filiales (enfin entreprises dans lesquelles la SNCF a au moins 0.01 % de capitaux)... je recherche la liste des dites participations.

    Comptant sur votre aide,

    Cordialement

    Louis44

    Il existe un document de l'Insee qui recense toutes les entreprises dans lesquelles l'Etat détient des participations y compris les filiales d'entreprises nationales etc...

    http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=recme2008

  3. Femmes, si vous portez un pantalon, vous êtes hors-la-loi

    Sur Rue89

    Par Léa Lejeune | Reporters d'espoir | 04/05/2010 | 19H20http://www.rue89.com/2010/05/04/femmes-si-vous-portez-un-pantalon-vous-etes-hors-la-loi-150160

    Jupe ou pantalon ?

    C'est la question matinale et ordinaire que se posent certaines.

    Pourtant le 29 avril, plusieurs députés radicaux de gauche ont déposé une proposition de loi à l'Assemblée nationale pour abroger l'interdiction, toujours en vigueur, du port du pantalon par les femmes.

    Le texte d'interdiction est une ordonnance de police du 26 brumaire an VIII (17 novembre 1799), signée par le préfet de police de Paris qui se déclare « informé que beaucoup de femmes se travestissent, et persuadé qu'aucune d'elles ne quitte les habits de son sexe que pour cause de santé ».

    Oui, à cette époque, il faut justifier de raisons médicales et demander une autorisation à la police pour pouvoir enfiler un futal.

    Pour Mathilde Dubesset, historienne des femmes, le caractère masculin du pantalon est alors profondément ancré :

    « Des Gaulois aux culottes des nobles, en passant par le pantalon des aristocrates, le pantalon est le vêtement masculin.

    Au XIXe, avec le mouvement hygiéniste, on créé des bermudas et des culottes pour dames. Auparavant, les femmes ne portaient rien en dessous de leurs robes. »

    Quelques pionnières se lancent et les exhibent, seules. Même l'écrivaine George Sand, résolument avant-gardiste, doit se soumettre à la demande d'autorisation, raconte Mathilde Dubesset :

    « C'était une femme de grand culot. Mais elle ne voulait pas seulement un pantalon parce qu'il est plus pratique. Elle se faisait carrément passer pour un homme. »

    Christine Bard, autre spécialiste de l'histoire des femmes, précise :

    « Le pantalon a d'abord été porté par des femmes qui bravaient l'ordonnance ou l'ignoraient : femmes ouvrières, paysannes, mais aussi aventurières, voyageuses, écrivaines, artistes, combattantes, révolutionnaires… »

    Au XXe siècle, on desserre la ceinture

    En 1892 et 1909, si l'on en croit l'AFP, deux circulaires préfectorales auraient autorisé les femmes à se couvrir les jambes sous certaines conditions : « Si la femme tient par la main un guidon de bicyclette ou les rênes d'un cheval ».

    Mais Christine Bard a enquêté sur le pantalon pendant plusieurs mois pour un essai à paraître en août :

    « Je n'ai trouvé aucune trace de ces circulaires. Il y avait surtout une interdiction morale. Elle révélait des rapports de force entres les hommes et les femmes dans notre société. »

    Quelques années plus tard, Madeleine Pelletier, première femme médecin psychiatre, revêt un costume masculin, raconte Mathilde Dubesset :

    « C'était la première féministe radicale : elle rejetait toute forme de féminité. Elle passait même pour folle et moche. »

    Dans les années 1970, le pantalon se popularise. Le blue jeans débarque des Etats-Unis. A l'époque, Mathilde Dubesset était au lycée : « Nous étions heureuses, nous nous sentions libres de nos mouvements ! »

    Mais à l'Assemblée nationale, les députées ne sont autorisées à venir en pantalon qu'en 1980, date à laquelle Chantal Leblanc a imposé son tailleur-pantalon dans l'hémicyle.

    Côté entreprise, le code du travail (article L. 120-2) permet à l'employeur d'imposer la jupe s'il en justifie clairement les raisons. Vendeuses, hôtesses de l'air… de nombreuses femmes se conforment encore à ces règles d'un autre temps pour l'image de marque de leurs employeurs.

    Toutes dans l'illégalité ?

    Techniquement donc, plus de la moitié des femmes que vous avez croisées dans la rue ce matin sont dans l'illégalité. Bien sûr, les sanctions ne sont plus appliquées, note Christine Bard :

    « Il est admis par tous que l'ordonnance est tombée en désuétude et qu'il n'est d'ailleurs plus possible de définir comme au début du XIXe siècle ce que signifie “s'habiller en homme” !

    Aujourd'hui, une femme en pantalon, en blouson, avec des chaussures plates, sans maquillage ne sera pas perçue comme “travestie”… »

    Qu'attend-on alors pour abroger cette ordonnance illégale ? En 1968, le préfet de police avait refusé de le faire. Plus récemment en 2004, le député UMP Jean-Yves Hugon avait reformulé cette demande auprès de la ministre déléguée à la Parité, Nicole Ameline. Cette dernière lui avait répondu que c'était inutile, « la portée serait purement symbolique » :

    « Pour adapter le droit à l'évolution des mœurs, la désuétude est parfois plus efficace que l'intérêt. »

    Mathilde Dubesset n'est pas de cet avis : « C'est complètement débile d'avoir encore des lois comme ça en France ! Ce sont des reliques du passé. »

  4. Sur Rue89

    http://www.rue89.com/2010/05/05/fraude-fiscale-vandalisme-combien-coute-la-delinquance-150220

    Fraude fiscale, vandalisme : combien coûte la délinquance ?

    Par Fabien Fournier | Lyon Capitale | 05/05/2010 | 12H08

    Jacques Bichot a chiffré le coût des fraudes, des vols et des agressions pour la collectivité : 115 milliards d'euros. Cette étude relativise le poids du vandalisme face à certaines arnaques beaucoup plus structurées. Deux fois le budget de l'Education nationale. C'est ce que coûte à la collectivité la délinquance. C'est Jacques Bichot, économiste et professeur émérite à Lyon 3, qui a procédé à ce chiffrage.

    En agrégeant le budget consacré à la police, la gendarmerie et la justice (14 milliards d'euros), les fraudes fiscales (27 milliards d'euros), le coût du vandalisme (5,6 milliards d'euros) et les violences aux personnes (14 milliards d'euros), il est parvenu à un montant : 115 milliards d'euros, soit 5,6% du PIB.

    Seulement 800 millions d'euros pour les fraudes sociales

    Arrivent en tête les fraudes fiscales et sociales (27 milliards d'euros). Beaucoup sont liées au travail au noir, qui constitue pour l'Etat un manque à gagner de cotisations sociales (celles de l'employé non déclaré) et de TVA (prestations non déclarées).

    Les aides sociales indûment perçues, dont on parle beaucoup récemment avec le polygame nantais, ne représentent que 800 millions d'euros. Jacques Bichot indique :

    « Ce type de délinquance porte davantage sur le RSA que sur les allocations familiales. »

    L'escroquerie à la carte vitale ou aux arrêts maladies est significative. L'économiste explique :

    « Il y a aussi de nombreux cas de faux témoignages qui permettent aux actifs prétendant avoir eu une carrière longue de partir plus tôt en retraite. »

    5 milliards pour une fraude industrielle

    « Une fraude est très bien organisée : c'est le carrousel de TVA », souligne Jacques Bichot. Leurs auteurs créent des sociétés fictives qui déclarent des exportations tout aussi fictives. L'Etat est alors tenu de rembourser le montant de TVA incluse dans les fournitures utilisées pour fabriquer ces faux produits. « La société est ensuite liquidée sitôt le remboursement perçu », raconte le chercheur.

    Cette fraude, qui sévit d'une façon industrielle depuis une dizaine d'années, s'élève à 5 milliards d'euros en France. Soit le coût du vandalisme. Ce qui relativise les mauvais coups de la petite « racaille » face aux agissements du délinquant en col blanc.

    Dans le vandalisme figurent en premier lieu les incendies volontaires. Les 100 000 véhicules dégradés coûtent aussi à la collectivité 1,5 milliard d'euros.

    Le chercheur s'est prêté à une comptabilité quelque peu morbide pour estimer le coût d'un viol, d'une agression ou d'un meurtre. Une vie humaine vaut 1 200 000 euros. Jacques Bichot précise :

    « C'est une méthodologie bien rodée, utilisée depuis longtemps pour les accidents de la route. Par exemple, pour une victime de 40 ans, on calcule la valeur qu'elle aurait pu produire par son travail jusqu'à sa retraite. Et on y ajoute une estimation de sa production non marchande, par exemple l'éducation de ses enfants. »

    « Criminalité et délinquance diminuent notre bien-être collectif »

    Que faut-il retenir de cette comptabilité ? 115 milliards d'euros : le chiffre impose. Doit-il faire peur ? Comment le comprendre ? Le chercheur relativise :

    « A mon avis, il n'a pas beaucoup progressé ces dernières années. Depuis les années 90, la délinquance totale n'a pas énormément augmenté. Si la délinquance coûte 5,6% du PIB en France, elle représente plus de 10% du PIB américain. »

    A ces éléments de comparaison, il faut ajouter une autre considération. A qui profite le crime ? Doit-on appréhender les 6 milliards consacrés à la sécurité privée uniquement sous l'angle de son coût, alors que l'activité génère des emplois et des rentrées fiscales ?

    L'expert répond :

    « C'est le problème de la vitre cassée, bien connu des économistes. Si on casse une vitre, ça fait travailler le vitrier. Mais la victime aurait sans doute dépensé cette somme autrement, à un spectacle ou au restaurant. »

    Doit-on alors considérer que c'est un jeu à somme nulle ?

    « La criminalité et la délinquance ne font pas baisser notre PIB de 115 milliards d'euros, mais elles diminuent notre bien-être collectif en renforçant un sentiment d'insécurité. »

    Et cela a bien sûr un coût. Une notion relative qui, en politique, peut devenir une martingale électorale et donc un bénéfice.

  5. Ben moi j'aime bien. (mais j'ai toujours respecté L. Gallois)

    Tout est relatif mais à ce niveau là, c'est rare de renoncer au moindre euro...

    Je l'ai rencontré une fois ce brave homme au début de sa carrière à la SNCF... Je lui ai demandé puisque c'était en son pouvoir de prendre la décision de supprimer les repos secs... Il m'a accusé d'utiliser la langue de bois... Ben lui c'était plutôt langue de béton... C'est vrai ces gens là ne renonceront jamais au dernier euro... même au dernier centime d'euros...

  6. eh bien moi aussi,

    c'est décidé, après moultes reflexions,

    il m a fallut m y résoudre,

    dans ces circonstances il fallait tenir en compte l environnement,

    je l annonce tout de go,

    pour un syndiqué faut montrer l'exemple

    sans embage, sans fioritures, parce qu il faut etre simple : je renonce à la part de remuneration

    au dessus de 900 000 euros par an.

    Franchement, Tu crois qu'il arrive à les dépenser...? Moi j'ai déjà du mal à bouffer et boire mes 20.000 euros annuels...

  7. Kata : sur FF , dans la rubrique outils puis console d'erreurs j'ai le message suivant : Erreur de sécurité : le contenu situé à http://googleads.g.doubleclick.net/ ne peut pas charger de données à partir de http://www.cheminots.net/forum/index.php?app=forums&module=post&section=post&do=reply_post&f=168&t=24181. Si cela peut t'aider... ou bien celui-ci Erreur de sécurité : le contenu situé à http://googleads.g.doubleclick.net/ ne peut pas charger de données à partir de http://www.cheminots.net/forum/index.php?app=forums&module=post&section=post&do=new_post&f=167. Soit dit en passant, j'ai une tripotée d'erreurs quasi uniquement lors des connections avec Cheminots.net...

  8. Alors, combien tu touches Julien Bayou, conseiller régional Ile de France ? 200 euros net ! http://eco.rue89.com/2010/05/03/alors-combien-tu-touches-julien-bayou-2-200-euros-net-150039 Quelques éléments intéressants, quelques vérités mais il y a quelques oublis ...

  9. Strauss-Kahn et Sarko main dans la main. L'Ump et le PS votent comme un seul homme à l'Assemblée nationale "l'aide" à l'Etat grec (pas au peuple)... http://canaille-le-rouge.over-blog.com/article-solidarite-grece-bande-de-salaud-49724225.html . Sur le blog de la Canaille...

  10. Nous sommes dans une période de résistance (à l'ultra-libéralisme, au capitalisme, à la social-démocratie...) et ceux qui résistent ne sont pas nombreux... Toutes les périodes historiques ont vécu ce type de situation. Il faut recréer de l'espoir, des perspectives , penser et inventer un avenir sans reproduire les erreurs du passé...

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